Marie est une superbe blonde, qui aime le sexe...Il en est témoin depuis longtemps...Il la transporte sans trop rien attendre...Il sera surpris et comblé au-delà de ses espérances...Que ce soit avec elle ou avec sa bonne copine Anne...
Proposée le 13/05/2025 par jerome james b
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
TRANSPORTS AUTOMOBILES...ET CHARNELS
PARTIE 2
LA FILLE
Dix-sept ans qu'on était amants. Je m'étais émerveillé que notre relation puisse ainsi durer. Mais on s'entendait bien, et puis on avait une relation sans aspérités. Dans laquelle il y avait certes beaucoup de sexe, mais aussi de la bonne humeur.
Françoise avait deux enfants que j'avais vu petits, et ensuite grandir. On se connaissait, et même bien, puisqu'ils me voyaient souvent. Je n'étais pas et je n'avais jamais envisagé être un père de substitution, mais j'étais présent, l'ami de la famille. Même s'ils étaient bien conscients que je baisais leur mère. Ils n'avaient pas pu ne rien voir.
— Qu'est-ce qui se passe?
— Elle prend le bus tous les matins. Pour Pierre, c'est différent, un pote à lui vient le chercher. Et dans le bus elle a droit à tout. Mains au cul, gars qui se frottent contre elle. L'autre jour, elle a senti quelque chose de chaud contre sa jambe. Elle s'est rendue compte en descendant du bus que son collant était couvert de sperme. Un type s'était branlé contre elle.
— Elle ne peut pas partir avec Pierre et son copain?
— Elle est en 3eme année, lui en 2eme, et ils ont des horaires différents. Elle n 'a pas forcément envie d'attendre plusieurs heures, par exemple le lundi il démarre à 8 heures, elle à 11...J'ai son emploi du temps...Si tu pouvais la dépanner quand tu es libre...Je n'ai pas les moyens de lui payer une voiture...
L'examen de l'emploi du temps attendrait. Elle venait de s'empaler sur moi, et elle bougeait avec la même ardeur qu'à l'accoutumée.
C'est après quelques orgasmes qu'on a examiné l'emploi du temps de la jeune blonde.
Les enfants de Françoise étaient aussi blonds qu'elle. Et ils lui ressemblaient énormément. A croire que les traces de l'inséminateur n'existaient pas en elle, qu'il avait été là juste pour lui permettre d'avoir des clones d'elle-même.
J'aurais pu dire ou écrire beaucoup de choses au sujet de Marie. Et remonter dans le temps, quand elle n'était encore qu'une petite merdeuse, le visage toujours maussade, sans un sourire. Il y avait eu un été où elle était partie en vacances, dans sa famille, et quand elle était revenue, elle était métamorphosée, oui, c'était bien le mot. 10 centimètres de plus, et sa féminité avait poussé dans tous les sens. Elle avait des seins, des fesses, des cuisses, des hanches...Et la mine boudeuse avait disparu, remplacée par une expression avenante...
Les hormones avaient envahi le corps de Marie, qui devait encore se métamorphoser pour le meilleur dans les années à venir. J'avais été témoin de la manière dont la sexualité s'était très vite emparée d'elle, comme un démon peut posséder une personne, pour une raison très simple: La maison que la maman et les deux enfants occupaient était pile en face de chez moi et il y avait une grande partie qui bénéficiait d'une baie vitrée qui était juste en léger décalage par rapport à mon living. La maison avait été construite avant, peu de temps avant qu'elle ne vienne s'y installer, et sans respecter les règles de l'urbanisme. Mais ni moi ni elle on ne s'était souciés de retoquer cela. De la sorte, je pouvais largement profiter de l'anatomie de Marie et de ses activités sexuelles. En effet, la pièce, qui jouxtait apparemment sa chambre, avait été aménagée en une salle de jeu...Et bien plus...
De la sorte, je la vis très rapidement se balader en petite tenue, voire quasiment nue...Elle avait découvert qu'elle avait un corps de femme, en était fière, et exhibait ce corps impeccable, dont le dessin, au fil du temps, devait se rapprocher de plus en plus de celui de sa mère. Slip et soutien-gorge, simple culotte, soutien-gorge sans slip, maillot de bain, T-shirt qui s'arrêtait au nombril...Je connaissais ses formes par cœur.
Son moment privilégié, ça avait longtemps été le mercredi après-midi. Elle était apparemment totalement seule dans la maison...Et elle découvrait sa sexualité. Dans les premiers temps, je l'avais vue passer un temps infini à se masturber. Elle se calait sur le divan, elle descendait un jean, un slip, remontait une robe, une jupe, mais aussi un T-shirt, et elle se caressait. Et puis un jour, elle était arrivée, un mercredi que j'avais pensé être comme les autres, elle avait défait un jean, descendu la simple culotte blanche qu'elle avait en dessous et elle avait entrepris de frotter son sexe, pour se donner du plaisir. Des moments que je ne loupais pas, voyeuriste sans aucun doute, mais sans réelle culpabilité.
Mais ce jour-là, les choses avaient été différentes.
Elle était installée, comme à l'accoutumée, mais une fille avait fait irruption dans la pièce. Une ravissante brune, grande et toute en formes. Comme elle. Une de ces bonnes copines dont toutes les filles avaient besoin. La brune, encore habillée avait glissé à genoux devant elle, et avait masqué en partie le ventre de la blonde. Mais il n'y avait aucun doute sur ce qu'elle faisait, au moins à la manière dont la blonde s'était tordue dans tous les sens, bouche ouverte. Et je n'avais aucun doute, même si je n'avais pas le son, qu'elle gémissait, criait, voire les deux.
Quand elle s'était redressée, Marie l'avait déshabillée. La brune avait une simple robe, grise, dans une matière souple et moulante, qui lui arrivait à mi-cuisses, et fendue. Elle s'était penchée pour que sa copine blonde attrape le tissu et le tire vers le haut. Le tissu était monté jusqu'à ses épaules, puis les avait dépassées. Dessous, elle avait un soutien-gorge, mais pas de slip. Elle avait attrapé sa copine par les fesses, et l'avait faite glisser sur le divan. Deux secondes plus tard, elles se retrouvaient tête-bêche pour fouiller les parties intimes de l'autre.
Souvent, les relations entre filles ou garçons résultaient d'une envie de sexe intense, combinée à la peur de l'autre sexe. On avait une bonne copine, un bon copain, et on glissait vers ce qui n'était au final que l'expression de pulsions qui pouvaient enfin se dévoiler dans un cadre apaisé et rassurant.
J'étais assez naïf car le mercredi suivant, je voyais apparaître, en sa compagnie, même lieu et à peu près même heure, deux gars.
Ça avait démarré très vite. Elle s'était calée à sa place favorite, mais ni pour se caresser ni pour se faire lécher. Elle avait sorti les queues des deux garçons de leurs pantalons, pour les honorer de sa bouche. Les gars avaient l'air ravis, mais elle aussi, comme un poisson dans l'eau. Dans la sexualité, dans sa sexualité, il y avait quelque chose d'intense. Elle y trouvait d'évidence un épanouissement, épanouissement qui s'était prolongé dans les minutes qui avaient suivi, lorsque les deux garçons et elle s'étaient calés sur le divan après s'être dénudés. Elle avait eu la prudence d'envelopper leurs queues de latex. Elle s'était mise à quatre pattes, l'un des gars l'avait pénétrée, pendant que l'autre lui avait présenté sa queue...
Et ça n'avait été que le début.
Bref, j'étais témoin depuis des années de la sexualité débridée de la jeune femme, qui faisait clairement écho à celle de sa mère, comme on dit, telle mère, telle fille. Et donc surpris qu'elle puisse se sentir harcelée dans les transports publics. Elle exsudait la sexualité, et il y avait quelque chose en elle qui attirait irrésistiblement les hommes...Et les femmes...Peut-être était-elle dépassée par son hypersexualité et sa capacité à séduire sans failles...
On a trouvé deux créneaux qui la soulageraient, le mardi et le vendredi.
C'est ainsi que le mardi, je changeais quelques affaires dans la voiture, j'ai d'abord entendu des talons taper sur le sol, je me suis redressé et j'ai vu arriver Marie vers moi.
Je l'ai prise de plein fouet. Je l'avais moins vue ces derniers temps, et les moments de sexe dans la pièce en face étaient de l'ordre du souvenir. Elle était resplendissante, et elle s'habillait toujours de manière aussi sexy...Pas étonnant que ça donne des idées aux garçons qu'elle croisait. Une robe en satin rouge hyper moulante, qui lui arrivait à mi-cuisses, du nylon pour envelopper ses jambes, des cuissardes en velours noir...Elle était irrésistible.
— Merci de me transporter....C'est hyper sympa...Ça me soulage un peu.
J'ai eu envie de lui dire qu'avec cette sensualité à fleur de peau, qu'elle n'aurait de toute façon pas pu dissimuler et des tenues pareilles, ce n'était pas étonnant que des garçons puissent avoir envie d'elle. Mais je n'ai rien dit. J'avais appris à me taire. Elle n'aurait sans doute pas compris. Il y avait quelque chose d'inné en elle, et puis le modèle de sa mère qu'elle avait copié sans s'en rendre compte, aussi troublante, et qui mettait aussi ses charmes en avant sans réellement réfléchir à ce qu'elle faisait...
On a démarré quelques secondes plus tard. J'en ai pris plein les mirettes quasi immédiatement. Je me suis rendu compte que, si je voyais toujours sa mère régulièrement, pour des moments de sexe intenses, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vue elle, à poil ou avec des partenaires. Je la redécouvrais, pour ainsi dire. Sans déception, bien au contraire. Comme sa mère, elle brillait d'un éclat particulier.
Un parfum fruité l'enveloppait, qui a rempli petit à petit la voiture, aussi troublant que sa silhouette.
Marie avait toujours été pleine de joie de vivre, et volubile. Elle n'avait pas changé. Elle s'est tournée de trois-quarts vers moi et a entrepris de me raconter sa vie. En me permettant de retrouver cette intimité qui m'avait échappée ces derniers temps. Dans sa position, elle m'offrait la ligne de ses jambes, jusqu'à son ventre. Le galbe impeccable de ses cuisses, prises pour partie par les cuissardes et pour le reste par le nylon de ce que je pensais être un collant, mais qui se révélaient des bas, laissant le haut de ses cuisses à nu, chair nue, aussi nue que son sexe. Elle n'avait pas de culotte sous sa robe. Sa chatte je la connaissais déjà. Mais de loin. Là, j'avais un regard de tout près. Une fente dont sortaient deux bons bouts de lèvre...Et une toison blonde qui était l'exacte réplique de celle de sa mère, triangulaire et bien fournie. J'imaginais bien la scène, en me trompant peut-être totalement, la mère et la fille ensemble, nues, dans l'intimité, et la fille se disant: 'j'ai envie d'avoir le même minou qu'elle.' Envie, admiration, les deux?
On a rejoint son lieu d'étude.
— Pff, elle a fait. Un trajet sans encombres...Tu ne sais pas ce que c'est que de prendre le bus, et de sentir tous ces regards collés à soi, ces mains qui te frôlent, sans compter ceux qui se frottent...Et parfois tu ne t'en rends même pas compte...
J'ai eu envie de lui demander si, sans vraiment se l'avouer, elle n'y prenait pas du plaisir, mais j'ai préféré me taire. Elle avait une attitude que je trouvais très ambiguë. Cela faisait longtemps qu'elle aimait le sexe, et j'avais le sentiment que ce qui lui arrivait dans le bus ne pouvait être, pour elle, que flatteur. Mais sans doute y en avait-il trop...
Je lui ai bien précisé que je serais là le soir même, sur le coup de 17 heures...J'avais assimilé son emploi du temps. Elle finissait à 16 heures 55. Je l'ai regardée s'éloigner. Le tissu c'est souvent transparent, et le soleil enveloppait impeccablement sa chair, se glissant sous le tissu, dessinant avec une précision implacable ses formes, sa chair, son dos nu, ses hanches, et ses fesses aussi pleines que rebondies qui bougeaient alors qu'elle avançait.
C'est le soir même que j'ai vu se dessiner de manière claire et précise un schéma que j'avais plus ou moins esquissé, mais qui a pris corps, et réalité.
Corps, c'est le cas de le dire.
Je me suis garé sur le coup de 17 heures sur la longue avenue, et je n'ai pas eu longtemps à attendre. Je l'ai vue arriver, toujours aussi resplendissante, accompagnée d'une belle brune qui me rappelait quelque chose.
Je m'en suis voulu de ne pas y avoir repensé immédiatement. C'était la fille qui, quelques années plus tôt, avait été sa première partenaire de jeux lesbiens. Elles avaient continué leurs études ensemble, apparemment. On sentait une profonde complicité entre elles. La brune a effleuré les fesses de Marie avant que celle-ci ne me rejoigne.
— Merci d'être passé me chercher.
— Je tiens toujours mes promesses.
On était quelques centaines de mètres plus loin, immobilisés à un feu rouge, dans le trafic de sortie du travail et des cours, quand elle m'a dit:
— Je voudrais te remercier de ce que tu fais pour moi de la meilleure façon possible.
Avant que j'aie pu faire quoi que ce soit, il est vrai que j'étais les deux mains sur le volant, et que je m'attendais à redémarrer d'une seconde à l'autre, elle a récupéré ma queue dans mon pantalon. Je bandais à moitié, mais ce n'était pas surprenant, vu qu'elle me troublait.
Le feu est passé au vert. J'ai redémarré pendant qu'elle parcourait ma queue de sa langue, me faisant durcir et me procurant du plaisir. Je restais concentré sur ma conduite, mais en même temps, je sentais le plaisir monter en moi. Elle m'a gainé de la cavité douce de sa bouche deux ou trois feux plus loin.
— Arrête-toi sur un parking dès que tu en trouves un. Je vais te prendre dans ma chatte.
Dans ce département rural, les parkings, qu'ils soient aménagés ou de simples bouts de terrain le long d'arbres, parfois survivances d'anciens chantiers ou amorces de chemins, étaient légion. J'ai bifurqué sur une route parallèle, me suis garé le long d'une haute futaie. Ma queue était en pleine érection, et son sexe, que je voyais parce qu'elle était de biais et que sa robe s'était retroussée, était tout aussi dilaté d'excitation.
Quand on a envie de sexe, on s'arrange quelles que soient les occasions. Elle s'est soulevée, me permettant de passer à la place du mort. Je me suis trouvé quelque chose d'obscène avec cette queue en pleine érection, dressée, gorgée de sang comme elle l'avait rarement été. Il fallait croire que j'avais envie d'elle, mais aussi, et j'en prenais conscience, que sans jamais me l'avouer, je devais avoir envie d'elle depuis un moment, au moins pour une raison: l'effet miroir. Ce n'était d'ailleurs pas forcément positif, ni en mon honneur. L'envie d'avoir une version de Françoise plus jeune, de savoir comment ce serait avec elle. Ce qui n'était pas forcément en mon honneur. Mais aussi peut-être simplement du désir pour une fille magnifique.
Elle a remonté sa robe à sa taille. Même si elle y était déjà presque. Son sexe était ouvert et suintait de désir. Les lèvres que j'avais aperçues le matin au repos gonflées et étirées.
Elle se baladait avec un grand sac violet dont elle a extrait une boite de capotes.
— Toujours prête, elle a commenté.
— Je n'en doute pas.
En faisant glisser le latex le long de ma queue, elle m'a dit:
— J'ai quelque chose à t'avouer...
— Je m'attends au meilleur...Ou au pire...
— Tu sais...Quand je prends le bus...J'aime me faire toucher le cul. Que des mecs frottent leur queue contre mes fesses. Qu'ils éjaculent sur mes nylons. C'était juste un prétexte...J'avais envie qu'on en arrive là...Ça fait longtemps que j'en ai envie.
Je n'étais pas surpris par cet aveu. En tout cas, il était trop tard pour faire machine arrière. Déjà, ses lèvres venaient se coller à mon gland, et elle m'avalait, m'entourant de la douceur chaude de sa vulve. Elle est descendue jusqu'à engloutir totalement ma queue, et elle a gémi en se remplissant.
— Caresse-moi les seins. Ils sont hyper-sensibles.
Elle a remonté sa robe encore plus haut, et dégrafé son soutien-gorge pour me proposer ces deux globes de chair bien charnus, aréoles roses, tétons qui l'étaient tout autant, dressés par l'excitation, la fraîcheur, ou les deux. J'ai posé ma bouche dessus pour les caresser...Ça a fait redoubler les jaillissements de liquides intimes qui sont sortis d'elle, nous arrosant.
Le trouble qui m'habitait au tout début a vite disparu. Je me sentais mal à l'aise en me disant que j'allais comparer les deux femmes, mais je suis vite sorti de ça. Elle existait en tant qu'elle-même, certes semblable à sa mère physiquement, mais sa différence s'imposait quand on la côtoyait et j'ai chassé de moi des pensées qui me mettaient mal à l'aise. Chaque individu, même semblable aux autres, est unique.
Mes mains accrochées à ses hanches, je la faisais monter et descendre sur moi. Nos sexes se caressaient. Elle ruisselait littéralement sur moi.
— C'est une bonne manière de finir une journée d'études, elle a soupiré. Tu sais ce dont j'ai envie, ce dont j'ai réellement envie?
— Tu ne vas sans doute pas tarder à me le dire, je lui ai répondu.
— De ça...
Elle s'est soulevée, faisant sortir ma queue de son sexe. J'étais énorme, et le latex était trempé de cyprine. Elle a fait glisser ma queue trois centimètres en arrière, pour l'appuyer contre sa muqueuse anale. J'ai eu envie, l'espace d'un instant, de lui dire qu'elle allait se faire mal, et puis j'ai pensé au ridicule potentiel de la situation. Des verges, elle avait du en prendre souvent dans les fesses, même si dans les premiers temps, quand je la voyais, elle se faisait toujours prendre par la chatte. Mais j'imaginais bien qu'elle avait eu envie d'aller plus loin. Pour elle, comme pour sa mère d'ailleurs, le sexe était un champ d'exploration sans limites, sauf celles qu'on pouvait se poser et s'imposer...Elles aimaient en tout cas l'une comme l'autre, le sexe anal.
Ma queue a passé la barrière de sa muqueuse sans problème, et j'ai glissé dans ce canal étroit avec un plaisir qui a été d'évidence clairement partagé. Son visage, une fois que j'ai été enfoncé en elle, quasi totalement avalé, exprimait un plaisir sans bornes.
C'est elle qui s'est faite bouger sur moi...Se tordant dans tous les sens, sur mon sexe planté en elle...Son gland clitoridien, fin et long, dardait en haut de ses lèvres, et elle le masturbait avec ardeur, tirant dessus, des torrents de mouille sortant de son sexe bien ouvert et arrosant nos chairs et la banquette. Je pourrais renifler celle-ci en pensant à nos ébats et en m'en remémorant des détails.
Elle s'est mise à jouir, criant et éjaculant. Aux écoulements translucides ont succédé des crachements blancs comme du sperme, lâchés en rafale. A bout j'ai joui moi aussi, mon sperme venant taper contre ses parois internes et la faisant jouir à nouveau.
On a repris le chemin du village. Elle avait une expression radieuse. Comme elle était tournée de trois-quarts, je voyais son sexe, encore bien entrouvert, tout humide.
— C'était vraiment très bon. J'en avais envie depuis longtemps...
Je l'ai arrêtée devant chez elle. Françoise est sortie à ce moment précis.
— Alors, ça s'est bien passée, ma chérie ?
— Mieux que tu ne l'imagines.
— J'en suis ravie. Je compte sur toi pour vendredi?
— Je partirai avec elle.
Elle m'a fait un clin d’œil, alors que sa fille s'éloignait, ses fesses dansant sous le tissu de sa robe.
— Passe dans la soirée, je te paierai tes honoraires. En nature, évidemment.
Finalement, c'était une bonne affaire.
Marie est revenue me chercher le vendredi matin. Cambrée par des bottines à talons aiguille, elle portait un pantalon en vinyle hyper moulant, qui la dessinait avec une rare précision, soulignant le dessin de sa vulve, son renflement, la fente entre les deux, et même les lèvres qui sortaient, la faisant plus nue que nue. Sous un perfecto, elle avait un pull rouge qui collait à elle et dont le décolleté était si marqué qu'on avait l'impression que ses seins allaient en jaillir. On venait à peine de démarrer qu'elle a mis ma queue à nu et qu'elle a commencé de la masturber.
— Je te réserve une belle surprise pour ce soir. Tu verras. Tu ne seras pas déçu.
— Tu as un peu de temps? Dix minutes? On pourrait profiter d'un parking qu'est-ce que tu en dis ?
Sur un autre espace, devant des mélèzes, elle a fait glisser son perfecto et son pull, dévoilant des seins parfaits. Elle est venue en gainer ma queue, gorgée de sang. Elle a commencé par me masser avec ses seins, une caresse douce et délicate, très différente de celle que pouvait donner une chatte ou un rectum, puis elle s'est immobilisée et a parcouru de sa langue le tiers restant de ma queue. C'était tellement bon...J'ai tout fait pour tenir, mais au final, je n'ai pas tenu très longtemps. Elle aurait pu refermer sa bouche sur ma queue pour boire mon sperme, mais elle a préféré laisser la semence gifler son visage en la maculer en tous sens.
— Allez, on y va, j'ai dit.
Elle s'est laissée aller en arrière dans le siège, défaisant son pantalon de vinyle. Dessous elle avait une culotte blanche, mais qui ne laissait pas de marques. Elle a commence à se masturber, pour jouir elle aussi, pendant que, de l'autre main, elle ramassait les traits de semence qui lui couvraient le visage et les cheveux.
Je l'ai laissée devant le campus, reculottée et sans traces de sperme sur le visage.
J'étais de retour le soir même. Me demandant ce qui m'attendait. Sa mère avait une imagination débordante, j'étais bien placé pour le savoir, même au bout de toutes ces années elle arrivait encore à me surprendre, et j'avais bien compris que la jeune femme était sa copie conforme. Au final, pas grand chose ne les séparait, sauf l'âge.
Elle est arrivée avec sa copine brune. Aussi désirable qu'à chaque fois que mon regard s'était posé sur elle. Elle avait une dominante en jean, une jupe courte, une veste et une chemise entrouverte sur une poitrine lourde. Et une belle paire de cuissardes, elles aussi en jean. Les deux filles m'ont fait un petit signe. Elles se sont approchées. J'avais la vitre baissée.
— Regarde...
Elle a fait se tourner sa copine, docile, qui l'a laissée faire pendant qu'elle soulevait la jupe en jean, exhibant une bonne croupe bien charnue dans la raie de laquelle était fiché le cordon d'un string. Marie a plaqué ses mains à plat sur les fesses pleines, les a ouvertes. Le fin tissu était pile au centre des plissements anaux, que l'ouverture du cul de la jeune femme permettait de voir bien dessinés.
— On t'offre tout. Nos bouches, nos culs, nos seins, nos chattes...Tu pourras mettre ta bite partout sans restriction à condition que tu nous fasses jouir.
Un beau programme. Elles se sont installées dans le véhicule. Marie m'a donné les indications pour me rendre chez sa copine. Quelques rues à parcourir. Dans le rétro, j'ai vu la brune ('Au fait, je m'appelle Anne') remonter sa jupe, écarter son string et le ficher dans son aine, avant de planter son pouce et son index au milieu de son sexe, réduit à une simple fente, pour s'ouvrir. Un paquet de lèvres est sorti à l'extérieur. Mais ça a été aussi l'occasion de voir un intérieur tout rose. Vision bien sympathique, dont elle m'a laissé profiter avec un sourire goguenard, son regard accrochant le mien dans le rétro.
On est arrivés devant une résidence étudiante. Trois étages, quelque chose de coloré. On s'est retrouvés dans un petit appartement confortable dont la fille avait pris possession avec goût.
On n'a pas tourné autour du pot, c'est le cas de le dire. On a sauté dessus immédiatement. La brune, pour ce que je m'en souvenais était aussi avide de sexe que Marie, qui se ressemble s'assemble, et elle me l'a prouvé en venant chercher ma queue dans mon pantalon et en la bouffant avec avidité. Marie l'a accompagnée en s'occupant de mes couilles pendant que la brune se consacrait à ma tige dilatée. Mais elle a vite délaissé mes roubignolles pour commencer à déshabiller sa copine...Elle a défait la jupe, lui laissant le haut, et est venue enfoncer sa langue dans son sexe, qui n'avait plus rien à voir avec la fente close qu'elle exhibait quelques minutes plus tôt dans le rétro. Elle était à présent bien ouverte et bien mouillée. Marie a bien léché les lèvres gorgées de sang, avant de pousser sa langue en elle, aussi loin qu'elle le pouvait, pour caresser ses muqueuses internes. Anne a gémi et eu plus de mal à me bouffer la queue.
Je n'oublierai pas le moment qui a suivi. Il y a des moments comme cela qui sont uniques. Quand on les vit on en a conscience et on se dit qu'on doit les graver en soi pour les temps mauvais. Et c'est bien ce que j'ai fait.
Elles se sont mises à quatre pattes devant moi. Sur le divan. Anne avait envoyé balader son string et remonté sa jupe à sa taille. Marie elle, viré culotte et pantalon en vinyle. Elles avaient gardé cuissardes et bottines. Tout pour faire bander un homme.
Elles étaient offertes. Leurs grosses croupes charnues ouvertes sur leurs plissements anaux, et plus bas leurs moules toutes gonflées dilatées d'excitation dégoulinantes de mouilles. Ce qui complétait bien le tableau, c'étaient leurs visages tournés vers moi, chaleureux et disant clairement qu'elles s'offraient à moi et que je pouvais glisser ma queue en elles sans limites.
— On veut que tu mettes des capotes...On prend la pilule mais on a quand même peur d'être en cloque. Une double protection, ça limitera les risques...Et si tu nous sodomises et que tu reviens dans nos chattes, pour des raisons évidentes, tu changes de préservatif. Regarde, tu as une boite de 24, tu assureras sans problème...
Je me suis gainé de latex, et j'ai glissé dans la vulve d'Anne.
C'est au moment où je le faisais que Marie m'a dit:
— Tu nous matais, tu ne pensais pas un jour venir dans nos culs...
Je me suis dit que je n'avais vraiment pas été assez discret.
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