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De l'autre côté du miroir (Chapitre XLXXXVI Un après-midi agréable)

Après une longue guerre contre les Achéens, les reines et le roi hippides accueillent les héros. Annie qui fait son maximum pour participer à leur triomphe essaie de s'adapter à ce monde. En manque d'hommes, elle se lancera à l'aventure.

Proposée le 23/09/2020 par Antigonos

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


Tchetras observait ceux qui discutaient et, après avoir fait signe aux gardes, elle les montra à Annie :
« Tu vois les deux là-bas ? Ils préparent quelque chose. C’est pour ça que tu dois t’en méfier.
- J’ai une autre requête, fit celle-ci.
- Vas-y !
- Tout le monde s’amuse, et même mes amies s’isolent avec les filles.
- Tu veux une fille ? Mais elles ne demandent que cela !
- Je préfèrerais un homme.
- Annie, si tu choisissais un esclave, toutes les troupes en transit à la capitale se sentiraient insultées.
- Ce n’était pas mon intention. Ils sont déjà assez sollicités.
- Alors où est le problème ? Tu es libre. Les hommes font la queue devant les tripots. Tu n’as que l’embarras du choix.
« Va ! Amuse-toi !
- Ce soir, on saura son choix. Ce sera le plus heureux des hommes, commenta la guerrière qui se faisait masser par la reine Tchetras.
- Tais-toi ! Annie fait sa vie. Elle n’est pas comme vous. Elle est seule et vous, vous êtes un groupe qui n’en forme qu’un.
- Je sais. Il n’empêche que celui qu’elle aura choisi, sera le plus heureux des hommes. »

Annie s’éloignait de la ferme. Elle avait tant besoin d’un homme. Toujours nue, parée de cet unique collier que lui avait offert les amazones, elle marchait nostalgique et arriva au premier tripot…
Les soldats hippides faisaient la queue dehors. Ils étaient torses nus, avec une espèce de jupe qui marquait leur appartenance au peuple de guerriers…
Annie en effleura quelques-uns du regard. Il lui fallait en choisir un sans vexer les autres…
Finalement, elle s’aborda l’un d’eux :
« Je te plais ? demanda-t-elle discrètement.
- Tu ferais bander Hippys, répondit-il.
- Il y a trop de monde chez moi. Sais-tu où on pourrait aller ?
- Je ne connais pas la capitale, se défendit celui-ci.
- Ils ont peut-être des chambres vides, dit-elle.
- Nous pouvons toujours demander. »
Comme elle ne travaillait pas ici et que les soldats, reconnurent l’amie des reines, ils lui cédèrent le passage…
Une fois sur place, elle sentit l’odeur de la sueur, du sperme et autres relents. Elle avait fait supprimer les maquerelles et le couple attendit…
Finalement, une prostituée sortit avec un client. Du sperme coulait sur sa cuisse et elle l’essuya quand elle reconnut l’amie de la reine :
« Que puis-je pour toi ?
- Je voudrais une chambre…
- Avec une fille ?
- Non ! Avec ce soldat.
- Ce sera difficile…
« Soldat, demanda-t-elle à l’homme, les Hippides peuvent partager une chambre ?
- Oui.
- En ce cas, je vous laisse la mienne. J’irai partager celle d’une amie avec le prochain client. »

Une fois seule, Annie ignora les relents. Elle avait trop envie d’un homme, d’être serrée dans ses bras, de n’être qu’une femme. Mais celui-ci semblait réticent…
« Quelque chose ne va pas ?
- Ton collier… J’aurais l’impression de baiser Hippysas la déesse-jument. »
Elle l’ôta et se retrouva nue de la tête aux pieds. Lorsqu’il l’avait vue pour la première fois, l’homme avait été fasciné par ses cheveux blonds. Maintenant, il découvrait des seins globuleux, des aréoles sombres, des poils châtains qui commençaient à recouvrir son sexe…
Il l’embrassa comme s’il voulait l’aspirer toute entière. Il caressa sa peau, il avait envie de la couvrir de baisers… Sa bouche fureta le cou de la blonde qui sentit l’érection presqu’immédiate du mâle.
Celui-ci n’était guère pressé. Il mordilla un sein, se jeta sur un téton… Annie sentit le fluide qui imprégnait son intimité. Haletante, elle sentit ses tétons qui pointaient sous la langue, les mains qui caressaient son dos…
Elle échappa à son étreinte et s’agenouilla à la recherche de son sexe. Elle sortit son épée et la jeta à terre avant de plonger sous sa jupe pour rechercher son membre si tendu, qu’elle n’avait même pas à le décalotter…
Elle titilla le méat urinaire, l’ouvrit avec la langue et l’homme haleta… Toujours avec sa langue, elle tourna autour du membre en évaluant les bourses de ses mains.

Dans la pénombre de la chambre et de la robe, elle engloutit le membre et le pompa :
« Arrête, je ne vais plus tenir ! »
Contre toute attente, elle accéléra ses succions. Elle le voulait. N’y tenant plus, il éjacula dans sa bouche…
« Excuse-moi ! »
Elle se releva en souriant. Elle savourait sa semence et mit un certain temps avant de parler :
« Tu n’as pas à t’excuser » répondit-elle enfin en se blottissant contre lui. Elle se sentait femme et heureuse de l’être.
Ils se couchèrent enfin. Elle caressait son torse. Blottie contre son corps, elle lui confia :
« Je ne voulais pas que tu viennes trop tôt. »
La tête sur son torse, elle glissa sa main sous la jupe règlementaire, attendant patiemment qu’il reprenne des forces…
Sa main à lui, explora son sexe bouillant. A nouveau, il lui baisa les seins, s’attardant sur les tétons, descendant sur le ventre, sur le nombril, sur les poils pubiens, sur le clitoris déjà éclos…
Puis il s’aventura entre ses cuisses, et sa langue remplaça sa main… Les gémissements de la femme l’encouragèrent. Il voulait qu’elle aussi jouisse dans sa bouche… Annie projeta son nectar…

Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, il reprit son exploration buccale dans la fente de plus en plus béante. Son doigt titillait le clitoris…

Subitement, il se leva, et la pénétra… Annie attendant ce moment, s’offrit… Qu’elle était belle ainsi, cuisses écartées, poitrine haletante, avec des seins qui subissaient le contrechoc de ses va-et-vient.
Elle haletait de plus en plus, encourageant le mâle à continuer… Subitement, ses yeux s’illuminèrent. Elle venait d’avoir un second orgasme…
« Prends-moi comme une chienne ! dit-elle en se retournant. »
Il la pénétra à nouveau et sans préliminaires. Dans cette position, elle le sentit de plus en plus profondément… L’homme lui tenait les fesses et continuait son manège, mais Annie en voulait encore plus…
« Encule-moi !
- Mais tu es l’amie des reines ?
- Je suis une femme. »
Prudemment, il lui écarta l’anus, y plongea la langue en se masturbant lentement. Il ne voulait pas qu’elle souffrît de cette pénétration. Toujours avec la langue, il essaya de lubrifier au maximum l’étroit orifice.
Finalement, il se leva, présenta son sexe devant l’anus. Le gland écarta légèrement le sphincter, le força, le dilata, le pénétra, le défonça…
Annie avait crié pendant cette opération, mais c’était une agréable souffrance. Elle sentit ensuite le pénis qui élargissait encore l’entrée, et recommença à gémir…
Puis, il commença la sodomisation… Annie haletait de plus en plus. Pour accélérer ses mouvements, il grimpa sur le lit et plaça ses jambes en avant… Annie se retint à celle-ci et s’affala sur le coussin… Soumise aux assauts du guerrier, elle lui offrait son anus, et une superbe vue sur ses fesses déformées par la virilité…
Annie haletait et commença à se masturber… Elle voulut connaître un troisième orgasme, mais simultanée au sien. Baignés de transpiration, les deux corps s’étaient emboîtés dans une course folle où les deux devaient arriver ex-aequo…
L’homme cria son envie de jouir et Annie accéléra sa masturbation… Finalement, il éjacula dans ses intestins et elle connut un troisième orgasme…

Epuisés, ils s’allongèrent…
« Vous êtes de sacrées filles toutes les trois.
- Je ne suis qu’une femme, répondit-elle heureuse… »
Le jour déclinait dangereusement et elle réalisa :
« Le banquet. Si je ne suis pas à l’heure, les reines et mes amies vont s’inquiéter. »
Elle prit un torchon pour essuyer le trop-plein de sperme qui sortaient de son anus.
Subitement, elle le renifla. Il sentait l’homme…
Elle voulut partir, mais le guerrier la rappela :
« N’oublie pas le collier des amazones. »
Elle le prit en vitesse et courut vers la ferme.

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