Luc, mon amant

Luc m'a initié à l'amour entre garçons, dont j'étais et suus toujours très friand. Ce fut une révélation, une extase. Luc m'a appris que le plaisir entre hommes pouvait être une jouissance, une grande jouissance, une extase, et que s'aimer entre hommes réservait bien des surprises et bien des bonheu

Proposée le 10/04/2025 par Sacha

Thème: Jeu érotique
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Dès les premiers émois de l'adolescence, la vue d'un corps masculin nu, dans toute sa splendeur, me rendait fou de joie, d'excitation et de désir. J'en redemandais sans jamais me lasser. Je passais et repassais devant les douches, lors de la colonie de vacances, pour jouir du spectacle si excitant de son corps nu.

On avait alors seize ans.

Et parfois il bandait sous la douche, sous l'effet de l'eau chaude, ou de de se sentir observé et désiré. J'ai bien tenté alors quelques manœuvres d'approche, mais qui n'ont pas abouti. Luc était de mon âge. Et comme moi juste pubère. Luc m'attirait. J'aurais bien faire la fête à son sexe.

Luc était un superbe ado, rien qu'à le voir tout nu je bandais et l'envie me venait de prendre sa queue en bouche, de lui faire une bonne fellation qui me donnerait son sperme.

À seize ans j'étais donc homo, pédé, gay, ou comme on voudra dire. Toujours est-il que le corps de Luc m'attirait et me faisait bander - son torse, ses fesses, son sexe et tout le reste. Le soir, je ne pouvais pas dormir sans me branler et éjaculer en pensant à lui. Je rêvais de sa queue.

J'avais beau lui succéder sous la douche, bandant de voir un corps masculin si désirable, il semblait indifférent à tout cela. Jusqu'au jour où ...

Luc, je l'ai revu quelques années plus tard. Il était toujours aussi beau, svelte, désirable. Et je suppose bien membré. J'avais vu sa bite sous la douche, je rêvais de le faire bander.

On s'est alors raconté nos parcours. Comme moi il avait connu des femmes, mais aussi quelques hommes. Et visiblement il semblait partant pour de nouvelles aventures rien qu'entre hommes, ce qui n'était évidemment pas pour me déplaire.

On a donc fini par se rejoindre à son domicile, partageant nos désirs dans la débauche. Luc m'a alors avoué me désirer autant que je l'avais pu désirer, mais qu'il avait pu être auparavant, comme avec moi, honteux d'être de ces hommes attirés par les hommes. Et qu'il avait finalement réussi à accepter cette attirance.

Sur le canapé de son salon, aux baisers succédèrent les caresses, puis, fesses à l'air, les attentions que se portent les amants au comble de l'excitation. Fesses à l'air, rien de tel pour bander ferme. Nos queues ne tardèrent pas à se rejoindre, à s'exciter mutuellement en se frôlant et en s'épousant, l'une contre l'autre, branlées par lui ou par moi. Le plaisir était partagé, intense.

Puis, après tous ces plaisirs partagés, on est passé aux choses sérieuses. Sa queue voulait décharger en moi, et mon cul l'attendait.

Mon œil de bronze était prêt à accueillir sa queue, dont le gland commençait à taquiner langoureusement l'entrée. Il a caressé, doigté, léché mon anus, le faisant frémir d'aise et d'impatience d'être pénétré.

C'est alors qu'il m'a enculé, qu'il a joui en moi comme moi de lui, sous lui, en levrette soumise et passive. Ce fut très jouissif, et Luc est devenu mon amant, assez possessif, lui seul avait le droit de me prendre. De frapper mes couilles contre les siennes quand il me prenait par derrière, en me faisant sentir sa bite toute gonflée dans mon cul, jusqu'à gicler en moi. C'était bon, quand en même temps il me branlait jusqu'à me faire éjaculer en même temps.

Et c'est ainsi que Luc est devenu mon amant, collé au corps, collé au cul. Je sais qu'il avait parfois d'autres amants, mais peu importe, j'aimais bien qu'on s'embrasse, qu'on laisse nos sexes s'effleurer, qu'on se lèche et qu'il me bourre le cul.

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