Histoire Erotique

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Caroline rêve de son entraîneur de gym

Caroline s'inscrit en salle de gym pour reprendre la forme. Mais le bel entraîneur l'incite à s'inscrire à des séances privées.

Proposée le 10/11/2015 par jeff

Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Caroline fréquentait le nouveau gym près de chez elle de façon sporadique depuis quelques mois. Elle n’était pas une fanatique de conditionnement physique mais l’exercice lui faisait du bien et lui permettait de se détendre un peu.

Sa relation avec Vincent battait de l’aile et il passait de moins en moins de temps ensemble. Ces compliments et attentions autrefois nombreuses, se faisaient maintenant rare et les quelques baisers qu’ils s’échangeaient la laissait plutôt de glace.

En revanche au gym, sa silhouette faisait fureur. Elle feignait ignorer les regards que les hommes posaient sur son corps mais il était difficile de ne pas s’en apercevoir dans une salle pleines de miroirs. Loin de l’importuner, ces petits coups d’oeil lui donnait surtout le sentiment d’une femme convoitée et désirée, ce qu’elle n’avait pas ressenti depuis longtemps.

Elle s’étirait et s’exerçait, se surprenant à rêvasser du corps étendu sur elle, d’un de ces hommes musclés. Son entrainement était bénéfique mais Caroline avait de la difficulté à constater du progrès et elle aurait bien voulu améliorer sa forme plus rapidement.

Ce fut probablement cette constatation, celle du manque de progrès qui lui fit remarquer la petite affiche placée près de la sortie du vestiaire ce jour là.

-PROMOTION ESTIVALE SUR ENTRAINEMENT PRIVÉ, VENEZ NOUS CONFIER VOS OBJECTIFS POUR L’ÉTÉ!-

Sous l’affiche, la photo d’une homme dans la trentaine, les avants bras croisés devant le torse, l’allure fier un léger sourire en coin. Martin, ou plutôt le beau Martin!

Elle avait entendu son nom quelques fois dans le gym. Elle l’avait surtout remarqué se baladant en salle. Son immense dos sculpté en V et ces épaules de viking. Il donnait des conseils au nouveaux membres, procédait aux visites du club et entrainait certains hommes pour la compétition.

Elle s’arrêta donc à la caisse afin de s’enquérir du processus d’inscription au séances privées. La caissière, après lui avoir expliqué les prix et donnée une longue fiche à remplir, lui assigna un fauteuil près de la réception.

-L’entraineur sera avec vous dans un instant pour la prise de rendez-vous de la première séance d’évaluation.

Assise sur le petit banc, elle regardait autour d’elle cherchant Martin du regard, replaçant une mèche de cheveux, croisant et décroisant nerveusement les jambes.

-Vous êtes bien Caroline, moi c’est Phillippe!

Surprise elle tourna la tête pour poser le regard sur un jeune homme, début vingtaine, assez athlétique et mince qui portait une casquette au logo du gym et qui tendait vers elle une main à saisir.

-Oui, eh.
Désolée, j’étais dans la lune.
Vous êtes mon entraineur? (une pointe involontaire de déception dans la voix)

-Exact, vous allez voir, on va vous mettre en top shape je vous le dit!
On va commencer par parler objectifs, horaire, alimentation et je vais vous bâtir un plan parfait pour vous….

La conversation perdura pendant une bonne demie heure mais Caroline, la tête ailleurs pensait à l’affiche de Martin, tentant de trouver une raison valable de se défiler. Elle avait bien envie d’une séance privée, seulement pas avec un pré adolescent jovial et imberbe. Le premier rendez-vous fut donc fixer et elle quitta la salle, une carte en main et se dirigea vers la maison , dernier endroit ou elle aurait voulu être ce soir.

Le reste de sa semaine se déroula rapidement et avant qu’elle ait pu prendre le temps de décider si elle annulait ou non son entraînement, le téléphone sonna jeudi en fin de soirée. Elle prit l’appel dans la cuisine: un avis automatique du gym qui confirmait son rendez- vous du soir suivant. Au salon Vincent, une bière à la main était hypnotisé par le match de hockey.

L’image en était assez, elle confirma sa présence raccrocha.

-Je serai absente demain soir, je commence un nouveau programme en salle et je ne reviendra pas souper après le travail. Il y a de la pizza au congélateur si tu veux…

-OK, je vais m’arranger…

Sur ce, elle monta se coucher, le hockey était presque la chose qu’elle détestait le plus au monde. Ça et le dentiste!

Sa journée se déroula plutôt bien et malgré quelques délais au bureau, elle réussi à quitter vers dix huit heures et se dirigea vers un petit resto Vietnamien du cartier qu’elle aimait bien.

Assise à sa table habituelle, elle commanda un martini, histoire de fêter le weekend et un pad thaï au légumes. Comme on lui servait son verre, quelqu'un l’appela du bout de la pièces.

-Caro?
Caro Bourgeois?
Wô, ça fait un bail, viens que je t’embrasse!

Annick, un vieille ami de fac se tenait debout près de la caisse, sautillant de joie en voyant son ancienne colocataire de chambre. Caroline lui fit la bise et souriante, l’invita à se joindre à elle pour le repas.

-Oui oui, je suis représentante pour un distributeur alimentaire maintenant. La boîte appartient à mon beau père. Le salaire est merdique mais je choisi mes horaires et Dylan compte bien prendre la relève dans quelques années. C’est assez correct….

Elle discutèrent pendant deux longues heures de la belle époque, partageant ensemble quelques martinis de trop et le temps s’écoula beaucoup trop rapidement. À peine eut elles prises un café que l’alarme du iphone de Caro sonnait, un rappel du rendez-vous à venir.

-Oh non, je dois vraiment partir, il est trop tard pour annuler sans que j’aie à payer la séance mais on doit absolument se revoir. Je te parlerai de ce beau mâle au gym qui me donne des chaleurs. Mais là je dois aller m’entrainer avec un jeune qui a l’air de mon livreur de journaux!

-Les jeunes sont plus fringuants chérie, penses-y bien!
Ha ha , on s’appelle.
Ciao!

Sur sont départ, Caroline régla la note et quitta les lieux vers sa voiture. La tête lui tournait un peu mais par chance, la journée achevait et la lumière extérieur était faible. Elle démarra et roula lentement vers le gym, s’interrogeant en route sur son taux d’alcoolémie qui devait surement dépasser la limite. Oups.

Le chemin vers le gym ne prit que quelques minutes et après avoir bu un peu d’eau et s’être envoyé une poignée de tic tac, Caroline retrouvait ces esprits et se disait qu’un peu de vélo stationnaire lui ferait le plus grand bien. Arrivée sur place, elle constata avec joie que l’endroit était pratiquement désert.

-Bonsoir madame

-La place est donc bien vide ce soir!

-Oui, c’est à cause du hockey, pendant les séries il n’y a jamais un chat ici!
Oh en passant, vous veniez voir Philippe ce soir…
Il a du annuler, conflit d’horaire. Vous verrez Martin à sa place, il vous attends dans la salle de yoga

La surprise fit monter la chaleur au visage de Caroline qui ne s’y attendait guère et ces joues devinrent rapidement rouges.

-Merci, je me change et j’y vais.

Caroline n’avait jamais été aussi heureuse d’avoir respecter un rendez-vous. Elle se changea en vitesse et s’assura d’avoir une chevelure présentable avant de gagner la salle de yoga.

À son arrivée, Martin était penché, plié en deux les mains posées à plat sur le plancher devant lui et les genoux bien droits. Pour un homme de sa carrure, il s’agissait d’un petit exploit de flexibilité. Le bruit de la porte se refermant le fit se redresser la tête.

Il replaça son chandail et il lui adressa un sourire charmeur. Caroline était figée sur place.

-Bonjour Madame Bourgeois, j’espère que vous n’êtes pas déçue d’avoir à vous entraîner avec moi ce soir, Phillippe n’a pas pu ce présenter.
On a une grosse séance de prévue, j’espère que vous êtes motivée!

-Non non, eu oui…
Bien…
Non à déçue, oui à motivée!

Caroline se dit tout bas: “t’as l’air d’une vrai conne, t’es plus une ado en chaleur merde, ressaisie toi ma fille. C’est juste des muscles!”

Il la dirigea vers l’espace échauffement, où sous sa supervision elle s’étira et fit quelques minutes de corde à sauter. À bout de souffle après seulement quelques sauts et l’estomac à l’envers, elle réussit quand même à garder un semblant de posture et laisser croire qu’elle n’allait pas mourir d’asphyxie à tout moment.

-Prenez votre temps, faut pas vous bruler avant d’avoir commencer, le but c’est vraiment de se préparer à l’exercice

-Ça va bien, j’en fais souvent pendant dix quinze minutes, ça doit être mon souper qui passe mal…

La torture de la corde pris bientôt fin et ils s’installèrent au premier poste, la flexion des jambes.

-Voyez-vous, ici la clefs c’est la position, le dos doit être bien courbé et au bon endroit afin d’éviter les risques de blessures. Vous en faites un peu d’habitude?

-Oh oui, c’est un de mes exercice préféré! C’est bon pour les fesses!

(voyons grosse niaiseuse, tu fais une vrai folle de toi!)

-Vous prenez combien de poids? Quarante, cinquante livres?

-Au moins ça, je suis assez bonne là dedans…

Il installa quelques plaques sur la barre et la dirigea en place, une main posée sur le bas du dos. Ce léger touché projeta en elle des frissons qui se propagèrent jusqu’à sa nuque. Elle aurait bien aimé sentir cette main descendre plus bas et s’aventurer sur son corps mais il y avait tâche à accomplir.

Elle fléchit les genoux et s’installa à son aise, les épaules bien droites, placées de chaque côté de la barre et avec l’encouragement de Martin, tenta de soulever le lourds poids. La charge était plus lourde que tout ce qu’elle n’avait jamais soulever et même si celle-ci commença à monter, les genoux de Caroline refusaient d’obtempérer et son dos s’apprêtait à flancher d’un moment à l’autre quand Martin s’approcha de derrière et la saisi prestement à la taille.

-Attention là vous allez tout croche!
Sortez le buste un peu et remonter la tête sinon vous tomberez en avant.

Deux mains posées sur ces hanches, cette présence masculine si près d’elle en était trop. Elle fléchit les jambes rapidement et perdit pieds en s’écroulant au sol comme un château de carte. Elle abandonna toute force et s’attendit à recevoir la barre sur la tête avant de relever les yeux et d’appercevoir Martin, tout souriant, qui retenait la barre d’un seul bras.

-Un peu trop pesant pour vous.
Il faut me le dire si on va trop vite..

-Non mais là, je ne suis plus capable de bouger, j’ai le dos barré au milieu!
Outch, arrête de rire ça fait vraiment mal

-ok faut pas vous fâcher là, je vais vous aider, j’ai ma formation d…

-Bien je vais surtout me fâcher si tu me vouvoie une autre fois, faut que je me relève.
Aille!

-Ma formation de chiropraticien si vous, si tu me laisserais finir ma phrase.

Penché au dessus d’elle, il glissa une main sous ces jambes et un bras autour de ces épaules, la soulevant avec aisance et l’a pris à bras le corps. Toute petite, appuyé sur son puissant poitrail, il porta la femme sur un banc près du vestiaire et l’assit doucement.

-Tu veux faire quoi, veux-tu que j’appelle quelqu’un?

-Non mais je vais aller prendre une longue douche chaude, la chaleur va me faire du bien. J’irai me faire masser demain si c’est toujours douloureux.

-J’ai dit que j’étais chiro. je ne pratique pas encore parce qu’il me reste quelques cours mais je me débrouille.
Tu as déjà payé pour l’heure. Passe sous la douche, je vais t’attendre ici et je vais tenter de dénouer ce petit dos avant de te renvoyer à la maison comme une neuve!
Je reste ici, s’il y a un pépin, lâche moi un cri.

-Ok, peux-tu m’aider à me redresser?

Il lui prit le bras et l’aida lentement à se redresser. Elle se retrouva debout collée contre lui et un court instant, leurs regards se croisèrent et le temps s’arrêta. Elle crut alors qu’ils allaient échanger un baiser, mais le moment passa et d’un signe de tête, il l’envoya au vestiaire.

-Je suis juste là si un problème survient, allez!

Elle tituba vers les douches avec douleur et péniblement, réussi à se dévêtir et s’installer sous la douche. Pendant de longues minutes, elle laissa l’eau brulante lui réchauffer les muscles et le dos en s’étirant doucement. La douleur se dissipa peu à peu et fermant les yeux, elle se mit à visualiser le reste de cette séance qui avait pourtant mal débuter.

Dans quelques minutes, les puissantes mains de Martin serait sur son corps, appliquées à la masser et à pétrir. Une telle force émanait de lui, une simplicité déconcertante malgré sa puissante musculature. Il lui parlait comme s’ils se connaissaient depuis toujours.

Cette image répandait de doux frissons en elle qui montait des cuisses à son bassin, accélérant sa respiration et dirigeant ces mains furtivement vers son bas ventre.

Le rappel du torse de Martin derrière elle en était trop et la fit flancher.

(et puis merde, on ne vit qu’une fois!)

-Martin, Martin?

-Oui?

-J’ai de la difficulté à me relever, c’est vraiment douloureux!

Il se leva et passa la tête dans l’embrasure de la porte.

-Est ce qu’il y a quelqu’un?
Je vais entrer pour aider une femme

-C’est vide, je suis seule ici

Elle entendit la porte refermer et des bruits de pas approchant les douches.
Son pouls s’accélérait et elle se releva face à la porte de la cabine, frissonnant d’excitation à l’idée de se qu’elle s’apprêtait à faire

-Est ce que ça va là dedans, es-tu tombée?

Elle retira le loquet de la cabine et debout, en serviette fixait l’embrasure de la porte avec anxiété.

-Non mais j’ai de la difficulté à me relever de mon banc. Entre j’ai enfilée une serviette.

La porte s’ouvrit lentement et Martin lui apparut, grand et fort, le regard posée dans le siens.

-Hum, hum…
Vous avez l’air debout Madame Caroline,

Elle prit un profond respire, le regardant droit dans les yeux et roulant les hanches sensuellement, lui lança:

-Oui mais je crois que je vais avoir de la difficulté à me rhabiller.

Puis, elle laissa tomber sa serviette, soutenant le regard de ce beau mâle qui promenait ses yeux surpris sur son corps splendide. Il l’admirait avec convoitise et envie. Ce regard posé sur elle électrisa la jeune femme d’un telle puissance , qu’elle eut de la difficulté à contenir les frissons qui montaient du creux de son bas ventre.


Saisissant son chandail, il le passa par dessus sa tête et il s’avança vers elle. Elle posa ces petites mains sur le torse musclé de Martin, saisie le savon et entreprit de le frotter doucement. La définition de ces muscles, sa grandeur et son odeur de mâle l’excitait au plus au point.
Sa respiration s’accéléra en remarquant la bosse qui se formait dans son pantalon et elle se pencha pour méthodiquement lui retirer le reste de ces vêtement.

Un superbe membre gonflé se dressait pour elle et Caroline y effleura une main distraite.

-Pourquoi tu ne t’appliquerais pas à dénouer mes muscles endoloris?

Caroline se tourna vers le mur et galbant les fesses, lui présenta un splendide cul qui elle savait, ne le laisserais pas indifférent. Sans se faire prier, il l’a toucha par derrière avec dextérité et se mis à frictionner et détendre les muscles de son bassin et du bas de son dos.

Pendant qu’il remontait et descendait ces mains sur son corps, elle sentait appuyée contre elle la grosse verge de Martin qui réclamait ces attouchements. Mais elle désirait profiter de ces caresses d’avantages et lui refusa pour l’instant son attention.


Elle pencha la tête vers l’avant, la nuque sous l’eau et de ces mains habiles, il remonta le long de ces épaules et son cou. S’appliquant à masser et pétrir son corps avec force. Elle se sentait si petite, si menue et abandonnée contre lui, ces mains qui exploraient les moindres parcelle de sa peau enflammée. La douleurs de son dos se dissipa sous les palpitantes caresses de se beau mâle et Caroline se mit à parcourir son propre corps de ces doigts. ondulant de bonheur. Ondulant de bonheur, elle lissa ces seins gonflés de désirs et lentement dirigea les doigt vers sa chatte qui brulait d’envie.



Elle eu la forte envie de se faire prendre ardemment par se gland doux qui se pressait contre son postérieur.


Elle plaque une main vers l’entrejambe de Martin, et s’emparant de sa verge dressée, constata avec joie que ces doigts peinaient à en faire le tour. Lui astiquant la verge avec ardeur, elle se régalait des râles de plaisirs qu’émettait son homme. Lui, tendrement saisie sa poitrine durcie de plaisir et entrepris de frictionner ce lourds seins qui s’offrait à sa vue.
Caroline, les yeux dans les siens et le souffle court le branlait avec ardeur, il descendit le long de son bassin et déposa une main à l’entrée de son sex. Remuant doucement afin d’écarté les lèvres, il y introduit les doigts et Caroline, entre ciel et terre manqua perdre pieds et glisser sur le plancher de la douche.

Son bas ventre était en feu et inondait de chaleur son corps tout entier. Elle le voulait en elle, maintenant et brusquement. Une envie frénétique de se faire baiser avec fougue la subjugua et se retournant brusquement, elle appuya une main contre le carrelage et ordonna:


-Assez, baise moi fort maintenant…
Tout de suite, vas-y

Sa chatte réclamait d’être remplie et seul le beau membre de Martin pouvait assouvir son puissant besoin. Il ne se fit pas prier, se cramponna à sa taille, et engouffra grossièrement sa grosse verge dans sa petite chatte mouillée.

Elle émit un petit cri de surprise à cette invasion rapide et se crispa vers l’arrière, électrisé d’être prise avec tant de rudesse.

Remuant avec fougue le bassin, Martin se mit à aller et venir en elle avec puissance et Caroline remuait les fesses à petit coups afin de bien sentir son manche qui pompait en elle.

Des spasmes de chaleurs emplissaient son corps, elle gémissait et se tortillait tout en se cramponnant à la tablette de la douche devant elle.

Martin lui embrassait, léchait le cou et le visage et l’enfonçait de sa bite, la maintenant avec force, lançant le rythme de leur danse sexuelle à une vitesse folle.


Caroline roulait des hanches et son corps, hors de contrôle virevoltait en tous sens. Ces entrailles étaient inondées de vertiges délicieux. Elle sentit monter, du creux de son ventre jusqu’à sa nuque, un effroyable spasme de joie qui l’emplit de frissons et elle ne put retenir un grand cris au moment ou un terrible orgasme s’empara d’elle toute entière. Ces jambes arquées tremblaient, brulantes.

L’explosion de Martin, qui éjacula en elle le fit convulser de jouissance et se tordant avec intensité, il contracta les fesses et poussa plus profondément qu’aucun homme ne l’ait jamais pénétré. Il râla avec force avant de se détendre, affaissé sur son dos et caressant doucement ces seins fermes de ces deux mains.

Son puissant souffle dans le cou, Caroline frémissante reprenait ces esprits suite à leurs ébats qu”elle elle entendait bien continuer. Doucement elle s’avança, sentant bien l’énorme queue de Martin qui quittait sa petite chatte coulante. Elle recula, admirante devant cet homme qui se trouvait à sa merci. Sa chose.

-J’en ai pas fini avec toi mon beau!

Elle étendit sa serviette au sol et y poussa Martin sans ménagement. Il n’ut d’autre choix que de lui obéir et s’allongea sur le dos, sa verge toujours bien raide. Il lui prit une cuisse et la guida pour qu’elle l’enfourche mais elle n’y entendait rien et passant l’autre jambe au dessus de lui, s’accroupit à califourchon et présenta à sa bouche sa chatte gonflée d’envie.

Rapidement elle plaqua les lèvres sur ce membre dressé devant elle et entrepris de le lécher avec vigueur en le soucant. Elle recula les fesses et sans ménagement, présenta sa toison à son partenaire qui se mit à la lécher doucement. Elle avait envie de se faire dévorer comme une bête et s’agita brusquement de petits mouvements afin d’indiquer la cadence désirée à son bienfaiteur qui comprit rapidement son rôle. Gémissant et ondulant les fesses sur son visage, elle montait et descendait la bouche sur l’énorme gland qu’elle possédait maintenant.


Les mouvements de son bassin, guidant la bouche de Martin partout sur son sex l’excitaient au plus au point. Elle le suçait avec passion, copiant la vivacité du plaisir que celui-ci lui offrait. La puissante verge lui emplissait la bouche et elle avait de la difficulté à la prendre entière tellement celle-ci était tendue.

La langue de Matin explorait son sex et léchait son bouton rose qui en réclamait toujours plus.

-Oui encore, plus.
Vas y, mange moi plus fort
Ah c’est bon.

N’en pouvant plus, elle souleva la bouche et se redressa, pressant sa chatte qui voulait crier, avec force contre le visage de Martin. L’orgasme là surprit par sa rapidité et comme elle allait jouir fortement sur lui, elle se souleva et se retournant de face, s’empala prestement en s’assoyant sur sa grosse queue tendue. Caroline perdit aussitôt le contrôle de ces pulsions.

Envahit d’un plaisir engouffrant, elle se tortilla prenant soins de bien frotter son petit bouton sur le pubis de Martin et remua avec force, délivrant un grand cri de joie qui envahit la pièce et l’arracha au moment présent, la transportant dans un monde où plus rien n’existe. Le puissant membre enfuit en elle étant la seule chose qui la rattachait à la réalité devant elle.

Elle prit bien le temps de savourer l’instant, ces main posées sur le torse de l’homme étendu devant elle. Des soubresauts de jouissance mouraient
tendrement entre ces cuisses. Elle se releva doucement, l’embrassa et enfila sa serviette avant de s’assoir exténuée, sur le banc de la douche devant lui

-Je veux mon massage maintenant mon beau. Je prends quelques minutes et je te rejoins dans la salle de yoga, j’espère que tu saura me masser aussi bien que tu sais prendre une femme…

Pendant les semaines suivantes, Caroline se découvrit un nouvel entrain à l’exercice et elle fréquenta la salle de gym assidûment, avec une source de motivation renouvelée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

TIGER White
je veux la suite svp sir
Posté le 9/03/2016

lola
j'adore, très sensuel
Posté le 5/02/2016

Marie
Hyper sensuelle, je veux la suite des aventures de Caroline.
Posté le 11/11/2015


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