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La femme au balcon

Elle est magnifique, nouvellement arrivée, elle habite au deuxième étage de l'immeuble qui longe la cité administrative où il vient travailler. Il la voit tous les matins, sous toutes ses coutures, jusqu'au jour où...

Proposée le 19/12/2025 par jerome james b

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


LA FEMME AU BALCON

La première fois qu'il la vit, il arrivait pour travailler et il l'aperçut à son balcon. Elle fut une illumination dans une journée morose, une vie morose, et un univers morose.
Il travaillait pour les impôts, dans une petite cité administrative, faite d'une série de blocs carrés assemblés, bâtiments d'aluminium et de verre, dans un quartier tranquille, entourée de pavillons et de quelques immeubles de deux étages. Il voyait tous les jours cette population d'âges divers, il y avait pas mal de retraités qui avaient travaillé dans la ville en d'autres temps, mais aussi des gens plus jeunes, dans des tranches d'âges variées.
Il observait toujours du coin de l' oeil cette humanité, à laquelle il appartenait, qui vivait sa vie de tous les jours, bien loin des puissants, une vie qui s'assimilait parfois à une survie, avec des joies, des peines, mais toujours la volonté de garder un cap. Ils étaient des gens de peu, ils le savaient, la France d'en bas, mais ils étaient fiers de ce qu'ils étaient.
Ce matin-là fut pourtant radicalement différent de ceux qu'il avait pu connaître de par le passé.
Il passait par un petite porte latérale, et il rejoignait son poste après avoir traversé une cour et être passé le long d'espaces verts.
L'immeuble juste en face avait deux étages, et était pourvu de balcons. Il appartenait au parc départemental. C'étaient des logements qui étaient régulièrement entretenus, clairs et en bon état.
Il tourna la tête machinalement vers la gauche, sans doute parce qu'il avait senti sa présence, et il la vit.
Il se figea à la fois surpris et séduit, troublé aussi sans aucun doute, par cette femme ravissante, par sa beauté, sa sensualité, mais aussi sa position et son attitude.
Il lui donnait une bonne quarantaine d'années. Elle était brune, avec des cheveux coupés courts, ce qui dégageait son visage, un très joli visage avec des traits fins et un regard dans le lointain.
Elle était surtout entièrement nue.
Posée ainsi sur le balcon, elle tirait sur un cigarette, l'esprit ailleurs.
L'occasion pour lui de l'admirer. On aurait pu dire aussi la mater, et c'était bien le cas, il ne l'aurait pas nié. Elle devait faire un mètre soixante-dix à peu près avec un corps de femme voluptueux, des formes partout où les hommes aiment qu'il y ait des formes. Elle avait des seins, lourds mais fermes, de très belles jambes, un ventre plat, et un sexe offert, toison brune couvrant son pubis, et fente entrouverte, laissant sortir deux morceaux de lèvre qui s'entrelaçaient.
Ca avait été quand elle avait terminé sa cigarette qu'elle avait commencé à s'habiller. Elle avait balancé le mégot par dessus le balçon, dans un geste commun avec pas mal de Français qui balançaient leurs ordures n'importe où, mais il avait apprécié cette sorte de pied-de-nez aux conventions, et aux pressions sociales.
Il ne l'avait pas remarqué, en contre-plongée, on ne voyait pas forcément tout, mais il y avait sur la terrasse du mobilier de jardin, une table, des fauteuils, la terrasse était assez vaste pour les accueillir, et les vêtements étaient sur un fauteuil.
Il avait 34 ans, et il s'était dit que, même à cet âge-là, on pouvait faire des découvertes concernant la féminité.
En l’occurrence, le fait qu'on puisse être, sérieusement même, troublé un strip-tease à rebours, mais sans doute aussi un strip-tease. Il n'y avait jamais pensé avant, sans doute parce, même si des filles s'étaient déshabillées ou habillées devant lui, elles n'avaient clairement pas cette sensualité qui la caractérisait elle. Là, chacun de ses mouvements avait du poids.
Elle commença par gainer ses jambes par du nylon, et ce qui se révéla être non pas des collants, mais une paire de bas stay-up qu'elle enfila l'un après l'autre. Ca magnifiait ses jambes, décidément bien faites.
Ensuite, avec une grâce qui le fascina et qu'il estima être, à tort ou à raison, uniquement féminine, il la vit passer une jupe noire et courte, fendue sur le côté qu'elle fixa à sa taille. Elle attrapa un soutien-gorge par sa bretelle. Deux bonnets noirs vinrent envelopper ses seins, elle amena ses bras en arrière pour fixer la lingerie. Par dessus, un débardeur fuschia, et une veste noire.
Elle avait gardé le meilleur, le plus troublant sans doute, pour la fin. Elle attrapa, sur le sol, près de la table, une paire de bottes marron, luisantes, neuves ou soigneusement entretenues. Elle se posa sur le fauteuil, tendit une jambe, puis l'autre, et les fit glisser le long de ses jambes. Ce n'étaient pas des cuissardes, mais elles étaient quand même très longues, arrivant au genou. Un zip de chaque côté, à remonter. Elle se redressa.
Elle était belle nue, elle était troublante habillée. Des détails qui captaient l'attention, mais aussi un ensemble qui la définissait. On pouvait se fixer sur les dits détails, ou bien s'accrocher à l'ensemble de sa silhouette...Dans un cas comme dans l'autre, c'était énormément de fascination et de trouble, quelque chose qui donnait envie. Et d'autant plus quand, comme Remo, on n'avait pas eu de rapport sexuel avec une fille depuis quelques temps et qu'on était clairement, il devait bien le reconnaître, frustré. S'il avait du se focaliser sur UN élément qui le troublait le plus, c'était qu'elle se soit entièrement parée, mais sans mettre de slip dessous. La démarche en elle-même était curieuse. Pourquoi pas de slip mais un soutien-gorge? Pourquoi pas l'inverse, alors que, il l'avait déjà remarqué, certaines filles aimaient avoir la poitrine nue? Il concevait bien un double plaisir, à la fois la liberté d'être nue, garder une liberté sous un aspect physique corseté, on était obligé de s'habiller pour aller travailler, et souvent d'adopter un dress code, mais aussi et ça c'était une évidence, une possibilité, une envie de troubler celui qui serait en face. Qui serait déjà troublé par son aspect général, son corps tel qu'il était présenté, tenue féminine, jambes révélées, gainées de nylon, mais aussi ces bottes qui ne séduiraient sans doute pas que ceux qui étaient exclusivement fétichistes, mais le seraient encore plus, parce qu'avec une jupe aussi courte, fendue qui plus était, on pouvait imaginer cent positions qui permettaient de voir ce qu'elle avait de plus intime.
Elle disparut de sa vue, et il se glissa à l'intérieur. Il avait une journée de travail à accomplir, même si elle fut parasitée, en arrière-plan d'un travail toujours rigoureux par des images et des envies. Il aurait bien aimé être, par exemple l'une de ces personnes qui aurait croisé sa route, pour apercevoir son sexe, alors qu'assise, elle lui parlerait, et ouvrirait les jambes, ou qu'elle se pencherait pour attraper quelque chose en basse altitude et dévoilerait sa chair nue.
Puis, une nouvelle journée était arrivée.
En se présentant sur les mêmes lieux que la veille, il ne pensait pas la voir. Parce qu'une journée ne s'inscrit pas sur le même trajet que la précédente.
Et pourtant, elle était là sur la terrasse. Nue comme la veille, et tirant sur une cigarette.
Il se rappelait bien qu'un mois plus tôt, il y avait à cet étage une femme d'un certain âge...Qu'il n'aurait pas fait bon voir nue...
Un changement de locataire, tout simplement. L'immeuble appartenait sans doute aux HLM.
Elle était vraiment désirable. Un corps de femme...Remo était frustré certes, mais pour autant qu'il le soit, il n'aurait pas forcément été chercher l'une des femmes qui habitaient ici, vieilles ou plus jeunes, il n'en avait vu aucune qui lui inspirait du désir.
Elle,si.
Dès lors une routine s'installa.
Et il n'y eut pas que la routine qui s'installa.
Elle s'imposa dans ses pensées, dans ses désirs. Sans pour autant que ça tourne à l'obsession. Ça n'était jamais pareil, et elle n'était jamais pareille. Mais toujours attirante, séduisante, troublante...
Elle faisait partie de son univers comme ces immeubles, ces maisons, les gens dont il croisait les silhouettes familières tous les jours, les arbres qui donnaient un semblant de végétation, les voitures garées là...
Ce jour-là, il y eut un point de connexion, une ouverture. Quelque chose qui fit que leurs deux univers se rejoignirent.
Il passait, regardant vers le haut. Assez curieusement, et alors même que son regard, il en avait bien conscience, était insistant, collé à elle, elle, elle ne le regardait jamais, toujours ailleurs.
Ce jour-là, quand il passa, elle était habillée pour la partie supérieure de son corps, nue à partir du nombril. C'était troublant que de la voir avec un chemisier bleu et une veste, mais une partie du ventre et le sexe nu, offerts au regard, boire une tasse de café.
Il connaissait bien son anatomie maintenant. Il avait souvent fantasmé dessus. Rêvé de monter un matin et de profiter de son corps généreusement, même si parfois partiellement offert, de mille manières.
Et il y eut cette tasse à café qui vola dans les airs.
Il se demanda par la suite comment cela avait pu se produire.
Sans être véritablement surpris. Il lui était arrivé aussi de lâcher un objet qui pouvait partir dans des directions très diverses.
Il se demanda aussi par la suite comment il avait pu rattraper la tasse de café, avec une habileté qu'il ne se savait pas avoir. Il y avait eu le hasard, la chance, et un tant soit peu d'habileté. Elle avait fait un arc-de-cercle et était arrivée vers lui, avec une trajectoire plus courte, mais il s'était déporté sur sa gauche pour l'attraper. Ça aurait été quelques mètres en arrière ou en avant, ou avec une trajectoire plus courte...Ça lui fit drôle d'avoir pu la rattraper et d'avoir la tasse dans les mains.
Il releva les yeux vers l'étage.
Pour une fois, elle l'avait vu. Elle lui sourit.
— Vous pouvez me la remonter? Je vais débloquer la porte en bas. Je suis au deuxième, la première porte à gauche.
Sans réfléchir, mais dans un moment qu'il trouvait surréaliste, il monta trois marches, poussa la porte après un déclic, et gravit les volées de marches.
Au deuxième, la porte de l'appartement était entrouverte. Sans réfléchir il pénétra à l'intérieur.
Il découvrit, après une courte entrée, un living meublé avec goût.
Elle était debout près du dossier d'un canapé, dans la même tenue que quelques minutes plus tôt. Elle n'avait pas jugé nécessaire de se couvrir, de la sorte, elle offrait, à son regard, son intimité.
Elle lui fit un grand sourire.
— Merci de m'avoir remonté la tasse. J'allais la poser, j'ai trébuché. Écoutez, je crois qu'il y a une bonne manière de vous dire merci.
Et elle tomba à genoux devant lui, défaisant son pantalon pour en sortir sa queue. Elle sembla surprise, un rien décontenancée en tout cas, de trouver une verge développée dans une belle érection. Après tout, une érection pouvait se matérialiser très rapidement mais très simplement, il était tout dur, en arrivant, en pensant à ce qu'il voyait depuis plusieurs semaines, en la regardant, et ça continuait après...
S'il était en manque, ne l'était-elle pas aussi? Il y eut quelque chose, dans sa manière de donner des coups de langue sur sa queue, qui disait son habileté, mais aussi une avidité qui pouvait être consécutive à un réel manque de partenaire. Il ne l'avait d'ailleurs jamais vue, tout ce temps, avec un homme près d'elle, ce qui ne voulait pas dire grand chose.
Après ses caresses linguales, elle fit glisser sa queue dans sa bouche, chaude, douce et humide, et la fit aller et venir sur un tiers de sa queue. C'était tellement bon qu'il crut un instant qu'il allait jouir dans sa cavité buccale, mais il se retint avec le pressentiment qu'elle allait lui proposer plus.
Le dossier du canapé était large. Suffisamment pour qu'on puisse s'allonger dessus. Ce qu'elle fit en ouvrant les cuisses.
— Viens me lécher, et ensuite tu mettras ta queue dedans. Il y a des préservatifs sur la table basse, tu en prendras un.
Elle s'offrait en souriant. Son sexe comme un aimant pour Remo. Ca faisait trop longtemps qu'il n'avait pas eu un sexe de femme à sa disposition.
Ce qui lui faisait drôle, c'était qu'il l'avait aperçu maintes fois d'en bas de l'immeuble...Et là, il était à quelques centimètres de lui. Tout près. Il n'aurait jamais espéré pouvoir un jour le contempler de tout près...Ni que sa propriétaire lui propose d'y glisser sa langue et sa queue...
Comme quoi, le Destin pouvait parfois être clément. Et un rêve impossible devenir réalité.
Son regard accrocha sa vulve béante, et il en profita, aucune fille avant ne lui avait offert son sexe, l'ouvrant, le rendant béant, et le laissant s'ouvrir suffisamment longtemps pour qu'il en profite bien et en mémorise tous les détails, pour les retrouver quand il serait seul et aurait envie de se branler. Il détailla chaque centimètre carré, la toison brune, qu'elle avait laissée s'épanouir dans l'épaisseur mais qu'elle avait taillée dans la largeur, bien qu'elle couvre quasiment tout son pubis, le sexe lui-même, sans doute différent dans son aspect actuel, de celui qu'il apercevait du bas, qui était toujours moins excité, même s'il l'avait vue plusieurs fois se frotter le sexe, sans aller très loin. La muqueuse interne bien apparente, les lèvres gorgées de sang, tout comme le gland clitoridien...Comment ne pas être fasciné, et éprouver de la joie à enfin l'avoir sous les yeux ? Le bonheur incomparable de profiter du corps qu'une femme offrait...
Il vint le caresser de la langue, le baladant sur toutes ses composantes, et il se dit qu'elle était sans doute aussi frustrée que lui à la manière qu'elle eut de gémir, un gémissement qui se rapprochait du cri, tandis qu'il venait effleurer les lèvres, le gland clitoridien, et que les liquides intimes de la belle brune coulaient dans sa bouche. Le sexe de la fille s'ouvrait petit à petit, révélant son intérieur, une muqueuse toute rose. Sa verge était tendue à craquer, et il vint la frotter, tout en continuant son cunni, pour apaiser la tension qui montait en lui, et qui s'apaisa quand elle lui proposa:
— Viens dedans. Maintenant. Et n'oublie pas de mettre une capote.
Il partit vers la table basse, encombrée, sur laquelle il trouva, effectivement, une boite de capotes, qui n'était pas ouverte. Une manière d'espérer? Il figea un instant l'image de ce moment, elle allongée sur le dossier large, qui attendait d'être pénétrée, lui faisant coulisser une gaine de latex le long de sa queue raide à en faire mal. Il n'avait pas pensé, jamais, que tous ces matins à la contempler, qu'elle soit nue, semi-habillée, habillée, qu'elle s'habille devant lui, fume, boive du café, ou ne fasse rien du tout, puissent basculer sur ça.
Ce serait un bon moment. Même s'il était unique.
Il revint vers elle. Elle l'attendait. Il sentait en elle quelque chose de fort, une envie qui la prenait de la tête aux pieds. Dans un de ces moments où on n'attend plus qu'une chose, du sexe et du plaisir.
Il se pencha sur elle, elle attrapa sa queue, et la guida vers sa vulve. Il sentit, elle le sentit aussi, qu'il glissait en elle, et pour l'un comme l'autre, le contact contre leurs muqueuses ultra-sensibles fut un immense plaisir, suivi d'autres dans les minutes qui suivirent. Il glissa en elle, jusqu'à ce que sa tête vienne taper contre son utérus.
Elle lui jeta:
— Fouille-moi bien, longtemps, caresse-moi bien à l'intérieur, ça fait trop longtemps que je n'ai pas eu du plaisir.
Confirmant ainsi ce qu'il pensait.
Il la fouilla, comme elle le lui avait demandé, avec moins le souci de prendre du plaisir que de lui en donner. Il voulait faire les choses bien, et puis sans doute aussi que c'était une manière de le remercier pour tous ces moments matinaux où il l'apercevait, et en tirait du plaisir. Il éprouvait à la fois le plaisir d'être en elle, enveloppé par sa muqueuse, mais aussi celui de lui donner du plaisir et de la sentir réagir.
Elle jouit la première, bien avant lui. Son orgasme fut sans doute à la mesure de ses manques. Elle se tordit, cria, enchaîna plusieurs orgasmes, et éjacula autour de la queue qui bougeait en elle. Ce furent ses réactions qui déclenchèrent sa jouissance, et il dut bien reconnaître par la suite que le plaisir qu'il eut était semblable au sien, d'autant plus fort qu'il avait été brimé pendant plusieurs mois. Son sperme jaillit, venant taper contre les parois de son sexe, et elle jouit à nouveau.
Quand il se redressa, Remo se rendit compte qu'elle était dans un état second, les yeux clos. Ailleurs. Il préféra s'éclipser. Il avait eu un bon moment. C'était fini. Un moment unique qui ne se répéterait pas. C'était déjà bien. C'était déjà beaucoup.
Il se rendit compte que, bien qu'ayant joui, sa queue était encore dure. Le trouble que lui imposait cette femme mais aussi, l'aboutissement de plusieurs mois de frustration. Et aussi que ses éjaculations l'avaient trempé. Par chance, il avait toujours des vêtements de rechange dans sa voiture. Il partir sur l'aile gauche de l'immeuble, où des arbres le masqueraient, pour le changer. Avant de retraverser et de partir travailler, encore sous le choc de ce moment, tellement irréel, mais tellement fort, aussi.
Il pensait qu'il n'y aurait pas de suite. Qu'ils reprendraient leur route, lui arrivant tous les matins, elle à moitié nue sur son balcon profitant du moment avant de partir travailler.
Le soir-même, il finissait toujours à 16 heures 30, il eut une surprise.
Elle était appuyée contre sa voiture, et elle tirait sur une cigarette, dans cette attitude dans laquelle il l'avait surprise la première fois. Elle était, comme toujours magnifique, féminine et sensuelle, dans un simple tailleur gris, les jambes gainées de nylon, avec des bottes, elles aussi grises, à talon aiguille.
Quand il s'approcha d'elle, elle lui fit un immense sourire. Un bon signe?
Avec ses talons aiguille, elle était aussi grande que lui. Suffisamment en tout cas pour que leurs visages soient à la même hauteur et qu'un contact soit possible. Elle se pencha vers lui, et il ne refusa pas son baiser quand elle vint chercher sa bouche, puis sa langue, pour une caresse aussi intime que prolongée. Quand elle relâcha sa caresse buccale et recula, elle lui dit:
— Ce matin, tu es parti sans demander ton reste. Tu aurais pu encore me baiser, j'avais encore envie et toi aussi. Mais peut-être que tu devais aller bosser?
— J'aurais pu prendre quelques minutes de plus.
— Je voudrais que tu reviennes demain matin. Et le suivant aussi. Tu crois que c'est possible? Tu m'as bien baisée et j'ai envie que tu me baises encore.
— Oui, j'en ai très envie.
— J'ai un aveu à te faire. Le matin, je me pose sur le balcon, et je prends un moment pour moi. Et puis je t'ai aperçu, me matant. Au début, ça m'a irritée, et puis je me suis rendu compte, l'être humain est étrange, que tu me plaisais. Mais je ne savais pas trop comment t'aborder. On appartient à deux mondes différents. Et puis il y a eu cette tasse que j'ai lâchée...Peut-être que c'est mon inconscient qui m'a poussé à le faire, même si pour moi c'était de la maladresse...En tout cas, on s'est retrouvés...Et j'ai profité de la situation.
— Sans cela, on serait encore deux mondes à part.
Elle se tut un instant, avant d'ajouter:
— Tu es libre, là, maintenant?
— Oui.
— Moi aussi. Viens.
Elle l'attrapa par la main et ce fut presque en courant qu'ils montèrent chez elle.
Deux minutes plus tard, elle était à quatre pattes sur la moquette de son living, jupe retroussée, et collant, car ce jour-là elle avait un collant, descendu aux genoux, bloqué par ses bottes, sa croupe pleine offerte, entrouverte, son sexe bien visible entre ses cuisses.
— Viens. J'ai envie que tu me prennes comme un chien prend une chienne!
Une offre à laquelle il était difficile de résister, et Remo ne résista pas.

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