Histoire Erotique

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Sensations

Une nuit qui promet d'être forte en émotions, et surtout en sensations. Une femme tentant de décrire ces sensations, et quelques unes de ses pensées, dans le chaos organisé qu'est une nuit torride. Qu'est ce que ça donne en mots de se faire prendre

Proposée le 20/05/2021 par Chimère

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Tout mon corps n'est que sensation.


Sensation de ton souffle contre mon cou. Sensation de tes lèvres humides qui peut à peut s'ouvrent face à la pression des miennes, laissent ma langue te gouter. Gouter ta langue, sentir tes dents, pour finir par un mordillement, comme pour ne pas que tu partes. Pour t'arracher un petit bout et le garder pour moi.


Le mélange de douceur et de douleur te fait gémir. Ce gémissement rentre dans mon être, dans mon âme, et fait battre mon cœur entre mes jambes. C'est le sang qui afflue, me réchauffe. Ca palpite.
Je sens ta main contre ma cuisse, qui à l'appel de la chaleur se fraie un chemin. Tu t'approche lentement, avant même que t'y sois j'émets un son aigu. Tu me frustres, mais sais que j'adore ça.


Enfin un doigt rentre en moi, tu ne t'attardes plus, tu restes en moi, bouge lentement. Je ne peux plus réfléchir qu'à cet intrus en moi, puis comme si je me rappelais de comment les choses sont, je sais que ce n'est que le début, et qu'après une autre partie de toi sera en moi. Je la sens qui ne demande qu'à respirer à l'air libre. Je viens te lécher l'oreille en commençant du lobe et en remontant le long du cartilage, que tu comprenne que je veux remonter autre chose. Tu le comprends et enlève ton doigt de moi, ou peut être ne comprend tu plus rien et c'est ton corps qui communique avec le miens.


Je m'assois sur toi. Que nos sexe entre les vêtements se touchent, plus que chaleur, et logique animal, cette bosse ne veut que rentrer dans cette fente qui est là pour elle. Mais je ne suis pas un animal, je suis une femme qui t'aime et a très envie de m'amuser un peu.
Je descend ta braguette, ouvre le bouton de ton pantalon, tire l'élastique de ton caleçon avec mes dents et le descend. Je suis à présent à genoux entre tes jambes et je te regarde, te souris. Laisse la chaleur se diffuser entre mes cuisses, pour pouvoir avoir l'esprit un peu plus clair. Je sens du désir dans ton regard et comme de la gratitude. Je veux que tu te laisse aller, que tu perdes le control pour mieux le reprendre après. Laisse toi maîtriser, même si je suis dans une apparente position de soumission, je suis à genoux devant toi, mais j'ai le pouvoir à porté de ma bouche.


Je lèche ton membre déjà dressé, ouvre légèrement ma bouche et la fait coulisser contre les bords. Maintenant qu'elle est bien humide de ma salive, je recule et souffle dessus, tout en l'effleurant avec ma langue et en te regardant. Je ne veux perdre aucune miette de ce spectacle. Ta tête se contracte en grimaces de plaisirs, tu tressailli. Ta main s'approche de ma tête, caresse mes cheveux, mais je connais le prochain mouvement, je sais ce que tu veux, mais je refuse. Je m'arrête, réussi à te mordiller le poignet. Tu me regardes suppliant, un faible et craintif s'il te plait sors de ta bouche. C'est jouissif, savoir que la seule chose que tu veux c'est que je la prenne entièrement dans ma bouche. Et cette chose je peux te la donner, mais il faut patienter, le mériter. Je la prend dans ma main tout en malaxant le dessous. Je ne suce que le bout rosé, et puis le plus soudainement possible, quand je sens ma bouche pleine de salive, je m'agrippe à ton pantalon et l'enfonce en moi, le plus loin possible. J'arrive à lécher dessous avec le bout de ma langue. Je tiens le plus possible. Fait quelques aller-retours, bref et le mouvement te fait créer un râlement te satisfaction. C'était le signal, je recul.


Je veux continuer mais tu me soulève, te lèves en me portant et en m'embrassant. Ta langue s'enfonce au fond de ma gorge, tournoie. Tu te noie en moi. Mais en réalité ça veut dire que tu as repris le contrôle que tu vas diriger la suite. Et ne pas savoir ce qui m'attends, mais ne pas douter du plaisir retiré me fait avoir un frisson tout le long de la colonne vertébrale. Tu le sens et me sers contre toi encore plus. Nos bouches férocement l'une contre, l'autre. J'ai les yeux fermés, je ne respire plus, et puis tu me repousse violemment, mais j'atterri sur le lit. J'ouvre sous le choc et la décharge électrique que ça m'a procuré les yeux et inspire profondément. Cette respiration longue et intense me fait légèrement tourné la tête, mais la suite ne sera que plus transcendantale.


Je n'ai pas le temps d'y penser, tu attrapes mes jambes et rapproche mon sexe du tien. Je suis de nouveau avec toi, confuse, perdue, mais avec toi. Tu frottes ton gland, contre mon clito. Avec force, puis doucement. Mes jambes se contractent, puis se relâchent, et recommencent. Je ne contrôle pas ces spams et je sais ce qu'ils prédisent. Ma respiration s'accélèrent. Décharge intense. Tout mon bassin convulse. Je tente de contrôler, mais tu profite de ces contractions et de la confusion pour rentrer en moi. Tu savoures les dernières contractions que j'ai du premier orgasme et qui en promets plusieurs. Tu ne bouges pas, juste reste moi, attends que je reconnecte avec toi. Je te regarde et rigole, je suis spécialement sensible ce soir. Tu ne rigole pas toi. Toi tu me dévores des yeux tout en souriant. Tu embrasses mes seins. J'arrête de rire et viens bientôt une respiration régulière, en synchronisation avec tes mouvements de bassin. Je contracte les cuisses, contracte mon périnée et le relâche. Je veux participer comme je peux. T'embrasse le cou, gémis dans ton oreille. Mais tu t'arrêtes. Maintenant c'est à toi de complètement maîtriser.
Tu me retournes. Te colles contre moi et viens me susurrer à l'oreille "Cambre toi plus, que je puisse pleinement apprécier la vue de ton cul!" Je m'exécute de suite. Je pose la tête sur le drap, et m'y agrippe. Remonte mes fesses en écartant légèrement les jambes, t'offrant une vue imprenable, et pourtant… Je ne te vois pas, ne t'entends pas, mais je sens ton regard sur mes formes, sur mon intimité, je m'offre pleinement à toi. Et savoir que tu te délecte me fait gémir. Je sens un léger souffle, puis une chose humide passant sur mon clito et remontant jusqu'à mon anus. Tes mains me caressant les cuisses et le cul, douces caresses qui se transforment. Tu me tiens fermement. Je sens ton gland se frayant un chemin dans la fente. Tu rentres un peu, recul, revient un peu plus, toi aussi tu t'amuses. Tu sais à quel point je la veux pleinement en moi. Je me recule doucement, timidement, mais ta main s'abat avec force. Je crie de plaisir. Je sens encore ta main sur mon cul, alors que quelques secondes sont déjà passées depuis la fessée. "Docile ma belle, tu la veux c'est ça?" Tu veux l'entendre, mais je ne me soumettrais pas comme ça. Je me tourne pour plonger mes yeux dans les tiens, un sourire un coin des lèvres. "Je me repositionnais juste, prends ton temps." Je te sens d'abord désarçonner, mais le sourire que tu me renvoies me fait tressaillir. Qu'ai-je fait, bien sûr que je te veux en moi. Je sens que j'ai touchée pile où il fallait pour que tu me rendes folle.


Ton gland encore en moi, tu viens m'embrasser. Puis d'une caresse, vient humidifier ton pouce en le posant sur ma langue. "On verra." Me répond tu sur un ton de défi. Ton pouce se pose à l'entrée de mon cul et s'enfonce un peu. Tu te retire, et à la place rentre deux doigts. Tu commences à les agiter. Cette double stimulation, me fait haleter, mais tu me dis " Ne vient pas avant que je sois en toi! Je veux en profiter. Retiens toi!" Mais c'est trop fort. Je sens de nouveau des contractions involontaires arriver. Tu ralentis. "Calme, retiens toi j'ai dit!", "Mais j'en peux plus." Je le dis presque honteusement. Les vas et vient reprennent de plus belle. "Alors dis le!" Oui je vais le dire. Oui je te veux! Je t'en supplie je la veux! Je t'en supplie, je te veux en moi! Prend moi, prend moi je n'en peux plus! s'il te plait.


C'est bon tu m'as rendue folle. Je ne peux plus m'arrêter de te supplier avant de te sentir. Supplice mêlé de soupirs. Court instant d'accalmie, puis tu t'enfonces entièrement. Enfin! Nos gémissement, nos soupirs, le bruit de nos corps créent une mélodie exquise. Tu m'attrapes les cheveux et les tirent vers toi. Mon corps se soulève, l'autre main s'agrippant à un sein. Ta langue s'attarde le long de mon cou, et tes mouvements de bassins s'intensifient. Je me suis retenue trop longtemps, toutes ces sensations me font perdre pieds. Ma vision se brouille, la mélodie s'éloigne, mon corps s'engourdi. Avant la décharge j'ai le temps de te dire que je vais venir. La main qui me tenait par les cheveux passe sous mon bras, et viens se placer sur ma gorge. Tu m'embrasse en accélérant encore. Pendant quelques secondes il n'y a plus rien, ni toi, ni moi. Pas de lit, pas de corps. Simplement un courant électrique qui émane de notre être et qui en se rencontrant crée une explosion. Où je suis, qui je suis, avec qui, plus rien n'à de sens. Le temps, l'espace, plus rien n'existe. Seul subsiste cette explosion.


Quand je reviens à moi je me rend compte que tu t'es couché contre moi en m'entourant de tes bras. Tu es encore en moi. La seule chose que j'arrive à dire c'est waouh. Tu rigoles, et je te suis. Tu te retires et je peux me retourner contre toi, nos jambes s'entremêlent. Nous nous emboitons en câlin. Nous embrassons encore. Je pose ma tête contre ton torse, et toi sur ma tête. J'entends ton cœur battre, et sens ta respiration. Petit à petit la respiration devient régulière. Ton cœur bat de plus en plus paisiblement. Une nouvelle mélodie a remplacé la précédente. Celle de la satisfaction, de l'apaisement. Je me laisse bercer, mais je sais que la nuit n'est pas encore finie, ce n'était que les prémices…

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