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De l'autre côté du miroir (Chapitre CXIX La nouvelle unité d'élite)

Déshabillées du regard par un roi asiatique qui fait sa reddition au vainqueur, Ulla et ses amies, essaient de trouver une solution. Elle confectionne une toge, mais son amant la trouvera encore plus séduisante.

Proposée le 15/10/2020 par Antigonos

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Ulla n’attendit pas le retour de ses amies pour confectionner sa propre toge. Oskar Petersson son amant, qui vivait avec elle, et le professeur Louis Marcel attendaient le roi. Celui-ci avait pour habitude, de chevaucher une de ses montures dès la fin du lit de justice.
Lorsqu’il arriva enfin chez les trois géographes, il fut choqué par la Suédoise :
« N’est-ce pas là, le travail d’un esclave ?
- C’est un loisir.
- Tu es libre après tout ! C’est un vêtement que tu fabriques là ?
- Oui.
- L’été ne fait pourtant que commencer. Et puis, il y a les tailleurs…
- Sache que je préfère le faire moi-même. »
Le roi n’insista pas. Il interrogea les géographes. La visite du roi Tcheng montrait qu’Ektara avait conquis d’immenses territoires. Au nord, un océan de glace limitait son empire, et le sud donnait sur la Chine, son éternelle obsession.
Il questionna les géographes à propos du grand fleuve et du désert de froid qui étaient les dernières barrières. Oskar demanda confirmation à son amante avant de répondre :
« La Chine n’en est qu’à sa première dynastie. Elle est en pleine anarchie. Le fruit est donc mûr pour toi. A toi de vaincre ces obstacles. »

Tout en parlant, il contemplait l’ouvrage de sa pulpeuse compatriote… Elle était belle nue. Elle lui avait confié que le roi Tcheng et sa suite avaient eu des regards obscènes à leur encontre. Il n’en parla pas au roi qui n’aurait pas hésité à rompre toute négociation…
Louis Marcel se sentait parfois gêné lorsque leurs yeux pleins d’amour se croisaient. Il quitta donc ses compagnons en même temps que le roi.

Et lorsque la toge fut enfin prête, son amante l’invita à sortir…

Au bout d’un moment, elle le rappela. L’homme découvrit alors sa jambe droite. Comme un loup, il lui tourna autour. Son flanc gauche était à découvert et ne pouvait dissimuler même une partie du sein. De derrière, une partie du dos s’offrait à son regard…
Flattée d’être si convoitée, elle prévint sans aucune conviction :
« Oskar, il n’est même pas midi.
- Au diable l’heure et les voisins ! lui chuchota-t-il à l’oreille. »
Il était derrière elle, et commençait à lui baiser le cou. Les fesses d’Ulla se frottèrent à son sexe, et un sourire anima le sourire de la Suédoise.
La main de son amant, passa dans l’ouverture gauche pour soupeser un sein…
« Si c’est comme ça que tu comptes protéger tes amies, se moqua-t-il.
« C’est un véritable appel au viol.
- Le regard des Asiatiques se portaient sur notre sexe, répondit-elle en continuant à se frotter contre son sexe. »

Maintenant, il lui baisait la partie dévêtue de son dos. Sa main restait inerte. Elle soupesait le sein si doux au toucher. Ulla commençait à frissonner, mais elle dit :
« Oskar, que penses-tu de Brigitte, Annie et Christiane ?
- Le nu intégral leur va très bien. Ce sont tous les trois de belles femmes, fit-il en continuant de la baiser dans le cou…
« Mais, fit-il en saisissant subitement son sexe encore vêtu, pour l’attirer vers lui…
- Mais ? demanda-t-elle en sentant de plus belle, le membre en érection.
- Leurs trois colliers de cheveux qui dansent sur leur poitrine, leur donnent une dose d’érotisme.
« Les Hippides ne voient que les colliers, mais le peuple est sensible.
- Tu penses à elles, en ce moment ? fit-elle en posant sa main sur le membre.
« Toujours ce maudit jean ! Ca fait des mois que tu le portes !
- Chéri, je n’en ai pas d’autre !
- Mais ici les gens se promènent nus !
- Tu viens de parler de tes copines. Imagine que je les croise. De quoi aurais-je l’air ?
- Alors prends un pagne. Mais je ne toucherai pas à cette horreur. »

Elle avait raison. Au fil des mois, il ne s’était même pas rendu compte qu’il pouvait l’incommoder. Il enleva son jean. Et revint à l’assaut. Cette fois, il était face à elle…
« Il dégagea son sein gauche, l’avala goulûment, passa une main entre ses cuisses et en tenant la toison, il lui dit :
« J’aimais bien quand tu t’épilais.
- Moi aussi. Ca change, répondit-elle. Mais avec quoi veux-tu que je m’épile, ici ?
- Demande à tes copines. »
Cette fois, sa main de propriétaire caressait la fente déjà humide. Pendant que la bouche aspirait l’aréole rose et le téton proéminent…
Ulla n’avait rien d’une Amazone. Elle manifestait son plaisir bruyamment. La chaleur et les caresses la firent transpirer. Cette fois, elle saisit la verge en érection, mais elle ne se résolut pas à se baisser pour l’avaler. Elle préférait encore savourer sa bouche et la main exploratrice.

Elle renonça à la sollicitation de son sein, pour pouvoir l’embrasser. Leurs langues tournoyaient, leurs bouches s’aspiraient. Elle sentit la verge se gonfler davantage…
Un moment, elle se retira pour mieux contempler ses yeux bleus. Il l’aimait, elle l’aimait. Lui, l’embrassa de nouveau. Une main tenait ses fesses pour la rapprocher, l’autre sa tête pour ne pas qu’elle s’échappât…
Toujours accrochés par leurs bouches avides, il lui défit l’étroite ceinture. La toge n’ayant plus de soutien, tomba presqu’aussitôt.

Sa nudité triomphait. A nouveau, il lui aspira un sein, en la serrant par les fesses. A nouveau elle gémit. Il aspira l’auréole et lui titilla le téton. Se prosternant comme devant une déesse, il la baisa sur tout le ventre jusqu’au nombril qu’il titilla, avant de se jeter à l’assaut des lèvres déjà gonflées.

Prosterné devant sa déesse, il écarta la fente, contempla les chairs roses et y passa la langue… Du clitoris au plus profond de son intimité, elle poussait des cris. Pour l’aider dans sa tâche, elle posa jambe et mollet sur l’épaule de son homme…
La femme haletait de plus en plus, elle prit la tête de l’autre pour l’empêcher d’arrêter…
Elle cria… Oskar reçut dans sa bouche la chaude jouissance.
« On a dû t’entendre jusqu’au palais, fit-il en se relevant.
- Je n’ai pas à cacher que je t’aime, dit-elle en l’embrassant.
- Ulla, je t’adore… J’ai déjà aimé des filles… Mais toi, je t’adore.
- Moi aussi, fit-elle en s’emparant à nouveau de sa verge.
« Tu veux me prendre par derrière ?
- Je veux surtout voir ton cheminement du plaisir. Pour une fois que je le ferai en plein jour.
- Je suis tout à toi, dit-elle en s’abaissant. »

Son érection durait depuis longtemps. Enivrée par ses sucs, elle avala directement le gland. Une fois rassasiée, elle commença à le pomper. Mais le traitement était trop risqué…
« Allonge-toi sur le dos ! »
Il présenta son gland devant l’entrée du sanctuaire. La fixa dans les yeux au premier coup de boutoir. Et lorsqu’il vit sa réaction, il réalisa qu’il l’aimerait de plus en plus.
Puis il lui saisit les mollets…
« Tu vas souffrir petite grenouille. »
Elle se contenta de lui sourire. Et il commença son agréable besogne. Il lui arrachait des cris de plus en plus forts, à chaque fois qu’il accélérait. Puis il ralentissait…
« Salaud ! »
Il renouvela son opération plusieurs fois et parfois s’arrêtait…
« Salaud ! »
Devenue complètement dingue, elle eut un regard de triomphe. Elle connaissait son homme… Il allait capituler…
Ils jouirent en même temps…

Il se retira pour l’embrasser. Chacun aspirait l’autre au point qu’il sentit d’agréables picotement sur son pénis. Elle lui tenait la tête dans ses bras…
« Tu es belle quand tu jouis… »
Elle s’accouda et se remit à le masturber. Dans cette position, elle pouvait contempler son œuvre, et caresser le regard de l’être qu’elle aimait.
Il était si beau à regarder qu’elle se décida à presqu’à regret, de s’avancer vers le membre en érection.

Sa bouche maintenant commençait à titiller le méat urinaire. Elle lui offrait une vue splendide sur son fessier. Il voulut l’attirer, mais elle se déroba. Frustré, il lui jeta une claque qui fit frémir ses muscles joufflus et qui dut retentir bien loin de chez eux.
Pendant ce temps, elle avait gobé tout le méat, et aspirait la hampe en creusant des joues. Puis elle l’avala complètement en salivant le membre qui vint buter contre sa gorge…
Avant de le connaître, elle n’avait jamais fait de gorge profonde. Mais l’amour est une muse puissante.
Elle suçait, pompait, avalait complètement…
A nouveau, ses fesses se dérobèrent…

Au bout d’un moment, elle se prosterna, comme une soumise ou une adepte d’une religion. Elle prit ses deux mains et écarta son anus…
« Punis-moi, maintenant ! »
Oskar ne put résister. Il lui présenta son gland humidifié par la salive. Il força le muscle étoilé, le défonça, l’écartela…
« Salaud ! fit la suppliciée. »
La croupe en l’air, elle se laissa guider. Elle ne voulut même pas se masturber d’une main. Elle l’aimait et devait souffrir pour lui. Mais elle savait qu’il l’aimait tout autant et que cette opération, même si elle ne la menait pas toujours à l’orgasme, serait bien agréable.
A genou derrière elle, il commença à la défoncer. Mais très vite, le contact des seins ne lui suffisait plus. Il fallait qu’il les empoignât. Et pour se faire, il enjamba la belle…

Elle aurait voulu souffrir pour lui, mais cette nouvelle position lui arracha de nouveaux cris de plaisir. Pourtant, il la baisait sauvagement, bestialement, sans ménagement. Paradoxalement, elle n’en était que plus excitée. Elle était la femelle, et lui le mâle.
A coups de reins et de sphincter, elle arrachait à son amant, le maximum de plaisir… Mais la conjugaison des ses mouvements, les mains qui emprisonnaient ses seins lui arrachèrent de nouveaux cris…
Son sexe béant ruisselait, les claquements des testicules contre sa fente, contribuaient à son désir…
Finalement, elle le sentit se rétracter… Il éjacula, elle jouit…

Anéanti, il s’allongea… Elle vint pour l’embrasser et une goutte de sueur tomba sur son front… Ensuite elle posa sa tête sur son torse…
« Je t’aime Oskar… »

Ce ne fut qu’à ce moment, qu’ils entendirent les chevaux aller et venir, les clameurs dans les rues, et tous les bruits familiers. Le monde avait continué d’exister.

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