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Histoire sans paroles

Parfois, il suffit d'un regard au bon moment pour que tout s'enchaîne comme dans un rêve. Marie et Jean ne se connaissaient pas et pourtant ont vécu une aventure torride dans l'hôtel où ils séjournaient chacun de leur côté.

Proposée le 20/08/2017 par sorggulp

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Le ciel était d'un bleu azur magnifique en ce début d'après-midi.
Jean venait d'arriver à la piscine de l'hôtel accompagné de sa femme, Sabine. Ils étaient confortablement installés à l'ombre d'un parasol, près des bassins et des jacuzzis. La visite de l'île les avaient fatigués et ils appréciaient ce moment de détente. Jean avait emmené un livre avec lui tandis que Sabine se reposait sur sa chaise longue. Ils passaient un agréable séjour dans cet hôtel choisi à l'occasion de l'arrivée de Jean dans la catégorie quadras. Il ne s'était jamais senti aussi bien de sa vie. Il était sûr de lui, avait une situation professionnelle confortable et les revenus qui vont avec. Seule ombre à ce tableau idyllique, il ressentait un manque au niveau de sa sexualité. Sabine s'était installée dans une certaine routine qui agaçait voire frustrait parfois Jean. Il aurait par exemple aimé sortir de cette routine durant ce séjour loin de leur domicile et des enfants. Il avait en tête toute sortes de scénarios avant de partir mais Sabine ne semblait pas être animée par les mêmes fantasmes. Il était vite revenu à la réalité, se sentant frustré par celle-ci.

Histoire sans paroles Seul le bruissement des feuilles de palmiers parvenait à leurs oreilles. Le pourtour de la piscine était aménagé en petits îlots de verdure. Dans chacun d'eux étaient disposés de nombreuses chaises longues, de tables et de parasols. Chaque espace était séparé par des massifs de fleurs.

Il n'y avait quasiment personne à cette heure de la journée. Le temps passait paisiblement. Un petit vent rafraîchissant alternait avec les vagues de chaleur. Tandis que Jean levait les yeux de son livre, il voyait arriver deux femmes qui s'installaient à quelques mètres d'eux. De sa place, il voyait parfaitement les nouveaux arrivants au travers les massifs de fleurs. Crème solaire, lunettes de soleil, livres étaient sortis des sacs. Il comprit de suite c'était certainement la fille et sa maman qui séjournaient ensemble à l'hôtel. La maman devait avoir un âge respectable car elle mit un certain temps à s'allonger malgré l'aide de sa fille.

Celle-ci avait immédiatement attiré l'attention de Jean. C'était une femme très sensuelle, d'âge mûr qui prenait soin d'elle. Les jambes, le ventre et les épaules bien proportionnées trahissaient une pratique sportive régulière. Ses cheveux noirs étaient noués en chignon dégageant agréablement sa nuque. Un bikini blanc très échancré mettait parfaitement en valeur son bronzage et surtout ses formes. Le regard de Jean glissait sur les seins plantureux puis descendait sur les hanches généreuses pour s'attarder sur les jambes. Cette femme était très belle.

"J'espère qu'elle aura apprécié cette semaine passée loin de sa maison car je commence sérieusement à m'ennuyer dans cet hôtel" pensait Marie en prenant place sur sa chaise longue. "De toutes façons, je n'avais plus le choix, il fallait que je sorte maman de cette situation et seul un voyage toutes les deux pouvait lui remonter le moral après la disparition de papa. Mais ce sentiment de solitude me pèse de plus en plus." Elle ouvrit le tube de crème solaire.

Jean décidait de faire une pause pour observer discrètement Marie. A défaut de réaliser ses fantasmes avec Sabine, il espérait pouvoir se rincer l'oeil.
La maman était allongée sur sa chaise longue, absorbée par la lecture de son livre.

Il était cependant intrigué par l'expression du visage de la fille qui semblait s'ennuyer profondément.
Assise sur la chaise longue face à Jean, Marie enduisait son ventre ainsi que le haut du corps avec la protection solaire. Les rayons du soleil étaient redoutables à cette heure de la journée. Elle était complètement absorbée par le travail de ses mains sur la peau satinée. Gênée par son soutien-gorge, elle le dégrafa tout en jetant un coup d'oeil circulaire.
Tout en regardant autour d'elle, elle aperçut alors un homme plongé dans la lecture d'un livre juste en face d'elle. Il devait avoir la quarantaine, plutôt bel homme. Protégée par les massifs de fleurs, Marie se sentit protégée des regards indiscrets. Et puis après tout, personne ne la connaissait ici. Jean feignait de lire tout en jetant des coups d'oeil furtifs sur Marie. Jean sentit une bouffée de chaleur lui monter au visage. Les seins de Marie parfaitement proportionnés étaient offerts à son regard. Elle les massaient avec dextérité, les malaxant de ses mains brillantes de crème.

"Hummmm, j'adore cette sensation !" pensait Marie en se caressant lentement la poitrine de ses mains pleines de crème solaire. Elle sentait les tétons durcir sous les caresses ainsi qu'une vague de chaleur envahir son ventre. "Il n'y a plus de doute, il faut que je retrouve au plus vite mon homme car je sens que je ne vais pas tenir très longtemps !".
Elle se pinça discrètement le bout d'un sein. Son corps était parcouru de frissons. Elle sentait grandir une envie irrésistible de faire l'amour. Elle aurait tant aimé s'envoyer en l'air dans cet hôtel. son imagination l'entraînait dans la chambre d'hôtel où elle se voyait allongée sur le lit tandis que son mari la pénétrait sans ménagement. Elle voyait dans le miroir leurs corps emmêlés secoués par les coups de boutoir. Elle commençait à mouiller à la vision de ces images.

Revenant subitement à la réalité, son regard croisa celui de Jean. Il ne s'attendait pas à se faire découvrir de la sorte. Il baissa instantanément les yeux sur son livre, se maudissant de s'être fait surprendre comme un enfant pris la main dans le sac.
"Mais il me mate, le vilain ! pensa Marie tout en l'observant avec plus d'attention. "Et si je tentais ma chance ?" "En plus, il ne manque pas de charme !"
Jean laissa passer quelques instants mais ne put résister plus longtemps à l'envie de regarder de nouveau Marie . Feignant une pause, il ferma son livre et se cacha derrière ses lunettes de soleil.
Quel ne fut pas son étonnement lorsqu'il découvrit que la femme le dévisageait tout en continuant de se caresser les seins ! Son rythme cardiaque montait alors en flèche tandis qu'il sentait une érection poindre sous son maillot de bain.
"Tu sembles apprécier le spectacle, mon coquin !" pensait Marie en l'observant.
Elle mouillait de plus en plus tandis qu'elle se massait les seins avec provocation.
Marie remettait en place son soutien-gorge en bombant exagérément le haut du corps dressant fièrement la poitrine pour que son observateur puisse apprécier le volume des seins.
"Bon sang ! pensait Jean, elle a des seins magnifiques ! Son mari ne doit pas s'ennuyer !"
Ayant posé son livre sur la chaise longue, celui-ci s'était placé de sorte qu'il puisse parfaitement observer Marie qui s'enduisait à présent les jambes de protection solaire.
Ayant replié sa jambe droite sur la chaise longue, elle appliquait de la crème sur celle-ci. Sa main allait du genou vers l'intérieur de la cuisse.

Marie écartait plus que nécessaire les jambes afin que son voyeur puisse bien voir son entrejambe. Elle savait que cela ne manquerait pas de l'exciter.
Jean regardait fixement les mouvements de la main, enviant celle-ci. Il croisa de nouveau son regard.
"Quelle garce !" pensait Jean sans cesser d'observer la scène. La journée farniente s'annonçait plus épicée qu'il ne l'imaginait.
Ayant terminé la séquence crème solaire, elle s'allongeait sur le dos tenant un magazine au dessus d'elle.
De sa position, il pouvait apprécier le renflement prometteur de l'entrejambe caché sous le maillot blanc. Tandis qu'elle lisait, elle écartait ostensiblement les cuisses.
"Tu est vraiment en manque!" pensait Marie en imaginant la vue offerte à Jean "Mais ce jeu m'excite tellement que je ne peux résister à l'envie de l'allumer."
Marie reposait son livre faisant semblant de somnoler mais observant discrètement Jean derrière ses paupières mi-closes. Le jeu de séduction pouvait continuer de plus belle d'autant plus qu'elle était dans un état d'excitation extrême.
Elle avançait la main vers son maillot de bain, soulevant le bord de celui-ci pour le repositionner. Elle écartait exagérément le tissus dans l'unique but d'exhiber sa chatte aux regards de son observateur.
"Je rêve !"se dit Jean.

Marie jetait un coup d'oeil pour voir l'effet produit. Le voyeur semblait complètement sonné. Elle se tournait sur le ventre, lui offrant maintenant une vue imprenable sur sa chute de reins ainsi que ses fesses. Elle savait qu'elle était particulièrement désirable dans cette position. Sa peau cuivrée par le soleil contrastait avec la couleur de son maillot de bain, mettant encore plus en valeurs ses formes plantureuses. Afin qu'il puisse encore mieux profiter de la vue, elle écartait les jambes tout en levant les pieds vers le ciel.
"Ce n'est pas possible ! s'exclama intérieurement Jean en découvrant la nouvelle posture de sa partenaire. "C'est un appel au viol !" Il sentait son sexe grossir à vue d'oeil dans son maillot, qui lui semblait rétrécir.
Marie avait profité de sa position pour dégrafer de nouveau son soutien-gorge.
Jean se délectait du tableau. Il pouvait parfaitement imaginer la forme du mont de Vénus sous le tissus. Il devinait également sans peine le contour des grosses lèvres, croyant même distinguer une petite tâche humide entre celles-ci. Marie aurait pu lui confirmer ses doutes, sentant son sexe inondé de mouille. Elle voulait aller au maximum de la provocation avec Jean. Elle ne se reconnaissait plus.

Elle se retourna alors, offrant sa poitrine aux regards incandescents de Jean. Elle écartait bien les cuisses mettant encore plus en évidence le galbe de son sexe. Le temps passait dans une atmosphère très particulière.
Jean ne tenait plus en place. Il fallait qu'il trouve une solution pour se calmer. Enroulant une serviette autour de la taille pour dissimuler l'érection qui déformait son maillot de bain, il fila vers le jacuzzi afin de reprendre ses esprits. Celui-ci de forme ronde pouvait accueillir facilement 6 ou 7 personnes mais il était désert à cette heure. Ayant retiré la serviette, il se glissa prestement dans l'eau. Les bulles firent immédiatement leur effet. Jean fermait les yeux en écartant les bras sur le rebord du jacuzzi.
Marie avait discrètement suivi du regard le déplacement de Jean vers le bain à remous. Tout en remettant son soutien-gorge, elle glissa à sa maman :
"Je vais me détendre un peu dans l'eau, maman. Profites-en pour te reposer, je reviens tout à l'heure."
"Va, ma fille. Ne t'inquiète pas pour moi, je suis très bien ici."
Marie se dirigea vers le jacuzzi ayant elle aussi préalablement noué une serviette autour de sa taille. Sa chatte était trempée. Elle avait décidé de provoquer au maximum le voyeur en faisant une approche plus directe. Elle se présenta au bord du bassin, trempa la pointe des pieds prenant volontairement son temps pour entrer dans l'eau. Sa respiration était saccadée tandis qu'elle jetait un coup d'oeil sur Jean. Il fallait qu'il la voit avant qu'elle ne soit dans l'eau. Elle toussota volontairement.
Sentant une présence, Jean redressa la tête. Les battements de son coeur augmentèrent subitement lorsqu'il découvrit Marie enlevant sa serviette de bain tout en entrant lentement dans l'eau. Elle était encore plus belle de près. De derrière ses lunette de soleil, il put admirer la plastique parfaite de la nouvelle venue. Il ne put s'empêcher de l'imaginer nue. Le résultat se fit immédiatement sentir une nouvelle fois dans son maillot de bain. Se redressant légèrement, il la salua. Celle-ci le lui rendit de façon très sensuelle en entrant dans l'eau pour se positionner juste en face de lui.
Ils restèrent ainsi quelques instants, savourant le moment chargé d'érotisme. Les yeux mi-clos, Marie étendait alors volontairement la pointe des pieds vers le centre du bassin. Elle ne tarda pas à trouver le pied de Jean. "Elle me drague, ma parole !" se dit Jean sans qu'il ne fisse absolument rien pour retirer son pied. "Ne nous enflammons pas. Le geste est peut-être involontaire d'autant qu'elle semble assoupie".
"Mon pied ne semble pas le gêner. Voyons voir s'il comprend où je veux en venir." Elle promena lentement les doigts de pieds sur celui de Jean, tout en remontant vers la cheville. Elle sentait des ondes de plaisir parcourir son bas-ventre tandis qu'elle observait Jean les yeux mi-clos.
Jean sentait sa queue gonfler sous son maillot de bain sans qu'il puisse contrôler quoi que ce soit. "Il n'y a plus de doute possible, cette femme est en train de m'allumer !" Il luttait pour garder un visage impassible.
Soudain, une famille fit son apparition. Trois enfants accompagnaient les parents obligeant Marie à se placer aux côtés de Jean. Le jacuzzi affichait maintenant complet.
Les enfants devisaient joyeusement tandis que les parents semblaient apprécier le moment de détente en fermant les yeux.
Marie plaqua sa cuisse contre celle de Jean. Ce simple contact l'excitait au plus haut point. Elle sentait la chaleur du corps voisin se propager dans le sien lui procurant des frissons de plaisir. Elle était tellement excitée qu'elle ne pouvait imaginer s'arrêter là. Elle déplaça alors sa main droite pour effleurer du bout des doigts la cuisse de Jean.
"Ce n'est pas possible, je rêve !" criait silencieusement Jean en sentant la main se diriger sur son entrejambe.
Voyant que Jean ne réagissait pas, Marie promena alors ses doigts sur le maillot. L'excitation monta encore d'un cran lorsqu'elle parcourut du bout des doigts toute la longueur de la queue dissimulée. Elle sentait celle-ci tressaillir sous les caresses ce qui était un signe très encourageant pour la suite. Elle flattait à présent le sexe raidi de plaisir sous le maillot.
"Ouahhhh ! il est déjà en pleine forme !" se dit Marie. Jean était sidéré du culot de sa voisine.

Elle caressait les bourses qu'elle enveloppait dans le creux de la main pour les masser avec précaution. Alors qu'elle semblait parfaitement naturelle aux yeux des autres occupants, Jean semblait s'être transformé en statue. Il ne pouvait croire que sa voisine était en train de la masturber ainsi dans le jacuzzi.
Tous les sens de Marie étaient en ébullition. Elle voulait passer à autre chose mais l'endroit ne s'y prêtait pas. Il fallait trouver une solution rapidement. Tout en retirant sa main, elle se pencha vers l'oreille de Jean et lui glissa discrètement : "Je vous attend à la chambre 248." C'était la première fois qu'ils s'adressaient la parole.
Ayant pris soin de remettre de l'ordre dans sa tenue, elle se redressa puis quitta le jacuzzi sous le regard incrédule de Jean. Que faire ?
Il était lui aussi dans un état incontrôlable. Mais de là à rejoindre une femme inconnue dans sa chambre d'hôtel... Mais vu sous un autre angle, c'était une opportunité inespérée dans son cas et qui ne se représenterait sans doute jamais...
Marie était rentrée précipitamment non sans avoir préalablement demandé à sa maman de l'attendre sur sa chaise longue tandis qu'elle partait faire une course.
999999 La chambre qu'elle occupait était spacieuse et lumineuse. Au centre de celle-ci
Elle choisit un peignoir en satin blanc très échancré sur la poitrine et ne couvrant que le haut des cuisses puis détacha ses cheveux qui retombèrent en une masse épaisse autour de ses épaules. Elle regarda son image dans le miroir de la salle de bain et vit parfaitement son regard brûlant de désir. Elle savait parfaitement qu'elle était au point de non-retour. Tout était en place, elle n'avait plus qu'à espérer que son amant du jour viendrait tout en craignant les minutes qui suivent. Cette attente était étrange. Elle mourrait d'envie de vivre une aventure avec un inconnu mais en même temps se demandait si c'était bien raisonnable pour une femme de son âge.

Après avoir eu toutes les peines du monde pour dissimuler son état en sortant du jacuzzi, Jean revint à sa chaise longue afin de reprendre ses esprits (chose difficile) mais surtout d'établir une stratégie afin de pouvoir s'éclipser un moment. "Chérie, je rentre à l'hôtel, je vais me promener un peu . Je reviens dans une petite heure." Sabine lui répondit par un grognement de bien-être signifiant que la voie était libre.
Après un rapide passage dans leur chambre où il fit un brin de toilettes, il revêtit un bermuda et un T-shirt puis se dirigea vers l'ascenseur.
La porte 248 était maintenant face à lui. Marquant un temps d'arrêt, il se posa une dernière fois la question si ce n'était pas de la folie. Il appuya sur la sonnette.
Marie sursauta au son de celle-ci. Elle ouvrit la porte pour la refermer immédiatement derrière Jean. Elle avait décidé au moment même ou Jean entrait de ne plus réfléchir mais seulement de prendre du plaisir. Elle prit le visage de Jean dans ses mains pour l'embrasser fougueusement en se plaquant contre lui. Elle sentit son sexe durci contre son ventre. Ils s'embrassaient à en perdre le souffle. Les pans du peignoir s'ouvraient sous l'étreinte endiablée. Il bandait comme un fou, donnant des coups de bite contre le ventre de Marie. Celle-ci posa la main sur le bermuda, caressant lentement la queue dressée sous le tissus. Les lèvres de Jean parcouraient à présent le cou pour descendre ensuite sur la poitrine qu'il pétrissait des deux mains. A ce moment précis, il aurait pu mourir entre ces deux superbes seins. Il prit l'un d'eux dans la bouche puis mordilla le téton durci de plaisir. Marie fouillait des deux mains la chevelure de son amant du jour, la tête rejetée en arrière. Elle gémissait de plaisir sous les mordillements. Jean passait de l'un à l'autre, haletant sous l'excitation. Tandis qu'il s'activait, il mit sa main entre les cuisses de Marie. Il sentit sous ses doigts une petite toison surmontant le mont de Vénus lui indiquant qu'il était à la lisière du bonheur. Il franchit le petit duvet puis s'aventura sur les lèvres parfaitement lisses. il exerça une légère pression sur celles-ci. Elle s'écartèrent immédiatement. Marie posa un pied sur le rebord du lit laissant ainsi plus de liberté de mouvements à Jean. Il mordilla plus fort le téton qu'il tenait entre ses dents lorsqu'il sentit sous son doigt la douceur de la chatte de Marie. Remontant vers le somment des lèvres détrempées, il trouva le petit bouton de chair dressé, le tritura, le sentant vibrer sous ses doigts. Les gémissements de Marie furent remplacé par de petits cris. Elle poussait inconsciemment la tête de Jean vers son entrejambe en le tenant à pleines mains par les cheveux. Ce dernier ne se fit pas prier. Marie jeta le peignoir au sol, s'abandonnant complètement à son amant du jour.

Jean resta quelques instants interdit devant le corps de Marie. Elle était encore plus belle que dans son imagination. Marie était tout simplement une femme épanouie. Jean approcha le visage du mont de Vénus complètement imberbe si ce n'était le petit buisson surmontant le sillon intime. Il parcouru du bout des doigts le sillon formé par les grosses lèvres, écarta celles-ci délicatement pour découvrir le papillon de chair rose. N'y tenant plus, il se rua sur la fente dégoulinante de cyprine. Sa langue ouvrit les deux lèvres puis aspirèrent le clitoris dressé qui ne demandait que cela. Marie criait en pressant le visage de Jean entre ses cuisses. Sa langue jouait avec le clito, le lapant lentement puis redescendant vers la grotte humide pour entrer le plus loin possible. Il accompagnait sa langue du majeur. Celui-ci se glissa sans difficulté jusqu'à la garde dans le fourreau détrempé. Marie donnait des coups de reins suggestifs incitant Jean à la pénétrer encore plus intensément. Il pénétrait Marie avec deux doigts tandis qu'il martyrisait le clito avec sa bouche aspirant celui-ci sans ménagement. Marie suffoquait, tenant le visage de Jean plaqué contre son sexe.
"Que son goût m'excite !" pensait Jean en s'activant comme un forcené entre les cuisses de Marie.
Elle se tenait debout près du lit, le visage tourné vers le plafond, les yeux mi-clos, maintenant des deux mains la tête de Jean entre ses cuisses. Elle tremblait à présent sous les assauts continus des doigts et de la langue sur sa chatte.
Soudain, elle poussa un long cri rauque en plaquant de toutes ses forces le visage de Jean contre elle. Le bassin poussé vers l'avant, elle jouit alors comme jamais, croyant défaillir sous la violence de celle-ci. Ses jambes flageolaient tandis qu'elle s'affalait sur le rebord du lit. Elle reprit lentement ses esprits , le souffle court et la coiffure complètement défaite.
Jean se trouvait debout face à Marie. Les yeux mi-clos, elle posait alors la main sur la bosse déformant le bermuda. Elle suivait les contours de sa queue cachée sous le tissus, exerçant une pression plus ou moins forte suivant l'endroit où se posait sa main. Ainsi, elle soupesait les boules en les massant légèrement au travers du tissus. Jean commençait à donner des signes de faiblesses respirant bruyamment en fermant les yeux sous la torture imposée par les gestes précis de Marie. Elle se délectait de la situation, profitant au maximum de celle-ci sachant à l'avance que cela ne se reproduirait pas de sitôt.
"Hummmm, elle semble superbe ! Vivement que je la goûte !" pensait Marie en regardant avec gourmandise le bermuda déformé.
Elle baissa légèrement celui-ci, faisant apparaître la toison brune du pubis. Glissant la main dans l'ouverture, elle saisit alors la queue frémissante. Jean ne put réprimer un soupir de bien-être lorsqu'il sentit la chaleur de la main se diffuser autour de sa queue. Marie parcourait du bout des doigts la totalité du sexe, effleurant les testicules pour remonter sur la hampe. De sa main gauche, elle tirait imperceptiblement le bermuda vers les chevilles de Jean. Celui-ci avait les yeux fermés, entièrement concentré sur les caresses prodiguées par Marie. Le sexe se dressa devant le visage de Marie qui le contemplait tandis que ses mains s'activaient de plus belle sur la tige frémissante. Elle semblait en adoration devant ce phallus tant désiré. Elle le caressait langoureusement, observant avec attention le gland apparaître lorsqu'elle tirait sur le prépuce, déposait un baiser sur le bout, reprenait ses caresses pour de temps à autre lécher furtivement le sexe offert. Elle attira Jean plus près de son visage puis enveloppa la queue entre ses seins. Tenant ceux-ci des deux mains, elle prodiguait alors à Jean une incroyable branlette espagnole.
"Ohhhhh ! c'est si bon !" songeait-il en regardant sa queue coulisser entre les deux coussins soyeux.

Il avançait exagérément le bassin vers l'avant avec l'espoir de voir son sexe disparaître entre les lèvres pulpeuses mais Marie se tenait toujours à bonne distance, uniquement pour l'exciter encore plus. Elle continua un petit moment ce jeu puis le laissa approcher de plus en plus jusqu'à ce que le gland se pose en douceur sur ses lèvres. Elle ouvrit alors légèrement celles-ci . Elle fit le tour du gland. Jean revint à la charge pour se poster devant la bouche qui s'ouvrit un peu plus. Marie laissa Jean aller un peu plus loin, le suçant comme un sucre d'orge. Jean se retira puis revint aussitôt pour aller encore un peu plus loin. La bouche de Marie était divinement douce. Sa queue coulissait à présent jusqu'au fond de la gorge. Marie lui flattait les couilles d'une main alors que l'autre guidait son dard dans la bouche. Elle regardait le miroir en retirant une excitation supplémentaire.
Jean sentait qu'il ne pourrait pas maîtriser la situation très longtemps. Mais, il n'avait jamais ressenti un tel plaisir durant une fellation d'autant plus que Marie ne semblait pas du tout décidée à stopper celle-ci. Sa langue virevoltait autour du gland tandis qu'elle le branlait. La tête de Jean bascula en arrière lorsqu'il sentit la tempête gronder dans ses entrailles. A ce moment précis, Marie guida la queue au plus profond de sa bouche puis s'immobilisa. Tout le corps de Jean fut traversé par de violentes secousses tandis qu'il déversait sa semence au fond de la bouche de Marie.
"Hummm, cela faisait si longtemps que je n'avais pas goûté à la semence d'un homme !" pensait Marie en léchant consciencieusement la queue frémissante.
"Maintenant, je la veux en moi !"
Elle poussa Jean sur le lit puis se plaça d'autorité à califourchon sur lui. Posant directement sa chatte sur le visage de Jean, elle reprenait la queue de Jean en bouche , lui redonnant rapidement une belle vigueur. Jean, ayant posé ses mains de chaque côté des fesses de Marie, maltraitait sa chatte en lui mordant les lèvres, la pénétrant le plus profondément possible avec sa langue, mordillant le clito déjà endolori. Marie gémissait comme une folle en suçant la bite dressée. Elle se regardait de nouveau dans le miroir, provoquant aussitôt une nouvelle sensation de plaisir. Elle jouit alors une seconde fois, le corps traversé de secousses incontrôlables tandis que Jean s'enivrait de sa chatte. Se retournant brutalement, elle s'empala sur la queue dressée. Elle embrassait fougueusement Jean qui était tout imprégné de sa chatte. Jean la pilonnait furieusement alors qu'elle se redressait sur lui. Elle regardait dans le miroir ses seins se soulever à chaque coup de bite tandis que la bouche de Jean happait à tour de rôle les tétons dressés. Elle croisa son regard brillant d'excitation. Ils fermaient les yeux sous les sensations de plaisirs. La chevauchée dura de longues minutes. Ils gémissaient en soufflant de plus en plus fort lorsque soudain Jean se planta violemment au plus profond de Marie. Il semblait ne jamais arrêter de jouir, poussant des cris de bonheur à chaque giclée. Marie se servait de la queue de Jean comme d'un godemiché. Des filets de semence s'écoulaient de sa chatte tandis qu'elle s'empalait frénétiquement sur la bite encore secouée de spasmes. Soudain, elle poussa un cri en s'immobilisant, la bite plantée au plus profond de sa chatte. Jean pouvait sentir les contractions du vagin autour de sa queue. Marie semblait défaillir sous la violence de la jouissance.
Jean la prit dans ses bras, sans se retirer. Ils restèrent ainsi un long moment dans cette position. Ils étaient tous les deux plongés dans un merveilleux état de béatitude.
Sans prononcer une parole et après avoir remis de l'ordre dans sa tenue, Jean sortit de la chambre.
Le visage défait, encore alanguie sur le lit, Marie le regarda sortir.
Plus tard, elle revint à la piscine. Sa mère était toujours plongée dans la lecture de son livre. Complètement épuisée, Marie s'allongeait sur la chaise longue. C'est à ce moment précis qu'elle aperçut Jean qui lui adressa un sourire. Tout en le dévisageant, elle se demandait si elle n'avait pas rêvé tout à l'heure. Elle sentit alors un filet humide s'écouler de sa chatte. Portant un doigt discret sous son maillot, elle le suça longuement en souriant à Jean. Elle n'avait plus de doute.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Merci pour cette belle histoire qui fait rêver. Bien racontée, sans détail ou description superflue qui rendent la lecture moins crédible. Une efficacité et un style très plaisant. Merci et Bravo !
Posté le 20/11/2017

Roleplayer
Très bien écrit, très prenant et émoustillant!
Posté le 28/08/2017

jang
pas mal pour un séjor a l´hotel bien écrit j.
Posté le 22/08/2017


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