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De l'autre côté du miroir (Chapitre XLXXXVII Le banquet d'adieux)

Après la guerre contre les Achéens, les Hippides accueillent les héros. Les reines ne veulent plus être une fabrique de princes. Elles entendent bien enseigner la science de l’amour au roi. Druha sera la première à en profiter.

Proposée le 15/10/2020 par Antigonos

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


La reine Druha évoqua également l’instant d’Annie* qui intrigua le roi. Les Jonas lui expliquèrent que les femmes aussi pouvaient connaître l’extase, et que l’amour ne se limitait pas à une possession brutale et brève. Le roi était un guerrier. Lui aussi avait l’habitude de cette course à la vie : s’échauffer, pénétrer, éjaculer. Mais il aurait été fier de faire connaître l’instant d’Annie à ses épouses.
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(L’instant d’Annie* : voir Chapitre XLXXXIV : La leçon de chose. Je sais que les suites peuvent paraître difficiles à saisir, mais ce ne sont que des extraits d’un pseudo roman qui n’a rien d’érotique.)
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Les représentants de l’exécutif civil et militaire étaient toujours les derniers à quitter le banquet. C’était lui qui invitait, qui plaçait les convives, et qui, par conséquent, devait être le dernier à se lever.
Les reines saluèrent les étrangères, le roi en fit de même avec son fidèle Shaktar et tous les cinq allèrent à l’arrière de la tente impériale. Trias, Pervia et Tchetras se positionnèrent différemment pour mieux assister aux futurs ébats.

Druha s’allongea et elle connaissait maintenant son époux. Il commencerait par les seins, vérifierait de la main que l’épouse fût suffisamment lubrifiée, avant de la pénétrer. Parfois, surtout avec Druha, il lui laissait emprisonner son sexe dans la bouche, mais c’était la seule chose qu’il se permettait.
Peut-être n’osait-il pas aller plus loin par égard pour les reines, ou simplement parce que son éducation de soldat, ne lui avait rien appris d’autre.

Il commença par le sein droit de Druha… Il lui titilla son extrémité, elle eut un léger gémissement et dit :
« Arimar, là je ne simule pas. »
Le roi lâcha prise :
« Tu veux dire que les autres jours, tu simules.
- Jamais sur les seins. Mais pour le reste, oui.
- Nous simulons toutes, intervint Trias la Nubienne.
« Nous le faisons pour stimuler ton orgueil de mâle.
- Montre-moi, ma putain préférée ! Et je te garantis que ni toi, ni Trias, ni Pervia, ni Tchetras ne simulerez plus jamais.
- Je te guiderai par la tête. Même dans les endroits qui pourraient te répugner.
- Je t’aime, ma putain préférée, et je repousserai toute répulsion. Un soldat n’a pas peur de la mort, pourquoi aurait-il peur de celle qu’il aime ?
- Recommence, là où tu t’étais arrêté. »

Presqu’enragé, il voulut avaler le globuleux sein… Au bout d’un moment, il passa sa langue sur l’aréole et termina sur le tétin… Le gémissement de Druha signifiait qu’il était sur la bonne voie.
« Laisse toujours un doigt sur son bouton d’amour. Tant qu’il restera raide, tu seras sur la bonne voie, encouragea Tchetras.
« Maintenant, descends doucement avec ta bouche, toujours en lui tenant au moins un sein. Embrasse-la tout le long, jusqu’au bouton.
- Ta peau est douce au toucher et bonne au goût, ma putain préférée. »
Sa langue et sa bouche se promenaient jusqu’au nombril. Curieux, le roi le titilla. Puis, il descendit devant le clitoris… Il hésita un court moment, puis le caressa de la langue…
« Fais-le tournoyer, chuchota Pervia. Nous sommes toutes différentes, mais toutes très sensibles à cet endroit… »

La lune ne suffisait pas à éclairer la tente, seuls les brasiers du banquet perçaient la pénombre. Pervia et Trias levèrent chacune une jambe de Druha pour éclairer le roi qui arrachait gémissement sur gémissement…
« Maintenant, ta langue doit s’engager dans la fente, chuchota la Nubienne.
« Allez, fit Pervia en le poussant dedans. »

Il se passa alors dans la tête du roi quelque chose d’étrange. Ces humeurs fétides qui accompagnaient la naissance de ses enfants, n’avaient plus rien à voir avec cette odeur devenue subitement agréable…
Il explora la fente de sa langue et les cris que poussait Druha, faisait revivre son orgueil de mâle. La fabrique d’héritiers devenait un objet sexuel. Il y prit un malin plaisir et voulut aller jusqu’au bout.
Sa putain préférée allait devoir payer, car il s’aventurait maintenant dans la grotte mystérieuse…
Ses cris étaient de plus en plus violents… Instinctivement, il sut. La simulatrice allait payer…

Le roi reçut dans sa bouche, la chaude jouissance. Jamais il n’avait goûté si délicieux nectar…
Ayant repris son souffle, Druha chuchota :
« Ce que tu as goûté en dernier, est provoqué par l’instant d’Annie.
- Ne me parle pas de cette étrangère. Ce sera ton instant, ma putain préférée.
- Mais ton pieu est plus raide qu’une épée ! s’écria-t-elle enfin. »
Elle lui happa les boules, les mit en bouche, lapa la hampe, tout en bloquant sa sève. Elle connaissait trop son homme, elle devait l’empêcher de partir. Avec le pouce et l’index, elle enserra durement la base. Puis elle lui titilla le méat en l’enserrant durement pour l’empêcher d’éjaculer…
Il n’avait que ses cris pour se défendre… Finalement, elle prit son gland en bouche, puis sa hampe, pompa en creusant les joues. Et lâcha son étau… Le roi éjacula si violemment qu’elle ne parvint pas à tout avaler…

En sortant sa mine gourmande, elle passa son doigt sur du sperme qui lui avait échappé :
« Quelqu’un en veut ? fit-elle en le tendant à ses sœurs. »
Trias la Nubienne, fut la première à recueillir le jus.
Elle recommença l’opération et le tendit à Pervia l’Indo-Européenne, puis à Tchetras l’Ouralo-Altaïque.

Chacune se régala en se masturbant…
« Ma putain préférée, entre tes mains, je ne suis plus rien, complimenta le roi. »

Mais il restait du sperme, et Druha comptait bien en profiter… Le sexe était en semi-érection, mais elle adorait le sentir reprendre de la vigueur dans sa bouche.
Ancienne prostituée ou tout simplement amoureuse, la reine le fit revivre. Le roi maintenant avide de ses sécrétions, l’invita à se positionner en 69.
« Le bouton d’amour, hurla Trias. »
Et le roi fit tournoyer à nouveau le clitoris de sa putain préférée…

Subitement, il se recula hors de la couche, directement sur la terre… Druha ne comprit pas. Leurs têtes étaient totalement opposées. Le pied de chacun des antagonistes était à hauteur de bouche de l’autre…
Dans cette position, le roi avança son sexe, chercha celui de sa partenaire, y pénétra lentement et commença des coups de boutoirs espacés mais profonds, si profonds que Druha cria immédiatement. Jamais elle n’avait été aussi vigoureusement bousculée, même quand elle travaillait dans les bordels.
Ses coups espacés lui permettaient de retenir son éjaculation, tout en entamant sérieusement les défenses de sa partenaire…
Elle criait à chaque coup de butoir… Finalement, elle céda dans un cri…

Le roi se leva pour revenir sur la couche… Enserré l’un contre l’autre, il lui lança :
« Simulatrice !
- Tu m’as vaincue, mais tu n’as pas encore eu ta récompense…
- Parce que tu crois que je vais me gêner ? »
Il lui saisit les cuisses et son membre s’enfonça à nouveau dans le sexe béant…
Druha se stimulait le clitoris. Ses propres caresses et ces nouveaux coups de boutoirs lui arrachèrent de nouveaux cris… Les deux antagonistes étaient en nage. L’un ahanait, l’autre criait… Ils communièrent leur jouissance…

A nouveau, Druha prit le sexe dans sa bouche, mais juste pour le nettoyer…

Une fois allongés côte à côte, Trias leur ramena la graisse de bison. Mais le roi la refusa. Il était trop vidé pour une sodomie.
Alors la Nubienne prit une peau et les recouvrit en disant :
« Vous avez transpiré et les feux sont éteints.
- Tu me prends pour une femmelette ?
- Arimar, ce sont des prérogatives civiles, répondit-elle.
« Les reines veillent sur tous les sujets, y compris le roi.
- Maudite politicienne, répondit-il en souriant. »
Il prit la peau et la passa sur Druha…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Blueberry89
Un régal à chaque lecture ! Bravo!
Posté le 16/10/2020


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