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L'abstinence entraine des folies ferroviaires 2

Charlotte, cette jeunette a plus d'idées derrière la tête que je n'en aurais jamais en matière de sexe... Elle m'avait déjà trait à l'abri des regards, il faut maintenant qu'elle me prépare une autre surprise... ce que je l'aime cette fille...c'est toujours aussi vrai, logique, ça m'est arrivé...

Proposée le 19/03/2018 par gerbie

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Histoire vraie


Je sentais ma queue trempée de sperme chaud… j’étais encore foudroyé et je respirais à plein poumons après la course effrénée de sa main glissant sur ma hampe… Mes couilles me faisaient encore légèrement mal de sorte que je n’osais trop bouger de peur d’en mettre partout. Je soulevai alors ma veste pour constater un instant les dégâts ; je vis mon gland légèrement rapetissé mais encore gonflé de sang hoqueter pour cracher jusqu’au bout son jus translucide. Quand je soulevai ma veste, je constatai qu’un trait de sperme suivant le mouvement de ma veste et je sorti en vitesse un ticket de métro pour décoller ma semence. C’est à ce moment là que j’entendis le bruit caractéristique de mon iPhone recevant un texto… Je n’y fis pas trop attention, vérifiant à devant et derrière moi que les sièges étaient bien vides et m’apprêtant à remettre ma veste rapidement sur ma queue que je laissais s’aérer ; elle pendant à présent doucement laissant couler un peu de jus sur le siège et sur le sol. Je humais l’odeur de ma semence, engourdis par les images de son visage à la fois candide et pervers qui me revenaient par flash. Je réussi alors à extirper mon iPhone de ma poche attendant le retour de Charlotte…

Quand mon regard embué se posa sur l’écran, mon sang s’arrêta, je senti mon cœur battre plus fort dans ma poitrine jusqu’à n’entendre que lui… « Je t’attend dans la cabine arrière <3 » me disait-elle. Regardant précautionneusement les alentours, me levant en pliant les genoux, je serrai plus fort ma veste contre moi pour couvrir la queue encore dégoulinante que je n’avais pas rangé, sûrement tenté par le fait d’être découvert par hasard et que cela fasse un scandale. Je laissai négligemment nos affaires sur place pour avancer rapidement dans l’allée centrale et arriver bientôt devant la porte de la toilette en question, le cœur semblant résonner aux oreilles de tous. Je toquai deux fois, un peu trop fort sûrement en raison de mon excitation mais seule Charlotte l’entendit car la porte s’ouvrit dans un CLANG-wiiiischiing caractéristique…

J’entrai rapidement et refermai la porte rapidement pour me retrouver face à des yeux magnifiques et un sourire enjôleur. Elle ouvrait la bouche légèrement et semblait respirer uniquement par cet orifice, bombant sa poitrine et je senti son souffle me caresser la joue. Sans une parole elle s’assit sur la cuvette ce qui lui positionnait la tête face ma veste pressant contre ma queue. « il n’y avait plus de papier » me dit-elle et je ne peux m’empêcher de regarder le porte papier WC : il était vide en effet. Elle avait profité de ce bref instant pour prendre ma veste et la déposer au sol, laissant apparaître une semi-mole. Je sentais sa présence par son parfum embaumant la pièce, par la place que prenait ses jambes serrées entre les miennes, par sa main douce mais ferme et d’une finesse qui me prit ma veste des mains pour la déposer négligemment au sol… C’est au moment où j’avais suivi son regard pour constater le manque de papier et que j’étais sur le point de me demander s’il n’y avait vraiment plus de papier et si dans ce cas là elle se serait servit de sa bouche pour m’essayer comme dans un porno moyen, que je senti brusquement une main tiède se poser fermement sur mes boules et les serrer d’un coup…

La douleur et le plaisir de cet instant se mêlèrent et je laissai échapper un « oh ! ooooh ! » de surprise et de luxure. Je sentais ses doigts fins entourer mes testicules comme une bague enserre un diamant, je sentais mon souffle se couper tandis que mes bras se posèrent avec force sur le mur au dessus de la cuvette pour retenir. « Qu’est-ce que tu f… » demandais-je dans un souffle roque, « laisse toi faire » me répondit-elle du tac au tac dans un soupir souriant. Tandis qu’elle malaxait allègrement les couilles, je sentais mon gland revenir à la vie et ma semence perler sur le sol. Ma queue se releva toute seule et avant que je ne puisse ajouter quoi que ce soit, Charlotte enserra de deux doigts mon prépuce, qui commençait à glisser pour venir se loger autour des bords de mon gland, et d’un coup vif me décalotta. Je senti un éclair de plaisir me submerger et moi qui regardai les cheveux de Charlotte, le mur puis ma queue, je me mis à fermer les yeux, la bouche ouverte, goutant à mon plaisir intense…

Je gardai en mémoire la dernière image que j’avais aperçu : le décalottage express avait fait gicler un peu du sperme restant tout autour de nous. « mmh tu mousses… » entendis-je dans un souffle. Je rouvris les yeux. En effet, elle passait un doigt sur une sorte de crème mousseuse restée sur mon gland et faite du sperme restant. Elle baladait son doigt sur mon gland à présent, montant sur la bute pour redescendre frôler délicatement les bords de ce bout rose turgescent déjà ; cela me donnait des soubresauts qui partaient de mes hanches pour monter dans ma colonnes et m’arrachaient à chaque changement de direction un éclair de plaisir irradiant jusque sous mes ongles. Elle reprit son étau digitale autour de ma bite tendue et profitait du liquide mousseux pour humidifier le reste de ma queue. Quand elle ne tiraillait plus mes testicules, elle faisait glisser langoureusement ses doigts tout le long de mon pénis jusqu’à mon bas ventre dans des petits gémissements extasiés…

Elle continua son manège mais cette fois, elle relâcha ses étreintes pour m’ôter avec une certaine dose de maladresse et de candeur ma ceinture puis mon pantalon, qu’elle fit tomber en passant ses pouces à l’intérieur, au niveau de mes hanches. Le pantalon tomba librement tandis qu’elle en profitait pour faire de même avec mon caleçon américain. Ses mains se baladèrent un instant sur mes fesses puis stoppèrent. Recommencèrent puis stoppèrent. Elle reprit de la main gauche ma queue tendue pour passer ses mains par au dessus et par en dessous de ce gourdin, lui assénant parfois quelques va-et-vient discrets tandis que la main droit passait de mes fesses à mon bas ventre, frôlant les os de ma hanches pour retourner elle aussi sur ma hampes. Je l’entendais soupirer de plus en plus fort et ses mains se faire plus pressantes sur ma queue encore humide. « J’en peux plus » dit-elle d’une voix forte…

Elle fit un va-et-vient puissant de sa main droite qui m’arracha un soupir tandis que je la regardais. Elle sorti sa langue et me fixa de ses yeux pour laper la perle de désir qui naissait à peine de la fente de mon gland. Elle ferma un instant les yeux comme pour gouter intensément cette promesse d’extase. Puis elle rouvrit les yeux, ouvrit sa bouche et je fermai les yeux pour sentir une caverne molle, profonde et délicieusement chaude nettoyer le reste de mousse sur mon gland. Je lâchai un « oooh putaiiin ouii ouiiii ouii» tandis qu’elle émit un « mmmh mmMMmh ». Je sentais sa bouche fermer, de ses lèvres serrées, ma queue et sa langue frotter intensément contre mon frein puis tourner légèrement autour de mon gland et agacer les bords et la fente de mon gland ce qui me transperça d’éclairs. Elle entame des va-et-vient doux et chaleureux, accueillants presque, et je senti ma bite brulante s’enfoncer de plus en plus dans cette petite bouche ; je ne pu m’empêcher de lui caresser les cheveux et de presser très légèrement contre son occiput pour accompagner le mouvement…

Parfois quand elle respirait, elle ressortait ma hampe de son fourreau pour me regarder et se lécher les lèvres où perlait de la salive mêlée à un peu de mousse. Voir ce visage si fin avaler goulûment une queue indienne m’excitait à chaque regard. « Je veux ta queue » me disait-elle et je répondais « elle est à toi Cha, je te la donne ». « Ca t’excite hein ! » me disait-elle, ce à quoi je répondais « oui, je savais que tu aimais ça ! » tandis qu’elle s’y remettait de bon train. A un moment je senti monter la jouissance : mes couilles se serrèrent et je senti ma prostate vibrer légèrement ainsi que ma sauce monter légèrement. Je sorti légèrement de sa bouche et je la prévins. Elle me réplica « non ! pas maintenant ! garde le ! »…

Je du me retenir de force pour ne pas éjaculer sur ce doux visage. J’en profitai pour l’embrasser à pleine bouche ; je senti ma langue frôler, percuter, enlacer et se battre avec la sienne, je sentais mes lèvres coller aux siennes et nos salives se mélanger dans un flux continu tandis que je pressais ma main sur mon gland comme pour l’empêcher de déverser ma semence. Tout en l’embrassant, je la pris par un de ses bras fins de jeune femme pour la remettre debout. Je l’embrassait alors tendrement en lui caressant les cheveux et j’en profitai pour gouter aux délices de salives, de spermes et du gout âcre et musqué de ma queue qu’elle semblait tant apprécier. Je pense qu’elle devait sentir ma queue tendue contre son jean, traçant des dessins de jus sur son jean bleu, car elle soupira en me serrant plus fort contre elle, je sentais à présent deux tout petits tétons pointer contre ma poitrine ce qui m’excita au plus haut point. Alors, d’une main, je passai sous sont top pour venir déchausser un de ses seins lourds de sa coque protectrice…

Elle soupira et cessa de m’embrasser langoureusement pour se mordre la lèvre inférieure en fermant les yeux. Je sentais une odeur juvénile que j’avais moi-même dégagé il y a quelques années parvenir à mes narines et, humant ces phéromones, je passait sous la baleine de son sein droit pour placer ma main gauche à la Spok, son téton dans le creux formé entre mon majeur et mon annulaire, ma paume enserrant ce sein pesant et délicat. Je voyais à présent ma main sous son top malaxer un sein ferme et galbé, agaçant un téton dur et moelleux en serrant quelque peu mes doigts. Elle gémissait dans mon oreille, ce qui me faisait bander comme un taureau et elle devait le sentir car profitant de son extase, je baladais ma main droite sur ses fesses fermes comme pierres mais rondes et parfaitement taillées par du sport intensif. Quand elle gémit une fois de plus dans mon oreille, j’entrepris de détacher le bouton de son jean d’un claquement de doigt et d’un même mouvement j’enserrais son téton droit et j’enfonçai ma main droite sous son jean et sa culotte bleue pour attraper avec fermeté ces magnifiques fesses…

Elle gémit encore plus fort et j’en profitai pour l’embrasser langoureusement, tandis qu’à l’aveugle, j’inversai mes mains. Elle gémit de plus belle lorsque j’entrepris de pincer de deux doits son téton gauche et que je soupesai son sein gauche, les baleines étant maintenant relevées toutes les deux sous ton top. J’entrepris alors de pincer un peu plus fort son téton et de malaxer un peu plus fermement son sein afin de profiter de ses gémissements pour glisser ma main plus bas que ses fesses, par l’arrière. Je passais d’une fesse à l’autre, tantôt caressant tantôt agrippant ces deux monts merveilleux. Tandis que je regardais ses yeux mi-clos de plaisir, je descendis ma main proche de son anus, lui écarta les fesses et senti une chaleur nouvelle qui fit place presque immédiatement à une zone détrempée…

Ses « mmmh mmmh » à la fois de plaisir et de surprise m’enflammèrent ; je sorti ma main de derrière ses fesses pour la déposer sur sa hanche tandis que je l’embrassais dans le cou, puis que je descendais jusqu’aux omoplates pour remonter le long de sa jugulaire jusqu’à son oreille que je mordillai. Ma main glissa sur son nombril, un doigt frôla le fond de cet antre qui accueillerait un jour, j’en étais persuadé alors, mon sperme, puis que je descendis en frôlant de mes doigts son bas ventre jusqu’à toucher l’élastique de sa culotte. Je lui pinçai alors le téton, ce qui la transperça d’un éclair de folie puisqu’elle se cramponna légèrement à moi, puis j’enfuis ma main d’un coup sec dans sa culotte. Je sentis tout de suite un mont de vénus et des poils dru détrempés. Elle avait mouillé entièrement sa culotte (elle m’annoncera plus tard qu’elle avait prévu plus de culottes et de strings qu’autre chose pour ce voyage) et je sentais sous mes doigts le liquide légèrement collant et gélatineux d’où émanait des senteurs marines délicieuses. Juste avant d’arriver à un clitoris gorgé de désir et à sa fente, je lui glissai dans l’oreille, dans un murmure « je savais que tu serais le genre à te raser en ticket de métro… t’es une petite salope Cha… ». Elle sourit et me répondit « tu veux que je fasse quoi ? » dans un soupir, ses yeux de chats grands ouverts et pétillants de luxure. Je répondis « j’ai envie de te lécher ».

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