Premier rendez vous à la maison. Première baise bestiale dans l'intimité, là où on peut se lâcher. Et surtout commencer à installer le rapport de force. Et les rapports de plaisirs....
Proposée le 4/08/2025 par GuiNancy
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Épisode 2 (à travers mes yeux)
Avant d'attaquer ce récit, je vais donner une précision. Certaines histoires seront véridiques. Il s'agira de récit dans lesquels je ne suis pas. D'histoires qui sont réellement arrivée à Giulia. Et qu'elle m'a raconté. Et vous pourrez vous apercevoir, comme moi, qu'elle n'a rien d'une jeune fille sage. Ahahah
Un * sera mentionné après le numéro de l'épisode pour que vous puissiez vous y retrouver. Et n'hésitez pas à commenter. Elle adorera ça je pense. Et moi aussi.
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Le second rendez vous est crucial. C'est celui là le plus dur à avoir. Le premier est compliqué mais souvent, c'est le bas ventre qui motive et qui fait taire le cerveau.
Lors du second, le cerveau entre en marche. Le plaisir et l'excitation sont passés. Ou tout du moins, ils sont moins fort. Ça se joue entre « mais qu'est ce que je fais ?!? » et « Il n'y a rien de mal à prendre du plaisir ».
Et aussi bon que vous ayez été au premier rendez vous, quel que soit le niveau de plaisir atteint, la première réponse peut prendre le dessus. Le coup de flip classique. Que toute personne ayant déjà fait ce genre de rencontre a déjà connu au moins une fois.
Le « mais qu'est ce que je fais ?!? » est beaucoup plus présent chez les filles de bonne famille, bien éduquée, sage en apparence. Elles se demandent comment la jeune fille sage, bien éduquée, polie, aimant ses parents peut aimer être traitée comme une chienne, aimer se faire défoncer sans respect et y prendre tellement de plaisir. Au moment où le plaisir redescend, c'est le pire.
Et c'est encore plus dur à accepter quand elles ont un peu de convictions féministes. Car personne ne leur a enseigné que le sexe est différent de la vie. Ce n'est pas parce que tu aimes être dominée au lit que tu n'as pas le droit d'avoir les mêmes droits que les hommes dans la vie. Ce n'est pas parce qu'un homme aime s'habiller en femme qu'il n'a pas le droit au respect dans sa vie de tous les jours. Personne ne dit jamais ça. La société est ainsi. Mais c'est pourtant le cas.
D'ailleurs, aussi Dominant et humiliant que je puisse l'être sexuellement, j'ai toujours respecté les femmes (et notamment mes partenaires) dans la vie de tous les jours. Je dirai même que j'ai toujours mis mes partenaires au dessus du lot hors sexe. La soumission est un cadeau que fait la soumise. Et ce cadeau doit être respecté et on doit en prendre soin.
Mais fin de la digression. J'étais là chez moi à attendre Giulia. Avec un peu plus de nervosité que je ne l'aurai cru. Un beau spectacle ! Moi nerveux à attendre une gamine de 18ans ! L'idée me fit rire ! Mais j'étais nerveux parce que je savais que ce moment était crucial comme je l'ai expliqué.
C'était la première fois chez moi. Car après le premier rendez vous, on a continué à se balader. Elle souriait, heureuse de sentir mon sperme couler le long de ses cuisses. Ça a duré un petit moment. Ça s'est fini après une fellation. A son initiative. Elle voulait me sucer. Je pense surtout qu'elle voulait me montrer qu'elle était une bonne suceuse et pas une gamine sans expérience.
Et c'était le cas. C'est une très bonne suceuse. Passionnée et expérimentée en la matière. J'ai rempli sa bouche de sperme et là encore, elle a fait le nécessaire pour me prouver qu'elle était une grande. En avalant tout sans sourciller.
J'attendais donc à ma fenêtre, de voir si elle allait venir. L'heure approchait quand je l'ai vu tourner le coin de la rue. Dans un petit ensemble jupe longue haut court de couleur rouge. La tenue en elle même était jolie mais pas provocatrice, hormis la couleur. On voyait à peine son ventre. Mais sa manière de la porter alluma directement le feu dans mon bas ventre.
Elle savait que cette tenue provoquerait une réaction. Je la soupçonnais même de l'avoir mise juste pour ça. J'avais tout de suite vu qu'elle n'était pas une soumise. Et qu'elle ne le serait jamais. Elle voulait arriver femme et être domptée, dominée. Elle ne se donnerait pas. Elle m'obligerait à la conquérir de haute lutte voir de force à chaque rencontre. Ainsi soit il. Ce n'était pas pour me déplaire.
Je lui ai ouvert la porte de l'immeuble et elle est montée rapidement. Je voyais son sourire à travers le judas. Elle ne s'était contentée de s'habiller en rouge. Elle s'en servait comme une muleta et elle l'agitait devant le taureau que je suis.
Je lui ai ouvert et elle est entrée sur d'elle, souriante, provocante.
« Bonjour »
Elle passait devant moi pour se rendre au salon quand j'ai décidé que non, elle ne ferait pas ce qu'elle voulait. Et que sa provocation allait obtenir une réaction.
Je l'ai attrapé brusquement par sa longue crinière (que j'adore) pour la tirer (sans violence) vers moi. En une seconde elle se trouvait contre moi, son dos contre mon torse. Sa croupe ferme contre mon bas ventre qui se tendait de plus en plus.
« Où vas tu jeune fille ? » A mon tour d'agiter la muleta par cette « jeune fille ».
« Je vais où je veux.... »
Mais avant qu'elle n'ait le temps de bouger, ma main libre vint se poser sur sa gorge. Sans l'étrangler évidemment. Juste posée et ferme. Ce qui la figea. Et mon autre main glissa de ses cheveux à son entrejambe. En passant langoureusement sur ses seins et son ventre. Mes doigts glissèrent directement sous l'élastique de sa jupe. Puis sous celui de son string.
Le premier contact de mes doigts sur son clitoris lui arracha véritablement un soupir de soulagement, presque un feulement de plaisir. J'avais raison. Elle ne provoquait que pour être physiquement Dominée.
Je jouais habilement sur son clitoris et elle ne faisait rien pour tenter de s'échapper. Ma main sur son cou exprimait mon emprise, celle entre ses cuisses exprimait sa docilité. Elle gémissait sans aucune retenue, sa tête abandonnée contre mon torse.
Ses jambes se tortillaient pour se frotter plus avidement sur mes doigts. Je sentais son ventre se contracter et les spasmes du plaisir s’accélérer. Elle ne gémissait plus à ce stade, elle suppliait. Elle voulait jouir. Je le sentais. Mais hors de question qu'elle jouisse comme ça. Enfin pas cette fois. Elle avait besoin d'une petite leçon. Et je voulais la baiser violemment. Elle me semblait à point pour ça.
Juste à côté de nous se trouvait la table. De manière bestiale, je l'ai poussé vers la table. Et je lui ai couché le torse sur le plateau tandis que je retroussais sa jupe. J'ai alors eu ma première vue sur son joli petit cul bien ferme. La pénombre de la première fois ne m'avait pas permis de profiter de cette vue. Et avec un aussi joli petit cul, c'était dommage.
Mais pas de temps à perdre. Ma queue déjà raide était sortie. Et en quelques instants, elle plongeait dans son ventre humide et serrée. Mon dieu, quel plaisir que cette petite chatte serrée ! Vraiment, à vous faire gicler en 5 minutes tellement c'était bon.
J'ai réussir à me retenir. Et immédiatement, je l'ai baisé comme une vraie salope, la défonçant sans aucune retenue dés le début. Et bien plus fort que contre l'arbre car les circonstances le permettaient.
Et elle aimait ça, criant « baise moi ! », « Je suis une pute vas y lâche toi ! » et autre « putain, j'adore ta bite ! ». Vous avez du comprendre que j'adore ça. Ça n'a fait qu'amplifier ma bestialité. Je l'ai de nouveau attrapé par sa longue tignasse pour bien lui tirer la tête en arrière et la cambrer.
Elle ahanait, cherchant de l'air entre deux cris et trois coups de reins. Elle était vraiment ce que j'adorais. Je voyais la fille de bonne famille quitter son corps et la petite salope faire surface et prendre le contrôle.
Je sentais qu'elle allait jouir. Et j'étais décidé à lui offrir ce plaisir. Alors j'ai continué. Et j'ai rapidement senti son ventre se contracter sur mon membre. Puis j'ai entendu ses cris, non ses hurlements de plaisirs. Décidément, elle n'était pas discrète. Et j'adorais ça aussi. Je l'ai vraiment laisser jouir et en profiter un max.
Mais mon plaisir à moi prenait le dessus maintenant. Je l'ai alors retournée sur le dos comme une poupée, avant de m'enfiler de nouveau dans son ventre qui était offert tel une victime consentante. Je la regardais dans les yeux, une main de nouveau autour de son cou. Et elle riva son regard dans le mien. Un regard de défi, un regard de « tu peux faire encore mieux tu penses ? ».
Mon plaisir est monté rapidement dans mes reins et dans un cri « Saaaaloooooppeeee », j'ai joui, remplissant son intimité de mon jus chaud et abondant. Ce qui provoqua un second orgasme chez elle, plus petit, plus discret. Mais le fait qu'elle jouisse en me sentant gicler dans son ventre amplifia mon plaisir.
J'en ai profité jusqu'au dernier coups de reins, violents, puissants, désordonnés. Puis je suis sorti de son ventre. On essayait tous les deux de reprendre notre souffle après une baise aussi bestiale. Mais avant qu'on ai pu dire un mot, elle est descendue de la table. Pour me reprendre en bouche et me nettoyer comme elle l'avait fait. Un vrai plaisir que cette langue agile et cette bouche chaude sur ma queue encore toute excitée.
Décidément, elle est bien élevée cette petite..... et bien salope.....
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