Prise dans ses contradictions et ses mensonges, Christelle garde ses aventures secrètes. Cependant, des discussions avec Natacha, qu'elle croit être son amie, vont donner de nouvelles idées à cette dernière pour utiliser la blonde naïve lors de ses vacances. Partie 1 de 3
Proposée le 18/11/2025 par jeanmich
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Je m’appelle Jean-Michel, responsable dans une grande société.
J’ai proposé une amie pour servir de soumise dans le club privé dont je fais partie. Elle est mariée et absolument pas au courant de mes projets. J’ai donc fait embaucher cette femme, Christelle, avec l’aide de Laurent, le DRH. Nous avons collecté des renseignements anatomiques et psychologiques sur elle avec le concours de Natacha, Maîtresse dans le club, et faux médecin pour notre mission. Ces informations ont été consignées sur une fiche qui est mise à jour régulièrement. Christelle a, ensuite, été séduite et éduquée sexuellement et participe, à son insu, aux activités du club.
Comme pour l’histoire avec Rayan, Christelle ne raconta pas à Natacha sa mésaventure avec Fabrice. Elle semblait être honteuse de ce genre de moments. Natacha ne chercha pas à la faire parler sur ce sujet et la laissa se confier sur d’autres choses. Christelle aimait, par exemple, raconter comment elle était bien en vacances. Elle allait, depuis des années, dans le sud de l’Espagne, à cinq kilomètres de la mer, dans l’extension d’un petit village où se trouvaient des villas bon marché habitées par quelques espagnols mais surtout des touristes en particulier anglais. Elle aimait parler du soleil et de la chaleur de là-bas et des belles plages bordant la méditerranée. Sa routine était le bronzage. Natacha avait droit régulièrement à des réflexions du genre : « Vivement la vacances et le soleil ! »
Elle lui avait raconté ses habitudes : Le matin, elle rangeait un peu la maison mais était surtout sur les réseaux sociaux tandis que son mari et ses garçons étaient à la piscine de la résidence au bout de la rue. La villa comportait une petite piscine mais elle ne faisait que 4x2m et les garçons préféraient la grande. L’après-midi elle allait sur la terrasse sur le toit pour bronzer tandis que le reste de la famille restait au frais dans la maison. En effet, la température pouvait monter jusque 45 degrés et personne ne restait à l’extérieur de 12h00 à 16h00. Christelle y restait de 14h00 à 15h30, heure à laquelle son mari venait lui apporter un café, puis ils allaient à la plage et elle reprenait sa séance de bronzage tandis que le reste de la famille jouait autour ou allait se promener à pied. A 20h00, toute la famille rentrait à la villa et soirée sur la terrasse. C’était une journée type même s’ils allaient visiter un lieu touristique de temps en temps.
Natacha lui avait soutiré des détails croustillants : Christelle bronzait nue sur son transat l’après-midi et s’enduisait de graisse à traire (sans rire. A l’origine prévue pour graisser les pis de vache avant la traite, cette graisse s’était révélée accélératrice de bronzage et est utilisée par les amateurs de bronzage fort). La villa faisait partie d’un bloc de quatre maisons souvent non occupées ou dont les occupants ne sortaient pas sur le toit l’après-midi. Son mari venait tenter sa chance et elle se laissait prendre tous les trois ou quatre jours, en levrette, à quatre pattes sur son transat. Devant l’air amusé de Natacha elle se justifia : « Il fait vraiment chaud là-bas tu sais… Et il n’y a que lui... »
Quand Natacha lui demanda : « Mais on peut te voir bronzer ou copuler !... »
Christelle répondit : « Il n’y a vraiment personne à cette heure là… Et puis tant pis ! Il y a ce petit côté risqué que j’aime… Mais je ne suis pas exhib ! »
Natacha apprit aussi que Christelle mettait un bikini classique, culotte et triangles et qu’elle faisait du topless sur la plage. Natacha se dit qu’elle devait en exciter des hommes avec les seins exhibés et même avec le soutien-gorge triangles car la poitrine devait bien balancer. Elle demanda à Christelle si elle avait déjà eu une aventure mais cette dernière lui rétorqua qu’elle était quasiment tout le temps avec son mari et ses fils et que c’était compliqué même si elle s’était déjà faite draguer sur la plage pendant qu’ils étaient en promenade. Natacha se dit : « Tu m‘étonnes avec tes grosses mamelles offertes à la vue de tous !... Et badigeonnées de graisse à traire !...» Mais elle avait une idée pour pallier cette carence de sexe de la blonde pendant les vacances et l’offrir une nouvelle fois.
Christelle partit donc sur son lieu de villégiature et reprit sa routine habituelle. Elle commença bien sûr les séances de bronzage intégral sur la terrasse de suite. Le second jour, David, son mari, tenta d’obtenir quelque chose. Il s’approcha maladroitement de sa femme allongée sur le ventre et posa sa main sur une fesse avant de la masser sans finesse. Christelle secoua les fesses comme si elle chassait une mouche. David reprit les caresses en s’approchant de l’entrejambe. Elle secoua de nouveau la croupe en faisant une grimace et grogna : « Tu fais chier... »
Apparemment elle devait réagir comme ça souvent avec lui car il n’hésita qu’un bref instant avant de passer ses doigts sur l’entrecuisse. Ses jambes devinrent moins rigides et les doigts s’enfoncèrent plus loin le long de la vulve. Il frotta délicatement et, au bout d’une minute, la croupe commença à bouger et à se contracter. Elle écarta un peu les cuisses sans rien dire. Au bout de deux nouvelles minutes elle se cambra, dévoilant sa vulve humide. David frotta un peu plus fort et se fit reprendre aussitôt : « Attention ! Merde ! Sois doux un peu ! »
Le mari tressauta et s’appliqua au maximum. Christelle finit par se mettre à quatre pattes en se cambrant et en activant la croupe sur les doigts qui la caressaient. Elle poussait de petits gémissements.
Pas loin, devant sa télé, Jérôme et Florent, fringants quinquagénaires, grand, blond pour le premier, petit sec grisonnant pour le second, tous les deux sportifs et chefs d’entreprise, observaient le couple. Ils étaient souvent à deux et avaient de nombreuses activités sportives, course à pied, tennis et voile, prétextes pour partir à deux et pas appréciés de leurs femmes. Une course de bateaux se disputait justement à cette période dans la grande ville à côté et ils en avaient pris prétexte pour se retrouver trois semaines tous les deux. Ils étaient membres du club bien sûr et Natacha était une amie de longue date. Elle avait vanté les mérites de la blonde et voulait qu’ils en profitent. Jérôme avait été très intéressé par la fiche et le concept de salope discrète manipulée. Il avait entraîné son ami et loué la villa située dans le même bloc à l’arrière de celle des MARTIN et qui donnait donc sur une rue parallèle à celle de sa cible. Ils regardèrent avec animosité l’attitude de la blonde envers son mari mais apprécièrent la vue de la femme nue. La femme de Jérôme était une grande brune toute fine et racée. Il la respectait mais avait besoin de se défouler avec le genre de femme qu’il regardait à ce moment là, une petite blondasse un peu en chair, bien équipée, se croyant classe mais en fait vulgaire. Florent, quant à lui, avait tout simplement une femme moche… Ils étaient donc en rut en voyant le couple baiser. Ils regardèrent justement la croupe qui, maintenant, bougeait bien. Jérôme saliva : « Putain ! On doit être bien dans ton cul ma cochonne ! Je vais bien te fourrer ! »
Ils regardèrent la poitrine opulente qui pendait. Florent ricana en voyant les seins luisants de graisse : « J’adore ! En plus c’est vrai qu’elle s’enduit les mamelles comme une vache !! »
La caméra espion placée sur le toit leur permettait de contempler le spectacle tranquillement assis en buvant un jus de fruit.
Deux étages plus haut, inconscients d’être observés, David et sa femme continuait ce qui ressemblait à un rituel. Normal qu’elle n’ait pas trop d’envie avec lui si c’était toujours comme ça et, surtout, si elle le traitait toujours comme ça… Consciencieusement, il poursuivait les caresses sur la vulve de sa femme qui gémissait plus fort. Elle se tourna soudain et lui dit « Viens ».
Il retira son short en catastrophe tandis que Christelle le regardait d’un air excédé. Il avait l’air bien doté (calcul fait à l’écran 18x6cm) . Il enfila un préservatif sur son sexe et l’inséra dans le vagin pourtant bien lubrifié en plusieurs petits coups très précautionneux. Christelle baissa la tête et commença à envoyer sa croupe à la rencontre du sexe de son mari qui s’appliqua pendant trois minutes puis qui se mit à devenir fébrile. Les grimaces sur son visage indiquaient qu’il était au point de rupture. Il ralentit fortement la cadence. Sa femme grimaça aussi, mais de mécontentement. Il reprit assez vite la cadence rapide. L’épouse semblait apprécier le moment et elle se mit soudain à accélérer le mouvement de ses fesses en augmentant les gémissements. Elle prit son pied en convulsant comme à son habitude et en poussant un petit cri. David prit son pied aussi rapidement derrière et se retira. Il enleva son préservatif et attendit un moment comme pour parler mais Christelle le regarda avec dédain et il redescendit dans la maison.
Jérôme laissa passer une journée puis monta à son tour avant de franchir le petit muret qui séparait les terrasses des villas. Christelle bronzait sur son transat, nue et sur le ventre. Il jeta un coup d’œil aux alentours. Personne apparemment mais c’est vrai qu’on pouvait être vu de partout. Certaines terrasses étaient même plus hautes de l’autre côté de la rue. Il s’approcha de la blonde les mains déjà enduites de graisse. Il les posa sur les épaules et commença un massage du dos. Elle se crispa très légèrement puis se détendit. Ses mains glissaient sur la graisse et ça facilitait les mouvements. Il savait que les femmes adoraient les massages bien faits. Il s’appliqua jusqu’à obtenir une sorte de ronronnement de Christelle qui marmonna aussi « Humm… Tu m’avais caché ce savoir-faire... »
Il descendit sur les fesses généreuses, s’y attarda. Elle ne bougeait pas. Il poursuivit jusque les jambes et les pieds, méticuleusement avant de remonter doucement en accentuant par l’intérieur. Elle écarta sensiblement les cuisses et il fit glisser ses doigts entre jusque la vulve. Elle se cambra aussitôt en gémissant doucement. Il continua de la caresser délicatement pendant quelques minutes. Le bassin de la blonde bougeait doucement et les fesses se contractaient à chaque mouvement. Elle chuchota : « Humm oui… Salaud… Tu m’as donné envie... »
Elle se redressa sur ses avants bras et se tourna vers l’arrière… Et hurla en voyant Jérôme : « AAAAHHHH !! MON DIEU !! MON DIEU !! QU’EST-CE QUE C’EST ?!! »
Elle s’assit sur le côté en couvrant ses seins tandis que Jérôme partait en courant derrière le bâtiment où débouchait l’escalier. David déboucha sur la terrasse rapidement. Il regarda sa femme et les alentours et lui demanda ce qui s’était passé. Elle hésita un long moment puis lâcha : « Je.. C’était une grosse bête qui s’est posée sur moi… J’ai eu peur… Mais je ne la vois plus… Elle s’est envolée. »
David regarda un moment aux alentours. Il lui demanda si elle voulait qu’il reste. Devant son refus il redescendit dans la maison en maugréant. Christelle remit son bikini et fit le tour de la terrasse. Elle leva les yeux vers les terrasses de l’autre côté de la rue puis finit par s’asseoir sur le transat, l’air pensive. Elle se recoucha quelques minutes après toujours revêtue de son bikini.
Le lendemain, elle arriva sur la terrasse à la même heure que d’habitude. Elle fit le tour de la terrasse deux fois en regardant les terrasses adjacentes et celles plus loin. Elle se coucha sur son transat en gardant son bikini. Elle n’était pas tranquille. Elle se redressait toutes les cinq minutes et semblait stressée. Jérôme aurait bien continué à jouer avec elle psychologiquement mais il n’avait que trois semaines et comptait en profiter. Il attendit trente minutes qu’elle se calme un peu puis il s’approcha d’elle discrètement. Il lui toucha une fesse. Elle se redressa vivement et se crispa pour ne pas crier. Elle chuchota : « Qu’est-ce que vous voulez ?... »
Il resta muet et lui fit signe de le suivre. Elle murmura : « Vous voulez aller où ?... »
Il ne répondit pas et passa derrière le bâtiment d’arrivée d’escalier. Elle le rejoignit au bout d’une minute et chuchota : « Alors ?! C’est quoi ce jeu ?... Ça va durer longtemps ?...»
Il se contenta de sourire en lui observant le corps. Il adorait : allure de pouffe blondasse mais bandante, toute équipée pour la baise. Il sentit son sexe qui gonflait. Elle redemanda un peu plus haut : « Vous allez me répondre ? Vous voulez quoi ?... Vous allez me laisser tranquille ? »
Elle avait un ton impérieux et désagréable mais ses gros tétons avaient commencé à se dresser. Il chuchota à son tour : « Vous êtes très jolie et vous avez envie de sexe. »
Elle ricana : « Ouais ! Ouais ! C’est ça… Vous prenez vos désirs pour la réalité... »
Jérôme toucha les tétons tendus et la fit frissonner. Il demanda : « Vous avez froid ou vous êtes excitée ? »
A une température de 42 degrés, ce frisson ne laissait pas de doute. Elle resta silencieuse, l’air confus. Jérôme jubila : cette femme était vraiment livrée clés en main… il poursuivit selon les indications fournies et décala les seins des triangles. Christelle lui attrapa les poignets : « Non mais dites donc ! Faut pas vous emmerder ! »
Jérôme sourit et fit chut : « Votre mari pourrait nous entendre !... »
Elle se tassa un peu et se retourna, relâchant un peu la pression sur les poignets et il en profita pour malaxer les seins doucement. Elle saisit de nouveau les poignets. D’une voix implorante elle demanda : « Non… Arrêtez s’il vous plaît... »
Il continua à malaxer en frottant les tétons qui étaient devenus durs : »Pourquoi ? On ne fait rien de mal... »
Elle marmonna : « Je suis mariée... »
Il répondit juste : « Je sais... »
Et il posa ses lèvres sur celles de Christelle. Il pressa délicatement avant de passer la langue entre les dents de la miss. Dos au mur, les seins triturés, la bouche obturée par celle de Jérôme, Christelle ronronnait en se trémoussant. Jérôme passa une main dans la culotte et massa la vulve. Elle se raidit quelques secondes puis son bassin commença à bouger tandis qu’elle ronronnait plus fort. Sa langue s’enroula autour de celle de Jérôme. Au bout de cinq minutes il lui baissa la culotte rapidement et retourna la blonde contre le mur. Il la fourra d’un coup provoquant un long gémissement. Équipé 19x6, il savait qu’elle faisait de l’effet. Il la lima avec un tempo rapide. Elle s’affaissa un peu en se cambrant et en plaçant une main devant sa bouche pour essayer de cacher ses gémissements. Il décala sa propre tête sur le côté en continuant de la baiser pour pouvoir l’observer un peu de profil. Excellent ! Les grosses loches pendaient et se balançaient. Christelle, les yeux fermés, la bouche grande ouverte, semblait concentrée sur son plaisir. Elle balançait sa bonne croupe ronde en arrière pour venir chercher sa queue. Il la lima pendant un quart d’heure et elle finit par se tordre de plaisir poussant des cris étouffés par ses mains. Jérôme juta en elle. Il la retourna ensuite, lui déposa un baiser sur les lèvres. Il lui dit : « Tu es vraiment très belle. C’était très bon. Rendez-vous demain matin ici dès le départ de ta famille à la piscine... »
La phrase avait été étudiée pour elle. Flatteries dont elle était friande et ordre direct pour ne pas la laisser réfléchir. Jérôme repassa au dessus du muret et repartit dans sa villa sans tenir compte des questions que lui lançait Christelle.
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