Histoire Erotique

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Rochefeuille - Chapitre 4 : La première femme de chambre.

Margot et Ninon sont convoquées dans la chambre de la Comtesse. Hortense avait vu les deux filles se donner du plaisir dans le parc. Elles n’en mènent pas large, s’attendent à être chassées du château pour leur perversité. Mais l’interrogatoire de Catherine de Rochefeuille ne prendra pas le tour redouté.

Proposée le 8/02/2019 par Marc Paul

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Margot terminait de ranger la vaisselle du dîner, elle avait hâte d’aller retrouver Ninon, quand Hortense entra dans la cuisine.
• Margot, viens avec moi. Lui dit-elle d’un ton sec qui ne laissait aucune place à une quelconque question.

Margot la suivit et retrouva Ninon qui attendait dans le couloir. En découvrant son amie, Margot comprit ce qui se passait. Le visage de Ninon dévoilait son angoisse et ses yeux remplis de larmes effrayèrent Margot. Le cœur battant la chamade, elle suivit Hortense qui les conduisait vers les appartements de « La Corneille », ses jambes flageolantes menaçaient de céder à chaque marche quand elle monta les escaliers.

Hortense frappa deux coups à la grande porte des appartements de madame la Comtesse. Une voix rocailleuse lui répondit. Hortense poussa les deux jeunes filles dans le salon. La Comtesse Catherine était assise dans un fauteuil de velours, et malgré leur terreur, les deux filles remarquèrent qu’elle ne portait pas la grande robe noire qui couvrait habituellement son corps sec. Catherine de Rochefeuille était simplement vêtue de sa chemise, et d’un manteau léger pourpre avec des broderies dorées. Ses cheveux défaits sous sa coiffe encadraient son visage, lui ôtant un peu de sa sévérité habituelle.
Catherine demanda à Hortense :
• Alors, ma bonne Hortense, qu’avez-vous découvert qui justifie cette visite ?
• Ces deux petites vicieuses, Madame, qui, hier tantôt, se donnaient du plaisir dans le fond du parc. Répondit Hortense avant d’ajouter : Madame la Comtesse m’avait dit de veiller à la moralité de ses servantes, et c’est en m’acquittant de cette tâche que j’ai découvert leur commerce.
• Vraiment ! Expliquez-moi ce que vous vu ?

En quelques phrases, la première femme de chambre détailla ce qu’elle avait vu, la position de Ninon, sa crainte que celle-ci soit souffrante avant de s’apercevoir que Margot était sous ses jupes. Catherine de Rochefeuille écouta attentivement, impassible, mais en hochant la tête pour marquer son intérêt.

• Merci, ma bonne Hortense de votre récit. Conclut la Comtesse Catherine puis se tournant vers les deux filles qui tremblaient de crainte, elle leur demanda : Que faisiez-vous donc ainsi ? Attention, je ne tolérerai aucun mensonge, avez-vous bien compris ? Je veux entendre la vérité sortir de votre bouche. Alors Margot que faisais-tu sous la jupe de Ninon ?
• Je lui faisais un petit plaisir, Madame. Répondit Margot d’une voix blanche à peine audible.
• Et comment lui faisais-tu plaisir ?
• Avec ma bouche, Madame.
• Et toi, Ninon confirmes-tu ce que viens de dire Margot. Insista la Comtesse.
• Oui, Madame, Margot dit la vérité.
• Parfait, je veux voir comment cela s’est passé. Ninon, appuie-toi sur ce mur comme si c’était le mur du parc. Attends ! Avant enlève ta jupe, ton corset et ta chemise que je voie bien. Et toi aussi, Margot.

Les deux filles s’exécutèrent en tremblant. Elles ne réfléchissaient pas, ne protestaient pas ; on ne discute pas les ordres de Madame. Ninon s’appuya sur le mur, les jambes écartées comme elle les avait écartées la veille pour que Margot s’accroupisse entre ses pieds, pour qu’elle renverse sa tête en arrière avant de poser ses lèvres sur sa chatte.
• Charmant tableau ! Commenta la Comtesse. C’est donc ainsi que tu suçais Ninon. Suce-la vraiment pour bien me montrer.

Malgré sa frayeur, Margot étira sa langue, en écarta les lèvres sèches de Ninon. Elle poursuivit son cunnilingus, attendant que Madame La Comtesse l’interrompe, n’osant pas prendre d’initiative. Et Ninon sentit des ondes de plaisir envahir son ventre comme à chaque fois que Margot la suçait. Elle aussi était terrifiée mais la langue de son amie qui s’agitait dans sa fente, qui s’égarait parfois sur son clitoris, lui procurait un plaisir qui faisait se contracter son con, qui le faisait se remplir de mouille. Et ces douces sensations avaient raison de sa peur de se faire renvoyer du château.

Ninon gémissait doucement des caresses de Margot. La Comtesse ne leur disait pas d’arrêter et Margot s’appliquait à bien lui montrer comment elle suçait son amie. Pourtant la voix rauque de « La Corneille » les sortit de leur trouble :
• Ça suffit comme cela. Margot relève toi !

Margot se releva pendant que Ninon quittait l’appui du mur. Elles découvrirent l’une et l’autre, Catherine de Rochefeuille, totalement nue qui se dirigeait vers son fauteuil tandis qu’Hortense disposait sur une chaise, la chemise et le manteau qu’elle tenait sur son bras. La Comtesse s’assit et demanda à Hortense :
• Ma bonne Hortense, pouvez-vous vérifier si ces deux donzelles sont toujours pucelles.
• Bien sûr, Madame.

Hortense s’approcha de Ninon, lui souleva une jambe d’une main et enfonça un doigt dans son con inondé. Elle se retourna vers Madame pour lui faire son compte-rendu :
• Celle-ci n’a jamais été fourrée, Madame.
• Tant mieux. Est-elle bien mouillée ?
• Totalement, Madame.
• Parfait, à la seconde maintenant.

Margot subit le même sort et Hortense confirma à la Comtesse qu’elle n’avait pas été fourrée non plus.
• Approchez-vous, et mettez-vous à genou devant moi. Dit Catherine aux deux filles. Encore plus prêt, je ne vais pas vous manger.

Sa voix éraillée par le tabac qu’elle fumait à longueur de journée dans une pipe en porcelaine, semblait d’un seul coup plus douce, plus amicale, moins autoritaire.
Catherine de Rochefeuille écarta ses cuisses minces et posa ses jambes sur les accoudoirs de son fauteuil en disant à Ninon et Margot :
• Maintenant, vous allez me sucer toutes les deux.
Les deux filles marquèrent un temps d’hésitation devant l’incongruité de la demande mais Catherine de Rochefeuille les saisit chacune par le chignon et attira leurs visages vers son pubis imberbe.

Attirant l’une et repoussant l’autre, elle se laissait sucer alternativement par Ninon et Margot qui s’appliquaient au mieux pour satisfaire leur maitresse. Catherine semblait trouver du plaisir à cet exercice. Sa poitrine se soulevait au gré des profondes inspirations et ses tétons durcis se dressaient au milieu des petites aréoles brunes qui ornaient la pointe de ses seins. De temps en temps, quand une des filles lui donnait un coup de langue plus appuyé que les autres, ses lèvres entrouvertes laissaient fuir un gémissement. Pourtant, elle arrêta son petit jeu et repoussa les deux filles en se relevant :
• C’était très bien. Déclara-t-elle. Ma bonne Hortense, pouvez-vous vous occuper de cette jeune Ninon. Je vais garder la petite Margot avec moi.

Hortense fit signe à Ninon de venir avec elle en emportant ses vêtements. Elles sortirent toutes les deux et refermèrent derrière elle la porte du salon.

Dans le couloir qui conduisait à sa chambre, Hortense regardait, sans vraiment les voir, les jolies fesses rondes de Ninon qui marchait devant elle. Mais son esprit était ailleurs, six ans auparavant, et Hortense souriait en repensant comment elle aussi, s’était faite piéger par la Comtesse.

Elle était alors une très jeune fille de seize ans quand la Comtesse l’avait prise à son service. Très jeune et innocente jeune fille. Hortense avait pour tâche de faire le ménage dans les appartements de la Comtesse Catherine. Au bout de quelques mois, elle découvrit sur la table de travail de sa maitresse, des dessins au crayon. Elle fût extrêmement surprise de sa découverte, non pas qu’elle ignorait le talent de dessinatrice de la Comtesse mais par le sujet de ces esquisses. Surprise mais surtout émue car les esquisses avaient toutes le même sujet : Le sexe des hommes et des femmes et aussi des scènes érotiques totalement impudiques.

Hortense commença par ignorer les dessins licencieux et se remit à son ouvrage. Quand elle eut terminé, elle ne put s’empêcher de feuilleter à nouveau les quelques feuillets qui trainaient sur la table. Cette collection de vits turgescents, arqués, tendus comme des arcs vers leur cible, de cons gonflés, qui dévoilaient la fine dentelle qui les ornent, ouverts, comme prêts à recevoir l’hommage des membres masculins, ces corps juvéniles enlacés dans des positions toutes plus scabreuses les unes que les autres, ces vits enfoncés dans des cons, dans des bouches, dans des culs même, tout cela la chavira. Hortense se sentit bizarre, une chaleur inconnue venait d’envahir son ventre, des picotements troublèrent son sexe. Elle s’enfuit…

Dans les jours qui suivirent, elle découvrit à la même place d’autres dessins. Elle les cherchait quand ils n’étaient pas visibles. Elle découvrit, seule, comment éteindre le feu qui lui prenait le ventre. Elle se caressait dès qu’elle avait un moment de libre, ou bien seule sur sa paillasse le soir au coucher, le matin au réveil, parfois même au beau milieu de la nuit quand des rêves érotiques la prenaient.

Ce qui devait arriver, arriva ! La Comtesse Catherine la surprit alors qu’elle regardait ses dessins. Catherine de Rochefeuille remarqua immédiatement qu’Hortense avait sa jupe soulevée sur le devant, comme son jupon et que sa main s’affairait entre ses cuisses.

Trop concentrée sur les dessins qu’elle tournait et retournait de sa main libre, le cerveau embrumé par les premières bouffées de son orgasme approchant, Hortense ne remarqua pas la présence de la Comtesse jusqu’à ce que celle-ci lui demande ce qu’elle faisait là. Hortense sursauta, se retourna, laissa retomber ses jupes sur ses chevilles. Elle revivait cet instant au ralenti, comme dans un rêve. La suite se passa comme cela venait de se passer avec Margot et Ninon. La Comtesse Catherine ordonna à sa servante de se masturber devant elle puis elle se fit sucer. Apparemment satisfaite de la prestation de sa jeune servante, elle l’avait attirée sur la peau de loup devant l’âtre et là, Catherine de Rochefeuille avait fait jouir Hortense et lui avait enseigné les caresses et les attouchements par lesquels une femme peut donner du plaisir à une autre. Cela avait duré toute une nuit et bien d’autres nuits avaient suivi…Et cela continuait encore et continuerait quelques temps encore car Hortense allait bientôt épouser le régisseur du Marquis de Marmaing, un ami du Comte, libertin comme lui et tout comme lui avide de femmes et parfois de jeunes pages. Elle quitterait le château pour suivre son mari.
Et Margot la remplacera auprès de Madame. Hortense en était sûre…

Revivre ses moments délicieux avait mis le feu au ventre d’Hortense. Elle ouvrit la porte de sa chambre. Elle poussa Ninon vers son lit et la renversa dessus avant de la rejoindre. Ninon osa une question :
• Qu’allez-vous faire de moi, Mademoiselle Hortense.
• Je vais profiter de ton vice, petite catin. Répondit Hortense. Tu vas me faire plaisir, et tu as tout intérêt à me satisfaire si tu ne veux pas être renvoyée. C’est bien compris ?
• Oh oui, Mademoiselle. J’ai bien compris. Répondit Ninon.

La frayeur qui l’avait saisie quand Hortense était venue la chercher alors qu’elle était dans sa chambre, frayeur qui s’était amplifiée quand elle l’avait trainée par le bras pour aller quérir Margot aux cuisines, se dissipait. Ninon, futée, venait de comprendre qu’Hortense lui demandait exactement ce qu’elle et Margot faisaient depuis un an. Elle avait appris avec son amie comment donner du plaisir et elle saurait faire jouir Hortense.

Elle s’enhardit à poser la question qui lui brulait les lèvres :
• Et Margot, que va-t-il lui arriver ?
• Ne t’inquiète pas de Margot, elle est entre de bonnes mains ! Tu la reverras demain. Occupe-toi plutôt de me donner du plaisir.

Ninon se tourna vers Hortense. Elle commença par dégrafer son corset, puis dénoua le lien qui fermait sa chemise. Hortense ne réagit pas. Ninon ouvrit grand la chemise, libérant les seins lourds de la première femme de chambre. Elle se pencha pour saisir un des tétons dardé entre ses lèvres. Elle téta Hortense qui maintenait la tête de la jeune servante sur son giron. Ninon saisit doucement les jupes d’Hortense et les remonta lentement jusqu’à ce que sa main puisse se glisser dessous. Quand ses doigts entrèrent en contact avec les cuisses nues d’Hortense, celle-ci écarta ses jambes. Ninon poursuivit sa remontée vers l’entrejambe qu’elle lui offrait. Comme elle, comme Margot, comme « La Corneille », Hortense était totalement épilée. Son sexe était gonflé de la sève du désir. Ninon câlina un peu cette fleur qui s’ouvrait au contact de ses doigts. Elle caressa cette fente inondée, d’abord timidement, n’osant pas aller trop loin. L’habitude qu’elle avait prise avec Margot de ne pas se fourrer le con de peur de se déflorer retenait ses caresses.

Quand ses doigts entrèrent en contact avec le petit bourgeon de chair, Hortense gémit et lui dit dans un souffle :
• Branle-moi le con. N’ait crainte, je ne suis plus pucelle.

Ninon enfonça alors un doigt, puis deux dans le con d’Hortense qui se cambra. Elle délaissa les seins qu’elle tétait pour se glisser entre les cuisses ouvertes. Elle la suça rapidement, comme elle le faisait avec Margot mais, en plus, ses deux doigts pistonnaient frénétiquement le con béant d’Hortense qui gémissait de plaisir, qui se cambrait pour mieux offrir son sexe à la langue de la jeune fille. Elle avait replié ses jambes ouvertes, les maintenaient ainsi de ses mains sous le pli du genou.
Ninon laissa un doigt glisser vers la rosette qui palpitait, Hortense poussa un petit cri quand une phalange se faufila dans son cul. Ninon enfonça brutalement son doigt dans le cul d’Hortense qui cria de plaisir. Se faire doigter le cul et se faire sucer en même temps eut pour effet de déclencher un bel orgasme. Hortense faisait des mouvements de bassin, recherchait un contact plus fort, des sensations plus intenses. Elle poussa un long râle, son corps secoué par les ondes de plaisir avant de se détendre quand son râle s’éteignit en un profond gémissement.

Dans la chambre de la Comtesse les choses allaient bon train également. Couchée en travers de son lit, Catherine de Rochefeuille suçait Margot qui la chevauchait. Margot gémissait longuement, poussait parfois de petit cris aigus quand la langue de sa maitresse effleurait son clitoris. Elle découvrait le plaisir entretenu, pas encore assouvi que lui donnait Catherine. Elle n’avait connu depuis un an, depuis la découverte de l’extase sensuel que des plaisirs brefs, rapides, furtifs. Avec Ninon, elles se caressaient, se suçaient, s’enculaient avec leur morceau de bois, mais toujours rapidement, cherchaient à se donner du plaisir vite, très vite, avec la crainte d’être surprises. Mais, maintenant, avec « La Corneille », Margot n’avait plus peur d’être prise en faute, et la Comtesse Catherine prenait tout son temps, retenait ses caresses quand elle sentait sa servante au bord du tourbillon vertigineux de l’orgasme. En femme rompue aux plaisirs du sexe, elle savait que le plaisir est bien meilleur quand il ne survient qu’après un long moment de caresses et elle voulait faire connaitre cette extase à sa jeune servante.

Margot n’en pouvait plus de cette douce torture. Son sexe coulait, ses tétons durcis étaient presque douloureux. A chaque fois qu’elle se sentait sur le point d’exploser, « La Corneille » retenait ses caresses. Le plaisir lui fit perdre toute prudence et, faisant fi de la recommandation de la Comtesse de se tenir coite, elle bascula en avant et enfouit sa tête entre les cuisses de Catherine de Rochefeuille. Elle suça sauvagement la chatte de la Comtesse, puis voyant que les deux cuisses maigres s’ouvraient largement, elle enfonça deux doigts dans le con béant et dégoulinant de mouille.

Catherine de Rochefeuille gémit de plaisir à son tour. Elle tenait sa victoire, contraindre Margot de lui donner du plaisir, non pas en lui en donnant l’ordre, c’aurait été trop facile et surtout terriblement frustrant, mais non, en lui faisant perdre la tête par ses caresses intimes, en la rendant ivre de plaisir. Catherine se sentit bientôt partir à son tour, la pucelle n’était pas maladroite. Elle se laissa aller au plaisir et jouit en criant de sa voix rauque. Margot profita de l’extase de la Comtesse pour faire glisser sa main sur vers sexe et voulu se masturber mais « La Corneille » ne lui en laissa pas le loisir. Elle écarta la main branleuse de la jeune servante et repris ses succions sur le sexe de Margot. Mais cette fois-ci, elle ne s’interrompit plus jusqu’à ce que le corps de Margot se trouve pris de violents tremblements, un long feulement de bête fauve jaillit de sa poitrine et Margot eut un orgasme violent qui explosa dans son ventre avant de la prendre toute entière.

Après cette nuit, Catherine prit sa décision. Margot deviendrait sa première femme de chambre et remplacerait Hortense dans quelques mois. Elle avait même demandé à Hortense son avis à propos de Ninon, alla même jusqu’à passer une nuit avec l’autre jeune fille mais sa décision ne changea pas. Elle décida malgré tout de garder Ninon à son service exclusif, comme servante.

Il fallait aller vite car les beaux jours revenaient. Les deux jeunes filles devaient être prêtes pour la St-Jean, pour la grande fête que le Comte et la Comtesse donnaient chaque année.

Les semaines suivantes, Margot apprit le métier de première femme de chambre en suivant Hortense comme son ombre qui lui laissait quelques tâches à effectuer, il faillait que Margot apprenne à commander à toute la maison. Depuis cette fameuse nuit, Ninon et Margot avaient totalement changé d’avis sur Hortense, de sévère, elle était devenue complice. Ninon était attachée au service exclusif de la Comtesse. Elle faisait le ménage dans sa chambre, l’aidait à se vêtir le matin, se dévêtir le soir, et elle l’assistait pour sa toilette.

Les deux amies passaient leurs nuits, l’une avec Hortense et l’autre avec la Comtesse. Parfois, elles avaient l’occasion de se retrouver ensemble et elles profitaient de leur trop rares soirées communes pour faire l’amour ensemble. Mais la Comtesse Catherine avait été formelle ; elles devaient absolument conserver leur pucelage. Et, chaque semaine, Hortense se chargeait de vérifier l’état de leur hymen. Elle profita de cette vérification pour initier Margot car elle aurait certainement à le faire dans sa future fonction.

Au contact des deux femmes, Margot et Ninon devinrent expertes dans l’art de procurer du plaisir sensuel. Aux femmes bien sûr, mais la Comtesse les initia aux relations sexuelles avec des garçons en utilisant pour cela un godemichet.

Elle montra un jour l’objet à Margot.
• Margot, sais-tu ce qu’est cet objet ? Lui demanda-t-elle en exhibant un magnifique godemichet en argent.
• Cela ressemble à un vit, Madame. Répondit Margot. Cet objet ressemble aux vits que madame dessine.
• C’est exactement cela. Affirma la Comtesse. C’est un vit que me fit un orfèvre de Paris. Et vois-tu, ma bonne Margot, avec cette ceinture que m’a fabriqué notre bourrelier, je peux me transformer en homme, en homme avec un gros vit. As-tu envie d’y gouter ?
• Oh oui, Madame, mais je ne comprends pas comment car je dois garder mon pucelage.
• Ma bonne Margot, tu as encore des choses à apprendre. Et je suis là pour cela. Ton con n’est pas le seul endroit dans lequel un homme peut fourrer son membre. Il y a la bouche et le cul…
• La bouche…le cul…Répéta Margot d’un air pensif.

Elle jouait cette petite comédie car elle ne voulait pas donner le sentiment qu’elle savait, qu’elle avait déjà découvert cela avec Ninon et leur godemichet en bois qu’elles avaient brulés dans la cheminée. Ce jour-là, elles jurèrent de ne jamais parler à quiconque de ce vit de bois.

Catherine de Rochefeuille initia d’abord Margot à la fellation. Elle lui montra comment sucer un vit en utilisant sa prothèse en argent. Puis elle la sodomisa sur la peau de loup devant sa cheminée.

Elle éduqua Ninon pareillement.

Vers la mi-mai, La Comtesse Catherine de Rochefeuille jugea que ses deux protégées étaient prêtes.

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