Christelle 4

Après son initiation à de nombreuses pratiques sexuelles, Christelle est maintenant prête pour le spectacle. Une mise en scène va lui permettre de divertir des membres du club.

Proposée le 30/05/2025 par jeanmich

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Je m’appelle Jean-Michel, responsable dans une grande société.
J’ai proposé une amie pour servir de soumise dans le club privé dont je fais partie. Elle est mariée et absolument pas au courant de mes projets. J’ai donc fait embaucher cette femme, Christelle, avec l’aide de Laurent, le DRH. Nous avons collecté des renseignements anatomiques et psychologiques sur elle avec le concours de Natacha, Maîtresse dans le club, et faux médecin pour notre mission et elle a succombé rapidement au charme de Pierre, notre séducteur, en croyant vivre une aventure discrète. Il lui a fait subir une initiation sexuelle poussée et se trouve désormais prête à être utilisée.


Natacha était devenue son amie proche. Elle lui soufflait des idées coquines en observant des hommes avec elle et surveillait ses réactions. Christelle lui faisait des confidences et lui avait avoué sa liaison avec Pierre mais ne lui avait jamais donné de détails. Elle gardait sa naïveté et des scrupules sur ce qu’elle pratiquait. La fiche établie sur elle lors de son embauche intéressait de nombreux membres du club et Laurent décida qu’il était venu temps de la mettre sur la marché. Il voulait la mettre à l’épreuve, voir si l’on pouvait vraiment lui faire faire des choses. Sur les hommes attirés par la dame, un retint surtout son attention. Il s’agissait d’un membre influent du club. Il avait en fait inscrit son fils de 23 ans. Ce qui intéressait Laurent c’était l’âge de Rayan et surtout le fait qu’il soit marocain. Il voulait voir la réaction de Christelle, 34 ans, devant le désir de sexe d’un jeune homme quasiment 10 ans plus jeune qu’elle, de surcroît basané, alors que des discussions avec Natacha et d’autres, il apparaissait que la miss était assez raciste.

Pierre la baisait généralement vite fait au bureau, dans la salle de formation, le soir, en levrette debout, penchée sur la table, jupe retroussée et string écarté ou baissé aux genoux. Mais parfois il la déshabillait et s’amusait plus en variant les pratiques et les positions. Un soir, il la mit complètement nue et lui fit un cunnilingus après l’avoir allongée sur le dos sur la table, les jambes bien écartées. Après l’avoir bien chauffée, il lui fit sucer sa queue à genoux, lui debout. Il la prit ensuite en levrette, comme souvent, mais l’entraîna soudain vers la baie vitrée et la plaqua dessus en la besognant fort. Ce qu’elle ne savait pas c’est que, déjà, ses exploits dans la salle étaient filmés, mais aussi qu’au dernier étage de l’immeuble d’en face, un étage plus bas, se trouvait une salle avec cinq types de notre club venus faire les voyeurs. Laurent et moi étions avec eux. Ils regardaient sur plusieurs grandes télévisions ce qui se passait dans la salle au dixième étage du bâtiment devant lequel ils se trouvaient et virent soudain le corps plaqué contre la vitre. Ils dégainèrent alors les jumelles et observèrent avec attention.


De son côté Christelle paniqua un instant et essaya de se dégager : « Arrête !! On va me voir !! Je ne veux pas !! »
Pierre resta en elle mais se tint immobile. Il prit un ton calme et rassurant : « N’aie pas peur… Nous sommes au dixième étage. Impossible que des piétons nous voient (il avait fait exprès de s’inclure pour l’apaiser)… Et l’immeuble en face ne fait que neuf étages donc compliqué pour nous voir… Et ce sont des bureaux… Vois, il n’y a personne à cette heure... »

Elle fronça les sourcils, sans doute pour adapter sa vue et vérifier ce qu’il venait de dire mais elle était myope… Pierre sourit en pensant à ça et aux lunettes restées sur le meuble à l’entrée de la pièce. En plus le bâtiment d’en face était couvert de vitres miroirs. Elle ne risquait pas de voir les voyeurs qui eux la voyaient très bien. Pierre reprit les va et vient lentement en elle. Elle ferma les yeux en gémissant. Il lui lécha doucement les lobes d’oreilles et le cou pour faire l’amoureux puis accéléra le rythme en lui saisissant les cheveux. Elle se cambra en râlant de plaisir. Elle ne semblait plus faire attention à la vitre. Il arrêta soudain après une minute. Il se retira et se plaça à côté d’elle par rapport à la vitre et lui demanda de le sucer. Elle parut un peu surprise mais il avait l’habitude de faire ce genre de changement inattendu. Après ce temps d’hésitation, machinalement, elle se mit à genoux et le suça.

Les spectateurs adoraient. C’est Laurent qui avait eu cette idée, le côté spectacle style voyeur à propos d’une femme normale, banale même (au niveau de la situation sociale car elle disposait cependant d’atouts indiscutables), mariée et mère de famille. Une femme absolument pas du monde du porno, qui ne simulait pas son plaisir et qui était utilisée en croyant avoir simplement une aventure extraconjugale. Le tout se déroulait dans de confortables fauteuils en buvant un verre. Pour donner une touche particulière à cet évènement, Laurent les avait fait rencontrer Christelle juste avant qu’il ne vienne s’installer dans cette pièce. Il avait prétexté une visite de clients et ils avaient pu parler avec la miss que Pierre avait chargé de présenter le service. Elle avait, comme à son habitude, joué de son charme l’air de rien. Les hommes avaient été très attentifs à ses paroles et à son physique qu’il connaissaient grâce à la fiche établie à son embauche. Ils l’avaient scrutée sous toutes les coutures et elle, niaise, avait souri de toutes ses dents en croyant être irrésistible alors qu’ils l’imaginaient déjà en plein acte sexuel et piaffaient de la voir nue et exploitée. Ils savouraient donc ce moment où la femme qui les avait reçus, sûre de son charme et son inaccessibilité, était employée à son insu à leur bon vouloir. Pierre disposait en effet d’une oreillette et suivait leurs consignes. C’est eux, par l’intermédiaire de Laurent au micro, qui avaient demandé la fellation avec la position précise.


Pierre lui mit ensuite son sexe entre les seins et le fit coulisser. Un des spectateurs jouit bruyamment. Après cinq minutes de branlette espagnole, il la redressa et se mit derrière elle pour la reprendre, de profil par rapport à la vitre. Penchée en avant, les observateurs pouvaient voir la moitié de la croupe généreuse et le volume du 90D balloter au rythme des coups de queue. Deux autres hommes jouirent en grognant. Après cinq nouvelles minutes, Pierre la remit face à la vitre et la pilonna en alternant écrasement de la face et de la poitrine contre la baie vitrée et redressée hors contact. Les mamelles venaient se comprimer sur la vitre à chaque coup de rein Elle prit son pied en criant et en essayant de se tortiller, coincée par le corps masculin. Les deux derniers spectateurs regardaient avec avidité, sans se toucher.


Laurent était aux anges. Il me félicita d’avoir découvert le jouet dont il rêvait, une femme bandante, naïve et manipulable. Tout s’était mis en place : Elle avait été séduite et son initiation sexuelle ouvrait la porte à de nombreuses possibilités. De plus, son amitié, maintenant bien solide avec Natacha, allait faciliter sa manipulation. Il m’annonça, de façon énigmatique, qu’elle n’allait pas devenir soumise attitrée du club, pour l’instant… mais qu’elle serait un sujet d’études. Elle ne m’appartenait plus. Elle était au club. Pour cette découverte j’étais pleinement réintégré.


Il se tramait autre chose en même temps. Laurent avait autorisé un stage dans la société au sein du service de Pierre. Rayan était là pour trois semaines. Ses études de commerce avait facilité ce stage. Il avait un petit bureau et servait d’assistant pour Pierre qui avait chargé Christelle de le superviser le temps du stage. Elle ne s’était pas gênée pour montrer, dès le début, à Rayan qu’elle savait et qu’il devait se taire et comprendre qui était le chef. Elle le vouvoyait et faisait sans cesse des remarques mesquines sur lui devant les autres employées. Ce dernier n’avait déjà pas, avant de la connaître, des pensées tendres pour elle, mais son ressentiment augmentait chaque jour. Et donc, ce fameux jour où Christelle était exhibée, Rayan était resté caché dans les bureaux pour se rapprocher ensuite pour filmer avec son téléphone les ébats de la miss. Le but était de faire croire à Christelle que Rayan les avait surpris totalement par hasard. Mais le gamin filma un peu puis se mit à se masturber et il éjacula assez rapidement au moment où sa cible se faisait prendre en levrette de profil. Il alla ensuite se nettoyer et manqua la fin.


Néanmoins, il avait filmé assez. Après la séance Pierre partit rapidement en prétextant une soirée avec des amis. Christelle resta seule dans la pièce. Pierre lui avait subtilisé son string et elle était donc encore nue et à sa recherche. Elle pestait sur son vêtement disparu lorsqu’elle vit Rayan arriver dans la pièce. Elle couvrit sa nudité de ses bras et demanda d’une petite voix : « Que faites-vous là, à cette heure ?... » Il resta silencieux et se déplaça pour montrer l’écran de son téléphone. Son attitude avait été préparée par Laurent. Elle se figea en voyant les images d’elle quelques minutes avant. Rayan ricana : « J’ai bien fait de rester travailler… Ça m’a permis de voir une salope en action... »
Christelle tenta l’autorité : « Mais je ne vous permets pas de... »
Rayan la coupa brusquement « Ta gueule la karba ! C’est moi qui parle !! »
Elle prit un air outré mais resta silencieuse. Il poursuivit : « Je te propose un deal vu qu’on est dans le commerce : Tu te donnes à moi et ta relation avec Pierre reste notre secret ou tu refuses et je balance tes activités cachées aux autres employés de la boite… et chez toi ! Ton mari sait ?... C’est toi qui décides. Je ne t’oblige pas...»
Elle se mordilla les lèvres en restant immobile. Au bout d’une minute, Rayan ajouta la phrase prévue pour la faire céder en cas de besoin : « Tu te donnes juste ce soir et nous sommes quittes. »
Elle eut un regain d’autorité et réflexe de commerce et lança d’une voix qui essayait d’être assurée : « Une heure et c’est tout ! »
Rayan sourit. Le plan fonctionnait comme Laurent avait dit. Il ordonna à Christelle de venir le sucer. Elle n’hésita que le temps que Rayan lui fasse remarquer qu’il voulait du sexe une heure pleine et qu’il décalerait tout temps mort. Elle regarda sa montre. Il était déjà tard. Elle était déjà route pour rentrer chez elle normalement. Elle se dépêcha d’envoyer un sms et vint ensuite s’agenouiller devant Rayan et se mit à lui lécher le sexe puis à le prendre en bouche en le masturbant rapidement. Rayan avait bandé de nouveau dès le départ en voyant la femme nue devant lui. Une fois son sexe dans la bouche de la miss, il se mit à gronder de plaisir en continu. Au bout de deux minutes il l’attrapa par la nuque et lui baisa la bouche avant d’éjaculer en grognant après cinq minutes de sexe. Ils se séparèrent et restèrent immobiles tous les deux comme çà pendant quelques minutes, occupés à reprendre chacun leur souffle. Puis Rayan se rappela le plan et sortit un bâton équipé à son extrémité d’une boule vibrante. Il bougea un fauteuil l’air de rien pour le placer face à la baie vitrée puis le désigna à Christelle en lui disant : « Branle toi ! »
Christelle s’assit dans le fauteuil et prit l’objet qui vibrait déjà. Elle se l’appliqua sur la vulve, les sourcils froncés, et complètement crispée. Le corps raide elle semblait signifier à Rayan que ça ne lui faisait rien mais, au fil des minutes, son expression se modifia. Ses lèvres se desserrèrent et sa bouche s’ouvrit en grand. Son visage grimaça tandis que son bassin s’activait sur le jouet. Elle se mit à gémir en regardant Rayan d’un air désespéré. Elle était vaincue. Il l’encourageait. De toute façon, après deux éjaculations il ne se sentait plus en état de recommencer et il adorait voir cette MILF se branler devant lui, le visage souillé de son sperme, en lui dévoilant son intimité, ses gestes secrets. Au bout d’une dizaine de minutes un nouvel orgasme la transperça. Elle se contorsionna une nouvelle fois de plaisir.


Rayan attendit qu’elle redevienne immobile puis la leva. Il prit un plug. Elle voulut dire quelque chose mais il lui fit chut du doigt et elle baissa la tête sans insister. Il le badigeonna de gel et lui inséra dans le cul. Il lui accrocha ensuite aux tétons des pinces tenant des fines chaînettes terminées par des clochettes. Il sortit ensuite un gode noir. Elle écarquilla les yeux en voyant la taille (25x7) mais Rayan lui fit de nouveau signe de ne pas parler. Il la fit s’asseoir et se plaça derrière le fauteuil en passant les bras sur les côtés pour lui insérer doucement une fois enduit de gel également. Le but de ces manœuvres, depuis le début de notre prise en main, était de lui faire prendre le maximum de plaisir et de briser ses tabous. Rayan l’enfonça lentement en faisant de courts va et vient. La tête sur le côté, yeux fermés et bouche béante, Christelle, morte de honte, savourait en gémissant « non… non… oohhh c’est bon… Aaahhh oui… Non...»
Elle se retrouva en fin de compte avec le gode entièrement en elle et la boule vibrante collée sur son clitoris. Elle se tortillait en couinant. Rayan respecta le deal sur l’heure et réussit à la faire jouir deux nouvelles fois dans le temps restant. Il retira ensuite délicatement les ustensiles et la laissa inerte dans le fauteuil. Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits et à repartir chez elle.


Dans l’immeuble en face c’était l’euphorie. Laurent était félicité pour le spectacle offert. Les membres présents avaient apprécié le fait de l’avoir vue insouciante et sûre d’elle et de son charme face à eux et ensuite amenée au plaisir sans retenue. Ça confirmait ses ambitions. Plutôt que d’en faire une servante érotique au club il préférait la garder dans sa crédulité et une certaine innocence.

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