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La Femme de ma vie

Une femme bi-sexuelle vit une première expérience avec un homme qui s'avère être un transgenre et elle découvre de nouveaux plaisirs insoupçonnés.

Proposée le 11/03/2016 par Le_Lesbien

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


Assise à une petite table sur la terrasse du Drug Store, je réfléchissais à mon orientation sexuelle. Je n’ai rien contre les hommes, c’est juste qu’ils baisent mal. Mes expériences sexuelles avec d’autres femmes ont été plus satisfaisantes.

J’admire les lesbiennes qui s’assument et qui militent pour nos droits. Malheureusement, je n’en suis pas une. Traitez-moi de tous les noms, mais j’aime bien mon placard. Ma vie sexuelle ne regarde ni ma famille ni mes collègues et à dire vrai, j’aimerais bien un jour leur présenter quelqu’un sans avoir à affronter leurs regards désapprobateurs. Je ne suis pas une lesbienne typique : quand j’étais jeune, j’adorais jouer avec des Barbies et j’aime la lingerie affriolante, bien que je sois trop timide pour m’en acheter.

Le Drug Store est un endroit fantastique. C’est le plus grand bar lesbien à Montréal, mais il est aussi fréquenté par des gens de toutes les orientations. Sur quatre étages, on y retrouve toute une gamme de salles aux styles des plus différents : scène pour des spectacles de travestis, pistes pour danser, salle de billard, ambiance feutrée et architecture du XIXe siècle. Mon coin préféré est la terrasse sur le toit qui comporte une vue imprenable sur le Vieux-Port, où se tient une compétition internationale de feux d’artifice. Mais alors que spectacle pyrotechnique que j’attends depuis deux heures débute, un mec s’accoude à la balustrade et me cache la vue. Je ne peux m’empêcher de m’en plaindre au serveur. Celui-ci va avertir le monsieur, lui explique la situation… et comme la terrasse est pleine, il revient avec lui et me demande si je peux l’accepter à ma table, car c’est la seule place de libre. Oups ! Ce n’est pas du tout ce que j’avais en tête, mais comme j’étais en quelque sorte l’initiatrice de la demande, il m’est difficile de dire non. En fait, normalement, si un inconnu avait essayé cavalièrement de s’inviter à ma table, mon réflexe aurait été de refuser.
Bon, un peu obligée de partager le même espace, nous nous sommes mis à converser. Daniel avait une conversation intéressante, discutant de voyages, de questions sociales, d’état d’âme. J’étais intriguée, j’avais de la difficulté à le situer. Il n’avait pas l’air gay, ni voyeur. Que faisait-il dans un bar de lesbiennes ? Je finis par le lui demander. Il m’avoua que malgré son physique viril, il avait l’impression d’être une femme en dedans de lui. Je souris et pensais-je : « encore une pogne pour draguer… ». C’était d’autant plus étonnant qu’il arborait une barbe assez fournie. Il m’expliqua qu’il était comédien et qu’il jouait un roi dans une pièce de théâtre qui s’était justement terminée le soir même.
Il était assez précis sur ce que signifiait pour lui cette sensualité féminine : un rythme amoureux, des zones érogènes, une façon de ressentir la jouissance. À mesure que nous parlions (ou qu’il m’écoutait, car il écoutait davantage que bien des hommes que j’ai connus), je trouvais qu’il était l’inverse de ce que je détestais dans mes amants antérieurs. Ceux-ci étaient trop sûrs d’eux ; trop obsédés à contrôler la situation à tout moment, alors que moi aussi, j’aime bien m’exprimer, décider, agir.
En fait, il finit par faire monter le désir en moi. Je me suis dit : « pourquoi je ne donnerais pas une dernière chance aux hommes ? », bien que je m’attendais à être déçue. Comme le bar s’apprêtait à fermer, je lui dis tout simplement :
— On va chez toi ou chez moi ?
— Tu es la bienvenue chez moi, me répondit-il.+
Arrivé chez lui, dans un appartement remarquablement bien rangé pour un homme, il m’offrit un dernier verre et nous nous installâmes sur le sofa. Je m’attendais à me faire sauter dessus, comme d’habitude. Cependant, nous reprîmes la conversation en abordant des sujets toujours très intéressants. Bizarrement, cette attente fit encore plus monter le désir en moi que des caresses brusques et maladroites. J’avais envie d’être active, en contrôle. Je lui rappelai ses paroles quand il disait qu’il se sentait une femme en dedans de lui et je me lançai :
— Écoute, je te propose un jeu. Ce soir, je fais l’homme et toi la femme. Je vais commencer à te caresser, mais toi, tu te laisses faire et tu me caresses que si je te le demande.
L’expression sur son visage m’indiqua qu’il acceptait avec enthousiasme. Je me mis un peu plus haut que lui et je commençai à l’embrasser. Nos deux langues tournoyaient longuement l’une autours de l’autre dans un French Kiss sensuel. Je déboutonnai sa chemise et ma main passa sur sa poitrine en tournant autour de ses mamelons. Rapidement, ceux-ci devinrent durs et gros, et je me mis à les pincer et à jouer avec eux. J’aimais beaucoup faire cela à une femme, mais c’était la première fois que je le faisais à un homme. Je me penchai vers lui et les pris dans ma bouche. L’un après l’autre, je leur donnais de petits coups de langue et je les suçais. Il se mit à gémir doucement. J’en fus tout étonnée. Enfin un homme à qui je faisais de l’effet.
Jusqu’ici, tous mes amants étaient aussi silencieux qu’un madrier. À peine, un petit cri au moment de l’orgasme. Mais Daniel, lui, m’indiquait clairement qu’il aimait mes caresses et m’incitait à en faire davantage. Je me mis à cheval par-dessus lui, déboutonnai ma blouse et lui passai mes seins sur la figure. Je me sentais totalement en contrôle. Il les prit dans sa bouche et les suça avec habileté. Comme il aimait se faire sucer les seins, il savait comment faire pour faire plaisir à sa partenaire. Puis il me regarda droit dans les yeux et dans un soupir admiratif, il me confia :
— tu es belle!
Il me caressait doucement les jambes, les bras, le dos, passant longuement ses mains sur mes muscles. Je suis très sportive et il m’arrive de croire que cela déplait à certains hommes, mais je sentais que Daniel raffolait de mon corps musclé. Je me sentais totalement dominante. J’avais l’impression que je pouvais tout faire avec lui. Je le jetai par terre et lui ordonnai :
— Baise mes pieds.
Il se mit à passer sa langue sur mes chevilles avec passion pendant que j’appréciais cette nouvelle position. Je n’avais jamais dominé un homme et je me rendais compte que c’était beaucoup plus plaisant que je n’aurais imaginé.
À vrai dire, je suis une femme politisée fortement partisane de la démocratie et de l’égalité. Toute domination dans le monde me répugne. Et quand je vois des dominatrices avec des casquettes nazies et que je pense à toute la souffrance que cela évoque, c’est un total turn-off pour moi. Mais dans une chambre à coucher, dans le cadre d’un jeu entre partenaires majeurs et consentants, c’est une force ancestrale, un instinct animal profond qui se réveillait en moi. Plus Daniel se laissait faire et avait l’air d’apprécier, plus le désir montait en moi.
J’empoignai ses cheveux derrière sa tête et je plaquai sa bouche contre mon sexe. Encore une fois, il me fit languir, embrassant doucement mon entrecuisse et ne se rapprochant que lentement de mon bouton d’amour. Puis sa langue tourna doucement autour de mon clito et il se mit à lécher sa base. Je sentis mon clito qui devenait de plus en plus dur et qui sortait de sa gaine. Il dégustait goulûment mon clito, comme un gourmet. Il prenait son temps et avait l’air de vraiment aimer cela, alors que mes autres amants me donnaient l’impression de me faire une faveur trop vite faite. Puis tout en continuant de me manger habilement, Daniel introduisit un doigt dans mon sexe, puis deux. Après avoir exploré doucement mon antre, il se mit à faire un mouvement de droite à gauche avec ses deux doigts, tout en appuyant vers le haut de ma paroi. Il avait bien localisé mon point G et il savait comment caresser ce petit coussinet.
Daniel m’avait décrit comment il ressentait ce qu’il appelait sa jouissance féminine intérieure. Pour lui, la jouissance, c’était comme une boule d’énergie qui apparaissait dans la région du point G, et qui se répandait ensuite dans tout le corps comme une grande vague blanche. Et quand cette vague apparaissait, il serrait tous ses muscles pour lui donner plus de force et l’aider à se répandre. Et ce faisant, il envoyait tout son sang vers sa tête. Car selon lui, le cerveau était avide d’oxygène et que c’était cet oxygène au cerveau qui provoquait l’orgasme. Quand cela arrivait, il ressentait une grande lumière blanche qui envahissait tout son corps et qui était sa manière de s’immerger dans le féminin sacré.
Je ressentais un peu la même chose, mais je ne m’étais jamais donné la peine de le décrire en des termes aussi techniques. Suite aux caresses de Daniel, je sentis monter en moi l’orgasme autour de mon point G, je me mis à visualiser la boule d’énergie et à tendre tous mes muscles pour l’aider. La vague fit trois fois le tour de mon corps, allant de la tête au pied, jusqu’à ce que la grande lumière blanche envahisse mon cerveau et mon corps tout entier. Je lâchai un grand cri de jouissance et j’eus l’impression de tomber dans de la ouate. Je flottai dans les nuages, au septième ciel. Daniel se colla tendrement à moi et nous restâmes assez longtemps ainsi enlacés.
Après une pause et un bon verre de vin, nous recommençâmes à nous caresser. Je me sentais toujours dominante et perverse. Je lui dis :
— Maintenant, ma petite salope, tu vas me dire quel est ton grand fantasme.
Il tendit sa main vers le tiroir de la commode, l’ouvrit et j’aperçus plusieurs jouets sexuels. Il me désigna un gode-ceinture et me répondit :
— Dévierge-moi !
Il m’aida à enfiler le strapon, puis le recouvrit d’un condom aromatisé à la menthe. À genoux devant moi, il se mit à le sucer. Si j’avais vu la scène dans une vidéo porno, je l’aurais trouvée complètement ridicule. Mais ici, dans cette pièce, avec cet homme que je connaissais à peine et qui m’avouait ses fantasmes les plus intimes, je compris le message qu’il m’envoyait. Celui d’une complète soumission et moi qui devenait le mâle, je mouillais de plus en plus. Il revêtit le membre artificiel d’une bonne dose de lubrifiant, puis s’installa à quatre pattes sur le lit, le cul offert. Je me plaçai derrière lui et lui enfilai doucement la chose.
Il ne pénétra que de deux centimètres, puis il bloqua. Daniel m’avoua que c’était très serré et il me demanda d’être patiente. Je sentais que je lui procurais un mélange de jouissance et de douleur. Il était à ma merci. J’aurais pu lui faire très mal. Je me sentais forte, et lui vulnérable, mais en même temps, il avait la force de m’offrir sa vulnérabilité. Puis je sentis ses muscles se détendre et le godemiché s’enfonça jusqu’à la garde. À mesure qu’il entrait facilement, j’accélérais les coups de bassin. Daniel lâchait des gémissements qui semblaient venir du plus profond de son être. L’arrière du gode frottait sur mon sexe et j’avais l’impression que mon clitoris devenait un organe masculin. Ces frottements étaient agréables, mais c’est psychologiquement que cette position me faisait le plus d’effets.


Malgré toutes les luttes des femmes, les hommes dominent toujours la société. Et là, c’est comme si j’envoyais promener des siècles de soumission par quelques coups de hanches. Car, plus aucun doute, dans cette position, c’était moi qui avais le pouvoir. Je me sentais homme et puissant et j’avais le goût de le (la ?) baiser férocement. Ses cris de jouissances m’excitaient terriblement et lorsqu’il atteignit l’orgasme, par une sorte de contagion, je l’atteignis moi aussi. Nous nous écroulâmes tous les deux en nous tenant dans les bras, comme si, pendant un moment, nous n’avions formé qu’un seul être. Nous nous endormîmes couchés en dos de cuillère.
Le lendemain matin, l’odeur du bacon me réveilla. Daniel était déjà debout et avait préparé le petit déjeuner. Encore une fois, nous nous mîmes à jaser de tout et de rien dans une conversation des plus agréables. Puis il commença sa toilette du matin. Comme son rôle s’était terminé hier, il se fit la barbe. Je remarquai qu’il avait les traits fins. Puis il commença à se raser le poil sur tout le corps. Il me demanda mon aide pour passer le rasoir sur son dos. Cela m’excita de le voir changer sous mes yeux. Il me dit :
— Enfin, je vais pouvoir recommencer à me travestir. Est-ce que tu aimerais me voir en fille ?
Je lui avouai que cela m’intriguait beaucoup.
Je l’aidai à se maquiller, à se parfumer. À cheval par-dessus lui, je lui appliquai du rouge à lèvres, du fond de teint et du fard à paupières. Il avait une bonne collection. J’aimais beaucoup contribuer à le transformer. Il me faisait penser à la poupée Barbie de mon enfance et éveillait des sentiments de plaisir en moi.
Puis il enfila une petite culotte avec de la dentelle, des bas résille et des souliers à talons hauts. J’enviai sa collection de vêtements sexys, moi qui avais toujours voulu m’en acheter, mais qui avait été trop timide pour affronter les vendeuses. Je me dis que cela prenait du courage pour contrevenir ainsi aux normes sociales. Lorsque je lui en parlai, il m’avoua :
— Chaque fois que j’achète un vêtement féminin, j’ai l’impression de faire un crime. Le cœur me débat comme si je faisais un vol à l’étalage. Heureusement, les vendeuses sont toujours contentes de vendre et sont en général gentilles. Ce qui est plus embêtant, c’est lorsque je sillonne les rayons pour dame et qu’on me réoriente vers les vêtements masculins…
Je lui fis une confession étrange :
— Je te trouve très viril.

Son visage s’illumina d’étonnement.
— Tu me trouves très viril avec mes bas résille et mes souliers à talons hauts ? répliqua-t-il.
— Bien, expliquai-je, tu as des goûts qui sortent de l’ordinaire et tu n’hésites pas à les exprimer. Tu fais des gestes qui sont très gênants, tel qu’acheter des accessoires féminins et tu surmontes ta timidité. Et enfin, tu réussis à m’embarquer dans ton trip et je te suis, comme on suit un leader. Oui, s’affirmer, vaincre ses peurs et faire preuve de leadership, je trouve cela viril.
— Ah, bien, si c’est un compliment, je le prends, conclut-il avec un regard amusé.
Il revêtit un corset noir en dentelles qui aplatit son ventre et fit ressortir ses seins. Puis, une perruque blonde compléta son déguisement. Il était totalement transformé. Un méchant pétard ! Il s’amusa à prendre une voix plus haute pour me parler. Soudain, j’eus l’impression que j’étais en face d’une vraie femme, terriblement sexy.
J’eus le goût de la prendre de nouveau.
— Je vais te baiser, ma petite salope, lui déclarai-je.

Je lui pinçai les mamelons et je vis un mélange de douleur et de jouissance envahir son visage. Je lui dévorai les seins, introduisant ma jambe entre ses deux jambes. Nos sexes frottaient l’un contre l’autre. Je le jetai par terre et me mis à califourchon sur sa bouche.
— Mange-moi, mange-moi, lui ordonnai-je.
Puis après qu’il (elle) m’eut dégusté de nouveau, je remis le gode-ceinture et le (la) pénétrai. J’étais déjà plus expérimentée, mes mouvements plus précis et j’installai le gode de façon à ce qu’il me fasse jouir physiquement moi aussi. Je ressentais comme un vide dans le bas-ventre, un désir fort de le (la ?) baiser sauvagement. Après l’avoir pris(e) en levrette, je lui ordonnai de se retourner et mis ses jambes sur mes épaules afin de soulever son cul. Je le (la ?) pénétrai de nouveau avec le strapon, mais cette fois, j’avais les mains libres pour lui caresser les seins et le sexe. Ses mains baladeuses caressaient si habilement mon corps, mes seins, mes mamelons et il (elle) tendit un doigt vers mon clito qu’il (elle) toucha avec une grande précision. Vraiment, cette personne connaissait les endroits les plus sensibles pour une femme ! Le rythme de mes coups de bassin s’accéléra et je vis la jouissance monter sur son visage, nos deux respirations s’entremêlaient et nos cris de jouissance se répondaient l’un et l’autre. Alors que je sentais l’orgasme monter en moi, je le vis aussi sur son visage ; une lente montée et finalement un éclatement mutuel, en même temps. C’était la première fois que je jouissais en même temps que mon partenaire et je ressentis un fort sentiment de fusion charnelle.
Après une longue pause sensuelle, nous reprîmes nos caresses. J’étais intriguée qu’il ait aussi peu exprimé sa volonté de me pénétrer, alors que la plupart de mes autres partenaires masculins ne pensaient qu’à cela. Si cette obsession du pénis me refroidissait souvent, je me dis qu’il ne fallait peut-être pas tomber dans l’excès contraire et que cela valait la peine d’aussi explorer ce domaine. Malgré ses aspects féminins, Daniel avait un sexe bien proportionné, circoncis et très dur. Je le caressai du plat de ma main, pour ensuite l’entourer de mes doigts et le masturber. Puis, après l’avoir recouvert d’un condom, je me mis à califourchon sur lui. Je m’étonnai de la facilité avec laquelle il glissa dans mon vagin. Il faut dire qu’habituellement les hommes étaient trop pressés et que je n’avais pas le temps de lubrifier, alors qu’avec tous les préliminaires que nous avions faits, le désir avait eu le temps d’humecter mes parois intimes. Je le chevauchai alors qu’il donnait de formidables coups de bassin. Il pressa son pubis contre le mien avec tellement de force que mon clito était tout excité. Et il tendit sa main pour mettre son pouce au bon endroit. Je lui caressai les seins avec mes mains et je vis lentement la jouissance monter encore une fois dans son visage. Et encore une fois, je jouis en même temps que lui. Je n’aurais jamais pensé que j’aurai pu avoir un orgasme vaginal, mais Daniel savait faire le petit geste qui fait toute la différence.

Je ne me souviens plus combien de fois nous avons baisé lors de ce premier week-end. Mais dès que nous nous retrouvâmes seuls dans nos logements respectifs, l’envie de se revoir nous tenailla. Nous nous découvrîmes plusieurs passions communes. Nous aimions les mêmes activités culturelles, sociales, sportives ou de plein air. Nous découvrîmes que nous avions plusieurs ami(e)s commun(e)s avec lesquels nous nous entendions très bien. Nous avions toujours du bon temps lorsque nous étions tous les deux. Et nous avons fini par sortir ensemble.
Daniel a des côtés très masculins. Il peut bûcher du bois, réparer un moteur, jouer au hockey et sortir les poubelles. Pour tous les gens qui nous fréquentent, nous sommes un petit couple « normal » bien standard. Mais dans l’intimité, lorsque les rôles se renversent, nous avons notre univers secret bien à nous et le fait que nous partagions ces secrets intimes renforce notre couple et notre amour. Nous nous fréquentons déjà depuis plusieurs années et nous espérons que cela durera le plus longtemps possible.
J’étais loin de me douter que ce soir-là au Drug Store, j’allais rencontrer la femme de ma vie… et que ce serait un homme.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
J’ai beaucoup aimé, j’aurais aimé être à la place de Daniel. Bravo très érotique
Posté le 2/08/2018

WWL
Cette histoire ressemble un peu à la mienne et celle de mon amant qui aime également que je revêti mon gode ceinture . Un vrai régale de pouvoir vivre totalement ensemble notre sexualité.
Posté le 20/07/2018

james
C'est une très belle histoire d'amour dont le récit est très bien écrit et dont la description des positions charnelles sont très belles.
Posté le 8/02/2018

Pascal
Bonjour, Cette histoire paraît tellement réelle. Merci pour ce beau partage érotique.
Posté le 29/08/2017

murielletv
quel bonheur ,je vous comprend totalement car je vis la même chose sauf que je suis une trans et que je vis avec un travesti nous sortons soit en couple mixte soit en gouines c'est merveilleux bises a vous
Posté le 8/05/2016

Anonyme
jais bien aimer ton histoire
Posté le 18/03/2016


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