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Comment mon meilleur ami m'a dominé.

Après une dur après-midi de sport et de course, je rentrai chez mon ami, fatigué. Lui, viril comme il était, se retrouvait être encore en forme. Je demande à reposer dans la chambre d'amis, il accepte. Mais au moment où je n'y attendais pas, en cherchant un savon, je le retrouve nu, subjugué.

Proposée le 31/10/2022 par Erotisation

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


L'après-midi avait été dur pour le mec efféminé et fragile que je suis. Je suait à
grosses gouttes, supportant difficilement l'effort physique intense sur le stade. Une fois fini, c'était presque lui qui me portait, mon meilleur ami épaules sous épaules, et me soutenait en marchant jusqu'à chez lui. Pendant que nous marchions côte à côte, je sentais son odeur émoustiller mes narines. De façon totalement incontrôlée, mon membre se redressait, comme mu par une volonté supérieur à la mienne, formant une bosse au niveau de mon entrejambe, ce qu'il ne sembla pas remarquer. Son odeur exotique, viril, son odeur d'homme, m'excitait, tandis que ma respiration s'accélérait. Je refoulais immédiatement ces pensées en mon for intérieur.

Comment pouvais-je être attiré par Alexandre, mon meilleur ami, mâle que je suis ? Je me sentais coupable, immoral, d'avoir ressenti cette attirance. Je ne devais surtout pas laisser transparaître ces émotions, moi qui avait toujours été attiré par les femmes de mon âge, de 18 à 24 ans, moi qui était le premier a les mater. Mais le doute me revient en pleine face, à peine arrivé chez lui.

Pourrais-je être malgré tout attiré par les hommes ? Je ne préférais ne pas y penser, ma conscience me l'interdisait.

Une fois franchi la porte d'entrée, je demandais à me reposer dans la chambre d'amis, pendant que lui se douchait. Il n'y avait aucune intention derrière tout cela.
Je faisais le tri dans mes affaires, jusqu'à me rendre soudainement compte que je n'avais pas mon savon. Je partis alors de sa chambre, pour en chercher un, c'est là qu'était sa réserve.

J'ouvris la porte, et . . . Je découvrit un corps nu, de dos, relativement musclé mais pas trop, mince, à la fois masculin et imberbe, son corps, quoi. Il avait déjà terminé sa douche apparemment, car quelques gouttes d'eau coulaient encore sur son corps.
J'étais subjugué, oubliant tout le reste. Son corps se détournait vers moi, lentement. Lui restait immobile, gêné. Il venait juste de poser sa serviette, pour s'habiller. Ses yeux bleu azurs évoquait la profondeur d'un lac, et ses cheveux bouclés, blonds et sauvages, évoquant la figure d'un demi-dieux grec.

Je rompis le silence : "oh, excuse-moi, j'étais venu chercher un savon ".

Mais rien à faire. Je le contemplais, de haut en bas, voulant m'en empêcher, en vain, tandis que mon érection me trahissait. Il s'approcha de moi, me donna le savon, et ferma la porte.

Je me douchais. Cette vision m'avait donné envie de plus de choses avec lui, désormais, je fantasmais secrètement sur lui.

Une fois sortis de ma douche et habillés, je vins le voir, en short court, avec un haut blanc et à moitié transparent, avec une idée en tête.

Lui, en tenue de nuit, son torse nu, me demandait de façon maintenant décomplexé :
"Alors, tu me trouve comment ?", ce à quoi je répondis : "Pas mal, du tout, tu es plutôt beau et craquant".
Puis, le prenant au dépourvu, je lui dit : Allez, avoue, ça fait longtemps que tu n'es t'es pas vidé ? Tu veux qu'on essaye quelque chose ?"

Il compris immédiatement le message. Je m'installais sur son lit, et le déshabillait, pendant qu'il complimentait mon physique féminin. Nous savions sans avoir besoin de le dire qui allait être le soumis et qui serait le dominant. Je caressait son sexe pendant quelques minutes, le temps de passer aux choses sérieuses, je le chauffais selon son bon vouloir, faisant monter la tension sexuelle.

Puis, à genoux sur le lit, je le suçai langoureusement, pour la première fois de ma vie, je goutais à un autre sexe, il bandait dur, et avait un goût salé, il mouillait beaucoup, cela m'excitait encore plus, je bandais moi aussi, j'aimais cela.

Je faisais cela sans avoir à réfléchir, humidifiant son pénis avec ma salive, léchant son gland, puis absorbait entièrement son sexe juteux, tout venait naturellement, tandis qu'il prenait doucement ma tête entre ses mains, m'encourageant, et commençant même à m'insulter.
"Oh oui, continue, oh c'est bon ça"
Ou encore : T'aimes ça, hein, avoir ma bite toute dure dans ta bouche, hein, salope ?
Choqué, je continuais et m'habituait au jeu, cela m'excitait même encore plus.

Il devenait de plus en plus féroce, incontrôlable, et commençait à effectuer des va et viens dans ma bouche, entrant de plus dans ma bouche. Il me baisait littéralement la bouche, contrôlait mes mouvements, me tenant par la nuque, allant jusqu'à rentrer dans ma gorge, m'asphyxiant, ce qui augmentait encore plus mon désir de soumis. J'étais totalement soumis à son désir. Je ne pouvais respirer que quand il me le permettait, m'en donnait l'autorisation. Soudain, il se retira.

Il me mis à quatre pattes, et me fessa si brutalement que je criai, je supportais difficilement cela, et mon corps tremblait de douleur et de désir.
Ensuite, il m'enfonça brutalement son index dans mon cul, avant de le retirer, et de rentrer son sexe dans mon petit orifice. Il me dit : "Je vais tellement t'enculer que tu ne pourras plus t'assoir pendant une semaine". Ca me faisait mal, mais nos envies passaient outre. Je pensais au fait que je me faisais littéralement défoncé et sodomisé par mon meilleur ami, comme une chienne, à la trainée que j'étais, cela me plaisait, j'étais son objet, son vide-couille.

Il rugissait de plaisir et de satisfaction, moi, je gémissais de douleur mais aussi de plaisir, mon point prostatique était touché, et j'en redemandais encore, et toujours plus, tandis que ses coups de rein secouaient entièrement mon ventre, et venait m'achever, je venais de jouir, j'avais découvert une sensation et un type d'orgasme qui m'était inconnu.

Il se retira, et m'ordonna de m'agenouiller, se mis debout, et jouis à son tour, éclaboussant mon visage de sept jets de sperme chaud et gluant, qui me souillait, tandis qu'une partie du liquide glissait vers mon bouche, et je l'avalais, sous ses ordres, malgré son goût amer.

Une fois nos instincts satisfaits, nous dormions ensuite dans son lit, nus et satisfaits, s'embrassant tendrement.

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Commentaires de l'histoire :

Hubert
J'adore les belles histoires surtout quand il n'y a pas brutalité ni soumission . Bien souvent il y a un passif et un actif , moi j'aimais beaucoup faire les deux de façon alterné , chacun son tour jusqu'à ce que chacun ait jouit . Ou même les pipes en 69 prendre le jus de son ou ses partenaires en bouche et un plus partager ce jus de bouche en bouche .
Posté le 5/11/2022

POPO
JAI BIEN AIMER SE RECIT MMMMMMMM
Posté le 1/11/2022


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