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La remplaçante partie 2

J'avais découvert Eléanore au séminaire de décembre mais notre première nuit ensemble m'avait mis dans un état indescriptible. Je n'avais qu'une envie c'était de la revoir. Heureusement le séminaire d'avril approche...

Proposée le 19/09/2018 par Stephenson

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


…Le séminaire de décembre se termine et laisse place aux vacances de Noël. C’est idiot mais Eléanore me manquait déjà. Je n’ai pu m’empêcher de lui envoyer un texto quelque peu maladroit, froid et dénué de tout vocabulaire lié à ce que nous avions vécu tous les deux quelques jours plutôt. Ma priorité était que son compagnon ne tombe pas dessus ou s’il tombait dessus qu’il n’y ait aucun indice sur ce qu’elle aurait pu vivre durant ce séminaire.

Les vacances se passent normalement. Noël, jour de l’an, galette des rois et enfin, c’est la reprise. Eléanore rencontre Estelle et cette dernière me désigne comme son mentor. Eléanore trouve cela amusant. Estelle ne doit pas se douter que nous nous étions déjà rapprochés et moi je suis flatté. De toutes façons je voulais la prendre sous mon aile. Et depuis ce jour, nous avons passés des secondes, des minutes, des heures voire des journées entières au téléphone. Si nos responsables épluchaient nos factures, je pense qu’ils seraient surpris que nous ayons passé quasiment autant de temps au téléphone qu’à être face à des pharmaciens.

Nous apprenons à nous connaître, nous nous racontons nos vies, nos soirées, nos week end. Nous parlons de notre quotidien à la maison. Nous parlons boulot bien évidemment et surtout nous nous cherchons. Nous cherchons tantôt sur le plan amoureux et tantôt sur le plan sexuel. Il y a eu des moments très chauds à la limite du convenable. C’est aller tellement loin et tellement frustrant. Nous étions dans la continuité du séminaire de décembre que nous avions décidé de faire un break sur ces sujets enivrants et libidineux.

Pour autant, les idées trainaient par ci par là, elles étaient en lévitations, elles tournaient au dessus de nous tels des avions attendant l’autorisation d’atterrir.

Cette pause a du duré un mois, un mois et demi. Jusqu’à l’approche du séminaire d’avril. Les deux derniers jours qui précédaient l’événement étaient géniaux. Eléanore était en Corse le jeudi. A Ajaccio plus précisément. Il y avait ce jour là un carnaval. Elle m’appelle en FaceTime pour partager ce qu’elle vivait. C’était super, avec qui d’autre que moi pouvait elle partager un tel moment. Quelques heures après, c’est dans une boutique qu’elle décide de poursuivre le FaceTime, au rayon lingerie. C’était dingue. Il y avait là de la coquinerie qui relevait de la magie.

On se disait durant ces deux derniers jours qu’on se manquait et que nous allions être heureux de nous retrouver.

Pour moi, le séminaire a commencé un jour plutôt. Les syndicats des transports ont décidé de faire grève. Et j’ai du décoller la veille. Me voilà donc arrivé à l’hôtel une journée en avance. Il me faudra attendre jusqu’au lendemain 13h pour apercevoir physiquement celle qui m’accompagne tous les jours au téléphone. Et le moment des retrouvailles allait être pénible. Pénible parce qu’elle va arriver au laboratoire et il y aura déjà tout le monde. Une étreinte sera alors impossible. Et je pensais déjà au départ où un au revoir enlacés tous les deux sera lui aussi impossible. Mais profitons déjà de ce que nous avons.

Comme prévu, pas possible de la prendre dans mes bras dès son arrivée. Nous nous faisons juste la bise. Il faudra attendre plus tard, à l’hôtel, ce soir, en fin de journée pour avoir plus. Ne serait-ce que la serrer fort dans mes bras prêts depuis des mois pour l’accueillir et lui offrir toute la tendresse qu’ils lui réservent.

Arrivé dans ma chambre, j’envoie un texto à Eléanore pour lui indiquer mon numéro de chambre, 208. Il n’aura fallu que deux minutes pour que ma porte se mette à faire Toc Toc.
_C’est une blague? me demande Eléanore.
_Comment c’est une blague? lui répondis je.
_Je suis chambre 206! me dit elle. T’as demandé à l’hôtel pour qui nous mette l’un à côté de l’autre?
_Non, je te jure!

Mon sentiment était partagé. J’étais à la fois ravi parce que nos chambres sont côte à côte et une porte communique à l’intérieur des deux chambres, cela faisait comme une suite. Mais de l’autre côté cela enlevait un peu d’exotisme à devoir se balader dans les couloirs à l’abri des regards. Mais puisque l’hôtel en a décidément autrement, profitons de leur générosité.

Le premier soir, après s’être pris dans les bras, quelques bisous, elle souhaite prendre une douche. Je décide de la laisser seule pour descendre boire une bière avec les copains. Ensuite nous dînons tous, et Eléanore et moi nous installons l’un à côté de l’autre tandis qu’en face se tenaient nos responsables. Je prenais un malin plaisir à lui peloter la cuisse. Personne ne devait imaginer le spectacle qui se passait en dessous de la table.

Après le repas, nous regagnons nos chambres et nous nous retrouvons enfin tous les deux. La seconde partie de la soirée commence par des câlins. Nous nous déshabillons. Je lui administre un cunilingus avant de commencer à la doigter. Elle me lance: "Tu as déjà vu une femme fontaine?". Des jets de cyprine inondant ma main et le drap housse du matelas. Hélas, je ne la pénètrerais pas. J'ai me mettre trop la pression et j'ai beaucoup de mal à faire raidir mon engin. Qu'elle frustration pour moi. J'espère avoir pu combler le manque avec la vigueur de mon poignée.

Le deuxième soir, nous avons décidé de ne rien faire, histoire de dormir quand même un peu.

Le troisième soir en revanche, s’annonce être l’une de mes plus belles nuits de toute ma vie. Cette soirée commence dans un de ces bars/boite de nuit à la mode. Cette soirée commence par un harponnage de Eléanore. Pas Eléanore K mais Eléanore M. Elle me chauffe en m’expliquant que c’est bien d’aller voir ailleurs et que je suis beau gosse et qu’il faut que je profite et que je suis mignon et qu’il faut se faire plaisir… Heureusement, la bonne Eléanore vient me sortir de là. La soirée s’enchaîne et tout le monde danse. Albane danse avec moi et par jalousie, Eléanore va danser avec Nicolas en me tirant la langue. Quelle salope! me disais je. Mais ça me faisait sourire. Ensuite, c’est avec moi qu’elle a dansé. Je l’ai rattrapée je ne sais combien de fois, elle a un peu bu je pense. Et puis il y a eu ce moment sympa. Elle m’a roulé une pelle sur la piste de danse. J’espère que ça langue n’en souffre plus parce que ma barbe s’en souvient. Ca devait être quelque peu râpeux.

La soirée se termine et nous partons avec un groupe de cinq personnes que nous allons très vite abandonné pour divaguer de notre côté. Nous contournons une sorte de mini lac et marchons main dans la main. Nous nous prenons dans les bras, nous nous faisons des câlins, nous nous asseyons sur un banc et nous reprenons notre route.

Une chose est sûre, nous ne voulions pas rentrer tout de suite. C’est notre dernière soirée ensemble, tous les deux et il fallait qu’elle dure. Nous nous baladons maintenant le long du Lez, cours d’eau qui traverse Montpellier. Nous apercevons une espèce d’égouts au loin. Il s’agit en fait d’un passage à canards que nous empruntons en nous marrant comme des gamins. Suite à cela nous mettons en avant nos compétences en matière de roue de gymnastique. Eléanore se vautre littéralement. Nous sommes écroulés de rire.

Nous montons les escaliers qui nous mènent derrière l’hôtel de ville de Montpellier. Arrivés derrière le bâtiment, Eléanore se colle face à une barrière. Je me colle derrière elle. Je l’embrasse dans la nuque et je descends ma main droite sur son pantalon que je déboutonne. Je plonge ma main sous sa culotte et lui titille le clitoris. Elle saisit ma ceinture par derrière elle, la desserre, déboutonne elle aussi mon pantalon, saisit ma queue et la sort. Elle descend son pantalon et son string et me demande de lui cracher dessus. avant de lui cracher dessus je me mets à genoux, empoigne ses fesses et lui lèche le vagin. Je me relève, elle se cambre et j’essaie de la pénétrer jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’une caméra de surveillance est au dessus de nous. Nous en rigolons et remballons.

Quelques mètres plus loin, peut être l’excitation de ces caméras de surveillance, Eléanore se met face à moi, s’agenouille, re dégaine mon engin et entame une fellation. Je ne savais pas le plaisir qu’on pourrait ressentir à se faire sucer à l’air libre derrière une mairie. C’est exquis, divin, de l’ordre du fantasme qui se réalise là à cet instant.

Nous décidons de rentrer à l’hôtel qui lui est accolé à l’hôtel de ville. Surprise, certains collègues sont postés à l’entrée et nous ne pouvons plus nous cachés. C’est certain, il faut que je referme mon pantalon comme il faut. Nous passons la barrière de sécurité professionnelle et regagnons nos chambres.

Arrivés dans nos chambres, je vais chercher Eléanore dans la sienne pour l’emmener dans la mienne. Je la colle dans l’entrée contre la porte. D’abord face à la porte, puis dos à la porte. J’aime faire des mouvements de va et viens contre elle. Je me baisse et je commence à lui lécher le clitoris là, contre la porte d’entrée de ma chambre. Elle me fait signe de me relever. Nous nous déshabillons.

Sur le lit, je reprends le cunnilingus et je joue avec mes doigts, je veux à nouveau voir cette fontaine aussi impressionnante et excitante. Maintenant et venu le temps d’aller plus loin. Je vais chercher un préservatif et elle court chercher un lubrifiant. Elle s’allonge sur le dos, les cuisses bien ouvertes. Je me positionne au dessus d’elle et m’applique le précieux liquide sur le gland. Je la pénètre et commence mes mouvements de va et viens.

Telle un chef d’orchestre, ou un metteur en scène, Eléanore va m’indiquer chaque mouvement que je dois faire pour lui donner le maximum de plaisir possible et je trouve ça géniale. Enfin quelqu’un qui va me dire comment elle veut jouir. Je m’exécute donc et tape à fond à chaque coup de rein. La position du missionnaire déjà bien consommée, Eléanore m’invite à la suivre. Elle se met à genoux face à la tête de lit et je me positionne derrière elle pour la pénétrer par derrière. Finalement, c’est à quatre pattes que nous poursuivons notre aventure, en levrette. Quelles sensations! Sentir ses fesses sur mon entre jambe à chaque rebonds est un pur délice. Je voulais tenir longtemps mais je n’en peux plus. Le précieux nectar est prêt à jaillir. Je sens cette sensation de chaleur qui par de mes tripes pour parcourir tout le bas ventre, le périnée, les testicules et tout le long de mon sexe pour sentir l’effet bouillant au bout de mon gland se terminer en elle arriver. Je la préviens et elle me répond que c’est bon, je peux y aller. J’espère qu’elle a jouit et qu’elle a pris du plaisir parce que moi je n’en ai jamais pris autant. C’était trop bon.

Le lit étant désormais trop mouillé de part et d’autre, c’est dans son lit que nous allons terminer la nuit.

Le lendemain, le réveil est confus. Je suis le plus heureux du monde. J’ai passé sans doute la plus belle nuit de ma vie. La plus excitante. Mais d’un autre côté, c’est notre dernier jour et c’est maintenant que nous devons nous dire au revoir. Toute à l’heure, ce sera impossible.

Je suis déjà nostalgique mais heureux et déjà impatient d’être à lundi et reprendre nos conversations téléphoniques.

La reverrais je un jour? Je n’en sais rien. En tous cas, c’est une joie pour moi cette fille. Elle me plaît c’est évident et quoi qu’il arrive j’aurais à vie une pensée pour cette fille pétillante, pleine de vie, de fraîcheur, de folie, de joie de vivre. Il me suffit de penser à elle pour qu’on visage s’illumine. La vie n’est pas finie et je ne sais pas de quoi demain sera fait. Alors wait and see…

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