Histoire Erotique
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Laura a fait un rêve, affreux, elle a rêvé qu'elle faisait l'amour avec son fils. Elle raconte son rêve à son mari, qui petit à petit la pousse dans ses bras.
Proposée le 5/12/2022 par valeriane
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
La nuit de Laura est très agitée, elle serre les poings, une grimace déforme son visage, son front perle de sueur, sa respiration est rapide.
Au petit matin, elle se réveille, haletante, ses traits sont tirés. Elle tourne la tête vers son mari, et dit très perturbée :
-Paul, c'est affreux, j'ai fait un rêve monstrueux, j'ai rêvé que je faisais l'amour avec Gilles !
Paul se blottit contre elle et lui dit d'une voix tendre :
-Oh la petite maman salope, fantasme sur son fiston !
Il glisse doucement sa main sous la chemise de nuit de sa femme, ses doigts passent sur la culotte, il murmure :
-Oh le sacripant, hum, il t'a bien fait jouir, ta culotte est trempée, ma petite salope !
Laura ne répond pas, Paul appuie doucement sur la culotte, le tissu s'enfonce entre les grandes lèvres. Le doigt monte dans le sillon et atteint le clito encore gonflé par l'excitation nocturne. Paul le frotte délicatement, Laura est surement encore dans son rêve incestueux, car il ne lui faut pas longtemps pour jouir. Elle reprend ses esprits, repousse-les drap, et sort du lit. Sans trop regarder son mari, elle retire sa culotte trempée, elle effile une blouse, dans la précipitation, elle ne la ferme qu'à moitié. Elle murmure un peu honteuse :
- Je vais prendre une douche mon chéri !
Elle se dirige vers la salle de bain, elle ouvre la porte. Elle reste clouée sur place, son fils et déjà sous la douche. À travers les parois embuées, de la douche, elle regarde son fils décalotter son membre et de bien le savonner. Ses yeux se fixent sur le membre large chapeauté par un gland épais que son fils frictionne longuement. La maman déglutie, puis, peur de se faire voir, rebrousse chemin discrètement.
Rouge comme une écrevisse, elle se dirige vers le salon. Paul, encore en pyjama, la regarde, il lui dit en souriant :
Ouh là, tu as vue le diable ma chérie !
Elle le regarde et répond en béguant :
-Mon Dieu, je viens de voir la verge de Gilles, oh quel engin !
Paul l'enlace, il lui sourit et répond :
Oui, je sais qu'il est monté comme un poney, le bougre, avoue que tu la voudrai l'avoir dans le ventre sa queue hein petite cochonne !
Laura réplique en haussant les épaules :
-Imbécile va !
Paul, sans se formaliser, dit :
-Je vais te préparer le coup !
Laura le regarde et répond :
-Tu es fou !
Il lui relève le menton d'une main et dépose un baiser bruyant sur ses lèvres, il la bascule sur le canapé, les pans de la blousse, mal fermés, dévoilent ses cuisses magnifiques. Gilles sort au même moment de la salle de bain, en slip, ses yeux se posent sur les cuisses de sa maman, il est souriant. Lui est son papa se lancent des regards complices. Paul lui demande :
-Gilles, montre à ta maman tes attributs !
Les paroles de son mari font redresser Laura. Sans complexes, Gilles baisses son slip et étales son service trois pièces. Laura saisit la main de son mari, la queue arrive à mi-cuisses, au repos. Il faut dire que l'engin est proportionnel à la carrure de Gilles. Les yeux de la maman ne quittent pas l'engin. Paul dit :
- fais-la grossir, fiston, que l'on se rende compte bien, du calibre !
Gilles toujours en regardant les cuisses de sa maman se branle, la queue prend peu à peu du volume pour arriver au top. Laura serre très fort la main de son mari, il serre les dents et lui dit au creux de l'oreille :
-Tu la veux au fond de toi, regarde comme elle est belle, profites-en ma chérie !
Laura reste scotchée, elle sursaute, lorsque Gilles presse fortement sa queue, son gland devient monstrueux, il s'étale, en trônant fièrement sur la hampe de chair. Laura ravale sa salive. Paul réussit de dégager sa main, il se lève et parle à l'oreille de son fils. Gilles remonte son slip puis disparait. Paul dégrafe les deux ou trois boutons qui retiennent encore la blousse. Il l'écarte et ouvre les cuisses de sa femme, il voit un filet continu de cyprine s'échapper du puits d'amour. Il regarde sa femme qui semble absente, il lui dit :
-Oh la vache, il sait te chauffer le fiston !
Il saisit le clito entre ses pouces, et l'écrase doucement, Laura se cabre, elle dit :
-Oh mon chéri, je vais mourir, je suis sûr des charbons ardents depuis ce matin, je ne sais pas ce qui se passe dans mon corps !
Paul appuie plus fort sur le bouton sensible et dit pendant que sa femme se cambre :
-Moi sais, tu es hantée pas la queue de Gilles, c'est ça qui te perturbe, va le rejoindre, il t'attend dans notre chambre !
-Mon Dieu, je n'oserai jamais, tu es fou !
Il lui prend la main et l'aide à quitter le canapé, il se fait rassurant :
-La lumière est éteinte et le volet fermé, tu ne verras pas son visage, vas-y, profites de son corps !
Laura ne répond pas, l'envie est plus forte que la morale, elle le suit comme un automate.
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