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Histoires de famille – 1ere partie - Trois vicieuses et un puceau

Céline, Lucie et Catherine, mes chères cousines qui firent de moi leur jouet sexuel durant des mois pour découvrir le corps des garçons, en toute impunité. Au bout du compte, qui manipulait vraiment qui ?

Proposée le 7/10/2018 par artaban

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Ce récit commence comme une chanson de Voulzy : « On a tous dans l’cœur… ».

Oui, j’ai dans le cœur des souvenirs de famille et d’une jeunesse qui ne se racontent que dans les alcôves d’un âge, où l’on ne craint plus grand-chose à les partager, tant ils sont lointains, tant hélas que ceux dont on redoutait les réactions ne sont plus là aujourd’hui pour qu’on les craigne. Il y a aussi la Vie, qui nous a tous séparé, chacun s’en est allé de son côté, oubliant les autres, tous les autres et parfois même notre mémoire. Que reste-t-il maintenant, sinon que des souvenirs poussiéreux de ces belles amours qu’on exhume comme des trésors inestimables.

Je m’appelle Damien, et la seule chose à retenir, c’est que j’étais très jeune et inexpérimenté à cette époque, vierge bien entendu, mais je savais déjà depuis longtemps que mon inclination se portait vers les garçons, sans que rien encore ne fut établi, ni définitif. Disons que je me laissais porter par les circonstances et les évènements, sans exclure l’un ou l’autre sexe. Dans les années 70, mon penchant pour l’un était encore un délit aux yeux de la loi des hommes et une abomination à ceux du Lévitique. Cela ne voulait pas dire pour autant que les filles ne m’excitaient pas, bien au contraire, surtout quand elles firent de moi leur petit jouet, et qu’elles aimaient jouer avec le mien.

Cette époque à laquelle je fais référence, c’était l’ère préhystérique, quand on pouvait encore s’égarer dans les hautes herbes des pâtures et dans quelques petits jeux loin d’être innocents entre cousins et cousines. Oui je sais, encore une histoire de cousinage, une de plus ! Mais là, c’est du vécu et c’est la seule chose qui lui donne de la valeur. Bien sûr j’ai pris soin de changer les noms et quelques lieux, mais l’histoire elle, reste la même, car c’était une autre ère, presqu’un autre monde, un monde où l’on ne risquait pas l’opprobre car chacun gardait pour soi l’expérience agréable qu’il venait de vivre avec l’Autre. Nous prenions tout comme un jeu, parfois un peu plus poussé que ce qu’il aurait dû être. On appelait cela « vivre des expériences ».

Aujourd’hui tout n’est que violence, vengeance, vacuité et vénalité.

Alors commençons ce récit du passé…

On a tous dans l’cœur une marraine, une tante, des cousines… et surtout des souvenirs érogènes qui vous dressent encore le mât rien qu’à y penser, quand la voile du dessus est déjà blanche depuis quelques temps.

C’était un temps sans internet, quand la télévision n’avait que deux ou trois chaînes, quand le téléphone était posé sur une console avec un fil à la patte et pour longtemps encore. Les liens humains étaient si forts et si authentiques, les rapports si simples.

Moi j’étais encore fils unique, garçon plutôt malingre, avec quelques taches de rousseur sur le nez qui ne se décidaient toujours pas à disparaître. Quand je regarde les vieilles photos, je me dis que j’étais quand même très mignon.

J’avais une grande famille dans laquelle nous étions 12 petits enfants, tous cousins et cousines, la Tribu, auxquels il fallait ajouter celles que l’on appelait les « grandes cousines », les filles des sœurs de ma grand-mère, qui auraient pu être mes grandes sœurs par l’âge. Je vivais donc au beau milieu de ce harem de quinze filles et nous, nous n’étions que trois garçons, quoique le dernier n’était pas encore né, donc, trois moins un égal deux !

J’étais l’ainé des deux petits gars du moment. Adrien était encore bien trop petit du haut de ses 8 ans, alors autant dire que j’étais le seul petit jeune homme de la famille, coincé comme un petit ilot entre deux vagues de petits-enfants.

Les trois premières filles étaient trois sœurs, Céline, 20 ans, Lucie, 19 et Catherine la plus jeune, à peine 18 ans depuis quelques jours, un joli tir groupé conséquence de trois hivers bien froid. Toutes étaient encore vierges.

Encore au-dessus, il y avait donc les « six grandes » : Marlène, 25 ans, Nicole, 25 ans, Anne, 24, Sophie, 23, Véronique, 23 et Agnès, 22, disons pour faire simple, qu’elles se préparaient toutes au mariage et ne comptaient pas coiffer la Sainte Catherine. Le reste de la tribu enfin, était bien plus jeune que moi et plafonnait à 11 ans. Et moi, j’étais au beau milieu de tout cette smala !

Dans ce melting-pot générationnel mal équilibré, je ne savais pas trop où était ma place. Trop petit pour les unes, et bien trop grand pour le reste, j’avais plutôt tendance à me rapprocher des plus grandes que j’appelais « les 9 ». Elles m’ont ignoré dès lors que j’eus quitté l’enfance jusqu’à cette fin d’adolescence qui pointait son nez, n’étant plus ce mignon petit garçon qu’on aimait pouponner pour de vrai.
Elles avaient grandi tout simplement. J’étais pourtant un garçon très sage et très doux, toujours souriant, toujours prêt à rendre service. Tout au plus je l’avais été jusqu’à 10 ans, le petit chouchou à câliner.

Un jour, ce qui devait arriver arriva. J’avais grandi, le timbre de ma voix changea et mes jambes commencèrent à se couvrir d’autre chose que de duvet. Sous mon nez, sous mes bras, et même un peu sous mon menton, la nature me faisait comprendre que je devenais un homme peu à peu. J’avais eu la rare chance de ne pas passer par la case acné ou si peu. Bien sûr, il avait un autre endroit où je changeais aussi, un petit lieu que je tenais secret, connu de moi seul, une petite forêt noire que je regardai fièrement pousser dans le miroir de la chambre des parents, sans me rendre compte véritablement que d’autres choses poussaient aussi. J’étais sans doute plus absorbé par l’évolution de cette pilosité, que par la taille de ce qu’elle recouvrait.

Mes cousines elles, avaient bien remarqué que la petite colline que dessinait mon short, se transformait de temps en temps en Everest explosif que j’avais du mal à cacher. Il fallait se rendre à l’évidence, je n’étais plus un enfant et tout aussi vite, presque plus un ado non plus, cela d’autant plus, que de nouveaux plaisirs, de nouvelles passions confidentielles et solitaires, avaient pris possession de mon âme et occupait ma main droite.

C’était l’été maintenant, les grandes vacances. Autant dire que ma tenue s’était très allégée. Un short, des tennis et le plus souvent possible le torse nu. Comme tous les ans, je n’avais pas besoin de plus quand il faisait très chaud. Ce n’était pas choquant dans mon village, les garçons étaient presque tous vêtus aussi légèrement. Les shorts, ce n’était pas encore ou plus du tout les modèles à poutre apparente, mais plutôt ceux qui baillaient bien largement aux encoignures des cuisses, ceux qui laissaient assez d’espace pour bien voir le matériel dans son écrin, quand l’on était assis en tailleur, sur le gazon ou dans la pâture.

Les filles, ce n’était pas encore ma préoccupation première et puis j’hésitais. Le carrefour. Je n’étais ni timide, ni fanfaron, le problème ne se posait pas c’est tout. Je n’étais pas plus en retard que la moyenne, mais le temps d’avant n’était pas celui d’aujourd’hui, où tout est une course, un défi, un enjeu, et la honte si l’on arrive le dernier ou pas du tout. Je dirais qu’on savait mieux vivre et profiter de l’instant, ce qui devait arriver, arrivera en son temps.

Mais mon heure semblait venue.

Un jour chez ces trois sœurs, alors que nous jouions au Monopoly sur une couverture étendue dans le jardin, je voyais bien qu’elles adoptaient un comportement pour le moins inhabituel. Elles se penchaient, se tordaient, se contorsionnaient et regardaient les cartes la tête à l’horizontale, parfois s’allongeaient sur le côté, presque à la hauteur de mon bassin. Je n’étais pas dupe non plus, je comprenais bien ce qu’il se passait, puisqu’il m’arrivait de faire de même avec certains de mes amis. J’étais vierge… mais expérimenté ! Le petit garçon avait bien grandi, et il n’était pas le seul dans son short !

Au début, je m’en amusais. Je prenais conscience que l’opportunité de voir mes testicules, suscitaient le désir chez ces petits bouts de femmes hyperœstrogèneisées. J’écartais même un peu plus les cuisses l’air de rien, juste pour leur faciliter la tâche. Il faut dire que mon slip comme mon short était aussi « un peu » baillant, je n’étais pas très épais, alors je me grattais l’aine pour faciliter la sortie de quelques poils impudiques et effrontés, qui semblaient beaucoup les exciter, mais je n’étais pas prêt encore pour une démonstration plus osée.

Au bout d’une heure de ce manège, à les regarder se tortiller pour essayer de voir ce qui était encore invisible, j’en avais assez et ça commençait même à ne plus m’amuser. Je leur lançai à toutes les quatre sur un ton un peu irrité :

-Ça va ? Vous voulez pas que j’écarte mon slip non plus ?!

D’un coup, surprises la main dans le pot de miel, elles se redressèrent l’air gêné et confus de celles prises sur le fait, osant même nier dans un premier temps. Céline, la plus âgée, me toisa du haut de ses 20 ans avec un certain aplomb, et comme un croupier de casino, poussa vers moi tous les billets de Monopoly qu’elle avait gagnés. Elle me lança à son tour comme un défi :

-Je te donne tous, si tu montres !

Je la regardai, médusé et incrédule. J’étais convaincu qu’elle me prenait pour un crétin.

-C’est une blague ? Lui dis-je. Ça va pas dans ta tête, c’est des billets de Mono, ça vaut rien !

Je me rendis compte que la manière dont j’avais formulé ma réponse était assez équivoque. Tacitement, cela supposait que j’étais prêt à m’offrir en spectacle pour autre chose de plus grande valeur.

-Tu veux quoi alors ? Me demanda-t-elle.

Surpris à mon tour, décontenancé, je ne savais pas comment répondre, je balbutiai un peu, déstabilisé dans mon aplomb.

-Mais …rrien, je … enfin rien quoi !

-Alors si tu veux rien, vas-y, montre !

C’est là que peut-être tout s’est emballé. C’était presqu’un ordre. Je rougis. Je sentis une bouffée de chaleur envahir mon visage, comme quand on est prêt à faire une connerie par bravade. Je posai les dés sans ne jamais baisser les yeux devant son regard, la fixant pour ne pas montrer que j’étais terrifié par ce que je m’apprêtais à faire. Je portais la main à mon entrejambe, empoignant par la cuisse mon short et mon slip en même temps. Je n’étais plus sous contrôle, je n’étais plus moi, je n’étais plus ce garçon sage. Je les vis me regarder les yeux hagards. Le temps, leur temps était suspendu.

-Il va le faire ou pas ? Devaient-elles se demander la bave aux lèvres, à toutes les lèvres !

Dans un geste de défi, rassemblant tout mon courage, j’écartai le tout d’un geste vif. Mes testicules se retrouvèrent d’un coup à l’air, pendant dans le vide, puis mon sexe s’échappa de mon slip et retomba à son tour mollement par-dessus. Je rougis encore plus, et en même temps j’étais fier de leur montrer le contenu de mon coffre aux trésors, ces belles billes bien développées, cette verge si jeune et fraîche, et cette petite toison bien noire et bien dense aux contours si nets qui faisaient tant ma fierté plus que le reste !

Leurs yeux exorbités regardaient cette bourse de fin d’adolescence, qui n’avait rien d’étude, mais qu’elles étudiaient avec concupiscence et envie sous toutes ses coutures. Que dire enfin de ce sexe de tout jeune homme ? Epaisse, rigide, veineuse à souhait, qui sans être encore en érection, se maintenait fièrement à l’horizontal. Plus aucune ne parlait et moi, je les laissais me regarder dans le silence, me mater plutôt serait plus juste. J’étais certain qu’aucune des trois n’avait encore vu le loup pour de vrai.

Petit à petit sous l’effet de l’excitation, je sentis que mon gland commençait à gonfler et mon prépuce à se rétracter, découvrant tout doucement ce champignon « hallucinérogène » encore si mystérieux pour elle. Je décidai d’attendre encore un peu avant de refermer le bazar à jouets, juste pour lui laisser le temps d’être au meilleur de sa forme. Toutes les trois restèrent très silencieuses. Lucie avait une petite robe et dessous bien sûr, cette éternelle petite culotte blanche, bien dans son époque qu’elle ne cherchait même pas à dissimuler. Je voyais se former une petite ligne d’humidité dont je ne comprenais pas le sens ni l’origine encore. Je croyais même qu’elle se faisait dessus. Mes yeux ne quittaient pas cette petite culotte à la fine dentelle, derrière laquelle je devinais la forme d’une petite vulve pulpeuse aux lèvres bien fermes et bien dessinées, fendue comme le sabot d’un chameau, ou comme disent les arabes, le « pied de chameau », accentuant mon excitation et l’érection de cette verge qui devenait pénis devant elles.

Quand elle se fut redressée à la verticale, je décidai que c’était fini, tirant alors d’un coup sec le rideau signifiant la fin de la représentation. Le spectacle était terminé, spectacle dont je sortis finalement honteux, mais heureux et très excité.

-Satisfaites mesdames ? Dis-je un peu bravache.

Je croyais bien que la partie de Mono était terminée pour cette après-midi, et que je n’avais rien exigé en retour, un marché de dupe ! Je n’ai jamais été doué pour les affaires ! Mais une chose était certaine, j’avais ouvert une agréable boite de Pandore chez ces jeunes filles encore vierges qui se la jouaient maintenant un peu moins fanfaronnes !

Aucune ne m’adressa la parole pendant deux jours complets, et rougissaient même en me croisant ou en me faisant la bise pour me dire bonjour. Plus aucune non plus n’osait baisser les yeux plus bas que ma poitrine, surtout devant leurs parents, de peur ne plus parvenir à les décoller de mon entrejambe qui gonflait maintenant dès que je les voyais.

Afin de saisir n’importe quelle occasion, je ne portais plus de sous-vêtement sous mon short, et dès que l’érection pointait ou que je m’accroupissais, mon gland dépassait un peu en bas comme le battant d’une cloche. Quand je les voyais, je soulevais légèrement ce short et le petit casque rose apparaissait, jetant mes cousines dans une confusion honteuse, et moi aussi par la même occasion, mais c’était plus fort que moi maintenant !

Deux jours plus tard, Catherine, la plus jeune, fut la première à rétablir le contact.

-Pourquoi tu as fait ça l’autre jour ?

-Quoi ? Répondis-je en bon hypocrite.

-Bin tu sais quoi, enfin, tu as montré…

-Mon sexe, ma bite ?

Je me surprenais à parler vulgairement, quant à elle, elle n’osait même pas prononcer le mot, alors je descendais d’un cran vers le langage enfantin, juste pour me moquer d’elle.

-...mon zizi ? Je ne sais pas, Céline avait l’air d’en avoir envie, et je crois que moi aussi je voulais le montrer à quelqu’un. Elle m’en a juste donné le prétexte.

-Je n’en avais jamais vu avant, enfin pas pour de vrai.

-Ça j’avais bien compris. Bin comme ça, c’est fait, t’as dormi moins idiote !

-Tu… tu me le montrerais encore ? Rien que moi, autant que je veux.

-Peut-être, ça dépend …

-De quoi ?

-De toi aussi, si tu montres ?

-T’es pas bien, j’fais pas ça moi ?

-Bin quoi, c’est la règle, je montre, tu montres. Pourquoi il n’y aurait que moi ?

Après quelques instants d’hésitation, et ne voulant pas manquer le coche, elle finit par accepter.

-D’accord, viens on va dans la cabane.

La cabane, c’était leur ancienne petite maison au fond du jardin où elles jouaient toutes les trois quand elles étaient petites. On entra en vérifiant que personne ne nous avait vu. Nos parents respectifs étaient tous partis à Auchan faire les courses. Seul mon père avait une voiture dans la famille, alors on s’organisait. Nous étions presque seuls, les deux autres étaient dans leur chambre. Catherine se tortillait, un peu mal à l’aise. J’avoue que moi aussi, car cette fois, je savais que ça irait un peu plus loin et c’était de moins en moins un jeu. L’idée seule de ce que nous allions faire me donna une érection. J’enlevais mon teeshirt. Elle me regardait me déshabiller, scrutant cette bosse désormais bien visible. Pas de chance, pour une fois j’avais remis un slip.

-Je peux te toucher ? Me demanda-t-elle.

-Oui, si tu veux.

Elle posa sa main sur mon torse d’adolescent, me caressa la poitrine, mes petits tétons de garçon, mon ventre, et caressa même les poils de mes aisselles, puis porta la main à son nez pour sentir cette odeur du jeune homme qui était de moins en moins son cousin. Ma peau était cuivrée par le soleil et luisante de sueur. Le jeu sentait maintenant le souffre. Le pire pour moi, c’était que je ne pourrai jamais me vanter auprès de mes copains du lycée, de peur que ça ne fuite. Je me posais mille questions, me demandant si nous n’étions pas en train de commettre un inceste ou pire.

-Je peux baisser le reste moi-même ? Me demanda-t-elle.

-Ok, vas-y.

Maladroitement, elle agrippa le devant de mon short, puis retira ses mains brutalement quand j’eus un petit sursaut. Involontairement et sans s’y être attendu, elle avait effleuré mon gland. Elle me regarda embarrassée et même apeurée. Je ne crois pas qu’elle avait prévu de toucher mon sexe sans y être préparée psychologiquement.

-Bin quoi ? de toute façon si on est là, c’est que tu veux toucher aussi non ?

Je repris les choses en mains, et me mis complètement nu. Mon sexe en sortant eu un effet ressort. C’était paradoxale, mais j’avais tellement honte d’être nu devant ma cousine, mais c’est bon la honte ! Elle ne manquait rien du spectacle. Quelque part au fond de moi, je ne souhaitais plus qu’elle se déshabille, pour rester le seul complètement nu, tout nu devant cette fille encore habillée. Je me sentais un peu humilié, mais ça m’excitait d’être le soumis ! Elle était silencieuse et ne regardait que ce sexe au pelage bien noir.

Je n’ai rien trouvé de plus ridicule à dire que :

-Voilà, c’est fait comme ça un garçon ! Manipulant mon sexe et soulevant mes testicules. Lui montrant mes fesses en me baissant parfois pour les écarter un petit peu, et qu’elle vit aussi que je n’avais aucun secret pour elle, en dévoilant un espace encore plus intime et d’ordinaire toujours caché.

Je poussais mon bassin en avant, comme pour le lui offrir et qu’elle le saisisse enfin. Je ne désirai qu’une chose, qu’elle le touche, que je ressente enfin cette sensation tactile d’une autre main que la mienne, que l’on toucha enfin ce gland qui ne demandait que ça. Allais-je éjaculer tout de suite ? J’avais le feu en bas. Je sentais comme des décharges électriques qui m’envahissait depuis derrière les testicules jusqu’au nombril.

-Hé Bin vas-y ! Pour maintenant, tu peux toucher.

Elle avança sa main timidement et pris la hampe de mon sexe entre son index et son pouce, comme on tenait un crayon, presque délicatement de peur qu’il n’éclate dans ses mains. C’était frustrant et décevant,
je ne sentais rien. J’enveloppai sa main avec la mienne et la forçai à serrer, tout en appliquant des mouvements de va et vient.

-Voilà, c’est comme ça qu’il faut faire !

Au moment même ou je commençai à ressentir quelque chose, nous fûmes interrompus dans notre élan par ses deux sœurs qui venaient d’entrer dans la cabane. Céline et Lucie regardèrent la scène n’en croyant pas leurs yeux. J’étais tout nu et leur sœur masturbait son jeune cousin. Prise de panique, elle lâcha mon pénis qui de nouveau fit ressort et se redressa brusquement sur mon ventre, en émettant un petit « plac !» de chairs qui s’entrechoquaient.

-Je vois qu’on arrive à temps ! vous n’avez pas honte !

-Je la regarde en souriant.

-Non ! Après tout, c’est bien toi qui a commencé l’autre jour ? Ce qui arrive, c’est de ta faute !

Jamais je ne me serais imaginé faire la leçon à une fille de 20 ans, en bandant complétement nu dans une cabane, tandis que deux autres me regardaient toutes excitées. Lucie échangea un regard avec sa sœur aînée, puis retira les brettelles de sa robe pour la laisse tomber par terre. Elle n’avait plus qu’un soutien-gorge et une petite culotte rose à dentelle assortie. J’avalais ma salive déglutissement douloureux. Elle dégrafa son soutien-gorge, puis ôta sa petite culotte. Elle aussi était nue maintenant, offrant à ma vision ces deux petits seins pointus et cette petite touffe de poils blonds qui cachait d’autres trésors.

Je n’avais jamais vu de fille nue jusqu’à présent, pas d’aussi prêt, ni d’aussi volontaire, et c’est dommage que je fusse déjà en érection, sinon je crois bien que j’aurais crevé le plafond. Le bout de mon gland coulait un peu tellement j’étais excité. Un petit filet de bave se colla même sur ma cuisse. Je ne savais plus où regarder. Ce petit minet aux poils clairs qui semblait si doux, je n’étais plus qu’à quelques centimètres de lui. Catherine pris ma main et la guida jusqu’au sexe de sa sœur.

Enfin, enfin ! Même si je me sentais plus proche des garçons, mon cœur battait si fort au contact de ce pelage soyeux que j’effleurais à peine. Je n’osais appuyer. Au diable ! je me lançais ! Ma main appuya un peu plus pour traverser ce délicat tapis moussue, et pour sentir au-delà, cette vulve toute chaude et humide, ses grandes lèvres sur lesquelles mon index et mon annulaire se posèrent fébrilement, tandis que mon majeur, lui, reposait sur cette petite excroissance toute molle qui en sortait, deux petites lèvres comme deux petits carpaccios de viande tous frais, prêts à être dégustés. Je ne savais rien sur le sexe, mais tout me venait à l’instinct, et visiblement je n’étais pas le seul !

De mon autre main, je pris l’initiative de caresser les pointes de ses seins, à tour de rôle, ces tétons si fermes, ressemblant à deux valves sur deux petits ballons surgonflés. Puis je malaxais ses deux seins, ronds et chauds.

Comme je la touchais, elle tendit sa main pour attraper mon pénis à son tour. Elle le tenait maintenant entre ses doigts si délicatement, comme si elle en avait peur. Je n’en pouvais plus. La chaleur qui avait envahi tout le bas de mon corps semblait se concentrer là où le bout de ses doigts étaient en contact avec ma peau. Je lui demandai de la prudence, lui expliquant que cette sensation dans mon état était tellement forte, qu’à tout moment je pouvais éjaculer.

C’est le but ! Me répondit Céline en bonne maîtresse de cérémonie.

Alors, nous convînmes de petites poses, afin de laisser respirer cette petite bombe que j’avais entre les cuisses, et qu’elle se désamorce de temps en temps, au risque de raccourcir notre petit jeu, ce qui serait fort dommageable pour tous.

Toutes les trois se relayaient à tour de rôle pour toucher l’objet de leur désir avec prudence. Elles me demandèrent si j’acceptai d’éjaculer pour elle, juste pour voir à quoi ça ressemblait. Comment aurais-je pu leur refuser ? Mais avant, je souhaitais moi aussi en voir et en découvrir un peu plus. C’est vrai après tout, moi, on voyait tout, mais elle, tout était caché !

La plus jeune et la plus âgée de mes trois cousines étaient toujours habillées. Ce n’était pas grave, ce serait pour plus tard. J’aurais encore des choses à découvrir au moins. Lucie était à son tour mon petit jouet, comme moi et surtout mon sexe, étions les leurs.

Je me mis à genoux et ma tête était à la bonne hauteur, juste face à cette petite vulve que j’arrivais à percevoir au travers de son petit buisson touffu. Debout, elle écarta les jambes pour que je puisse mieux voir et l’instant fut magique. Son sexe ainsi écarté, semblait s’ouvrir comme une petite grotte. Au milieu, il y avait toujours ce petit bout de chair qui pendouillait, et je vis qu’on pouvait aussi l’entrouvrir. Cela portait si bien son nom de petites lèvres. Avec les doigts de mes mains, j’écartais ces deux derniers petits bijoux qui cachaient l’entrée du plaisir. Que c’était humide, si humide, que le contact de mes doigts faisait plein de petits fils comme de la bave, et parfois, ses poils étaient groupés en petits paquets, comme si elle venai de prendre une douche.

Au passage je sentis quelque chose de dur, une sorte de petit pois que la curiosité me fit tripoter un peu. A peine l’avais-je effleuré, qu’elle poussa un petit cri strident, comme un petit chien quand on lui marche sur la patte. Je croyais lui avoir fait mal. En regardant son visage, je vis au contraire qu’elle avait la bouche grande ouverte et les yeux retournés. Il ne fallait pas être bien malin pour comprendre que c’était la clef de son plaisir.

Afin de vérifier, je fis glisser ce petit pois tout humide entre mes doigts, le serrant un petit peu. Ses yeux se retournèrent de sorte qu’on ne voyait plus que le blanc. Et ses cris…ses cris qui venaient du fond de sa gorge, je n’avais jamais rien entendu de tel. J’aimais bien quand elle gémissait la bouche grande ouverte, avec sa langue, on aurait que son vagin lui remontait au fond de la gorge ! Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais sans réfléchir, n’écoutant que cet instinct qui me guidait, je me mis à lécher ce petit pois salé avec ma langue, et heureusement que nos parents n’étaient pas là, car ses cris changèrent de volume, et elle, remuait dans tous les sens.
Moi non plus je n’en pouvais plus, il fallait que j’en finisse. Ma bourse et mon pénis me brûlaient. Je cessai de m’amuser avec elle et leur dis à toutes les trois que j’étais prêt pour leur montrer ce qu’était une éjaculation. J’allais leur expliquer, quand Céline, la plus grande, saisit mon sexe, et commença à le frotter en le serrant entre ses doigts. Il était si humide que ça glissait tout seul. Elle frottait et frottait encore sans le recalotter. Sa main glissait tout le long, de plus en plus vite ; ça faisait un drôle de bruit, et ça moussait même un petit peu. Elles n’eurent plus à attendre très longtemps.

D’un seul coup tous les muscles de mon corps se tétanisèrent, et je sentis les contractions envahir tout mon bas-ventre ! je n’ai eu que le temps de lui dire :

-Surtout n’arrête pas ! Surtout n’arrête pas ! Quoi qu’il arrive !

Ma respiration se bloqua. J’essayai de retenir ma semence plus longtemps, mais rien à faire, c’était trop fort. Jamais je n’avais encore ressenti cela. Jamais les contractions n’avaient été si puissantes en moi ! La première saccade fut presque douloureuse tant la pression avec laquelle mon sperme jaillissait de mon pénis était forte. Céline elle-même fut surprise et manqua de le recevoir sur sa robe, mais après, toutes les autres contractions ne furent que du bonheur, je râlai, je gémis en pliant les genoux et en avançant tout mon bassin tellement c’était bon. C’était encore meilleur que la première éjaculation volontaire que j’avais eu. Je ressentis comme de l’électricité qui partait de ma tête, derrière mes yeux aussi, descendant le long de ma colonne jusqu’à mon petit anus, pour finir sous mes testicules.

A chaque secousse, je m’efforçai d’inspirer à fond, au-delà de ce que mes poumons étaient capables de contenir, ce qui décuplait mon plaisir. A chaque fois qu’une giclée venait de sortir, je ne relâchais pas l’air, mais au contraire j’en inspirai encore une gorgée de plus. Mes poumons allaient éclater, mais cela triplait mon plaisir pendant l’éjaculation ! C’était d’une incroyable jouissance. Mon bas-ventre était en feu tant que sa main faisait sortir cette petite gelée du bonheur.

Toutes les trois me regardaient cracher ce venin qui sentait mauvais, mais elles étaient comme hypnotisées, ne quittant plus le petit œil du cyclope qui crachait encore et encore cette précieuse semence qui me donnait tant de bonheur.

Je ne comptais plus les allers-retours qu’elle faisait, mais jamais je n’avais eu une telle abondance. Sans doute l’excitation avait-elle dépassé tout ce que j’avais vécu en solitaire, ou avec mes copains dans nos séances communes ou chacun s’occupait du sien propre. Quand la source se tarit, Céline lâcha mon sexe et s’exclama :

-Hé bin Damien, on voit pas ça tous les jours !

J’étais appuyé contre un mur, ma respiration commençait à se calmer. Le sol était couvert de mon sperme, j’étais moi-même étonné qu’il y en eut autant ! J’étais lessivé, toujours tout nu, mais lessivé.
Pendant ce temps, Lucie s’était rhabillée et Catherine en profitait à son tour pour me toucher partout, mais cela ne me faisait plus rien. Je la laissais faire, après tout, c’était aussi grâce à elle si j’en étais là. Elle essuya mon sexe tout baveux avec un chiffon, prétexte pour le manipuler encore un peu.

Je crois que tout le monde était d’accord pour que la petite leçon de chose s’arrêta là. Lucie insista pour remonter mon short elle-même. Je crois bien qu’elle fit exprès de laisser mon sexe dehors, juste pour avoir à le saisir et le ranger délicatement dans son écrin, non sans en avoir profiter pour caresser mes testicules au passage, me lançant un petit sourire satisfait, car elle savait qu’en tant que cousine, elle ne pouvait pas m’embrasser. Je crois que si j’avais été fumeur, j’aurais bien allumé une clope à ce moment !

(à suivre…)

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Commentaires de l'histoire :

Ratagnasse
Une affaire entre cousin et cousine, je connais aussi, mais je n'aurai pas su la raconter mieux que vous Artaban
Posté le 30/04/2023

mod591
Excellant récit de jeunesse.....tu écris très bien, et c'est bandant.
Posté le 26/10/2020

Carladove
Une fois encore j'ai trouvé un endroit tranquille pour lire votre récit merveilleux et nue sous le soleil de juillet, je me suis doigtée jusqu'à l'orgasme. J'espère que la prochaine fois un garçon passera par là pour me dépuceler. J'ai besoin d'une vraie queue bien dure qui pénètre ma chatte toute mouillée.
Posté le 22/07/2019

Carladove
Slt, votre histooire m'a beaucoup plue. Chaud ! J'ai ôté mon soutien-gorge et ma petite culotte. Couchée sur le canapé, j'ai assouvi le feu d'entre mes reins en doigtant ma chatte toute mouillée jusqu'à ce que la jouissance s'empare de mon tout entier de pucelle.
Posté le 29/06/2019

Papayou 42
J'étais au bord de l'eau, tranquille, quand j'ai lu votre récit, tellement excitant que je n'ai pas pu m'empêcher de me dévêtir complètement et de me masturber jusqu'à jouir. Félictations car une belle qualité d'écriture .
Posté le 28/06/2019

artaban
Merci pour ce commentaire élogieux qui m'encourage beaucoup et très heureux que cela vous ait plu. Les suites sont déjà écrites, mais je les distille entre plusieurs histoires pour ne pas trop me fixer sur une seule. Merci encore. Le prochain épisode s'intitule "le jouet de mes cousines".
Posté le 17/10/2018

Anonyme
C’était délicieux, je ne me lasse pas de la relire encore et encore. Peut on espérer une suite ? J’aime beaucoup votre manière d’écrire
Posté le 17/10/2018


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