Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Ma femme dominée par une autre femme

Un premier rayon de soleil, une amie qui vient nous rendre visite en fin d’après-midi, un apéro improvisé, une bouteille de champagne, puis deux. Des inhibitions qui s’effacent, des confidences entre femmes, des pulsions et des désirs trop longtemps réfrénés. Tout contribue à cette explosion de sexe qui vous emporte et vous coupe le souffle.

Proposée le 20/04/2021 par Wiseguy55

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Femme dominée
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Marie est arrivée vers 17h00 dans sa petite robe écarlate tellement courte et tellement moulante. Son petit corps svelte d’à peine 1m60 rehaussé par de chaussures à talon et semelle compensée. Elle a une silhouette absolument magnifique sculptée par des années de dance. Une taille de guêpe, des fines jambes musclées, des petites fesses dont la rondeur est magnifiée par le string qu’on devine sous sa robe, son décolleté ne laisse pas de doute sur la fermeté de ses petits seins. Ses cheveux mi- longs tout frisés rendus blonds par la magie des colorations, ses yeux bruns très foncés surlignés par des sourcils noirs, ses pommettes saillantes, son petit nez pointu et ses lèvres pulpeuses entourant une bouche un peu plus grande que la moyenne ajoutent à la sensualité qui se dégage de ce petit bout de femme d’une trentaine d’année.

J’ai été assez surpris de la voir débarquer à la maison. C’est ma femme qui lui a proposé de passer. Ma femme qui justement me rejoint dans l’entrée simplement vêtue d’un legging et d’une petite brassière de sport. Elle est pied nu et ne s’est pas encombrée de sous-vêtements. Son legging lui colle tellement à la peau qu’il laisse apercevoir la forme de son sexe.

Si Marie, je l’avoue, m’excite énormément, ma femme continue de produire sur moi des effets surprenants. Cette femme d’un peu plus de quarante ans à des formes splendides, mince, de taille moyenne avec des jolies fesses et des hanches larges mises en valeur par une fine taille, de longues jambes fuselées et une petite poitrine ferme et haut perchée. Ses longs cheveux blonds et ses yeux bleus azur la rendent irrésistible. Je me surprends à penser que bien des hommes rêveraient d’être à ma place en ce moment. Seulement voilà, j’ai encore pas mal de travail et je dois m’éclipser dans mon bureau à contrecœur.

Je les rejoins vers 18H30 une fois mon travail terminé. Je ne sais pas ce qu’elles se sont raconté pendant ce temps. Quand je les rejoins sur la terrasse, je les trouve côte à côte dans le salon de jardin, face au soleil qui a chauffé la terrasse toute l’après-midi, une bouteille de champagne vide et une autre à peine entamée sur la petite table basse. J’ai sans doute interrompu un sujet de conversation sensible car je les trouve bizarre toutes les deux, elles ont les joues rouges et parlent à demi-mots. Je décide de ne pas relever et une autre conversation démarre alors que je nous sers une coupe. La conversation s’éternise et la deuxième bouteille est à présent presque vide. Ma femme demande à Marie si elle compte manger avec nous. Ce n’est pas très prudent de reprendre le volant maintenant et il y a bien assez dans le frigo pour trois. Notre invitée accepte nous disant en soupirant que de toute façon elle n’avait rien de prévu ce soir. Là je comprends qu’elle est une fois de plus en galère de mec, j’irai donc moi faire la cuisine pour les laisser discuter entre elles.

A peine arrivé dans la cuisine et n’ayant même pas encore eu le temps d’ouvrir le frigo, je repense à cette conversation interrompue et plus j’y repense, plus je me dis que j’ai sans doute interrompu bien plus qu’une conversation gênante. Cette pensée m’obsède et je me dirige discrètement vers la baie vitrée donnant sur la terrasse. Le soleil et le contre-jour font que je peux les observer sans être vu. Et ce que je vois me donne des jambes de coton.

Elles sont toujours assises dans le fauteuil de jardin, elles ne sont plus côte à côte mais se sont tournée l’une vers l’autre, elles se tiennent la main, leur visages se sont rapprochés. Il n’y a guère plus qu’une dizaine de centimètres entre leurs bouches. Je sais que ma femme a déjà été attirée par d’autres femmes, je sais aussi que quand elle est excitée, elle n’a presque pas de limites. Et là, à voir son attitude et sa position cambrée comme pour offrir ses seins à Marie, je sais qu’elle est excitée et que tout peut arriver. Ce que j’ignore par contre c’est comment va réagir Marie. Je ne connais en effet presque rien d’elle à ce sujet.

La réponse arrive très rapidement. Marie saisit la gorge de ma femme de sa main gauche et la bascule en arrière forçant ma femme à s’allonger sur le dos. Marie embrasse ma femme et lui pénètre littéralement la bouche avec sa langue. De sa main gauche, elle immobilise toujours ma femme tandis que de la droite elle investit son legging et plonge sa main directement à son sexe. Vu les mouvements saccadés, je devine qu’elle lui masse le clitoris. A entendre ma femme gémir malgré la langue de Marie toujours dans sa bouche, ce qu’elle subit lui plaît énormément. Je ne sais pas comment réagir, intervenir, mettre un terme, tenter de m’incruster, simplement regarder et profiter du spectacle ? Je décide de profiter du spectacle qui m’est offert. L’une et l’autre doivent pertinemment se douter que je ne vais pas tarder à les surprendre. Si elles sont cachées à la vue des voisins de par les hautes haies entourant le jardin, elles sont par contre bien visibles depuis l’intérieur de la maison. Je me rapproche de quelques pas afin d’avoir la meilleur vue possible tout en restant discret, faisant bien attention de ne pas signaler ma présence.

Marie est à présent complétement couchée sur ma femme, la main droite toujours enfouie dans sa culotte. Elles ne s’embrassent plus, ma femme a remonté sa brassière et dévoile ses seins à Marie qui les suces et les titilles de sa main libre. Ma femme se laisse faire, elle est totalement passive, seules ses mains ont investis la chevelure bouclée de Marie. Elles restent dans cette position quelques instants encore, je serais incapable de dire combien de temps. Ensuite, Marie se redresse, empoigne vivement l’élastique du legging de ma femme et tire dessus pour le lui enlever. Une fois de plus ma femme se laisse faire. Une fois le cul nu, ma femme termine de retirer sa brassière. La voilà complètement nue face à son amie qui la détaille du regard. Elles se parlent à voix basse, je n’entends pas ce qu’elles disent, ma femme reste allongée dans le fauteuil tout en écartant les jambes face à Marie. Marie qui relève sa robe écarlate me dévoilant ses magnifiques petites fesses. Elle se positionne à califourchon sur ma femme mais en lui tournant le dos, à peu près à hauteur de ses hanches ce qui lui permet en se penchant à peine d’atteindre la vulve de ma femme et de la doigter de plus belle. Ma femme caresse Marie à son tour, écartant son minuscule string de dentelle noire, empoignant ses fesses d’une main et de l’autre plongeant ses doigts dans l’intimité de notre invitée. Elles doivent savoir que je les observe et, soit elles s’en fichent, soit ça les excites. Marie commence elle aussi à gémir. Elle ondule du bassin, le cul toujours offert à ma femme qui lui fouille le vagin. Marie recule jusqu’à se retrouver avec sa vulve à hauteur du visage et de la bouche de ma femme. Et à voix haute lui dit :

- Tu vas me bouffer le cul petite pute !

De là ou je suis, j’ai une vue imprenable sur les fesse, la vulve et même l’anus de Marie qui s’est cambrée et penchée se tenant en appuis sur une main sans doute pour m’offrir la meilleur vue possible de ses reins. Ma femme qui a compris joue le jeu et lui écarte les fesses de ses mains autant que possible. Sa langue s’insinue entre les lèvres de Marie, autour de son clitoris et même de son anus. Bien que ma femme aie toujours les jambes grandes ouvertes, Marie ne s’occupe plus de son sexe. Il est de plus en plus clair que Marie est là pour se faire plaisir à elle-même. Ma femme n’est que son moyen d’y parvenir. Et en un coup, sans que je ne l’ait vu venir, une première claque part directement sur la vulve de ma femme qui sursaute, la tête toujours coincée sous l’entrejambe de Marie. Puis, très vite une deuxième et une troisième, de plus en plus fort. Ma femme a maintenant resserré ses jambes dans un réflexe de protection. Ses gémissements se sont mués en cris étouffés par le sexe de sa maitresse. Marie regarde dans ma direction et me lance :

- Viens lui tenir les jambes.

Mon excitation est plus forte que tout. Je connais assez ma femme pour savoir qu’on est bien en dessous de ses limites. D’ailleurs elle ne montre aucune résistance quand je lui prends les chevilles et que je lui bascule les jambes vers l’arrière, les faisant passer de part et d’autre du fin buste de Marie qui a repris ses mouvements de bassin d’avant en arrière au-dessus de la bouche de ma femme. Elle positionne sa tête à la verticale du sexe de ma femme et laisse échapper un filet de salive de sa bouche qui s’écoule entre sa vulve et son anus. Ce lubrifiant naturel vient se mêler aux sécrétions abondantes s’échappant du vagin de ma femme. Tout son entrejambe est luisant. Marie utilise ce délicat mélange de liquides un peu poisseux pour stimuler le clitoris de ma femme en même temps qu’elle lui entreprend de lui détendre son anus par des petites pressions et des petits mouvements circulaires. Marie sait y faire avec les femmes et à en juger par ses gémissements, avec la mienne aussi. L’idée pas si folle que ça me traverse la tête qu’elles n’en sont pas à leur première fois. Si on y pense bien, elles ont passé beaucoup de temps à deux ces derniers mois…Tout en massant le clitoris de ma femme avec son pouce, Marie lui a introduit la moitié de son majeur dans le cul et continue de pousser de plus belle. Son index se déplie et entre maintenant dans la vulve de ma femme alors que le majeur est toujours fiché entre ses fesses. Alors que Marie s’affaire à stimuler toute la zone érogène de ma femme et la baise avec sa main, je me contente de lui maintenir les jambes en arrière jusqu’à ce que l’inconfort de la position ne nous oblige à bouger. Marie en profite pour ôter sa robe et son string. Il ne lui reste que ses chaussures à talons compensés. Je la regarde toute nue debout devant moi, elle est encore plus belle que tout ce que ses tenues sexy me laissaient imaginer. Elle tourne sur elle-même, se cambre et vient frotter ses fesses contre ma braguette. Mon érection coincée dans mon jean est de plus en plus douloureuse.

- Waouh, tu bandes dur !

Puis, s’adressant à ma femme dont le visage est encore luisant de ses sécrétions :

- Je vais baiser ton homme mais avant je vais m’occuper de toi. Tu vas faire tout ce que je te demande. Tu m’as dit que vous aviez une trousse à « jouet » ; va la chercher.

Sans un mot ma femme se lève et va dans notre chambre chercher une trousse de voyage qui contient les quelques sex-toys que nous avons acquis au cours de ces dernières années. On y trouve deux godes, un assez réaliste au niveau de la forme et de la couleur. Et un noir, un peu moins réaliste. Le gode le plus réaliste est le préféré de ma femme. Bien qu’étant de belle taille et plus grand que mon sexe, il n’est pas hors norme. Elle aime s’en servir, quand on joue ensemble mais aussi quand elle est seule et que des idées lui viennent. Le noir par contre est surdimensionné. Très long mais surtout très large. On ne s’en sert qu’assez rarement, uniquement quand ma femme est très excitée. Dans la trousse également, outre un tube de lubrifiant, un plug anal de silicone rose, une paire de menotte et des sangles de contention. Il y eu une période ou la lecture d’une série de best-sellers à favorablement influencé la libido et les goûts de ma femme pour la soumission.

Mais la voilà qui revient, nue, en roulant des hanches dans une démarche sexy et aguicheuse. Entretemps Marie avait ouvert et baissé mon pantalon. Elle se colle toujours contre moi en ayant pris le soin de placer ma bite tendue entre ses fesses. Pendant qu’elle s’applique à entretenir mon érection par des petits mouvements oscillatoire, je lui caresse les seins et le ventre. Je pourrais jouir sur le champ si elle ne s’était pas interrompue avec le retour de ma femme. Je pourrais jouir et je m’en trouver heureux d’avoir pu ainsi profiter de cette situation.

Elle fait placer ma femme à quatre patte dans le fauteuil et lui ordonne d’ouvrir grande la bouche. Elle me propose d’aller enfoncer ma queue directement au fond de la bouche de « cette petite salope ». Quelle étrange sensation de voire Marie traiter ma femme de la sorte. C’est très réducteur de ma part mais si ça avait été un homme, je l’aurais déjà foutu à la porte depuis longtemps. D’un autre côté, je sais que ma femme aime être dominée et rien qu’à la voire, le regard brillant, les lèvres entrouvertes, la respiration rapide, les seins et les tétons durcis, rien qu’à voire la manière dont elle creuse ses reins, la façon qu’elle a d’ouvrir ses cuisses, ses mains qui ne peuvent s’empêcher de toucher son clitoris gonflé, rien qu’a voire tout ça, je sais qu’elle n’en peut plus. Elle ne dit pas un mot et agit comme on lui ordonne.

Marie se place derrière elle et saisit la trousse à jouets. Elle en sort le gode veiné et le plug rose. Un peu de gel sur le plug et voilà que Marie l’introduit dans l’anus de ma femme qui émet un petit grognement étouffé par ma bite qui se loge déjà dans sa bouche. Marie caresse la vulve de ma femme, lui écarte les lèvres de ses doigts, empoigne le gode et l’introduit lentement mais néanmoins d’un trait dans le vagin de ma femme se retrouvant ainsi pénétrée par tous ses orifices en même temps. Marie fait des vas et viens avec le gode, l’enfonçant toujours plus loin, toujours plus rapidement dans ma femme. De mon côté j’enfonce mon sexe de plus en plus loin dans la bouche de ma femme réduite à l’état d’objet sexuel. Je suis une fois de plus sur le point de jouir. Je me retire et cherche à me calmer. Il faut que je redescende sous peine d’écourter ma participation à nos ébats.

Marie se saisit de la paire de menottes et attache les mains de ma femme dans son dos puis la bascule vers l’avant. Ma femme se retrouve le cul en l’air, la tête dans les coussins à la merci de sa maitresse du jour, un plug dans le cul. De mon côté je m’installe confortablement dans le second fauteuil se situant en vis-à-vis et continue de profiter du spectacle sans me stimuler le sexe de quelque manière que ce soit. Et le spectacle est à couper le souffle. Marie prend le gode noir qu’elle enduit de gel lubrifiant lui donnant un aspect brillant faisant qu’il paraît encore plus grand. Elle s’accroupi face au fauteuil derrière ma femme en prenant bien soin de m’exposer toute son intimité et s’empale sur ce monstre de silicone qu’elle arrive à faire entrer presque en entier. Tout ça sans négliger le clitoris de ma femme qu’elle suce avidement. C’est là que je vois ma femme se raidir et se tordre. Pas de doute, elle est en train de jouir. Ma femme s’effondre maintenant dans le fauteuil et dit à Marie :

- Je n’en peux plus, enlève moi ce plug maintenant.

Marie s’exécute en disant à ma femme qu’elle ne la détachera complétement qu’une fois qu’elle en aura fini avec moi. Se faisant, elle libère ma femme de ses menottes dans le dos mais c’est pour mieux lui attacher les mains et les chevilles avec les sangles de contention. Ma femme est maintenant attachée au niveau de poignets devant elle et au niveau des chevilles. Et Marie de lui ordonner :
- Baise moi avec le gode noir, sers toi en comme si tu étais un mec.
Marie se met à genoux dans le fauteuil, appuie ses coudes sur le dossier et se cambre autant qu’elle le peut. Ma femme, toujours entravée teint le gode devant elle à hauteur de son pubis comme un homme tiendrait sa bite et pénètre Marie d’abord doucement ensuite de plus en plus fort.

La vision de ma femme qui bien que entravée pénètre une autre femme à l’aide d’un objet démesuré dans un si petit corps me rend complétement fou. Marie respire de plus en plus fort, elle est au bord de l’orgasme. Elle repousse ma femme et lui dit d’une voix rauque :

- Je veux que ton homme m’encule, prépare moi.

Ma femme prend le gel lubrifiant et commence à en étaler abondamment sur le petit trou de Marie qui est restée en position, les fesses offertes. Ma femme commence à masser et assouplir l’anus de Marie, tendrement, sans brusquer. Marie quant à elle a passé une main entre ses cuisses et se caresse le clitoris. Elle s’assoupli et bientôt ma femme lui introduit deux doigts dans son petit cul sans grande difficulté. Notre invitée semble être une adepte de la sodomie. Elle prend un certain plaisir à se faire dilater. Elle roule des hanches et gémit de plus en plus fort. Ma femme lui introduit un troisième doigt et commence des mouvements plus larges entre les fesses de Marie tout en me regardant et en disant :

- Viens mon amour, on va lui donner ce qu’elle veut.

Je m’approche de ce duo avec une érection qui a repris de plus belle. Ma femme empoigne ma bite, l’enduit de gel et la guide dans le cul de Marie.

La sensation est déroutante. Comment une fille aussi fine peut-elle être aussi large. Je ne ressens que peu de résistance ce qui m’excite encore plus en pensant à toutes ces grosses bites qu’elle a dû prendre dans le cul. Je lui agrippe les hanches et la pilonne violement, toute ma queue est à présent en elle. Tout en restant planté dans son cul, je lui passe le bras autour de son joli ventre plat. On pivote et je me retrouve assis dans le fauteuil avec Marie assise sur moi, les jambes grandes ouvertes et ma queue complétement enfoncée en elle. Ma femme s’approche de son sexe, lui lèche son petit bouton durci et lui enfonce deux doigts dans la chatte. Je sens ses doigts venir frotter ma bite à travers la fine paroi souple qui sépare les orifices envahis de Marie. Au comble du plaisir, je n’arrive plus à me retenir et je jouis abondamment. Le premier jet au fond du cul de Marie, les autres éclaboussent sa vulve et le visage de ma femme qui n’a pas su ou voulu se retirer à temps.

Marie s’avance, se penche en avant et embrasse ma femme. Je me retire pour leur laisser plus de place. Elles entrecroisent leurs jambes et collent leurs vulves lisses l’une à l’autre. Commence alors une chorégraphie sensuelle faite de frottement, de mouvement de hanches, de bruits de sucions provoqués par ce mélange de leurs sécrétions, de gel lubrifiant et de mon sperme. Elles sont couchées sexe contre sexe, jambes emmêlées, Marie sur le dos, ma femme sur le ventre. Marie s’accroche à une de ses jambes comme pour accentuer la pression sur son clitoris. Elles crient à présent et jouissent presque en même temps, d’abord Marie ensuite ma femme qui dans un dernier souffle à juste la force de dire « encore, encore un peu, haaa…. ».

La tension retombe. Il est temps de se rhabiller et de rentrer. J’espère que les voisins n’ont rien entendu mais j’en doute. Peu importe. On prend une douche à tour de rôle. Je n’arrive toujours pas à croire ce qu’il vient de m’arriver. J’ai bien envie de leur en parler mais je suis comme bloqué. Les deux filles sont propres, c’est mon tour d’aller me laver. Je croise ma femme dans la salle de bains. Je suis derrière elle, je lui fais un petit bisou dans le cou comme j’en ai l’habitude et profite pour lui demander :

- C’était quoi ça ? Qu’est-ce qui vous a pris ?
- Va te doucher, tu pues. Me répond-elle en riant

Après la douche on mange tous les trois comme prévu. J’apprends pas mal de choses lors de ce repas. Notamment que ma femme et Marie ont déjà couché ensemble, « baisé » selon leurs termes, à plusieurs reprises. J’apprends également que ma femme avait le phantasme de se faire dominer par Marie devant moi, que quand elles baisent ensemble, c’est toujours cru et brutal, qu’il y a chez aussi Marie des « jouets » qui finissent systématiquement dans le cul de l’une ou l’autre. Que Marie a déjà enculé ma femme avec un gode-ceinture. Qu’elle a déjà craché dans la bouche de ma femme, qu’elle a déjà forcé ma femme à porter des boules de geisha dans son vagin toute une après-midi de shopping. Que toutes ces pulsions sexuelles ont démarré le jour ou pour s’amuser et un peu par défi, elles avaient décidé d’aller faire du shopping cul nu sous leurs courtes jupes et que lors d’un essayage, elles avaient partagé la même cabine. La promiscuité, la nudité, l’excitation ont fait qu’elles s’étaient embrassées et caressées avant que Marie retourne ma femme, la plaque contre la fine cloison de la cabine et lui enfonce sans ménagement deux doigts dans le vagin. C’est là que ma femme s’est soumise pour la première fois à Marie. Ma femme m’avoue qu’elle avait joui quasi instantanément. Elles étaient alors retournées rapidement à l’appartement de Marie ou elles avaient baisé tout le reste de l’après-midi. J’apprends que notre partie de baise était une idée de ma femme qui voulait nous faire un « cadeau » à Marie et moi. Mais j’apprends aussi que ma femme a découvert qu’elle était profondément bisexuelle et qu’elle compte bien continuer à baiser avec Marie.

Plutôt que me refroidir, l’aveu de ma femme et le récit de la relation qu’elle entretient avec Marie me fait bander à nouveau. Malgré cela je n’en crois pas mes oreilles quand Marie me dit en hochant la tête vers ma femme :

- Tu veux que je l’encule pour toi avec mon gode-ceinture ?
- Tu l’as apporté !

Je me tourne vers ma femme et lui demande si elle est d’accord. Elle me répond que oui, qu’elle me doit bien ça. Marie lui coupe la parole, lui ordonne de se « foutre à poil » et d’aller l’attendre à quatre pattes sur la table basse du séjour. Décidément, j’aurai tout vu ce soir. Ma femme d’ordinaire si fière s’exécute sans dire un mot, baissant les yeux quand elle passe devant nous. Marie lui barre le passage, attrape ses tétons les pinces et les tournes entre ses pouces et ses index. Elle ne lâche sa prise que pour empoigner la mâchoire de ma femme et forcer un baiser.

Pendant que Marie se prépare, ma femme se met en place sur la table basse. Elle prend le soin de placer un coussin sous ses genoux et un autre entre ses mains, comme si elle savait que ça allait durer et qu’elle finirait la tête plus basse que son cul. Marie est prête, à nouveau nue elle aussi. Son corps de femme toute fluette complété d’un appendice de silicone qui paraît énorme en comparaison. Les sangles lui passant sous ses petites fesses rondes et enserrant sa fine taille la rendent encore plus attirante et je ne peux résister à la tentation de la caresser. Elle me regarde avec un air amusé et dit :

- Déshabille toi et colle toi derrière-moi si tu veux, tu m’aideras à imprimer le mouvement.

Marie prend alors un bâillon composé d’une boule et de deux sangles et le met à ma femme afin de « l’empêcher de crier quand je lui déchirerai le cul ». Cette fille est pleine de ressources. Je comprends que ma femme en soit accro.

- A nous deux ma belle, cambre toi.

Ma femme se cambre, offre son cul à Marie qui commence par lui lécher l’anus et ensuite l’enduit abondamment de gel. Elle lui enfonce un, deux et très vite trois doigts. Ça fait longtemps que je n’ai plus sodomisé ma femme. Elle n’est pas très fan de la pratique et ne me laisse investir son petit trou qu’assez rarement et seulement quand elle est très excitée. Mais quand je vois avec quelle facilité Marie arrive à la dilater je me dis qu’elles ont dû jouer à ça régulièrement. Cette pensée m’irrite un peu je l’avoue.

Ma femme à quatre pattes, en appuis sur ses coudes est cambrée au maximum, Marie lui saisit les hanches et tire son bassin vers l’arrière si bien que ses fesses se situent juste au-dessus du bord de la table basse. Marie guide le cul de ma femme pour qu’il soit à la hauteur de son bassin et de ce gode qui est nettement plus grand que ma bite. En silicone de couleur brun foncé, il est très réaliste allant jusqu’à avoir des veines qui le strient. Un gros gland épais vient terminer une colonne d’un diamètre imposant. Cette queue de plastic doit faire environ vingt à vingt-deux centimètres. J’ai peine à croire qu’il va entrer dans l’anus de ma femme. Ma femme qui se met à trembler un peu et qui respire rapidement, émettant des petits sifflements à travers son bâillon. Elle connaît la bête, elle sait ce qui l’attend.

Marie place le gland à l’entrée de l’orifice de ma femme et avance son bassin. Le jouet se plie un peu et fini par entrer lentement. L’anus s’élargit et rosit. J’entends ma femme qui émet un son plaintif de douleur. Marie continue d’imprimer une pression et s’applique à introduire tout le gland dans le cul de ma femme. Maintenant que le gland est passé, Marie me demande de mettre plus de gel sur l’anus de ma femme et sur le gode et d’ensuite venir me placer derrière elle. Je me colle à Marie. Ma bite placée à la verticale entre mon ventre et le haut de ses fesses. Mes couilles viennent caresser la raie de son cul et se frotter à la sangle de son harnais. Cette sensation est très agréable bien que légèrement douloureuse. Tout en lui caressant les seins, j’observe par-dessus son épaule le supplice qu’elle impose à ma femme. Mon bassin suit le sien et ensemble on enfonce toujours plus loin le gode tout au fond de ma femme qui crie de plus en plus fort à mesure qu’on la pilonne. Je lâche les seins de Marie pour claquer les fesses de ma femme. Se fesses rougissent, la trace de mes doigts sont marqués sur sa peau. Cette vision décuple mon excitation. Une pensée terrible me traverse l’esprit : j’ai envie qu’elle ait mal, j’ai envie de lui faire mal.

Je me place sur le côté, agrippe les hanches de ma femme et les pousses en arrière en direction du bassin de Marie comme pour m’assurer que la pénétration soit totale. C’est clair pour moi maintenant. Je veux qu’elle paie son infidélité au prix fort. J’attrape ses cheveux et lui tire la tête en arrière. « J’en ai pas fini avec toi salope ! »

Marie se retire enfin et va se placer dans le canapé. Elle appelle ma femme du regard qui comprend qu’elle doit venir s’asseoir sur elle et sur le gode. Marie guide l’objet dans le sexe de ma femme et m’invite à venir occuper la place restée libre entre ses fesses. Son petit trou complétement dilaté n’offre aucune résistance à la pénétration et j’encule enfin ma femme comme j’ai toujours rêvé de le faire. En entrant toute ma queue jusqu’à ce que mon pubis vienne buter contre ses fesses. J’ai retiré le bâillon de ma femme pour mieux l’entendre gémir mais c’est pour mieux embrasser Marie. Je suppose que le harnais doit frotter sur le clitoris de Marie car elle aussi commence à gémir légèrement. Je me retire quelques instants du petit trou de ma femme et alors que je m’apprête à la pénétrer à nouveau, l’envie me prend de ne plus investir son cul mais sa chatte alors qu’elle est déjà occupée par Marie et son imposant partenaire. Je découvre alors que ma femme mouille abondamment et que son vagin aussi est dilaté au maximum. Mon regard croise celui de Marie qui comprend ce qui se passe et par une pression de ses mains sur les cuisses de ma femme l’empêche de se retirer. Encore une sensation étrange et inconnu jusqu’ici. On se frotte et on coulisse en cadence dans le vagin de ma femme alors même qu’elle nous dit qu’on la déchire mais nous implore de ne surtout pas arrêter. Au bout de quelques minutes ma femme jouit une nouvelle fois (ça sera la troisième aujourd’hui) et je me retire prêt à éjaculer. Marie repousse ma femme et enlève rapidement son harnais. Elle se couche sur le dos et ouvre grand ses jambes. Je me place à genoux face à Marie et la pénètre pour quelques aller-retours dans son sexe mouillé. Ces vas et viens me font jouir beaucoup trop vite et j’éjacule sur sa vulve encore grande ouverte.
Marie donne une dernière directive à ma femme :

- Viens tout lécher à m’en faire jouir.

Ma femme s’exécute, elle vient se placer à genoux entre les jambes de Marie et nettoie avec sa langue tout mon sperme sur le sexe de sa maîtresse. J’ai une vue plongeante sur l’entrejambe complétement rougis de ma femme qui s’affaire de la bouche et des doigts pour donner du plaisir à celle qui a pris le contrôle de sa libido. Je suis subjugué par cette vision mais ma rêverie est perturbée par les cris de jouissance de Marie qui s’arcboute et s’écroule dans le canapé.
C’en est fini pour ce soir, aucun de nous trois n’a plus la moindre énergie. Une deuxième douche et Marie rentre chez elle. Ma femme et moi nous allons nous coucher. On va devoir mettre les choses au point avec ma femme. Mais pas maintenant…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Cpleestrie
Wow un show à mon goût et un fantasme que j’aimerais même si les deux sommes bisexuelles à 100% jamais essayer enculer aucune des femmes qui participe avec nous
Posté le 27/12/2022

Thierry25
J aimerais que ma femme déjà bien eduquer et salope fasse lz connaissance d une femme qui la dresse bien
Posté le 21/04/2021


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Ma femme s'offre â un autre pour me combler
La femme moderne, la femme cochonne.
La Femme de ma vie
Ma femme nymphomane. 1
Ma femme et les routiers