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Comment mon meilleur ami m'a fait perdre ma virginité.

J'avais toujours été uniquement attiré par les femmes, du moins je le croyais. Jusqu'à ce qu'un jour, ces années du pulsions refoulées refirent brutalement surface, me laissant me défouler avec mon meilleur ami, qui lui aussi avait cette attirance, ma nature de bisexuel me rattrapant. Un bon moment.

Proposée le 9/11/2022 par Erotisation

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Bonjour, moi, c'est Naël.
Je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivé à mes 20 ans.
A cette époque, je pratiquais l'athlétisme. Suite à des remarques que l'on m'avait faites sur mon côté minet efféminé, je m'étais mis en tête de gagner en muscle.

Comment mon meilleur ami m'a fait perdre ma virginité.
Mon meilleur ami, Alexandre, se débrouillait très bien, contrairement à moi, qui rentrait souvent fatigué et lessivé de mes séances.
Nous avions pris une habitude : il me soutenait jusqu'à chez lui, bras sous le bras, et je dormais dans sa chambre d'amis, pour que je me repose.


Je ne savais pas pourquoi, mais quelque chose m'excitait lorsqu'il m'aidait, son regard peut-être. Mais à chaque fois, je refoulais mes émotions. Comment pouvais-je être attiré par mon meilleur pote, moi qui avais toujours pris du plaisir à mater les culs de femme qui passaient devant la Fac, étant l’hétéro par excellence ?


Mais cet après-midi-là, peut-être sous le coup de la fatigue, je me laisser aller, et je ne freinais plus mon excitation sexuelle.
Son odeur d'homme, sa sueur, était plus forte que d'habitude, m'émoustillait. A chaque pas, mon cœur battait plus vite, et, sans que je le veuille, mon membre grossissait, formant une bosse au niveau de mon pantalon. Mais il ne le remarqua pas, où n'y prêta pas attention.


Je m'installais dans la chambre d'invité, tandis qu'il partit prendre une douche. En me préparant aussi, je remarquais, au bout de quelque minute, qu'il ne m'avait pas donné de savon. Je montais donc dans sa chambre, pour en prendre un, une serviette à la main, en short et en T-shirt.


Mais quand j'ouvris, dans un léger crissement, la porte . . . Il était nu, debout, de dos, sa serviette posée sur le lit. Il venait visiblement de prendre sa douche, et de se sécher. Sa musculature fine m'excitait terriblement, il était mince, bien bâti, la peau mate, d'environ 1m80. A travers le miroir de sa chambre, je pouvais apercevoir son beau visage fin et imberbe, ses lèvres roses et humides, ses yeux bleu azur, et ses cheveux blonds et bouclés, sauvage. La vision de son corps nu provoquaient un frisson de plaisir qui me parcourait tout le corps.


Il ne se retourna pas, mais je pu voir dans le miroir une certaine gêne pudique dans son regard, contagieuse, qui se traduisit chez moi par un rosissement. Je ne pouvais m'empêcher de rougir.
Trop embarrassé pour parler, je pris le savon et me dirigea vers la salle de bain.


Une fois dans la douche, seul avec moi-même, je compris. J'étais aussi attiré par les hommes, et j'avais volontairement oublié, refoulé, les fois où j'avais ressenti cette attirance. Toutes ces fois où des hommes m'avaient fait bander me revenaient.
Le professeur de math au lycée, brun et imberbe, aux yeux verts, le gars populaire du bahut, en terminale, tout cela me revenait.


Je fus soudain pris d'une envie de me branler, fantasmant sur tous ces hommes, aussi beaux et sexy les uns les autres. Ma main agrippait mon sexe, le masturbant.
"Oh que c'était bon !"pensais-je.
Toutes ces années d'envie refoulées me revenaient d'un coup, me faisaient exploser intérieurement, je ne pouvais m'empêcher de gémir, doucement, même en me retenant du mieux que je pouvais.
Je finis par n'en plus pouvoir, je criais même si je craignais que l'on m'entende, de plus en plus fort, ne contrôlant plus rien.
Mon corps entier brulait, secoué de spasmes.
Au bout de quelques minutes, je lâchais le sperme, arrosant le mur.

Il ne me restait plus qu'à me laver, en espérant ne pas avoir été entendu. . .


Quelques minutes plus tard, je toquais à la porte de sa chambre, prétextant venir lui rendre le savon. Lui, en pyjama, m'attendais, à ma grande surprise.

Dis-moi, Naël . . . C'est moi qui t'ai fait cette bosse, au stade ?
Je restais sans réponse.
Il continuait : Et le bruit que tu as fait, dans la douche, quand tu t'es branlé, c'était moi ?
Je baissais le regard.
"Je t'excite, hein ?"
Je ne m’y attendais pas.
L'Alexandre que j'avais toujours connu, amical, doux, réservé, n'était plus le même, on devinait qu’il était agité par des pulsions, tout comme moi.


Je lui répondis : "Oui, fais de moi ce que tu veux. Je veux que tu sois ma première fois avec un homme".
-"Bien sûr, ça peut être bon, entre homme. Très bon, même."
"Tu as déjà essayé ? lui demandais-je, surpris qu'il ne m'en ait pas parlé plus tôt.
"Oh que oui, et je vais t'apprendre à être une vraie salope."


Les rôles étaient désormais établis. Moi le soumis, lui le dominant.
-"Aujourd'hui, ça va être à toi de me donner du plaisir, et ensuite on verra."
Sitôt dit, le bel homme se leva hors du lit, debout, avant d'enlever son haut, laissant apparaître de légers abdo, faisais ensuite glisser son bas de pyjama, montrant au beaux jour ses cuisses bien sculptés, et ses langues jambes fines, épilés, ignorant ma réaction, et les émotions qui s'agitaient en moi.


Il m'ordonna de m'agenouiller.
-"C'est la première fois que tu suce, hein ?"
Ça y est, il l'avait dit. Je descendis son boxer, découvrant un pénis au repos d'environ 14 cm. Il était désormais entièrement nu devant moi, comme tout à l'heure, mais cette fois-ci, il était tout à fait à l'aise, chaud bouillant, prêt à recevoir ma gourmandise.


Je le caressais pendant de longues minutes, avant de l'enfourner d'un coup dans ma bouche. Je le suçait langoureusement, salivant, humidifiant et lubrifiant son sexe, avant de le sortir de temps en temps, donnant au passage de petits coups de langues sur son gland, m'inspirant des femmes que j'avais vu dans les films porno, pendant qu'il me disait comment faire, fort de son expérience.


Il aimait que je l'avale en entier, avoir les pleins pouvoir sur mon corps, faire de moi ce qu'il voulait.


Lui : "Tu sais que tu t'y prends bien, pour une première fois ? »me fit-il remarquer.
-Moi : « Tu en veux plus ? » lui ai-je demandé, pendant une brève pause.
Lui : « Oui, je vais bien te baiser la bouche, tellement fort que tu vas étouffer »


Il me prit la tête et la nuque, et guida mes mouvements, effectuant des va-et-vient toujours plus hard, toujours plus profond, m'insultant avec des mots crus qui me choquaient tout en m'excitant.


-"T'aime ça, hein, ma bite toute dur dans ta bouche, hein, salle chienne".
Pendant ce temps-là, son sexe atteignait des dimensions de plus en plus imposantes, au moins 22 centimètres, je dirais.


-"Regarde-moi comme je te défonce la gorge, t'es vraiment une salope, hein."
( Je le sentais surtout, et ça tapait fort au fond de ma bouche ).

J'étouffais de plus en plus, ne respirant que quand mon maître m'en donnait le droit. J'étais son vide-couille, son objet, sa soumise, il me féminisait, tandis que j'étais à sa merci, que des gémissements de plaisir sortaient de sa bouche, trahissant son plaisir.


Mon beau blond quitta enfin ma bouche, et me retira mon short et mon haut, fit tomber mon boxer.
Alexandre me mit sur le lit, avec lui, à quatre pattes, les fesses à l'air, et leva sa main, pour me fesser avec force, puis recommença, encore et encore, tandis que je criais de douleur, mais aussi de plaisir, car il faut dire que je trouvais ça bon.
C'était vraiment satisfaisant, et j'en réclamais encore et encore, mais il décida de s'arrêter pour passer aux choses sérieuses.


Mon partenaire me mis d'abord un doigt, bien enduis de lubrifiant et de vaseline, et me l'enfonça brutalement, m'arrachant une délicieuse plainte. Il introduit son gland humide dans mon anus, puis enfonça son énorme bite en moi, effectuant des va-et-vient brutaux, me retirant avec force une virginité anale qui aura duré 19 ans.


La douleur était vive, mais je ne protestais pas longtemps, malgré des cris de douleur, je finis par l'encourager même, sentant un plaisir que je n'avais jamais ressentis auparavant. Je découvrais le plaisir anal, prostatique.


Je le suppliais de continuer, de ne pas s'arrêter, tandis que nous secouons toujours plus le lit : "Vas-y, plus fort, défonce-moi le trou du cul".
Lui se cambrait, s'arque boutait, s'agrippait à mes hanches, toujours plus rapide et violent, tout en me complimentant sur mon physique : -"T'as de belles fesses, Naël."


Alexandre allait bientôt venir, on le sentait à ses spasmes, son sexe bougeait différemment.
"Je vais me retirer, prépares-toi bien, mets-toi à genoux, Naël."
Moi, du tact au tact, comprenant tout de suite : « Je suis prêt, salis-moi ».
Lui debout, il me bifla plusieurs fois, sourdement, avec vigueur, avant de jouir, de se soulager, d'éjaculer, m'étalant du foutre sur tout le visage, m'ordonnant ensuite de lécher tout ça et de lui nettoyer son sexe avec ma langue.
Son sperme était chaud, brulant et coulant. Comme demandé, je léchais et avalais ce sperme, il avait un goût salé, exotique. Je venais de goûter le sperme d'un autre, et cela ne m'as pas déplut. Puis j'avalais goulûment son sperme,


Je venais de perdre ma virginité de la façon la plus humiliante et rabaissante qui soit, et c'était la personne en qui j'avais le plus confiance qui m'avait fait ça. Cette idée m'envahissait l'esprit, et me plaisait.


Je m'apprêtais me coucher, quand, surpris, j'entendis :
-"la prochaine fois, c'est moi qui te ferai jouir, tu l'auras bien mérité".
Nous nous sommes endormis en très bon terme ce soir-là, nus dans le même lit, pour la première fois.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Pour une première, il aurait pu être un peu plus romantique...
Posté le 28/05/2023

Puss'n boots
Très sympa, bravo :-)
Posté le 15/11/2022

Guépiere
Bravo belle initiation j'ai fait découvrir les plaisir bi à mon mari (lire "Marie fait découvrir à son mari son coté Bi " histoire réelle). Merci de me dire ce que vous en pensez. Bisous Marie
Posté le 14/11/2022


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