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De l'autre côté du miroir (Chapitre XXXI : Les invités)

Après avoir fait un bon accidentel dans le passé, onze personnes se retrouvent en -1900. Parmi eux, Emile humilié par son épouse qui l'a répudié. Il se vengera d'elle et de son nouveau mari d'une drôle de façon. On pourrait d'ailleurs appeler cet extrait : "Emile ou la vengeance du lâche". Un extrait principalement sadique.

Proposée le 7/10/2020 par Antigonos

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Thème: Vengeance
Personnages: FHH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


Emile Schmitt qui s’était montré trop lâche, restait taciturne. Il ne disait rien, répondait simplement à ce qu’on lui demandait, et regrettait la cour. Il avait cru se faire une nouvelle vie à la capitale. Mais ici, il partageait le pain et la viande de ceux qu’il avait trahis et qui le détestaient. Lors des présentations, il avait été l'unique membre de l'expédition à ne pas être présenté à la Grande Trias. Comment aurait-elle réagi si elle avait appris qu’il avait essayé de jeter sa mère au lion ? Heureusement pour lui, Marc Jonas n’était pas bavard sur ce point.
Le divorce d'avec Antonella qui épousait son vieil ami, n’était qu’une humiliation de plus. Serge, son vieux copain avait épousé sa femme qui le traitait de lâche. Il lui fallut donc se venger. Ne serait-ce que pour se réhabiliter lui-même en tant qu’homme...

Après le banquet traditionnel, il se mit à la recherche d’un bâton suffisamment flexible. Lui et la plupart des étrangers, habitaient dans la ville haute pour être plus proches de la tente royale. Il lui était donc facile de trouver son bonheur… Il évalua le bâton et le fit siffler dans les airs…

Satisfait de son choix, il descendit vers la ville basse. Au premier bordel, il s’arrêta et deux filles le reçurent :
« Avez-vous des garçons ?
- Oui, étranger.
- Et bien, je veux un garçon et une fille. Mais j’exige que ce soient des esclaves.
- Comme tu voudras, étranger. Ce sera deux pains.
- Voici la moitié d’une miche. Vous me rendrez la différence, ordonna-t-il. »

Les deux prostituées, citoyennes libres de l’empire s’interrogèrent du regard. Mais même s’il avait l’air maussade, elles n’imaginaient aucune mauvaise intention. Parmi les étrangers, il y avait les trois géographes qui avaient la faveur du roi. Il y avait également le chasseur, les trois filles que tout le monde chérissait, et les parents de la Grande Jonas. Même Emile qu’on surnommait « le bricoleur », avait un capital de sympathie. N’avait-il pas chassé les odeurs les plus nauséabondes ?
Il n’y avait décidément aucune raison de s’inquiéter…

Sa collègue alla donc chercher un esclave mâle, et le fit patienter, car les filles étaient avec des clients. Pendant ce temps, l’autre arrachait l’équivalent de deux pains.
Elles auraient voulu bavarder, mais ce n’était pas leur rôle. Si le client voulait le faire, il commençait.

Impassibles, elles attendaient… Finalement un client sortit et une fille le suivit en s’essuyant entre les cuisses…
« C’est une esclave ? demanda-t-il.
- Oui.
- Et bien, esclave, tu ne feras pas ça avec moi. »

Le mâle était nerveux. Cet homme ne lui inspirait pas confiance. La femelle, elle, en avait vu de pires. Combien de fois s’était-elle fait violée ! Elle avait l’habitude des brutes. Ce n’était qu’une question de chance. Quant au fait qu’il refusait qu’elle s’essuyât, beaucoup d’hommes exigeaient la même chose.
Seuls les Hippides respectaient systématiquement les femmes, mais c’était des soldats bourrus et sans délicatesse. Parfois, des hommes du peuple étaient plus avenants. Certains leur donnaient même des présents. L’étranger ne serait pour elle qu’un client comme un autre…
« Vous pouvez monter, fit l’une des deux prostituées libres. »

Une fois dans la chambre, il ordonna à la femelle de se mettre à quatre pattes. Sans surprise, elle obéit.
Emile contemplait ses fesses… Il imagina que c’était celle d’Antonella, son ex-femme…
Guidé par son esprit meurtri, il lui donna un violent coup de baguette…
Elle hurla. Sa douleur augmenta son excitation. Il recommença encore. Encore. Encore. Encore… Sa douleur atténuait la sienne…

Le mâle se demanda s’il avait affaire à un fou. Libres ou non, prostituées et prostitués s’entraidaient. Mais là, c’était uniquement le travail. Il entendait les coups de baguette siffler dans l’air avant de s’abattre et d’arracher un nouveau coup de douleur à sa compagne… Ses fesses étaient zébrées de traces rouges et violacés…

Emile ne voyait que les fesses d’Antonella… Elle hurlait, implorait sa clémence…
« Toi, dit-il sans se retourner. Branle-toi et dis-moi quand tu seras prêt. »
L’autre s’exécuta. N’était-il pas là pour satisfaire la clientèle ?

En bas, les deux filles s’interrogeaient. Que pouvaient-elles faire ? Si les autres avaient été libres, elles auraient pu appeler un garde, mais que faire contre un protégé du roi et des reines ? S’il avait précisé des esclaves, c’était pour sauvegarder son immunité. Le seul reproche qu’on pourrait lui faire, était de s’être substitué à leurs propriétaires.
Impuissantes, elles entendaient hurler celle qui était, pour elles, une collègue comme une autre.

Emile ne voyait qu’une chose. Ces fesses étaient celles d’Antonella, l’épouse infidèle qui l’avait humilié...
« Maître fit l’esclave, je suis prêt.
- Encule-la…
- Il se positionna à genoux, grimpa sur elle sans la pénétrer, et lui chuchota :
« Excuse-moi…
- Ta gueule, Serge, ! hurla l’autre en lui assénant un coup de baguette. »

Il enfonça l’étroite pastille en espérant que sa compagne y mettrait du sien. Mais le sphincter resta inerte. Trop endoloris, ses muscles ne réagirent plus…
« Plus vite ! fit Emile en assénant un nouveau coup de bâton. »
Il la força, et lui arracha un immense cri de douleur, beaucoup plus long que tous les autres.
La malheureuse pleurait et hurlait. Sa douleur était si intense qu’elle ne pouvait plus se permettre la moindre réaction. Elle avait mal de partout. Un relâchement de ses fesses en ce moment aurait été horrible…

Par pitié et habitué au métier, le garçon se hâta d’éjaculer…
« Déjà, fit Emile en le frappant sur la verge et sur les flancs…
« Et tu prétends rendre ma femme heureuse ?
« Fous-moi le camp ! » Il le bastonnait de plus belle et son dos fut la dernière victime de sa violence…

Les deux filles en bas, redécouvrirent leur collègue lacéré. N’ayant ni baume, ni onguent, elles le prirent dans leurs bras. A chaque fois qu’elles touchaient un point trop douloureux, il se déroba… Elles pleuraient elles-aussi, même si elles n’avaient pas été violentées.

En haut, Emile jubilait :
« Tu vois bien que cet idiot est incapable de te rendre heureuse. »
Sans ménagement, il la prit en levrette. Mais ce viol était plus doux, car ses meurtrissures n’avaient pas atteint la chair la plus tendre…
Il la prit comme un désespéré. Il lui montra qui était l’homme. Il éjacula et prévint :
« N’en perds pas une goutte ! »

Finalement, il redescendit, croisa le regard des deux filles qui l’avait accueilli. Elles coururent porter secours à la malheureuse.

Béat, Emile s’était vengé d’Antonella et de Serge. Mais ces derniers n’en savaient rien.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
bien ecrit , jolie mise en scene
Posté le 19/01/2024


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