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La Plage

Moi et Marie nous retrouvons seul à la maison de la plage, isolés et hors-saison. La nuit, l'envie nous prend d'un bain de minuit, notre premier. L'étrangeté de cette nudité publique, même sous la lune, éveille l'excitation et le désir.

Proposée le 5/09/2019 par Disciple

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Durant ce séjour-ci, nous n’étions que tous les deux à M. Nous étions parti hors-saison, et bénéficions ainsi d’une relative tranquillité vis-à-vis des touristes. Être ainsi avec Marie, cela me rappelait les séjours à R., dans ce village loin de la ville, ces temps hors du quotidien. Loin du poids de la réalité. Du temps pour vivre différemment, et découvrir de nouvelles choses.

Cette soirée-là, lorsque minuit fut passé, nous décidâmes que l’heure était suffisamment avancée. En septembre, si les vacanciers étaient peu nombreux, les températures, elles, étaient encore très clémentes. Dehors, l’air était chaud ; nul bruit de fête, nulle lumière de projecteurs perçant les cieux depuis le parc d’attraction. Le chemin qui menait à la plage était désert de voitures. Nous marchâmes sur quelques dizaines de mètres avant d’arriver en vue du poste de secours et, au-delà, de la plage s’étendant jusqu’à la mer. Le bruit des vagues était doux, et la seule chose qui brisait le silence. Les étoiles étaient visibles, et le noir profond de la mer reflétait le croissant de la lune, haute dans le ciel, qui offrait une clarté limitée ; ce qui était aussi bien.
Sandales à la main, nos pieds nus s’enfonçaient dans le sable. La plage était entièrement déserte, et les seules lumières artificielles étaient celles du port, loin sur notre droite. Nous marchâmes, longeant la berge, nous éloignant de l’accès depuis les habitations. Après un temps, Marie se tourna vers moi.
— Ici ?
Je levai les yeux vers elle ; son visage était baigné dans la pénombre nocturne.
— Ok, répondis-je en lui rendant son sourire.

Pendant quelques secondes, nous restâmes tous les deux debout, nos sandales à la main, à nous regarder. Puis, au moment où nos bouches se déformaient en un rire nerveux face à la situation d’attente mutuelle, je saisis le col de mon t-shirt et le tirai par-dessus ma tête. Lorsque mes yeux la virent à nouveau, Marie avait fait de même, laissant tomber son débardeur sur le sable, et détachait le bouton de son short. Cette fois, pensais-je distraitement, pas de maillot de bain : la poitrine de Marie était soutenue par son soutien-gorge noir en dentelle, que je devinais dans l’obscurité.

Je la vis sourire en me regardant, et m’activai également, en comprenant qu’elle avait interrompu son mouvement pour attendre que je reprenne mes esprits. Je lâchai un hoquet de rire et ôtai à mon tour mon bermuda.

C’était étrange de se retrouver en sous-vêtement sur la plage, lieu hautement public s’il en est, où l’on est constamment conscient des gens et de regards autour de nous. Je jetais des coups d’œil alentour, mais là où nous étions il n’y avait personne, et personne ne risquait de passer. Regardant Marie, je vis qu’elle faisait de même et devinais ses pensées. Mais nous y avions déjà réfléchis, et nous ne voulions pas reculer.

Le plus étrange fut donc, l’instant d’après, lorsque Marie passa ses mains derrière son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Le sous-vêtement glissa sur ses bras et tomba à terre. Ses seins libérés, nus, sous la lune, offert à la vue dans cet endroit, me firent hésiter un instant, tout en provoquant chez moi une excitation de la transgression. Sans transition, elle amena ses mains à sa taille et commença à tirer sur sa culotte. Gardant ma place dans la course, je la suivis et fis glisser mon slip à terre.

Notre nudité ne m’avait jamais parue aussi gênante, source de malaise, et, pour tout dire, excitante. Ainsi débarrassés de nos vêtements, nous marchâmes lentement jusqu’au rivage, où les vagues mourantes nous léchèrent les orteils.
— Elle est quand même froide, hein ? dit Marie en retirant prestement le pied, avec cette voix hésitante et trop sérieuse.
Je ris en avançant.
— Elle est très bonne ! répondis-je.
Elle était froide, effectivement. Mais l’air était chaud, lui, et c’était suffisant.

Nous avançâmes dans l’eau salée, endurant sa fraîcheur. Marie poussa un cri lorsqu’une vague ondulante fit monter l’eau jusqu’en haut de ses cuisses. Je m’arrêtai et la regardai avancer. L’eau avait atteint ma taille, et la sensation de nudité, sous l’eau, était un souvenir lointain toujours agréable, et comparable à nul autre.

Les bras levés de Marie soulevaient ses seins. Mes yeux s’étaient habitués, et je la voyais mieux, maintenant. L’eau lui arrivait maintenant au nombril ; elle s’était arrêtée.
— Elle est trop froide ! s’expliqua-t-elle.
— T-t-t, fis-je en secouant lentement la tête.
Avec un sourire espiègle, je m’approchai d’elle. Elle leva les mains vers moi, pour me repousser.
— Non ! Elle est vraiment froide, je…

Mais elle ne put finir sa phrase, et, la contournant, je fondis sur elle par-derrière pour l’entraîner dans l’eau avec moi.
Le contact avec sa peau était différent des fois où j’avais agi de la sorte durant des agressions aquatiques, à la plage où à la rivière ; ici, les maillots n’étaient plus une barrière acceptée et normale ; entre mon corps et le sien, il n’y avait que de l’eau. Alors que nous tombions, je sentis mon bras, qui enserrait son ventre, toucher le dessous de ses seins. Au bas de mon corps, mon sexe battant librement vint se coller à ses cuisses. Comme je l’enserrais, ses fesses, également, se retrouvèrent contre mon ventre.

Lorsque nous nous relevâmes, avec avoir été entièrement immergés, Marie se retourna pour me faire face, et nous nous dévisageâmes. Alors j’avançai une main pour saisir son sein, puis l’autre, et nos corps se rapprochèrent. Nos visages se collèrent et nous nous embrassâmes. Je sentis sa poitrine, son ventre contre mon corps, et nos deux bassins s’accoler tandis que nous nous enlacions. Sous la surface, je sentais mon érection buter contre son pubis.
Nus, nous allâmes nager dans les vagues, non loin, et toujours sous la lune. Nous goûtâmes à cette sensation unique de liberté pure, débarrassés de vêtements, comme des animaux, et libérés de notre poids.

Lorsque nous nous retrouvâmes à nouveau, ma bouche rejoignit la sienne, puis mes mains ses seins. L’eau nous arrivait à la poitrine. Sous la surface, je sentis les doigts de Marie toucher, puis se saisir de ma verge. Dans cette eau froide, je la sentis me masturber doucement, et je m’abaissai alors pour goûter ses tétons salés, les lécher, les prendre à pleine bouche. Puis, à mon tour, je voulus sentir sa chaleur, et approchai une main de son sexe, en aveugle ; je m’y introduisis. Lorsqu’elle pivota sur elle-même pour m’offrir son dos, je sentis mon pénis contre ses fesses tandis qu’elle se serrait contre moi. Je fis passer mes bras devant et empoignai ses seins, avant de l’embrasser dans la nuque. M’abaissant légèrement, je fis descendre mon pénis sous ses fesses, pour le glisser entre ses cuisses, contre son sexe.

Durant un moment nous restâmes ainsi à nous caresser ; ma main gauche naviguant de son sein à son entrejambe, en silence, sous le bruit des vagues qui clapotaient contre nous.

Lorsque nous revînmes vers la plage, la nuit à mes yeux était moins obscure. Marie marchait devant moi, et je contemplai avec envie sa silhouette, ses hanches, son dos, ses fesses. J’accélérai et la rejoignis sur le sable humide. Je l’enlaçai et me collai contre elle, la mordant au creux du cou, lui arrachant un rire. Je la retins de mes mains sur ses seins, puis descendis entre ses cuisses. Entre les miennes, mon érection se pressait contre elle. Sa respiration s’approfondit alors que je faisais entrer mes doigts en elle, et elle tourna la tête pour me tendre ses lèvres que je baisais. Puis ses mains se posèrent sur mes hanches, et elle m’enjoignit à la suivre en s’abaissant, s’agenouillant sur le sable humide, où des vagues venaient encore lécher mes pieds.

Elle se laissa tomber en avant, sur ses bras tendus, à quatre pattes. Ses fesses blanches m’étaient offertes et son dos, à l’horizontale, s’étendait devant moi. Mon pénis, droit, pointait vers elle, sachant déjà ce que nos désirs voulaient. Alors je la saisis d’une main, et de l’autre guidai mon sexe sous ses fesses. Mon gland trouva l’orée humide de son antre, et je l’y plongeai lentement. Je rapportai mes mains en haut de ses cuisses et la pressai contre moi, la pénétrant, encore et encore, ponctuant le rythme de nos gémissements, accompagnés par le bruit des vagues qui trempaient nos jambes.

Elle s’était laissé tomber sur ses coudes, et je cognais ses fesses relevées, lorsque je sentis la jouissance pointer à l’horizon. Le bruit de nos respirations s’accentua, et j’accélérai ; le claquement de mon pubis contre ses fesses marquant la pénétration. Puis mon sexe se contracta violemment, plusieurs fois, et j’expirai en éjaculant tout en continuant à cogner ses fesses. Marie avait joint sa voix à la mienne, et nos deux corps s’écroulèrent ainsi sur le sable lorsque la tension retomba, le mien sur le sien.

Haletant, j’embrassai sa clavicule et roulai à son côté, sur le dos. Tournant la tête, je la regardai qui me rendait mon regard, et nous nous sourîmes.

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