Toi et elle

Dans la chaleur du jacuzzi puis de la chambre, elle s’offre nue, ligotée, marquée et pénétrée, jusqu’à jouir sous ton ordre et ta domination totale.

Proposée le 15/10/2025 par SoumiseA

Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

La vapeur monte doucement à la surface de l’eau.
Elle entre la première, nue. Tu la regardes.
Les perles d’eau font briller son corps dans la nuit. Chaque mouvement dessine ses courbes comme une offrande silencieuse.
Tu la rejoins. Elle est là, avec toi. Nue, offerte.
Elle sait qu’avec toi, elle va jouir. Pas seulement de son corps, mais du tien. Du pouvoir que tu exerces.
Elle attend. Elle ne sait pas encore ce que tu vas faire d’elle ce soir.
Ses cuisses s’écartent légèrement sous l’eau.
Une provocation ? Une soumission ?
Tu la regardes. Tu lui dis simplement que ce moment, c’est pour profiter du jacuzzi.
Le reste attendra.
Tu as tout prévu. Le matériel est déjà en place dans la chambre.


Quand vous sortez, elle passe devant.
L’eau ruisselle le long de ses jambes, de ses hanches, de ses reins.
Tu la regardes monter les marches. Ton excitation est à peine contenue.
Vous vous séchez sans un mot. Elle frissonne.
Tu poses la serviette. Tu murmures à son oreille :
“Je vais te réchauffer.”


La chambre est encore plus chaude que l’étage.
Elle sent ton parfum, les draps propres. Elle repère immédiatement les accessoires que tu as préparés mais ne dit rien.
Son souffle change, un frisson la traverse. Elle sait ce qui l’attend.
Tu lui dis de s’allonger sur le lit. Elle obéit sans poser de question.
Tu la regardes longuement, lentement, comme si tu la redécouvrais.
Tes yeux la frôlent, la détaillent. Mais tes mains non. Pas encore.


Tu sors la corde. Tu l’encordes.
Les poignets liés ensemble, tirés légèrement au-dessus de sa tête.
Tu écartes ses cuisses, prends ton temps pour ajuster l’ouverture.
Elle est complètement offerte. Exactement comme tu le veux.


Tu passes ta main entre ses cuisses. Elle est déjà trempée.
Pourtant tu n’as encore rien fait. Rien dit.
Tu la bascules sur le ventre, jambes pliées, fesses offertes.
Tu verrouilles la barre d’écartement à ses chevilles. Elle est à ta merci.


Tu prends la cravache. Tu effleures l’intérieur de ses cuisses, sa chatte.
Elle se tend. Tu frappes.
L’intérieur de ses cuisses, puis ses fesses.
Chaque coup résonne. La chair rougit. Le silence se charge.
Elle gémit. Tu continues jusqu’à ce que sa peau porte les marques de ta volonté.


Tu masses doucement son cul. Tu prends le rosebud.
Tu le lubrifies, le fais glisser lentement, délicatement.
Elle respire plus fort. De la cyprine s’échappe de sa chatte, incontrôlable.
Quand le bijou est en place, tu t’installes entre ses jambes.
Tu la pénètres d’un coup, profond, sans douceur.
Elle crie à peine. Elle encaisse.


Tu lui rappelles qu’elle ne peut pas jouir sans ta permission.
Tu ralentis. Tu joues avec elle.
Tu la retires, puis tu la reprends. Encore et encore.
Son corps tremble. Ligotée. Remplie. Brûlante.
Tu accélères. Tu grognes. Tu lui murmures à l’oreille qu’elle ne jouira que par le cul.


Tu te retires d’elle.
Tu lubrifies à peine, ta queue est déjà glissante de sa cyprine.
Tu enfonces ton sexe dans son cul. Elle crie à nouveau, mais elle reste.
Quelques minutes plus tard, tu lui donnes l’ordre.
“Maintenant. Jouis.”
Elle explose. Son corps entier se cambre.
Tu jouis à ton tour, profondément. Ton sperme reste en elle, chaud, vivant.


Tu restes en elle, immobile.
Sa respiration est hachée. Tu la tiens fermement par les hanches.
Puis tu te retires lentement, pour qu’elle sente encore le passage.
Tu observes ton sperme couler lentement entre ses jambes. Tu souris.
C’est satisfaisant.


Elle ne dit rien. Elle veut graver ce moment.
Tu te lèves. Tu la détaches, doucement, sans geste inutile.
Elle reste allongée, vidée, la respiration toujours saccadée.


Tu tires la couverture, t’allonges à côté d’elle.
Elle se rapproche instinctivement. Tu ne la repousses pas.
Tu poses une main sur sa hanche, chaude encore.
Tu chuchotes :
“Tu n’as pas fini de prendre du plaisir, ne t’inquiète pas. Et moi non plus.”


Vous vous endormez. Sans promesse. Sans parole.
Juste avec cette tension dans les reins.
Vous ne savez pas encore que la nuit va vous réveiller. Plusieurs fois.
Et que chaque fois, vous recommencerez. Encore. Et encore.

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