Pour une jeune fille à l’imagination débordante, rien de tel qu’une balade à vélo sous le soleil brûlant du mois d’août. Ce qu’elle aime plus que tout c’est observer, de façon un peu particulière, les pêcheurs sur l’autre rive du Cher. Un évènement imprévu va changer sa vie casanière...
Proposée le 4/07/2025 par descollages
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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
Le soleil réchauffe le gazon encore humide dans le jardin d’une belle propriété en Touraine. Camille jette un regard furtif à travers la fenêtre de la cuisine tout en préparant son petit déjeuner.
Un peu distraite, elle verse le lait à côté de sa tasse de chocolat. Les gouttes éclatent en faisant des formes bombées. La jeune fille pose un doigt sur la plus large d’entre elles et s’amuse à dessiner des cercles mélangés.
Son esprit intrigué, commence à vagabonder doucement. Le liquide blanchâtre lui rappelle les images sales d’un film porno qu’elle a visionné dans la nuit. C’était quoi déjà le titre ? Se demande-t-elle tout bas. Une réponse fugace revient d’un seul coup. Ah oui "Adorable Lola" avec Marilyn Jess. Un truc vintage sorti en 1981.
Tout en enfournant sa tasse dans le petit four micro-ondes, Camille repense aux scènes sulfureuses. Mais ce qui l’a le plus marquée, ce sont les dialogues crus de cette femme brune, habitant une sorte de manoir, jouant le rôle d’une entremetteuse perverse.
La petite sonnerie de clochette la sort de ses rêveries. Son chocolat est bien chaud. Elle le sort machinalement évitant de se brûler les mains. La petite cuillère tourne lentement pour répartir les granulés marron restés au fond.
En s’asseyant sur la chaise haute de bar, elle sent son entrejambe lui brûler un peu malgré le bois froid cylindrique. Parfois, il suffit d’un rien pour que sa culotte se mette à tremper de plaisir. Depuis l’âge de 16 ans, il en a toujours été ainsi. Que ce soit en plein cours ou lors de ses longues balades à vélo en solitaire le long du Cher.
Combien de fois, elle a dû se soulager dans des toilettes publiques pour calmer son sexe imprévisible. À croire qu’elle est possédée par un démon incontrôlable. Parfois ses pulsions la commandent sans relâche. Elle s’est vue une fois se lever en pleine nuit pour se frotter contre le coin de son lit tout en se mordant le poing jusqu’à se faire mal.
Fort heureusement, jamais ses parents ne l’ont surprise en pleine action. Elle en aurait crevé de honte. Rongée par la culpabilité, cette étudiante en droit ne sait plus comment faire. Les élèves de sa promo l’évitent la plupart du temps. Trop bizarre et fuyante. Camille rougit pour un rien, un sérieux handicap le jour où il faudra plaider en public pour défendre un client.
Le robinet d’eau tiède coule pour nettoyer la tasse, à nouveau propre. L’horloge indique onze heures. Direction la salle de bain pour se brosser les dents. Le miroir renvoie l’image d’une jolie brune dans un pyjama deux pièces roses avec des motifs hello kitty. Tout en tirant sur ses pommettes, elle se rapproche plus près de la glace pour contrôler l’état de ses yeux fatigués.
Le dentifrice blanchâtre et pâteux s’étale sur sa brosse électrique. Au bout d’une minute, elle voit couler le liquide sur le pourtour de sa bouche aux lèvres pulpeuses. Un flash électrique lui traverse à nouveau l’esprit. Elle revoit cette scène, où l’actrice blonde enfile cette tige de chair jusqu’à la garde avec appétit, se délectant à chaque mouvement de succion.
Cette fois, Camille tente de se maîtriser en rinçant sa brosse à dent. Elle crache dans le lavabo esquissant une grimace, comme pour montrer une forme de dégoût. Des pensées l’assaillent à nouveau puis s’évaporent subitement.
Ses parents sont partis travailler depuis sept heures ce matin. Ils ne reviendront que vers vingt heures. Drôle de mois d’août. Rien à faire ici à Saint-Avertin, à part d’interminables promenades dans les bois où le long du fleuve presque à sec.
Un repas préparé l’attend au frigo pour midi. Aujourd’hui ce sont des quenelles baignées dans une sauce faite maison, accompagné de riz basmati légèrement épicé. Catherine Belfond connaît bien les goûts de sa fille et s’arrange pour qu’elle ne manque de rien. Un peu coupable d’être trop souvent dans son grand cabinet comptable, cette maman poule l’appelle parfois vers quatorze heures pour s’assurer que tout va bien à la maison.
Son père, c'est autre chose. Commercial d’un grand groupe pharmaceutique, il lui arrive de découcher à des milliers de kilomètres. L’homme fringant s’intéresse peu à sa fille, obnubilé par l’argent. Il ne reviendra que dans trois jours chargé de petits cadeaux comme pour palier au manque affectif.
En attendant, il y en a une qui se prélasse au soleil, sur la table ronde métallique du jardin, c’est poupette. Une chatte grise aux poils longs et soyeux. Camille décide de sortir pour la caresser. Elle aime la douceur de son pelage, et surtout la faire ronronner. Ces deux-là sont inséparables. De temps en temps poupette a le droit de venir dans son lit pour dormir avec elle les nuits de mauvais temps.
— Attention de ne pas te tremper ! Lance Camille regardant l’animal jouer dans les rosiers encore lourds de gouttelettes de pluie nocturne.
Ses doigts fouillent les poils tout en prodiguant quelques massages légers. Un peu agacée, la petite chatte s’amuse à se lécher pour remettre son pelage en ordre. Puis l’animal se détend de tout son long émettant ronronnement de satisfaction.
— Je vais devoir te laisser ma petite chérie ! Dit la jeune fille inclinant la tête sur le côté.
Déjà repartie dans la véranda, Camille parcourt pieds-nu le carrelage de la cuisine, puis monte les escaliers quatre à quatre, les marches de l’escalier, dont elle connaît par cœur l’emplacement. La porte de sa chambre entrouverte, elle la pousse machinalement.
Avez-vous déjà vu autant de bordel ? À 22 ans, l’antre de la jeune fille ne déroge pas à la règle. Parfois le matin, c'est à peine si elle retrouve sa petite culotte avant de repartir à la Fac. Miraculeusement, elle en trouve une, toute rouge avec de la dentelle, sa préférée. Pas lavée depuis une semaine, elle l’enfile d’une seule main tout en restant en équilibre sur une jambe.
Puis, balayant la pièce des yeux, sans hésiter Camille attrape un short en jeans à fanfreluches. Un jour, à force d’être usé, le pauvre pantalon avait subi une coupe irrégulière à l’aide de longs ciseaux crantés. Elle aimait ce look de baroudeuse intrépide. D’autant plus que ce short lui moule admirablement les fesses, larges pour son âge. Trop de sucreries. Il fallait arrêter à tout prix de se goinfrer de bonbons Haribo devant les séries Netflix, demain peut-être…
Toujours est-il que notre jeune étudiante finit par enfiler son petit top noir à bretelles. Un dernier coup d’œil dans la glace de l’armoire, tout est ok. Ah les chaussettes. Il doit bien y avoir dans un coin tout au fond sous le bureau. Ces deux socquettes blanches feront bien l’affaire.
Trois tours de clé dans la serrure de la porte principal, tout est bien fermé, on ne sait jamais avec les vols ces derniers temps. Plus loin, un vieux vélo hollandais un peu écaillé l’attend contre la grille du muret de l’enceinte de la maison. Par précaution, Camille vérifie la pression de pneus encore en bon état. Le portillon grince un peu, puis claque violemment, la targette tient par je ne sais quel miracle.
Aux premiers contacts brûlants de la selle en cuir, ses fesses sensibles et réceptives goûtent le plaisir de cette chaleur instantanée. Les coutures intérieures frottent contre son sillon intime à chaque mouvement de pédale, ce sentiment étrange de plaisir discret réveille en elle de délicieux frissons à peine perceptibles.
Parfois, elle joue même à s’avancer sur la pointe arrondie de la selle tout en glissant volontairement en arrière sur les bords larges.
Infatigable, Camille ne se lasse jamais des longues distances sur sa bicyclette. Un jour, elle avait même dépassé la Croix des Landais, à 20 kilomètres d’ici. Ses parents l’avaient gentiment réprimandée de faire attention, mais rien n’y fit, bien au contraire.
La plupart du temps, les promeneurs qu’elle croise en route, sont très loin de se douter ce qui se passe dans sa petite culotte trop serrée. Trop occupés à marcher des heures portant de lourds sacs à dos remplis de matériel de camping.
Ceci dit, il arrive de rencontrer quelques vieux vicieux qui la mangent littéralement des yeux au niveau de ses jolies cuisses bronzées. Dans ces cas-là, Camille n’hésite pas à leur envoyer son plus beau sourire aguicheur pour les exciter davantage. Dans son petit rétroviseur, elle les voit se retourner, les yeux rivés sur ses lourdes fesses en mouvement.
Aujourd’hui le soleil tape un peu fort. Heureusement qu’elle a eu l’idée de protéger ses longs cheveux bruns, par un foulard de soie imprimé, terminé par un nœud fait à la va-vite. Comme elle connaît la majorité des endroits ombragés, Camille se décide à s’arrêter juste en face du coin dit "des pêcheurs".
Sur la berge, plusieurs peupliers se balancent dans le vent léger. Après quelques mètres, parmi les herbes hautes, elle couche son vélo, et s’installe en posant son sac en toile en guise d’oreiller. Sa main attrape une gourde thermos remplie de jus d’orange bien frais. Sans attendre la jeune fille boit au goulot en ouvrant grand la bouche. Un filet orange finit par couler le long de son cou pour terminer sa course dans le sillon de ses jolis seins. Le liquide frais la fait frissonner.
C’est là qu’elle aime se ressourcer dans les moments de stress. Camille aime contempler la nature, écouter le chant des oiseaux, sentir le parfum sucré des coquelicots. Le calme est toujours propice à ses rêveries de toutes sortes.
En face des pieux dressés sortent de l’eau pour former une sorte de ponton où vient pêcher un fidèle retraité. Son chapeau vissé sur la tête, il surveille d’un air placide son flotteur rouge au repos, dans l’attente d’une éventuelle touche.
À vrai dire, il ne peut pas voir la charmante jeune en face, allongée derrière les roseaux qui oscillent dans un tempo nonchalant. Les feuilles vertes et assez larges lui servent en quelque sorte de paravent. Allongée dans l’herbe, elle regarde passivement la douce lumière caresser ses cuisses. Ses pieds nus sentent la délicieuse piqûre lui chatouiller ses orteils vernis de rouge.
Soudain, l’homme en face se lève péniblement pour soulever sa ligne, lâchant un cri victorieux. Sa canne plie en arc de cercle vers le fond de l’eau avec vigueur. Le pêcheur tire de toutes ses forces, actionnant le moulinet comme un fou. Le fil en nylon tient bon, encore un large mouvement sur le côté droit pour ramener sa prise, et hop... la chose finit par frétiller dans la boue marquée par des traces de bottes.
À son grand étonnement, Camille entrevoit entre les roseaux non pas un brochet ou un sandre, mais plutôt un serpent noir et luisant se débattre en tortillant dans tous les sens. Déjà, la proie d’un diamètre respectable attise son imagination fertile. Mon Dieu qu’elle est grosse, mais surtout visqueuse pleine de nerfs, gonflée de sang… On pourrait penser à...
Perdues dans ses pensées lubriques, la jeune fille sait très bien que sa toison en feu ne va pas tenir très longtemps, à la vue de ce serpent d’eau douce secoué de spasmes irréguliers.
Fiévreusement, elle fait glisser le zip de son short trop serré. Cette fois, Camille décide de le retirer entièrement sans comprendre pourquoi. Puis c’est le tour de sa petite culotte en dentelle rouge. Au passage, elle prend le temps de la respirer et note que celle-ci est déjà marquée d’une substance brillante épaisse. Le bouquet odorant si puissant fait naître des frissons au creux de ses reins qui se soulèvent en ondulations prononcées.
Encouragée par ces initiatives qu’elle ne contrôle plus, Camille enlève son petit top noir, et le roule en boule sur le côté au niveau de ses hanches. La brise fraîche caresse son corps exhibé, et s’engouffre dans les poils pubiens au-dessus du sillon charnu et humide. D’un seul coup, le sentiment de liberté mêlé d’exaltation prend le pas sur son extrême pudeur immuable.
Voilà notre future avocate, dont les codes de conduite qui devraient faire d’elle une jeune fille exemplaire, qui se retrouve en pleine nature à goûter aux délices les plus immoraux.
Alors que le soleil brûle davantage, deux doigts se perdent dans la fente humide de son sexe pour en ressortir souillés et poisseux. Puis, sa bouche ne peut résister à les lécher pour les nettoyer du pointu de sa langue.
Les paupières closes, elle défait le nœud du foulard serré sur ses longs cheveux bruns. Le carré de soie va servir à réveiller ses deux seins gonflés. Par des passages successifs sur les pointes marrons, Camille adore exciter de cette façon, les cimes charnues, dont la sensibilité provoque des sensations inégalables. Elle voudrait se les mordre tellement c’est bon.
Noyée dans cette agonie sensuelle, Camille observe à nouveau l’anguille fatiguée de lutter sur la berge d’en face. Elle imagine le monstre rentrer dans sa fente, fouillant l’humidité brûlante de ses entrailles avec une détermination animale.
Pendant ce temps, le vieux pêcheur ne se doute pas qu’à quelques mètres de lui, une jeune fille innocente se caresse avec fougue, les cuisses écartées. Le pauvre, pourrait-il encor se servir de son simple appareil, rien n’est moins sûr.
Un peu narcissique, Camille a besoin de voir son sexe à l’aide d’une petite glace de maquillage. C’est le moment qu’elle préfère entre tous. En effet, quand elle se touche, la vision de sa source de plaisir déformée par ses doigts effilés déclenche des pulsions subtiles très puissantes.
Cette fois encore le miroir tenu de la main gauche renvoie les reflets intimes. Les lèvres rosées, flétries à cause de leur finesse se mettent à luire comme un timide ruisseau dans la chaleur de l’été. Concentrée sur cette image mouvante, la jeune fille sent monter les fulgurances profondes dans son bassin en mouvement.
Mêlés de clapotis rythmés par ses doigts, Camille se sent partir. Lâchant son miroir de poche, elle pose sa main sur sa bouche pour étouffer les cris aigus terminés par des râles plaintifs au moment du point culminant. Alors, son corps se met à se tortiller par des contorsions saccadées, puis s’écroule subitement épuisé par une série d’orgasmes voluptueux.
Haletante, elle reprend connaissance. Rongée par la honte, la jeune fille se relève rapidement, les jambes en coton.
— Alors petite salope, on prend le soleil ?
Tétanisée, Camille reste fixe et note au passage qu’elle ne voit plus l’inconnu d’en face. Comment a-t-il fait venir ici aussi vite. Une barque sans doute, d’habitude… elle ne comprend pas.
— Faut faire attention la prochaine fois avec ton miroir ! Tu m’as envoyé des S.O.S. un moment donné, tu sais...
Abasourdie par cette stupide erreur, la petite brune complètement à poil finit par se retourner. Elle, qui d’habitude prend toutes les précautions d’usage, se retrouve piégée comme une novice.
L’homme ventripotent, pose calmement son panier à pêche et tout le matériel. D’un seul coup, ses yeux cruels renvoient une lumière étrange. Tout en faisant signe à la petite brune de s’asseoir, l’inconnu s’allume une cigarette de mauvaise qualité.
— On dirait que j’ai gagné le gros lot aujourd’hui… D’abord une putain d’anguille et toi qui ne demande qu’à être dorlotée ! Dit-il en crachant la fumée grise à son visage.
La petite brune commence à s’habiller évitant de se montrer nue une seconde de plus devant cet intrus.
— C’est ça rhabille-toi ! Mais avant de partir, tu vas me sucer la queue ! Dit d’un ton badin le pêcheur dégrafant sa braguette.
— Vous n’avez pas le droit ! Répond sèchement Camille posant déjà une main sur la selle de son vélo.
C’était sans compter l’opinel du vieux schnock. Il le tira de sa poche puis montra le pointu de la lame en fixa la jeune fille terrorisée.
— J’te crève les pneus si tu fais un pas de plus ! Gronde-t-il avec un rictus diabolique.
La malheureuse comprend qu’il va falloir être docile à présent. L’homme en question n’est pas né de la dernière pluie. La voilà déjà accroupie dans l’herbe devant la verge longue d’une vingtaine de centimètres.
— Elle te plaît ? Fais attention de ne pas t’étouffer avec ! Ricane l’autre en agitant son engin velu de la main droite.
Pour la jeune étudiante en droit, c'est l’heure de la dégustation. À la maison, elle s’était déjà entraînée à gober des bananes afin de comprendre comment d’autres femmes pouvaient ainsi réaliser de telles prouesses buccales.
Finalement ce n’est pas si terrible que ça. Elle sent le gland cogner contre le fond de sa gorge, puis active sa langue sur la tige de chaire puant la pisse. Ses narines fortement incommodées au début, se dilatent peu à peu, pour finir par s’habituer à ces effluves répugnantes.
— Eh ben voilà ! Tu vois quand tu veux ! Hum allez prends-la bien comme ça oui ! Dit le vieux veinard savourant chaque seconde de ce moment exceptionnel.
Excitée par l’exercice, Camille lui prodigue même une branlette espagnole en bonne et due forme. La bite veinée coulisse admirablement entre les petits seins fermes de la jeune brune. La chose est si douce et tiède, c’est si agréable, se dit-elle, un peu étonnée.
— J’aurais eu 30 ans de moins, tu passais à la casserole crois-moi ! Dit l’autre commençant à gémir.
Passée maîtresse de la situation, Camille n’hésite pas à le branler, tout en creusant les joues par de fortes aspirations sonores. Lorsqu’elle reprend enfin son souffle, sa langue en pointe s’attarde sur la base du gland rouge vif, pour titiller cette partie tellement sensible pour un homme.
Au bord l’extase, le vieux pêcheur finit par empoigner les cheveux de sa bienfaitrice pour lui faire redresser la tête. Ainsi, elle est obligée de plonger dans son regard pendant que sa bouche continue son travail impeccable.
L’autre main ferme derrière la nuque oblige Camille à prendre l’énorme sexe au fond de sa bouche. Soudain, une liquide amère tapisse son palais par des jets successifs. Toujours concentrée, la jeune fille avale le nectar masculin sans se plaindre.
— Alors, tu trouves ça comment ! Je suis sûr qu’après, tu ne pourras plus t’en passer… Les salopes de ton espèce sont toutes les mêmes assoiffées de foutre.
Retirant l’engin crémeux de sa bouche, la jeune fille lui répondit par un joli sourire.
— Pas le temps pour le nettoyage ! J’ai bobonne qui m’attend à la maison… Grogne-t-il comme les hommes dont les couilles viennent juste d’être vidées.
Ni une ni deux, le voilà reparti avec son barda, d’une démarche traînante parmi les hautes herbes.
Les yeux pleins d’étoile, Camille se rhabille, du foutre tiède encore sur la bouche. Son petit mouchoir rose fera bien l’affaire pour nettoyer sa bouche souillée. Comme un petit trophée, elle gardera précieusement ce délicieux souvenir imprégné dans le tissu.
Descollages
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