Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Transports automobiles...et charnels partie 1

Françoise, sa voisine, est aussi sa maitresse depuis des années...Une ravissante blonde qui aime le sexe...Elle lui demande d'amener sa fille à la Fac...Son clone, mais en plus jeune...

Proposée le 13/05/2025 par jerome james b

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


TRANSPORTS AUTOMOBILES...ET CHARNELS
1 LA MERE

On était ensemble Françoise et moi, elle me suçait la queue avec cette avidité qui ne la quittait jamais quand il s'agissait de sexe. Elle avait ma verge dans la bouche, avalée aux trois-quarts, et elle ne la lâchait pas, allant et venant dessus, la trempant de salive. Il y avait des gens qui disaient que c'était plus agréable pour un homme d'être dans la bouche d'une femme que dans sa chatte, plus doux, plus suave, et je n'aurais pas été loin d'être d'accord.
J'allais jouir, elle avait la main entre les cuisses, elle se masturbait fébrilement, le sexe trempé, quand elle a cassé le charme, en me disant, lâchant donc ma queue pour parler:
— Il faut que je te demande quelque chose.
J'étais plutôt coutumier de ces basculements, donc je n'ai pas été surpris.
— Dis-moi.
— Tu pourrais éventuellement amener ma fille le matin à F... et la ramener le soir à l'occasion...?
Je m'attendais à tout sauf à ça.
— Ta fille? Mais tes enfants?... Ils sont majeurs, me semble-t-il, et ils se débrouillent très bien.
— Pas tant que ça.
Françoise habitait en face de chez moi depuis dix-sept ans maintenant. Les deux premières années, elle avait vécu avec un homme. Il avait ensuite disparu, sans qu'on sache ce qu'il était devenu. Enterré dans le jardin? Pas impossible, la connaissant comme je la connaissais. C'était une somptueuse blonde, toute en formes, vraiment attirante, et je m'étais demandé ce qui avait pu se passer entre eux pour qu'il disparaisse. J'avais appris plus tard qu'il l'avait faite cocue, ce que j'avais trouvé ironique, dans la mesure où elle avait tout ce dont on pouvait rêver, et au-delà, plus sans doute que bien des femmes avec qui il avait du coucher. Même quand on a la perfection, on a envie d'aller voir ailleurs, c'est la nature humaine.
On vivait dans une bonne ambiance dans le quartier. Et on avait sympathisé. J'allais lui donner un coup de main parfois pour du bricolage. Et puis c'est vrai que je n'étais vraiment pas indifférent à ses charmes. Qu'elle savait mettre en valeur. Elle était aussi féminine que sensuelle, et elle portait des tenues qui auraient fait bander un aveugle. Et qui me faisaient bander. Même si je n'envisageais même pas que quelque chose puisse se passer entre nous. Je me sentais trop fade pour elle. Elle avait quelque chose d'étincelant que je n'avais décidément pas.
Je la matais comme un forcené. Le matin, elle partait travailler avant moi, je ne manquais pas ce moment. Elle faisait coulisser la porte du garage avant de s'installer et je pouvais vraiment en profiter. Elle chargeait des affaires dans la voiture. C'était le moment de scènes troublantes. Elle travaillait comme agent immobilier, dans une agence qui regroupait trois filles, et elle soignait sa tenue. Des tailleurs avec des jupes ultra-courtes, et des vestes qu'elle portait à même la peau, avec un soutien-gorge assorti, des pantalons et des caleçons ultra-moulants, des robes fluides mais quand même très collantes, beaucoup de couleur, des petits pulls, des débardeurs dont ses seins bien charnus semblaient prêts à sortir, et une prédilection pour les bottes à talons aiguille de formes et de couleurs diverses, qui me ravissaient...
La voir se déplacer, bouger...Chacun de ses gestes, chacun de ses mouvements était sexy.
Le meilleur moment, c'était quand elle s'installait dans la voiture...Et ce moment en particulier quand elle avait déjà rentré une jambe, mais pas l'autre. Jambes en équerre, ainsi, elle offrait généralement une vision de son intimité qui me valait des images qui me hantaient...Quelques secondes suffisaient pour en prendre plein les mirettes, plein la mémoire...Vision d'un collant sans slip dessous, sexe nu contre le nylon, parfois visible, de jambes gainées par le nylon de bas stay-up alors que je pensais que c'était celui de collants, d'une absence de culotte même avec de simples bas, ou au contraire d'une très belle lingerie de couleur...
Bref, j'avais de quoi m'occuper...
Même quand j'allais la dépanner, en tenue décontractée, elle aurait fait bander un mort. Des caleçons moulants qui dessinaient son sexe avec une précision unique, sous lesquels elle n'avait sans doute pas de culotte, des hoodies entrouverts sur une poitrine pas toujours enveloppée par un soutien-gorge, mais elle n'en avait pas forcément besoin...Une ou deux fois, un sein s'était barré, un sein haut, rond et ferme...Elle n'avait aucun souci à avoir de ce côte-là...
Et puis il y avait eu un tournant...Pourquoi moi? Il y avait pas mal d'hommes dans le quartier, dont plusieurs célibataires qui présentaient bien.
Un samedi après-midi, elle m'a appelé:
— J'aurais besoin de toi. Tu as un moment?
— J'arrive.
Elle avait, derrière sa maison, un vaste jardin dans lequel elle était totalement isolée, l'espace caché pour partie par la maison, pour le reste par des haies hautes.
C'est là que je l'ai trouvée.
On était à la mi-mai, et depuis une semaine on avait des jours exceptionnels, même si on était encore théoriquement au printemps, on se serait cru en été.
Elle était allongée sur un transat. Elle avait gardé le haut d'un maillot de bain, même si elle en avait sorti ses seins, et par contre, son slip était accroché à sa cheville. Elle l'avait fait glisser pour dégager son sexe et se masturber. Yeux mi-clos, elle ne s'est pas rendue compte immédiatement de ma présence. Elle y allait de bon cœur, sa main tournant dans un mouvement circulaire très classique sur son gland clitoridien et une partie de ses lèvres. Difficile de dire quand elle avait commencé à se masturber, après m'avoir appelé, avant, je ne me rappelais pas qu'il y ait quelque chose dans sa voix qui manifestait du trouble, du plaisir, de l'excitation, mais en tout cas, son sexe était métamorphosé par l'excitation, rien à voir avec la simple fente que j'avais parfois l'occasion de voir le matin.
Il y avait un détail qui me plaisait énormément chez elle, aussi entraperçu le matin: l'existence d'une vraie toison pubienne. Si elle avait dégagé le pourtour de ses lèvres, elle avait par contre une toison pubienne taillée dans un large triangle, Elle l'avait laissée foisonnante, sans la couper dans l'épaisseur, et c'était extraordinairement excitant que de la voir ainsi, épaisse, poils enchevêtrés. J'ai eu envie de balader mes doigts et ma langue dedans, sans aller plus bas. Et pourtant, plus bas, il y avait une belle fente qui attendait, entrouverte sur une muqueuse toute rose, avec des chairs bien mouillées d'excitation. Elle avait des lèvres très longues, fines, et qui semblaient encore destinées à s'allonger, ce qui a été le cas, je n'en avais jamais vu d'aussi longues, et un gland clitoridien qui lui aussi était long, fin, et destiné également à s'allonger, ce qui a bien été le cas.
— Viens, elle avait proposé quand elle m'avait aperçu. J'ai envie que tu me baises...Ca fait trop longtemps que je ne me suis pas faite baiser...Je suis frustrée...Tu dois sans doute penser que, parce que je suis bien roulée, je me fais fourrer par plein d'hommes, mais ce n'est pas le cas. Je me refuse plus que je ne m'offre...J'ai envie de ta queue à toi...
C'était plutôt flatteur.
J'ai été jusqu'à elle...Dire que je pensais faire du bricolage.
C'était un peu comme ouvrir des vannes...Pour elle comme pour moi. Ca faisait un moment que j'avais envie d'elle, bien sûr, sans jamais oser espérer. Et elle était frustrée.
On s'était bien trouvés.
Je me suis approché d'elle. Sans trop savoir que faire, au final. Je la désirais depuis longtemps, et je la trouvais quasi parfaite. Ca m'intimidait.
Sans doute qu'elle l'a bien perçu, car elle a tendu les mains vers moi pour baisser mon pantalon de survêtement. La déformation du tissu ne pouvait avoir qu'une origine.
— Oh la la, tu as une énorme bosse...Tu t'es cogné quelque part?
Et en plus, je l'avais d'ailleurs maintes fois constaté, elle avait de l'humour. Ça n'était pas négligeable. J'avais souvent remarqué que les filles très belles n'avaient aucun humour.
Elle avait baissé le pantalon mais pas le caleçon. Elle a attrapé ma queue et elle m'a massé à travers le tissu.
— Il va falloir soulager ça.
Elle a descendu le caleçon.
—Tu as de belles érections. On n'est pas déçu avec toi. Tiens, regarde, j'ai quelque chose pour toi.
Le quelque chose en question, c'était un préservatif posé sur une table basse.
— Tu étais sûre que je viendrais?
— Pour me dépanner oui...Et une fois là...Tu n'as pas envie ?
— Ca fait des années que j'ai envie, j'ai dit, et ça venait vraiment du fond du cœur.
Elle s'est redressée, et sa langue est entrée en contact avec ma queue, qu'elle a caressée avec habileté et envie. Dans cette position, une jambe sur le matelas, l'autre au sol, elle était dans la même position qu'elle avait été si souvent dans la voiture. L'occasion de voir parfaitement son sexe mais de plus près. L'excitation, mais aussi sa position, l'ouvraient sur un intérieur rose et contre les parois duquel on voyait sa mouille ruisseler, abondante. On se pose parfois des questions. J'avais tort de m'en poser. Ca allait sans doute être très bon.
J'étais en pleine érection, mais elle est parvenue à me faire encore durcir. Énorme, tout dur, j'étais dans un moment particulier, de désir, d'accomplissement, la réalité avait encore du mal à s'imposer...Une sorte de rêve éveillé...Je n'avais jamais pensé qu'il puisse se passer quelque chose entre nous.
— Viens...Prends-moi en missionnaire, j'adore me faire baiser comme ça...C'est simple, mais ça me donne beaucoup de plaisir...
Je suis venu au dessus d'elle, et elle a guidé ma queue en elle...J'ai glissé dans le fourreau étroit et chaud de sa vulve...Du plaisir à l'état pur. Un plaisir ultra-simple dans une position basique. Que c'était bon d'être enveloppé par le sexe d'une femme, caressé par sa chaleur et sa douceur extrêmes...J'ai bougé en elle, en essayant de lui rendre le plaisir qu'elle me donnait. Elle a gémi.
— Ca me manquait trop...Ne pas avoir une queue dans le ventre, une queue qui te caresse bien, c'est trop dur...
— Belle comme tu es....
— Je n'aime pas les blaireaux...
On a enchaîné les positions. Pour chacune d'entre elles, c'était un plaisir différent, parce que les muqueuses se caressaient différemment. Quelque chose d'intense, de fort, et ce d'autant plus quand on a une belle partenaire, qui aime le sexe, Elle m'a poussé en arrière, pour venir s'asseoir sur moi. Nos sexes étaient restés accrochés l'un à l'autre...Elle s'est faite monter et descendre sur moi. Je voyais ma queue apparaître et disparaître, sa vulve s'ouvrir plus à chaque aller et retour, ses lèvres collées à ma queue, et ses liquides intimes dégouliner le long de ma verge. Elle nageait dans le bonheur, ça se voyait à son expression, le bonheur de partager enfin un moment de sexe avec un homme. J'étais heureux que ça soit tombé sur moi. La vie vous réserve parfois de bonnes surprises.
Elle m'a entraîné sur une levrette...Moi derrière elle, allant et venant en elle, fixant sa croupe bien charnue et les plissements de son anus, bien visibles dans cette position.
— Tu as envie d'aller plus loin?, elle m'a demandé.
— Ca dépend ce qu'aller plus loin veut dire pour toi.
— Je pensais à ça.
Et là, pouf, en quelques secondes, elle m'a expulsé de sa vulve, qui m'est apparue béante une fois ma queue éjectée, et elle m'a remonté un peu plus haut, au niveau de son anus. En appuyant mon gland contre ses plissements anaux. J'ai été surpris, et encore plus quand elle a donné un coup de cul vers l'arrière, de telle sorte qu'elle avale mon gland et un peu plus. Surpris aussi de rentrer en elle aussi facilement. Visiblement, elle aimait se faire sodomiser, et ce n'était pas la première fois, même si les rapports s'étaient faits plus rares ces derniers temps.
Elle m'avait mis sur le bon chemin. Si je voulais rentrer dans son jeu, dans ce jeu, il me suffisait de pousser pour être en elle. Et j'en avais évidemment envie.
J'ai glissé entre les chairs plus étroites. Ca faisait très longtemps que je n'avais pas pris une fille par le cul, toutes n'aimaient pas ça, et c'était hyper excitant. Elle a poussé un long gémissement, et ce n'était pas un gémissement de douleur.
— J'adore me faire baiser comme ça. Si on me donnait le choix, c'est bien cette solution qui aurait ma faveur.
C'était sans doute le dernier acte. Momentané ou définitif? Je la fouillais, prenant du plaisir dans cette gaine étroite, mais lui en donnant aussi, sans aucun doute. Elle complétait ce qu'elle pouvait ressentir par le cul en frottant frénétiquement sa vulve, qui libérait des ruissellements qui trempaient sa main, ses cuisses, et le tissu du matelas, orné d'une tâche d'humidité ovale, qui allait en s'élargissant. J'avais pensé que je jouirais le premier, mais ça a été elle qui a été secouée par des spasmes, se retenant de crier parce qu'elle était en plein air, mais ses éjaculations, de liquides crémeux, disaient son plaisir. Voir ainsi la jeune femme jouir a précipité ma jouissance...Mais mes crachements se sont eux répartis dans le latex, alors que les jets de sperme qui cognaient contre ses parois intimes prolongeaient son plaisir en de nouveaux orgasmes.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Transports automobiles...et charnels partie 2
Des aveux... plus que charnels
La Créchière (Partie 2)
Partie 2- Renaissance
Il m'a déboussolé partie 1