Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Giulia - épisode 6

Un récit imaginaire. Bestial. Ou l'héroïne joue parfaitement avec mon imaginaire pour parvenir à ses fins: être baisée sans aucune retenue. Qui domine l'autre en fait?

Proposée le 18/11/2025 par GuiNancy

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Une histoire imaginaire racontée à travers mes yeux.

//////

C'était un samedi après midi. Un de ces samedi de début septembre. Il fait encore beau mais c'est plus frais. Et la lumière n'est plus celle de l'été. Il y avait une belle lumière qui éclairait les arbres visibles depuis ma fenêtre quand mon téléphone a bipé.

J'ai gentiment posé mon thé pour attraper l'appareil. Et à ma grande surprise, j'ai trouvé un message de Giulia. Pour tout expliquer, nos rencontres étaient souvent précédées de plusieurs messages bien chaud échangés pendant plusieurs jours. Puis espacés d'autant de jours sans échange.

Un fonctionnement qui me convenait très bien. Et à elle aussi. Surtout que j'ai déjà expliqué qu'on était libre de s'amuser. La relation était vraiment libre.

Alors quand j'ai lu « ça te tente de venir me baiser ? », j'ai été très surpris. Mais excité aussi. J'ai décidé de jouer le jeu.
« Un peu de poésie bordel ! »
« De la poésie ? Mon bas ventre est en feu, j'ai juste hâte que tu me montres que je suis une chienne. C'est assez poétique ? »
« C'est imagé dirons nous. Et qu'est ce qui me vaut cet enthousiasme ? »
« Sincèrement ? »
« Oui bien sur »
« J'ai passé la nuit avec un mec naze qui a été incapable de passer la seconde et de me traiter comme je le mérite vraiment. Résultat, je suis frustrée et j'essaye de me soulager en vain depuis ce matin. Et je sais que toi tu me soulageras. Donc je redemande : ça te tente de venir me baiser ? »
Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire en lisant ça. Elle est cash et j'adore ça. Donc ma réponse fut évidente.
« Bien sur. Chez toi ? »
« Oui, viens me souiller dans mon petit studio d'étudiante de bonne famille. » Là, elle jouait et elle tapait exactement là où il fallait pour m'exciter.
« Donne moi ton adresse et donne moi le temps d'arriver »
Et j'ai eu son adresse dans le message suivant.

Le temps d'une douche et de m'habiller correctement et je prenais ma voiture. Direction sa petite chatte serrée. Avec beaucoup de chance, j'ai trouvé une place de parking au pied de son immeuble.

Son nom était sur l'interphone. Deux secondes après avoir sonné, la porte s'est déverrouillée. Son appartement était au premier. J'ai donc mis très peu de temps avant de me retrouver devant sa porte.

Porte que j'ai découverte entrouverte. Ce qui a fini de faire monter mon érection. Je suis entrée et j'ai fermé la porte derrière moi. C'est un studio donc la trouver fut facile. Elle était debout dans son salon/chambre. Le canapé était déplié, le lit était prêt.

Et elle portait une robe d'une blancheur immaculée. Très peu décolleté, s'arrêtant aux genoux. Rien de sexy en elle même. La robe d'une première communiante. Le truc à contrarier une érection justement. Sauf quand celle qui la porte dit ça :
« J'ai acheté cette robe en pensant à toi. Baise moi là dedans. Et ce n'est pas grave si elle fini déchirée. Au contraire »

Deux pas et j'étais sur elle. Attrapant la robe à deux mains au niveau du petit décolleté. Et l'arrachant bestialement ainsi de haut en bas. Découvrant qu'elle n'avait rien en dessous. Son cri fut une protestation, un gémissement de plaisir et une supplication d'en avoir plus à la fois.

Je l'ai plaqué dos au comptoir lui servant de cuisine américaine. Je l'ai ensuite attrapé par les hanches pour la soulever comme une poupée et l’asseoir sur le comptoir en question. J'étais entre ses cuisses évidemment.

Je m'empressais de déboutonner mon pantalon et de sortir ma bite quand elle a fait monter les enchères. Elle a placé ses deux mains entre ses cuisses, cachant sa petite chatte avant de dire d'une voix pleine d'innocence :
« Non mais monsieur, vous faites quoi ? Ce n'est pas bien. »

Autant être honnête, mon niveau de bestialité est passé de 100% à 1000% après ça.
« Tu vas voir ce que je fais »

Ma bite était sortie, raide à exploser. J'ai écarté ses mains. Elle n'a rien fait pour m'en empêcher. Sa chatte luisante d'envie ne demandait qu'à être prise. Elle a pris appui en arrière sur le comptoir, bombant ainsi le torse et faisant ressortir ces deux superbes seins. Et elle a ouvert les cuisses encore plus fort.

« Vous allez vraiment me baiser monsieur ? On ne m'a jamais vraiment baisé, je ne sais pas ce que ça fait.... » Putain, cette fille est folle. Mais elle sait parfaitement comment m'exciter.

D'un bon coup de rein, je l'ai littéralement embrochée. Au fond d'un seul coup. Elle était tellement mouillée d'excitation que j'ai presque était aspirée au fond de son ventre. Là son cri fut animal. Un cri qui dit « oui putain, baise moi ! »

Mes mains ont continué à tenir ses hanches. Ma bouche s'est jeté sur ses seins pour sentir ses tétons déjà tout raide. Je l'ai limé ainsi, sans rien retenir. Comme une chienne, sur son comptoir. Elle gémissait tout en agrippant tout ce qu'elle trouvait pour s'empêcher de tomber en arrière tellement je tapais fort entre ses cuisses.

Elle a fini par placer ses bras autour de mes épaules pour se retenir et se coller contre moi. Sa tête au creux de mon épaule. Et comme si ça ne suffisait pas, elle a continué son petit jeu.

« Putain oui, fais de moi une pute. Si mes parents savaient à quel point j'aime quand tu me traites comme ça.... vas y, baise la petite innocente que je suis et finit de me souiller. Baise la gamine de 18ans que je suis vieux pervers... »

Je me suis alors reculé tout en restant enfoncé dans son ventre. J'ai mis mes deux mains sous ses fesses et elle a compris. Elle a noué ses jambes sur mes hanches. Et j'ai fini de reculer pour la soulever du comptoir. Elle était littéralement empalée sur ma bite. Je lui ai mis deux gros coups de reins ainsi.

Mais soyons honnête, c'est très physique. Alors je me suis déplacé rapidement sur son canapé lit qui fort heureusement était à deux pas. Je l'ai allongé et je me suis agenouillée entre ses cuisses. En reprenant mon pilonnage en règle. Et elle a continué ses gémissements de salope en chaleur de son côté.

Putain, je la baisais aussi fort que possible et elle criait de plaisir comme jamais. Je ne sais pas si son appartement est bien insonorisé mais quoi qu'il arrive, ses voisins ont du profiter du spectacle sonore.

Elle s'est mise d'elle même sur le côté ce qui a changé l'angle de pénétration. Et qui m'a permis d'attraper sa longue crinière rousse pour lui tirer la tête en arrière et la cambrer au max. Ses deux seins ressortaient magnifiquement ainsi.

Et naturellement, en appuyant sur son dos, elle a finit à plat ventre. Mon dieu, je m'en donnais à cœur joie. Je ne sais même pas comment je n'ai pas fini par prendre son cul. Je pense qu'elle était dans un tel état qu'elle m'aurait laissé lui dépuceler le cul ainsi.

Mais j'étais trop occupé à défoncer sa petite chatte. Et ses cris et gémissements de plus en plus fort m'excitaient au maximum. L'entendre crier « vas y défonce moi » ou encore « je veux devenir ta pute personnelle » me chauffait à mort.

Elle a joui. Une fois au moins. C'était tellement évident. Elle a faillit arracher ses draps en les agrippant et elle a du mordre son coussin pour ne pas alerter tout l'immeuble. J'ai adoré. Je pense qu'elle a eu un second orgasme. Plus discret mais assez visible.

Je savais que je n'allais pas tarder à cracher mon foutre en elle quand elle a tourné la tête pour me regarder et me dire : « ce gamin de 20ans n'a pas été foutu de me faire jouir lui... toi tu peux me baiser quand tu veux... je suis ta pute, y a open bar... ».

Je ne sais pas si elle allait rajouter quelque chose. Mais j'ai joui comme rarement à ce moment là, j'ai giclé, remplissant son petit ventre serré d'un gros flot de sperme chaud. Elle a crié de plaisir autant que moi. J'ai fini en lui envoyant les plus gros coups de reins, me vidant jusqu'à la dernière goutte.

Je suis sorti de son ventre pour m'allonger à côté d'elle, reprenant mon souffle. Et j'ai faillit défaillir quand j'ai senti sa bouche entourer ma queue et sa langue venir nettoyer mon sexe dans les moindres recoins. Elle est venue chercher chaque micro goutte de sperme. Avant de s'écrouler à mes côtés.

« Putain, j'en avais vraiment envie.... finalement les petits jeunes ça ne sait pas baiser on dirait... »
« Ça ne sait pas baiser les vraies salopes... »
« Je suis une vraie salope donc ? »
« Oh oui. Mais rassure toi j'adore ça »
« Donc je peux compter sur toi pour assouvir mes besoins d'être traitée comme une pute ? »
« Tant que je peux compter sur toi pour être une vraie chienne et me vider les couilles quand j'en ai envie, on a un accord »
« J'étais une petite salope avant de te connaître je le reconnais. Mais toi tu m'as fait passer au statut de grosse salope et de sac à foutre... »
« C'est une plainte ? »
« Non... au contraire... »

Le second round une demi heure plus tard fut moins intense (dur de faire aussi bien honnêtement) mais très bon lui aussi. Avant que la demoiselle ne doivent reprendre ses chères études...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Giulia - Episode 1
Giulia - Episode 2
Giulia - Episode 3*
Giulia - Episode 5
Giulia 5 bis *