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Une vie de chien partie 4 Fin !

Les vacances d’été étaient presque finies, j’avais passé le mois d’août à travailler et n’avais pas eu d’occasions de le revoir. J’étais en train de classer des factures lorsque l’écran de mon téléphone s’alluma. « T’en as envie non ? »

Proposée le 12/01/2017 par Isno

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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie


Les vacances d’été étaient presque finies, j’avais passé le mois d’août à travailler et n’avais pas eu d’occasions de le revoir.
J’étais en train de classer des factures lorsque l’écran de mon téléphone s’alluma. Je jetai un coup d’oeil vers le bureau de ma collègue. Parfait, elle était plongée dans la lecture d’un document apparemment passionnant. J’ouvris discrètement mon message, c’était lui. Un sourire se dessina sur mes lèvres, il lui arrivait régulièrement de m’envoyer des sms coquins, parfois accompagnés de photos et il adorait le faire pendant que j’étais au bureau. Cette fois-ci, à ma grande déception, aucune pièce n’était jointe, un seul lien accompagné d’une phrase.
« T’en as envie non ? »

Je voulu ouvrir le lien sur mon portable et jura silencieusement lorsque un message d’erreur s’afficha. Je n’avais aucune connexion à internet dans ce petit village, il fallait utiliser l’ordinateur. Je recopiai l’adresse dans mon navigateur et pria pour que personne ne surveille ce que je faisais actuellement.
Un gros godemichet rose apparu sur mon écran, je réduisis la fenêtre dans la barre des tâches d’un mouvement brusque, et regardai autour de moi pour voir si quelqu’un l’avait remarqué. Heureusement, personne ne s’intéressait à moi et je pus rouvrir la fenêtre. L’engin faisait une belle taille, le site annonçait 21cm et la possibilité de s’aider de puissantes vibrations. Il essayait de me convaincre d’en acheter depuis une semaine déjà, mais je n’osais pas. J’avais très envie de franchir le pas mais si quelqu’un tombait dessus ? Je fermais la page et essayai de reprendre mes activités. Bleues, blanches, roses, vertes… Les feuilles se succédaient mais mon désir ne s’apaisait pas. Je me voyais déjà gémir de plaisir avec ce gode en moi, une bosse d’une belle taille se formait dans mon pantalon tandis que les images se succédaient dans ma tête. Je me rendis soudain compte que j’avais mis mon marqueur dans ma bouche et que ma langue s’activait dessus. Gêné, je le posai dans un pot et prétexta d’avoir des photocopies à faire pour sortir de la salle. Je respirai profondément pour essayer de me calmer pendant de longues secondes avant de retourner à mon poste.
A peine assis, j’ouvris l’historique, retrouvai le site et commandai l’objet. J’envoyai un sms à Nicolas pour lui annoncer ma décision et me remis sereinement au travail. D’ici quelques jours, j’aurais un tout nouveau jouet.
L’attente fût longue et difficile, partagé entre l’envie et la peur, j’appréhendais autant que j’attendais l’arrivée de mon colis. Finalement, un midi en arrivant chez moi, je vis un colis posé sur mon bureau. Mon ventre se contracta, tandis que je l’ouvrais. L’emballage libera un magnifique objet d’une taille impressionnante, rose et légèrement courbé. Je le pris dans ma main et sentis l’excitation monter en moi, il n’était pas aussi doux et chaud que le pénis de Nicolas mais penser qu’une chose aussi grosse allait pénétrer en moi était un véritable délice.
J’abandonnai mes vêtements et commença à me caresser, mes mains glissaient sur mon torse, jouant avec mes tétons puis plongeaient vers mon sexe avant de revenir les pincer. J’enduis mes doigts de lubrifiant et caressa doucement mon petit trou, je le sentis se contracter à mon contact et le massa doucement. Mes doigts le pénétrèrent lentement, me faisant pousser de petits gémissements. Je me rendis vite compte que cela ne me satisfaisait pas, j’attrapai mon jouet et le frottai contre ma rondelle. Je me pénétrai doucement avec, poussant un petit cri de douleur… Il était trop gros, il ne rentrerait jamais. Mes doigts glissèrent et appuyèrent sur le bouton de vibration, le poussant à 50%. Je ne m’y attendais absolument pas et me redressa brutalement, m’empalant sur les 21cm de l’objet. Je pensais ressentir la douleur mais ce fut une sensation d’intense plaisir qui jailli de
moi. Mes hanches s’agitèrent d’elles même, m’arrachant des gémissements de bonheur à chaque fois qu’il rentrait en moi.
J’étais au paradis, jamais je n’aurais pu croire que les sensations allaient être aussi intenses. Je poussai les vibrations au maximum et plongeai la tête dans mon oreiller pour étouffer mon cri. Le gode allait et venait en moi, frottant contre mes point sensibles, tapant au fond de moi. J’imaginais être sodomisé par un homme, ses mains claquant mes fesses, agrippant mes cheveux… Je devenais fou, mon oreiller était couvert de salive et avait du mal à étouffer mon plaisir.
Des coups résonnèrent à ma porte.
« Tu viens à table ? » Demanda ma mère de l’autre côté.
Je me redressai, enfonçant par la même occasion le jouet en moi et tenta de prendre une voix normale.
« J…j’arrive » Balbutiais-je.
Je priais pour qu’elle n’ait pas entendu les vibrations et attrapa mon téléphone. Je voulais le remercier pour me faire ressentir une telle jouissance, je pris une photo de mes fesses, le gode enfoncé en elles. Je n’osais pas appuyer sur le bouton d’envoie mais quelques coups de rein et un long gémissement eurent raison de moi. J’envoyai l’image juste avant de jouir, une sensation intense monta de mon anus, se diffusant dans tout mon corps et de grosses giclées de sperme arrosèrent mon visage et mon torse. Je descendis un peu les vibrations de mon jouet en glissant ma langue sur mes lèvres. C’était incroyable, seul un vrai pénis aurait pu me combler d’avantage. Je me laissai tomber sur mon lit, les vibrations du godemichet continuant à me faire frissonner de plaisir. Mes mains tremblaient quand j’attrapai mon téléphone pour y lire sa réponse.
« La prochaine fois, c’est moi qui te prendrait comme ça soumis. »
Je me sentais heureux, je n’avais plus honte maintenant je voulais juste sentir un vrai pénis en moi.
Je profitai chaque soir de ce nouveau partenaire, me procurant des orgasmes de plus en plus violents à mesure que je prenais conscience de mon corps. Malgré de nombreuses photos échangées, je ne pu revoir Nicolas et le jour du départ arriva. Nous étions en septembre et je rentrai à la fac, dans une nouvelle ville, loin de mon amant.
Il me restait une heure avant d’aller à la gare, je partis en centre-ville pour marcher un peu. Je repensais à cet été, aux nouvelles expériences que j’avais faites et à ce que j’étais devenu… J’aimais les hommes, c’était clair dans mon esprit mais qu’en était-il des femmes ? Allais-je me détourner d’elles ? Non. Je bifurquai dans une petite rue et arriva devant un grand bâtiment en pierres blanches, je sonnai et attendis quelques instants avant de voir s’ouvrir la porte. Décoiffée, dans un sweat trop grand et un mini short se tenait la plus belle femme que je n’avais jamais rencontré. Emilie me sauta dessus et je la pris dans mes bras. Son odeur m’enivrait, je voulais rester comme cela pour toujours, elle était ma définition du paradis.
_ Je viens te dire au revoir avant de prendre mon train. Annonçais-je avec un sourire chargé de larmes.
_ On se reverra vite. Promis-t ’elle.
Je lui fis un bisou et lui murmura à l’oreille…
_Je t’aime…
_ Moi aussi mon chat. Répondit-elle avec un grand sourire.
Comme à chaque fois, je n’arrivais pas à savoir ce que signifiaient ces mots dans sa bouche. Je cru déceler des sentiments profonds dans son regard mais je me détournai, par peur de me tromper. Des larmes coulèrent sur mes joues lorsque je m’éloignai, je voulais la revoir, l’emmener avec moi… J’avais peur de la perdre, et je me trompais rarement.
Je réussis à simuler un sourire en montant dans le train mais me tristesse me rattrapa vite. Je passai la totalité du trajet avec l’image de ses grands yeux noisette, de ses cheveux noirs et de son magnifique sourire… Je ne parviendrai jamais à m’en détacher et aujourd’hui encore, la simple évocation de cet ange qui s’éloigne lentement de ma vie fait couler des larmes sur mes joues.

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