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Souvenirs érotiques et cochons d'un érotomane - La cochonne (2)

En attendant le rendez-vous suivant, je me branle plusieurs fois par jour. Je suis en rut. L’idée de revoir Mathilde m’excite à mort. Elle m’accueille plus que chaleureusement. Elle est bandante dans une jupe qui met en valeur sa croupe de jument, ses hanches. - J’ai deux jardiniers qui n’en finissent pas… Je suis à toi dans deux minutes…

Proposée le 16/04/2021 par enipal

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Toilettes
Type: Histoire vraie


En effet, dans le jardin, en contre-bas de la terrasse, deux hommes taillent et élagues… Mathilde, appuyée contre la rambarde, leur donne ses instructions.
J’ai sous les yeux son large fessier, une véritable invite… Je m’approche…

La rambarde de pierre de la terrasse nous abrite des regards jusqu'à la poitrine.
Je laisse ma main traîner sur sa hanche, et je commence à la peloter à travers sa robe, caressant une fesse aussi ferme qu'opulente.
Quand je glisse la main sous sa robe, elle se cambre. Je caresse ses cuisses, avant de remonter rapidement vers sa culotte. Nous n'avons pas le temps de tourner autour du pot, quelqu’un pourrait venir…

La bosse de son sexe me parait volumineuse sous mes doigts. Je serre au creux de la main une boule de chair saillante qui tend le coton de la culotte. Je sens la chaleur humide.
Elle se frotte sur mes doigts en roulant du bassin, se caressant elle-même sur mes phalanges tendues.
Dans cette position, je ne peux pas lui retirer sa culotte - ni même la baisser, alors je m‘accroupis derrière elle. Je remonte sa robe, faisant rouler le pan de tissu pour le coincer dans sa ceinture.

Elle a un léger sursaut, à peine perceptible, pendant que je découvre ses jambes, ses cuisses larges et enfin la croupe sphérique. Le slip blanc paraît trop petit pour elle et scie la chair ferme des fessiers, se perd dans la raie profonde qui les sépare.
Je baisse sa culotte jusqu'aux genoux. Elle accompagne mon geste en écartant les jambes si bien que le slip ne tombe pas, il reste tendu entre ses cuisses.
Ma queue me fait mal tant je suis excité par la perversité de la situation et la vue de ce cul charnu, à la fois massif et d'une rondeur parfaite.
Elle s'incline davantage sur la rambarde, creusant les reins pour tendre sa croupe vers moi. Les fesses s'entrouvrent légèrement, mais le sillon entre elles est trop profond pour que j'y distingue quoi que ce soit. J'achève le travail en tirant des deux pouces sur les globes.
Entre les cuisses, sa vulve très renflée dépasse en deux boudins de chair accolés, les lèvres trop grasses pour laisser voir l'intérieur de la fente. La même pilosité châtaine - de courtes pousses à peine frisottées - orne son sexe et entoure le périnée, avant de devenir plus abondante autour de l'anus, l'encerclant si bien qu'elle le masque à demi sous ses frisottis.
Mathilde se contracte quand elle sent mon visage se rapprocher de son cul. Un parfum de lait caillé émane de son con. Je le renifle quelques instants, me régalant de son odeur acide, excitante, avant de la lécher.
Le temps nous est compté et cela me convient parfaitement : je suis trop échauffé pour tergiverser. Je me mets à laper, suçant et aspirant, passant de son con à son cul. J'aime le goût acidulé de sa mouille et plus encore, sa docilité.
Je m'enfonce loin dans son vagin, j'explore son rectum de la langue sans qu'elle se dérobe. Au contraire, elle tend son cul. Elle pose la main sur ma nuque et pousse pour m'inciter à aller plus loin. À son âge, elle est naturellement large, élastique des deux côtés.
Je me redresse pour contempler son trou du cul que les poils lissés de bave ne cachent plus : une large pastille rosée que marque un orifice allongé, légèrement entrouvert par mes coups de langue.

Accolant majeur et index, je glisse entre les lèvres grasses de son con. La porte du vagin, abondamment lubrifiée de mouille et de salive, n'oppose aucune résistance à mes doigts qui coulent à l‘intérieur.
Pendant que je la branle rapidement à coups de poignet, je continue à agacer son trou du cul de coups de langue répétés. Ses jambes sont parcourues de frissons et elle doit se racler la gorge pour éviter que sa voix ne s'éraille.
Je me mets à la branler plus fort encore, appuyant à chaque mouvement sur la paroi antérieure de son vagin ce qui la fait se crisper.

J'ai tellement envie de la baiser que mes doigts me servent de substituts. La langue, c'est trop doux. De la main gauche, je fais comme avec la droite: cette fois, c'est sur l'anus humide que je pose les doigts. Elle ne se rétracte pas, au contraire et, bien qu'avec plus de difficultés que dans sa chatte, ils s‘enfoncent dans son rectum, jusqu'à la garde.
Je pistonne maintenant Mathilde des deux côtés, branlant son cul et son con en alternance, enfonçant mes doigts par-derrière quand je les retire devant et ainsi de suite. Elle se plie en avant laissant sa tête retomber sur son avant-bras et ses cuisses se mettent à trembler.
Elle a émet une sorte de sifflement en voulant étouffer son râle et me saisit le poignet, enfonçant ses ongles dans ma peau en jouissant, tout le bas du corps parcouru de secousses.
Il lui faut quelques secondes pour reprendre ses esprits, et finalement congédier les deux hommes, après quoi elle se dégage elle-même en repoussant mes mains et remonte son slip avant de se diriger vers le salon.
Debout devant moi, ses seins me sautent à la figure. Je les devine sous son chemisier translucide, marqué par la dentelle du soutien-gorge. Son sourire est sans équivoque.
- Je veux te voir, ôtes ta robe...
Le mot « voir » fait briller ses yeux…
Elle s’exécute, sans pour autant tomber dans un strip-tease outrancier. Elle se tient debout face à moi, sûre de son effet.
Ses dessous mettent ses formes opulentes en valeur, sans les cacher. Je sors ma queue, me branle devant elle, en la maintenant à distance par mon regard.

Elle sourit devant mon pieu dressé et semble apprécier autant que moi le jeu de voyeur que j’impose. Ses mains parcourent son corps. Elle caresse ses gros seins en forme de poire, son ventre rebondi, ses grosses fesses bien cambrées, ses larges cuisses, le sexe.
Elle tire si fort sur sa culotte qu’elle la fait entrer en elle, des touffes de poils noirs dépassent sur les bords. Elle se branle avec application devant moi.
J’aurais pu jouir sur elle à ce moment-là, mais j’ai envie d’autre chose :
- J’aimerais te voir pisser... Va t‘asseoir sur le bidet.
Alors qu’elle baisse sa culotte, je l’arrête.
- Gardes-la. J’ai envie de te voir pisser à travers.
Alors elle entre dans ce jeu qui semble vraiment l’exciter. Son urine l’inonde. J‘ai faillis jouir, aussi je cesse de me branler.
Une masse de liquide jaune translucide gonfle sa culotte avant de perler, puis de déborder en cascades. Sur les côtés, des ruisseaux éclaboussent ses cuisses puis roulent le long de ses jambes jusqu’au sol. Quand plus rien ne sort d’elle, pour la récompenser, je lui propose ma queue tendue, prête à exploser.
Elle l’avale avec bonheur, comme une enfant affamée. Elle s’en met partout, en bave, me pompe avec avidité, puis ressort ma queue, la regarde, s’en barbouille avant de la reprendre.
Je lui dis que ma queue est à elle. Je la pénètre par la bouche, puis la laisse à nouveau jouer avec mon membre. Ensuite, avec douceur, tendresse presque, je l’arrête :
- J’ai envie de goûter ta pisse.
Allongé sur le lit, je la fais s’asseoir sur moi. Elle approche doucement ses fesses de mon visage. Je profite de la vision de ses larges et belles fesses qui m’enveloppent. Elle se rapproche encore...
Je prends mon pied en sentant le tissu imbibé sur ma bouche. Je goûte son urine amère, enivrante, aspire ce qu’il en reste à travers les mailles. Je m’emplis de l’odeur de sa chatte ruisselante, de celle, plus forte encore, de son cul tout proche.
À sa façon de bouger, je comprends qu’elle aussi prend son pied. Aussi excités l’un que l’autre, tels des animaux en rut, nous nous donnons le maximum de plaisir. J’écarte sa culotte imbibée à tordre. J’ai les doigts dans une masse de poils mouillés, de chairs gonflées, toutes molles. Elle s’écrase sur moi, ensevelit mon visage, va et vient, se frotte, s’ouvre sur ma langue, sur mon nez, mon menton.
Ses poils gorgés de mouille et de pisse m’entrent dans la bouche : ceux de sa chatte, longs, bouclés et ceux de son anus, courts, fins comme des duvets. J’avale tout ce que je peux d’elle en me branlant sous ses yeux. À moitié étouffé sous ses fesses, je me dégage. Je veux voir comment elle est sous sa culotte. Je lui ordonne de la retirer. Elle le fait, allongée sur le dos dans les draps poisseux de pisse, en écartant les cuisses en plein dans ma direction.
La vue de sa chatte entrouverte, entourée d’une abondante toison noire me cause un choc. Si Mathilde a l’air distingué, sa vulve, elle, a un aspect bestial. Ses lèvres intimes épaisses comme le doigt bâillent sur l’entrée vaginale. Une écume blanchâtre affleure aux replis des babines.
De toute évidence, elle est plus qu’excitée. Au sommet de sa longue balafre pointe, hors du capuchon, un clitoris rouge comme une fraise. Je lui ordonne de se masturber, renversée sur le dos, pour bien me montrer son cul et sa chatte ensemble. J’observe ses orifices se contracter et se dilater sous l’action de ses doigts.
Je la rejoint enfin sur le lit. Comme elle ne lâche pas son sexe, je m’intéresse à son anus. Doucement, j’y introduis un doigt, puis deux. L’orifice est propre, accueillant. Mes doigts y glissent. Cette pénétration décuple son plaisir.
Elle gémit en continuant à se branler. Son vagin bée sous sa main, son anus s’ouvre en aspirant mes doigts. Je lui lui souffle :
- Tu aimerais ça, te faire enculer !
- Oui, râle-t-elle, en continuant à s’astiquer la chatte.
- Je vais te l’élargir pour de bon, ton trou du cul !

Trois de mes doigts passent aisément dans son anus qui s’assouplit à vue d’oeil. Je lui en mets un quatrième, en poussant doucement. Elle n’en peut plus. Couinant, se démenant, elle s’appuie sur ma main pour s’élargir toujours davantage. Je la pilonne franchement ; elle jouit en me criant de la défoncer, de lui faire mal...
Nous prenons un verre pour récupérer. Son visage rayonne. On aurait dit une autre femme.
- J’ai les couilles pleines, lui dis-je alors qu’elle malaxe mon sexe encore dur.
J’aimerais voir ton cul grand ouvert... et gicler dedans. Je la fait s‘installer les quatre fers en l’air sur le lit, deux gros oreillers calés pour lui relever la croupe.
- Tu vas m’exhiber ton cul, l’écarter. Ensuite, je t‘enculerai.
Je l’aide à s’introduire deux doigts, puis trois, dans son orifice. Je pousse sa main, la retire, l’enfonce. L’élasticité de son trou du cul me fascine. Je lui ordonne ensuite de se pénétrer avec le majeur et l’index de chaque main. Je l’aide à faire entrer les doigts en profondeur.
- Ecartes-toi maintenant. Tire sur les bords de ton anus. Montres-moi comme il est souple, comment il s’ouvre...
Sa chatte aussi ruissèle de plaisir. Mathilde semble prête à jouir encore. Son trou du cul s’ouvre toujours davantage, laissant apparaître un vide entre ses doigts, de quoi en loger encore un cinquième ou un sixième.
Le spectacle qu’elle offre m’affole.
Une couronne de courts poils noirs entoure sa muqueuse rose toute déplissée, qui bave un jus clair. Un âne aurait pu mettre sa trique dans son orifice distendu. Je glisse un doigt dans l’ouverture pour inspecter sa cavité. Elle est chaude, moite, mes phalanges y patinent. Je lui ordonne de rester immobile, le cul ouvert, pour me branler en regardant.
- Cela me plaît de te voir ainsi. Tu as un cul superbe. J’ai l’impression que je pourrais jouir des heures avec toi. Tire bien sur ton cul. Je vais glisser ma bite entre tes doigts.
J’approche doucement mon gland de son trou béant. Ses doigts refluent à l’extérieur. Elle se laisse glisser sur le dos. Je l’encule bien à fond. Je la maintiens par les hanches et par ce que je peux trouver de chairs. Je la secoue, fais ballotter ses seins à chaque coup de reins, l’insulte.
Je lui dis qu’elle a le trou du cul comme un garage, que toute la ville a dû y passer, peut-être même plusieurs hommes à la fois. Je lui crie que c‘est bon.

Elle s’active toujours sur sa chatte, titille son gros bouton, s’écrase les lèvres, les malaxe, se pénètre.
J’aurais voulu posséder deux bites pour la satisfaire, pour lui exploser les trous. Je la pilonne sauvagement. Ses gros seins vibrent. Son visage, ses yeux, ses cheveux semblent devenus fous. Elle jouit avec des râles de femelle obscène.
C’est cette image d’elle – en transe – qui me fais partir à grands jets, tout au fond...
Sitôt que je me retire, elle court aux toilettes, sous la douche... Je reprends à peine mon souffle, tant la séance a été violente. Je lui ai vraiment rempli son gros cul et je me suis bien vidé les couilles.

(à suivre)

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Commentaires de l'histoire :

Liza
C'est cochon comme j'aime
Posté le 1/03/2022

Anonyme
Tres excitant. Bravo et merci !
Posté le 1/02/2022


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