Histoire Erotique

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La remplaçante

Pendant plusieurs mois, Eléanore va remplacer une collègue. Je ne sais pas pourquoi mais dès que je l'ai vu j'ai eu un flash. Elle a un truc qui m'attire. Elle qu'elle ne fut pas ma joie lorsqu'elle m'invita à la rejoindre dans sa chambre...

Proposée le 19/09/2018 par Stephenson

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Je suis délégué pharmaceutique. Mon travail consiste à visiter les pharmacies et leurs proposer les produits du laboratoire que je représente. Mon secteur est situé sur la Marne, la Meuse, l’Aisne et les Ardennes. Je fais partie d’une équipe de 49 commerciaux et plusieurs fois par an, l’entreprise nous réunit tous à l’occasion des séminaires. On passe nos journées dans des salles pour travailler et le soir nous avons des soirées sympathiques pour décompresser, rigoler, discuter.

Je suis toujours content de venir en séminaire. Cela permet de revoir toute l’équipe et puis forcément les collègues de qui je suis le plus proche et que j’ai régulièrement au téléphone. Parmi ces collègues, il y en a une que j’appréciais, Estelle, mais elle ne serait pas là car elle attend un enfant et est donc en congés prénatal. Elle était remplacée et j’allais faire la connaissance de sa suppléante.

A l’instant où je l’ai vue, j’ai tout de suite senti quelque chose. Un sentiment difficile à expliquer mais je savais que je voulais la découvrir plus. Elle s’appelle Eléanore, plutôt mignonne, jolie, un sourire merveilleux. On s’est présenté sans plus , je lui ai laissé ma carte de visite. Je venais d’avoir un coup de foudre et je savais qu’il y aurait un avant et un après cette rencontre. Une histoire d’amour? d’amitié? Il faudra du temps pour éclaircir tout cela. Mais pour moi, c’était une évidence. Une évidence peut-être floue mais une évidence tout de même. Je dois la découvrir.

Le soir même, le laboratoire nous a prévu une sortie bowling. Les équipes avaient été constituées au préalable et qu’elle a été ma surprise de remarquer que sur la casier destiné à recevoir nos chaussures y figurait le prénom de la remplaçante de Estelle. Eléanore K avec la précision de la première lettre de son nom de famille car il y a une autre Eléanore dans l ‘équipe. Cool, me disais-je, je vais pouvoir passer la soirée avec elle.

Ce bruit caractéristique de la boule de bowling qui frappe les quilles remplit l’espace de part et d’autre de la salle au travers des différentes pistes. Avec mon équipe nous sommes sur l’avant dernière piste. Dans mon équipe Julie du marketing qui me voulait dans son équipe, une autre fille (j’ai oublié qui) et Eléanore K. Que je n’aborde pas direct pour ne pas éveiller trop vite les soupçons. Mais elle est là et je la regarde. Je la regarde de la tête au pied de dos à ce moment où elle va lancer une boule à l’aide des indications que certaines lui donnent. Elle est en jean et un haut qui ressemble à un débardeur mais avec des bretelles plus larges et plus amples. Un détail attire mon attention. Elle a mal à la nuque. Ma perspicacité est grande! Elle porte dégueulassement un patch chauffant au niveau de la nuque. Ce détail ne me choque pas. Bien au contraire. Il m’amuse même (Je tiens à rassurer les lecteurs, il n’est pas lieu ici de moquerie, juste d’un sentiment indéfinissable qui nous fait rire).

Au cours de la soirée, elle était seule, adossée à l’étagère des boules de bowling. Le temps est venu pour moi de faire connaissance. Je lui pose un nombre incalculable de questions. Où elle habite, si elle est en couple, si elle a des enfants, le tout en essayant de ne pas paraître pour un dragueur. Plus elle répondait aux questions, plus j’étais conquit par le personnage. Une jeune femme pétillante, qui semble avoir la joie de vivre, un grain de folie, et surtout un sourire divin et un regard doux, étincelant et fuyant de part la grande liste de questions avec lesquelles je l’assomme.

Cette soirée, ce premier round, en espérant qu’il y en ait d’autres s’achève. Et nous devons tous regagner nos chambres.

La soirée suivante est une soirée assez amusante. Nous allons assister à une pièce de théâtre interactive laquelle commence par une scène de crime et nous devons interrogés les trois comédiens qui se cachent derrière les personnages afin de déterminer lequel est coupable. Je ne sais plus comment cela s’est fait mais j’ai fait équipe avec la pétillante Eléanore. Nous étions tous les deux, l’un à côté de l’autre. Même si nous n’avons pas choisi le coupable idéal, je retiens de cette pièce de théâtre ce moment où nos bras nus se sont effleurés, touchés, scotchés et je ne voulais plus qu’ils se décollent.

En sortant de cet endroit, elle me dit que mon rire ressemble à celui de son ex. Mon sentiment était partagé. Je n’ai jamais aimé être comparé à quelqu’un d’autre d’autant plus lorsqu’il s’agit d’un ex mais en même temps j’étais harponné. Je voulais en savoir plus.

Dans le bus, je la vois sur le siège devant moi, ma carte de visite à la main en train d’enregistrer mon numéro et m’envoyer un premier texto. On en a échangé une paire.

Le jour suivant, l’après midi suivant, c’était plénière sur la prévention routière. Nous nous sommes installés l’un à côté de l’autre. Mon interrogatoire, le round 2, allait reprendre. De fil en aiguille, les questions s’enchaînent. Elle en peut plus, elle me le signale par des «  Mais tu m’en poses des questions » et rigole en même temps. Vers la fin de cette plénière, pour remballer ses affaires, Eléanore se penche vers son sac. Et là, j’assiste à un spectacle magnifique. Le haut de ses fesses dans un string rose. Cela faisait longtemps que je n’en avais pas aperçu un et je ne pensais pas connaître à nouveau un effet aussi sensationnel. Une espèce de courant électrique qui parcourt les tripes. Un courant électrique de désir, de pulsion…

Voilà la dernière soirée de la semaine. Soirée de gala au restaurant de l’hôtel et remise des prix pour le club double qui récompense les 5 meilleurs délégués de la boite.

Repas sympa avec mes collègues depuis toujours parce que nous sommes rentrés en même temps au sein de ce laboratoire mais je voulais dîner avec une autre personne. Eléanore accaparait mon esprit. Durant toutes les pauses sur ces deux derniers jours je n’ai cessé d’essayer de repérer où elle était. Juste pour la voir. La voir elle. Voir son visage, son sourire, ses yeux toujours aussi pétillants, et puis surtout sa beauté toute entière et plus localement ses fesses. Parfois surplombé de son manteau rouge et d’autres fois non, moulées dans son pantalon noir. J’ai du lui dire au mois cinq ou six fois à quel point je la trouvais sympa.

C’est au moment où la piste de danse s’ouvre que tout allait devenir cool. Tout le monde danse, s’amuse pendant que moi, je me fais fighter par Eléanore. Oui, fighter! Elle m’explique qu’elle fait de la boxe et me montre quelques techniques. La pétillante Eléanore s’est transformée en bulldozer prête à défoncer son nouveau collègue sur la piste de danse du Marriott. Je vous rassure, c’était un très bon moment. Je l’invite à venir prendre un verre au bar. La soirée touchait à sa fin mais je ne voulais plus la quitter. Et pourtant, il fallait tous qu’on regagne nos pénates.

Lorsque je regagne ma chambre, mon portable va se mettre à vibrer. Un texto s’affiche. C’était Eléanore. Eléanore qui me disait: « Bah alors! T’es pas dans ma chambre? ». Avais je bien lu? Avais je loupé un épisode? M’avait elle demandé de la rejoindre dans sa chambre sans n’avoir rien entendu?

A la réception de ce texto mon sang ne fit qu’un tour. Etait ce une invitation, était ce pour plaisanter? Je lui répondis donc sans perdre une seule seconde: « Quel numéro de chambre? » et elle me répondit: « 123 ». Sans attendre, je fonce chambre 123. Je toque à la porte et Eléanore m’ouvre. Elle me dit que je suis complètement fou. Mais j’entre malgré tout. Arrivé à la hauteur de son lit, elle m’annonce que je peux retirer mon jean et que je peux rester dormir ici maintenant que je suis là le tout sur un ton désabusé. Je m’exécute. Je savais que tout ce que je voulais, c’était être avec elle.

Allongé sur son lit, Eléanore vient s’allonger à côté de moi pour enfin atterrir dans mes bras. Je l’avoue, je voulais plus. Je commence par la mettre sur le ventre et passer au dessus d’elle. Je lui chope le lobe de l’oreille avec le bouche pour le mâchouiller un peu. Ma bouche se pose ensuite sur sa nuque, je remonte son haut de pyjama et descend ma langue sur tout le long de sa colonne vertébrale. Arrivé dans le creux de ses reins, je m’apprête à descendre son pas de pyjama et découvrir enfin la partie de son corps sur laquelle je fantasmer le plus, ses fesses. Je descends son bas de pyjama et découvrir enfin ses fesses habillées du même string que j’avais aperçu durant la plénière sur la prévention routière. Le bas de pyjama descendu jusqu’en dessous des fesses, je m’arrête, me redresse et contemple ce spectacle. Je ne peux m’empêcher d’attribuer une note de 21 sur 20 à ce fessier qui tient du génie. La vue des ses fesses me rend complètement dingue et fait monter ma température corporelle à quarante degrés Celsius. Je vais alors le toucher, poser une main sur chacune des fesses, et commencer à l’embrasser.

Eléanore se laisse faire mais pas pour longtemps. Elle veut me montrer que c’est elle qui contrôle, dirige, domine aussi peut-être le moment que nous allons passer. Elle me neutralise par quelques prises qu’elle a appris à la boxe et j’avoue que ça a rendu l’instant encore plus unique. Ce moment où elle me plaque, je me retrouve sur le ventre et elle sur mon dos pour ensuite se laisser glisser sur le côté. Elle me caresse de derrière les genoux jusque dans le bas du dos. La sensation qu’elle me procure lorsque sa main passe entre mes fesses. Je ne pensais pas pouvoir avoir des sensations à ce niveau là.

Je ne le savais pas encore mais durant les deux prochaines heures nous allons jouer à un jeu très dangereux. Le jeu de la frustration. Ce jeu consiste à se chauffer mutuellement jusqu’à un point de non retour sans qu’il n’y ait pénétration.

Cela passe par des bisous partout, des caresses partout. Ce moment où Eléanore est à quatre pattes, la bouche au dessus de mon engin qui est toujours emballé et qu’elle commence à le mordiller à travers mon boxer est un moment de pure folie. Je m’évade totalement.

A d’autres moment, c’est moi qui reprend le contrôle. Comme lorsque je me mets sur elle bien blotti entre ses cuisses et que je vais m’exercer à des mouvements de va et viens mon sexe frottant sur le sien toujours à travers nos sous vêtements.

Mais je n’en peux plus, je suis bouillant prêt à exploser. Ma température corporelle doit dépasser les cinquante degrés Celsius. Je ne peux plus me contrôler, je dois lâcher de la pression. Je sors donc mon sexe et l’empoigne. J’ai tellement envie d’elle alors qu’elle n a pas envie d’avoir envie. Alors que faire? me masturber devant elle moi qui ai toujours considérer cette activité solitaire, intime et personnelle.

« Non? t’as sorti ta queue? Masturbes toi » me lance-t-elle. Je ne peux pas faire autrement que d’écouter son conseil. Elle ajoute: « on va voir si tu n’es pas mono tâche ». Elle saisit ma main gauche et la dirige sur sexe qui est aussi brûlant que le mien. Je me demande comment il peut être encore humide étant donné la chaleur qui s’en dégage et comment est-il possible que sa cyprine ne se soit pas évaporée.

Me voilà donc me masturbant d’une main et jouant avec le clitoris de Eléanore avec l’autre main. D’une main assurée sur mon membre, les gestes sont maîtrisés, connus et d’une expérience déjà mature, de l’autre main par contre je dois me concentrer afin que mes gestes, mes mouvements puissent éteindre le feu du désir pour laisser place à la fumée du plaisir. Je joue au début avec le clitoris pour continuer à tâtons avec le bout des doigts à l’entrée de son vagin. J’y risque un doigt, puis deux, et fais des mouvements de va et viens de plus en plus énergiques et frénétiques. Mon petit doigt va se balader sur son anus, sur ce quoi elle me jette un petit: « qu’est ce que tu vas faire derrière? ». Mon petit doigt se recroqueville de suite et moi de penser que j’ai envie de fouiller tous ses orifices. Ma langue souhaite la goûter partout mais pour l’instant ce sont mes doigts qui s’occupent de tout. La goûter, ça sera peut être pour une autre fois. Enfin je l’espère.

Nos gémissements sont de plus en plus intense. Je jouis, elle je ne sais pas mais je l’espère. Cette activité que je pensais solitaire, je viens de la vivre pour la première fois à deux. Est-ce cela qu’on appelle jouer à touche pipi? En tous cas, c’était un jeu extra ordinaire et je ne pensais pas qu’on pouvait y prendre autant de plaisir.

Du plaisir? Dans la frustration d’une intensité inégalée j’en ai pris aussi. Je plane. Je viens de vivre un moment incroyable avec Eléanore. Cette nana pétillante pour laquelle j’avais eu un coup de foudre deux jours plutôt.

Elle se lève pour aller chercher de quoi m’essuyer puisque j’avais tout lâcher sur mon ventre. Déjà très à l’aise avec moi, elle pisse la porte ouverte. Puis c’est moi qui prend le relais et découvre son univers dans sa salle de bain. Sa brosse à dents, sa brosse à cheveux, son parfum, hypnose. C’est ça, le coup de foudre vient de l’hypnose. Elle m’avait envouté.

On s’endort l’un contre l’autre dans la position de la cuiller. Je loge dans ma main droite son sein droit et depuis, l’empreinte de son sein est un souvenir indélébile dans la paume de ma main.

Je me suis levé à 6 heures afin de regagner ma chambre afin de ne pas être repéré par un collègue. Le séminaire se termine. Nous prenons notre déjeuner l’un à côté de l’autre. Nous nous saluons mais nous allons nous retrouver…

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Commentaires de l'histoire :

pongo21
Joli récit . Merci à l'auteur
Posté le 24/09/2018


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