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De l'autre côté du miroir (Chapitre XL Les Hippides au marché)

Les Hippides vainqueurs des Argiens et des Mycéniens ramènent le butin. Celui-ci composé en partie d'esclaves est proposé aux guerriers, puis au gens du peuple. Mais Ektara, l'Amazone, réclame les invendus.

Proposée le 28/09/2020 par Antigonos

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


Une des Hippides lança pour mieux les humilier :
« Les esclaves doivent être à poil. Je ne veux pas être roulée sur la marchandise.
- Vous entendez, esclaves ? fit l’officier. » chargé de la distribution.
Même sans comprendre la langue, ils savaient qu’ils avaient le choix entre trois options. Etre vendus, ne pas être vendus, donc être tué. Et une troisième option bien pire, tomber aux mains des amazones. Trois d’entres elles attendaient. Ils ne savaient pas quoi, mais elles étaient là…
Ils se laissèrent donc dévêtir ou le firent volontiers.

Celle qui avait demandé qu’ils se déshabillent, fut la première à soupeser les organes virils des mâles qui l’intéressaient.
Les éventuels acheteurs et acheteuses poussèrent de grands éclats de rires. Les femmes s’amusaient à les exciter en leurs pétrissant les bourses, en les masturbant, en comparant les pines en érection. De leur côté, les hommes évaluaient les seins, les fesses, les hanches, les cuisses selon l’usage qu’ils comptaient faire de ces femelles. D’autres vérifiaient s’il n’y avait pas de pucelles dans le tas.
Une femme prit un objet long et annonça :
« Je vous parie que j’en fais bander un, sans lui toucher la pine ou les couilles. »
Elle n’eut que des fous-rires en guise de réponse…

Elle ordonna ensuite à un esclave de se pencher et lui enfonça subitement l’objet dans le derrière. La brutalité de la femme était telle que la douleur lui arracha cri et larmes, mais l’érection était presqu’instantanée.

Un des soldats décréta :
« Je prends cette pucelle.
- Elle est à toi, fit l’officier de distribution.
- Attendez les copains. Nous, on n’a pas encore choisi, fit celle qui avait demandé qu’ils se déshabillent.
- Nous t’attendrons. On inaugurera nos jouets ensemble.
- Il a une grosse queue, mais est-ce qu’il dure longtemps ? hésita l’acheteuse.
- Prends-le, fit une seconde guerrière. On se les prêtera.
- Elle choisit à son tour « une grosse queue » et un autre homme choisit une autre pucelle.

Après avoir conclu l’affaire, les deux guerriers et les deux guerrières prirent le même chemin, arrivèrent dans le même campement et pénétrèrent dans la même tente. Humiliés, les esclaves avaient échappé aux amazones qui étaient restées impassibles. Aucun sentiment n’avait émané d’elles. Elles auraient pu se moquer, elles-aussi, mais il n’en fût rien… Elles étaient à l’image de leur légende, des créatures démoniaques que les enfers avaient rejetées avec d’autres cavaliers de l’élite des Hippides.
Les esclaves mâles devaient faire le vide dans leurs têtes, car ils étaient encore terrorisés par les statues de marbre. Ils devaient les oublier pour être en érection, et pour ne pas tomber entre leurs mains.
Les femmes savaient qu’elles allaient être violées, mais elles aussi avaient croisé les regards démoniaques de ces femmes qui méprisaient la mort.

La tente commune était suffisamment ouverte au gout des quatre soldats et les guerrières supplièrent leurs compagnons d’attendre qu’elles se fussent installées. Elles écartèrent les jambes sur les Argiens allongés, présentèrent leurs fentes touffues qui s’approchèrent jusqu’aux bouches des esclaves.
« Bouffe ma chatte, ordonna l’une d’elle sans chercher à comprendre si l’autre comprenait le hippide.
- C’est bon pour moi aussi, fit la seconde.
« A vous les mecs ! »
Les jeunes filles qui virent les membres en semi-érection n’osèrent croire ce qu’on leur demandait. Un des guerriers s’impatienta et la lui fourra dans la bouche.
L’autre en revanche, caressait les cheveux de la sienne pour la rassurer, mais aussi pour l’inviter à obéir.
« Iznar, crièrent les femmes. Ce n’est qu’une esclave ! Regarde Eldemar, lui il lui montre qui est le maître.
- Ca m’excite, fit la seconde en cherchant à accélérer le rythme de son lécheur. »
Pour montrer sa bonne volonté, il voulut lui lécher le clitoris, mais elle n’avait pas encore besoin de ce stimulant.

Finalement, la pine d’Iznar se glissa dans la bouche de la suceuse. L’autre pompa celle d’Eldemar en s’appliquant au maximum car les regards glaciaux des Amazones marquaient encore son esprit.
Après quelques instants, la pine d’Eldemar avait pris un aspect appétissant. Et les deux guerrières continuaient à se faire gentiment « bouffer la chatte ».
La langue des suceurs provoquait de jolis clapotis qui indiquaient que la mouille des guerrières inondait leurs parois intimes…

Mais le moment tant attendu arriva. Eldemar se retira de la bouche de la pucelle et lui écarta les cuisses… Sans doute pensait-elle encore aux regards vides, car elle n’osait s’opposer… Le membre trouva l’entrée, y pénétra, força l’hymen, arracha un immense cri de douleur, et buta contre la dernière paroi. La fille sentit que le plus dur était passé, mais elle hurlait, criait, pleurait…

Ses pleurs excitèrent les deux guerrières qui chevauchaient de plus en plus vite les langues des esclaves. Iznar haletait. Visiblement, il allait jouir…
« Crache-lui dans la bouche ! »
Il éjacula… Humiliée, la fille entendit les cris et les pleurs de sa compagne d’infortune.
« Regarde-la, fit une des femmes. Pour une esclave, elle fait la difficile. Moi, je le trouve très bon le jus d’Iznar.
- Moi aussi. Tout ça m’a bien excitée. J’ai besoin d’une bite, maintenant. »

Sans préambule, elle s’empala sur son esclave. Elle n’avait même pas eu besoin de le masturber car lui aussi, s’était excité à lui lécher les organes intimes… Très tôt elle gémit…
L’autre attendit que la pine d’Iznar reprenne sa vigueur… Il y avait une autre esclave à dépuceler. Mais comme son compagnon d’armes tardait, elle commença à haleter, de plus en plus fort. Ses gémissement devinrent des cris, puis des hurlements de plus en plus rapprochés… Ses cuisses emprisonnèrent la tête du lécheur. Dans un hurlement, elle jouit… Sa cyprine inonda la bouche de son mâle…
Au dehors, des aboiements répondirent à son cri…
« Heureusement que nous ne sommes pas en campagne, commenta Iznar en caressant le sexe de sa femelle… »
Il avait évoqué un souvenir qui valut dix coups de fouet à sa compagne de combat. Ils étaient en patrouille au pays des Mycéniens, et son plaisir avait failli trahir leur présence.
« Quand je suis heureuse, je le crie, ricana celle-ci encore haletante. »

Ses cris de bonheur avaient excité tout le monde. L’esclave d’Iznar écartait instinctivement les cuisses. La devinant prête, celui-ci se présenta devant elle… Il lui chuchota des mots rassurants dans une langue inconnue…
Il entra dans la fente sacrée, enfonça son pieu d’un coup sec. L’hymen céda. Elle hurla sous l’effet de la douleur, et contrairement à son compagnon, il la besogna avec soin… Il aurait voulu qu’elle éprouvât du plaisir. Si elle avait été une femme libre, il aurait accompagné sa préparation de caresses buccales. Mais titiller le clitoris ou lécher la fente d’une esclave, était au-delà de ses forces…
Finalement, elle commença à pousser de petits gémissements qui l’encouragèrent à continuer…

A côté, celle qui venait de se faire violer, se faisait défoncer l’anus sous les ricanements des deux guerrières maintenant empalées. L’esclave hurlait sous l’action de l’énorme pieu. Elle était sûre que jamais plus, il ne se fermerait…
Eldemar était heureux. Tous ses cris de douleurs l’excitaient.

Celle qui recevait les assauts d’Iznar gémissait. Sans doute se masturbait-elle ou échangeait des caresses avec les filles, mais elle ne soupçonnait pas qu’un homme put lui faire autant de bien. Elle aimait ce mâle et le goût du sperme qu’elle avait encore dans la bouche, lui parut subitement plus agréable. Les cris de douleur de sa compagne d’infortune, d’un côté, les gémissements de plaisir des deux guerrières de l’autres, les caresses sur ses seins mettaient tous ses sens en éveil.
Elle voyait dans les yeux du soldat, quelque chose de mystérieux et bienveillant. Elle ne ressentait plus la douleur en cet instant, mais cela ne semblait pas suffire au mâle. Il voulait lui offrir un maximum de plaisir.
Elle ne savait pas que, s’il avait éjaculé dans sa bouche, c’était pour ne pas venir tout de suite en elle. Elle ne savait pas qu’il voulait lui faire connaître l’orgasme.
L’homme lui pétrissait les seins… Il allait et venait au rythme de ses gémissements… Elle haletait, transpirait, essayait de se retenir pour le remercier… Devinant qu’elle était prête, il accéléra la cadence. A son tour, il essayait de se retenir, mais il n’était pas surhomme… Transpirant, luttant contre l’inévitable, les deux se retinrent, et jouirent à l’unisson…
L’homme tomba sur la femme. Il voulut l’embrasser, mais c’était une esclave. Il retira sa pine encore en érection, elle se jeta dessus pour lui montrer sa gratitude…

A son tour Eldemar éjacula dans les intestins de sa victime. Les deux esclaves se regardèrent honteuses. L’une avait été brutalisée et l’autre avait connu le plaisir...
« Pense aux amazones, chuchota la dernière qui se sentait plus en droit de parler. »
Ces paroles que ne comprirent pas les autres, lui rappelèrent qu’il y avait sûrement pire que le viol...
Comme l’attention des guerriers se portaient maintenant vers leurs compagnes de lutte, les deux filles soulevèrent légèrement la tente pour vérifier qu’il n’y avait pas d’amazones dans le camp.

L’une des deux guerrières avait repris sa place initiale, et l’esclave devait avaler le sperme qu’il avait mis dans son vagin. Evidemment, elle lui ordonnerait vite de lui « bouffer la chatte », mais pour le moment, elle préférait éviter le risque d’être engrossée et de ne pas pouvoir partir pour de nouvelles campagnes.

Son amie qui s’était empalée sur le sien, commençait de nouveau à hurler, ceux et celle qui la connaissaient, souriaient… Deux autres soldats accoururent voir la scène… Finalement, elle se contracta, se relâcha et poussa ce hurlement qui sonnait la fin… Elle avait joui…

Au lien, les chiens aboyaient et un des officiers qui s’inquiéta de ce remue-ménage, demanda à celui qui l’avait fouetté un jour…
« Que ce passe-t-il ?
- C’est Enna qui connaît le bonheur, répondit l’autre attendri.
- C’est vrai qu’on peut attendre plus de discrétion de la part d’une Hippide, ricana l’officier. »

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Blueberry89
Belle plume, j'apprécie cette lecture.
Posté le 28/09/2020


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