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Sandra, nymphette vicieuse (2)

Après cette première matinée, je sais que cette petite est une vicieuse dans l'âme ! Mais je ne la prendrai pas encore aujourd'hui… Je veux qu'elle soit chauffée à blanc quand je lui ferai sentir ma queue. 

Proposée le 8/07/2018 par enipal

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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Je veux surtout voir si elle est obéissante et lui ai envoyé un SMS :
"Tu porteras une petite culotte blanche. Lorsque tu iras aux toilettes, tu ne t'essuieras pas après avoir pissé. Je vérifierai."
Je suis déjà dans mon bureau lorsque elle arrive. Je lui demande m'apporter un café. Je la fais asseoir sur une chaise en face de moi et lui demande si elle a fait ce que je lui ai ordonné.
- Oui monsieur…
- Montre…
Elle s'exécute, écarte les jambes. Elle porte une petite culotte blanche qui cache à peine son sexe, ses poils s'échappent sur les côtés.
- Montre mieux !
Elle glisse ses pouces sous l'élastique et baisse sa culotte. Elle est légèrement tachée.
- Enlève-là… 
Elle se lève et se débarrasse de sa culotte.
- Donne…
Elle me la tend. Elle n'a toujours pas dit un mot, elle me regarde prendre sa culotte et la renifler. Elle sent un peu la pisse et aussi légèrement la mouille. Je la regarde, et tout en léchant sa culotte, je glisse un doigt entre ses cuisses. Sa fente est humide, ses pommettes sont rouges.
- Tu mouilles, c'est bien…
Je porte mon doigt à ma bouche et le suce.
- Ta culotte et ton con sentent la petite femelle en envie qui a pissé… Je suis content.
- Merci monsieur...
Je prends un tout petit vibro masseur, un engin diabolique, gros comme le petit doigt et qui ne me quitte jamais. Elle fait mine de se rasseoir, je l'arrête :
- Reste debout. Et écartes les cuisses. Ouvre-toi.
Elle obéit. Les cuisses largement écartées, elle écarte ses lèvres luisantes de mouille. Le clitoris pointe.
Elle est obscène… Rougissante, timide et obscène à la fois, cette petite perverse m‘excite à mort et elle le sait...
J'appuie le petit vibro sur le clitoris. Sandra a un sursaut, et elle a instinctivement un mouvement de recul. Je la tire vers moi, glisse une main contre son derrière pour l'empêcher de se reculer à nouveau. Je remets le vibro en marche, cette fois à la vitesse supérieure.
Elle pousse un cri strident et serre instinctivement les cuisses. Mais ma main qui empoigne ses fesses la retient contre moi et le petit diable poursuit son oeuvre entre ses cuisses serrées. Elle halète, geint, couine, se tord…
- Tu aimes, petite cochonne ? Encore ?
Elle ne répond pas, se contente d'émettre une sourde plainte. Sa chatte ruisselle sur ma main. Je hausse le ton :
- Réponds, salope ! Tu aimes !!
- Oui ! Oui, oui, oui… Encore ! Encore, encore, encore...
Elle répète "oui, encore" comme une litanie. Puis elle se met à trembler de tout son corps et finit par s'écrouler sur mon épaule, le corps secoué de spasmes. Elle retombe sur sa chaise. Encore haletante, elle reste avachie, cuisses ouvertes.
- Tu as bien joui… Je suis satisfait.
- Oui, monsieur…
Elle me regarde, poursuit d'une petite voix :
- Vous pouvez user de moi comme vous le voulez, monsieur… Quand vous le voulez !
- C'est bien...
- Je serai votre salope. Vous serez mon maître.
Elle rougit, répète :
- Je serai votre cochonne !
- Si je te demande si tu es en train de mouiller ta culotte, tu dois le dire !
Elle rougit, elle serre les cuisses...
- Je suis trempée, mouillée jusqu’à mes cuisses, mon ventre me brûle depuis que j’ai entendu les mots « salope et cochonne ». Et plus j’en ai envie et plus je suis mouillée, ce n’est pas mon ventre qui me brûle, vous le savez !
- Dis-le…
- C’est ma chatte, mon con qui mouille et qui se tord, me brûle. Je serai une vraie salope parce que j’en ai envie, besoin… Je veux appartenir à un homme, être prise, sentir son membre me pénétrer…
Tout en parlant, elle a les yeux fixés sur l'énorme bosse déformant mon training. C'est vrai, je bande comme un cerf, je ne pensais pas la voir se soumettre si vite à mes envies de vieux pervers. Je décide d'aller un peu plus loin.
- Je suis très content. Remets ta culotte. Tu peux commencer ton travail… Et je veux que tu me préviennes quand tu auras besoin d'aller aux toilettes…
Je me remet devant l'ordi, et comme la dernière fois, je la sens derrière moi, je la vois jeter des coups d'oeil sur l'écran. Et un moment plus tard, elle annonce d'une petite voix :
- Monsieur… Je… Vous m'avez dit… J'ai besoin…
Je la rejoins dans la salle de bain, elle reste debout, hésitante.
- Eh bien… Qu'est-ce que tu attends ?
Elle est rouge, me regarde avec son regard "par en dessous" et fait enfin glisser sa culotte. Je mets ma main entre ses cuisses, elle est trempée.
- Petite salope… Tu mouilles de nouveau ! Ne me dis pas que ça ne t'excite pas... Fais !
- Oui monsieur… 
Elle s'assied, et après quelques gouttes hésitantes elle se met à pisser à grands jets. Avant qu'elle aie terminé, je lui ordonne de remonter sa culotte et de finir ainsi. Elle s'exécute. Quand elle a fini de tremper sa culotte, elle a les yeux mouillés et les joues en feu.
- Tu ne l'a jamais fait avec tante Fernanda ?
- Non monsieur…
- Mais ça t'excite…
Je lui écarte les cuisses jusqu'aux épaules et commence à la laper à travers sa culotte. Je prends mon temps, la broute, l'aspire, la mange littéralement. Elle commence à geindre, à se trémousser, puis à trembler et finit par crier quand je plaque ma bouche sur son con au moment où elle jouit. 
Je la conduis dans le salon, devant le miroir de la cheminée. Je lui relève son tricot, la dépoitraille, l’obligeant à regarder ce que je lui fais, je lui empoigne les seins.
Je les soupèse, les secoue, les manipule, les agite, les pétris. C’est terriblement excitant de voir son visage écarlate et ses seins blancs dans le miroir. Elle respire à nouveau de plus en plus vite.
Je me mets nu et me colle à elle par-derrière. Ses fesses charnues accueillent mon érection. La tenant par les seins, je la plaque contre moi. Je sens son cul bouger. Je colle ma bouche à son oreille. Je lui chuinte :
- Je vais juter dans ta culotte, contre ton cul... 
Sa bouche épaisse a pris un pli vicieux. 
- Oh, monsieur ! Oui !
J'introduis ma queue dans sa culotte. La faisant aller et venir entre la raie de ses fesses charnues, je me frotte, je me branle quasiment contre son cul. Je tire sur ses tétons, je les allonge. Elle ferme les yeux, se frotte contre moi, me pousse ses fesses contre le ventre.
Je glisse une main entre ses cuisses, elle dégouline, je lui enfonce deux doigts dans la chatte. Je la branle un moment puis lui donne mes doigts à sucer. Elle geint, tète, agite son cul.
Je nous vois dans le miroir, elle est cramoisie et se regarde téter mes doigts pendant que je lui tords les tétons. C’en est trop. Ses fesses qui serrent ma pine, la fine étoffe mouillée de sa culotte qui frotte mon gland gonflé.
En dépit de tous mes efforts pour le retenir, mon plaisir m’échappe, je lui pétris rageusement les nichons, et la serrant contre moi, j’éjacule à grands jets dans sa culotte.

(à suivre)

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Commentaires de l'histoire :

charles g.
super pervers!
Posté le 1/01/2019

Anonyme
j'aime la bite et vos histoires et je mouille comme une cochonne
Posté le 5/12/2018

Anonyme
bravo! un vieil érotomane qui aime cette histoire
Posté le 18/10/2018

Anonyme
Cette histoire me fait dégouliner j'adore ...
Posté le 25/08/2018

Donatien
Ah, les culottes pisseuses, un connaisseur !
Posté le 16/07/2018

koukourico
donner et recevoir c est faire vivre l ame il n y apas autre satisfaction a part celle d enthousiasmer durement son partenair e cette aventure m a beaucoup plu autant que homme bie membré merci
Posté le 12/07/2018

Anonyme
Bravo. Texte bien écrit. Perversions d'un vieux cochon, on sent que c'est vécu.
Posté le 8/07/2018

Anonyme
C'est sulfureux et vicieux. Compliments d'un érotomane également fétichiste de petites culottes.
Posté le 8/07/2018


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