Niki était une jeune vierge approchant la trentaine et bourrée de frustrations. Elle se sentait habitée de pulsions sauvages, constamment excitée et animée de pensées perverses. Timide elle devait trouver un jour sa voie... une voie bien étrange.
Proposée le 29/10/2025 par NONNE
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Nicole, de son petit nom Niki, était une jeune femme au fond assez banale. Sans doute était-ce la raison pour laquelle elle n’avait rien de très sexy pour attirer les hommes. Nue, on la découvrait bien faite, un peu ronde un ventre plat qui se finissait sur jolie petit triangle aux poils courts. Des yeux noisette qui évitaient le regard d’autrui et des cheveux châtains qui lui tombaient sur le front qu’elle cachait par timidité. Pas de fesses, ce qui la désespérait, et un tic qui agaçait ou faisait sourire : elle se suçait continuellement les doigts. Personne ne savait pourquoi.
Niki, en fait, était une jeune femme encore vierge approchant la trentaine et bourrée de frustrations. Des frustrations qui la faisait réellement souffrir. Elle se sentait habitée de pulsions sauvages, constamment excitée et animée de pensées perverses ou elle se désirait désirée. Femelle livrée à la concupiscence d’amants qui la traiteraient comme une salope. Elle n’avait comme références que ses longues heures à se masturber en visionnant les tubes pornos trouvés sur internet. Dans la journée… elle ne cessait d’y penser … en se suçant les doigts ! Un jour … elle a lâché ses doigts.
Tous les soirs ou presque c’était le même manège. Un diner à la sauvette, une couette ou se calfeutrer et un long moment de concentration sur ses plaisirs solitaires.
Depuis des années elle attendait une rencontre, un évènement qui la libèrerait de son addiction. Le temps passait et ses manies de plus en plus osées. Maintenant il lui arrivait de passer de longs moment à s’ouvrir à la sodomie profonde en tourmentant son anus qui devenait de plus en plus accueillant à ses nombreux sex-toys.
Repérée par ses achats, elle ne cessait plus de recevoir des propositions parfois étranges comme de recevoir « un Doll » ou poupée grandeur nature, d’une femme ou d’un homme afin de lui tenir compagnie. Seul ses moyens limitées l’avaient découragé.
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Au fil des mois Niki ne jurait plus que par les plaisirs que lui donnaient ses sex-toys. Elle en était arrivée à se résoudre à son manque d’homme pour se concentrer ce qu’elle appelait « ses perversions érotiques ».
Le désir de séduire s’était dissipé dans les soubresauts de ses plaisirs solitaires. Elle avait à peu près tout essayé. Du stimulateur clitoridien aux godemichets qui la dilataient à lui faire mal. Son célibat imposé, elle en était à le considérer comme normal. Elle songeait qu’elle n’était sans doute pas la seule à pratiquer « l’onanisme voluptueux ». Elle n’imaginait plus le plaisir dans les bras d’un homme, son ventre réclamait des pénétrations, des dilatations, des soins et des relâchements qu’elle ne se voyait plus partager avec quiconque.
Pour Niki le sexe devenait mécanique. Les vibrations de ses engins ne pourraient jamais être moins délicieux qu’une partie de jambes en l’air. Couchée, elle pouvait se concentrer sur son bas ventre, sa chatte et vivre son plaisir à son rythme. Elle partait dans des orgasmes formidables qui la laissaient épuisée. Elle aimait le sexe avec des membres plus vrais que natures, de toutes tailles et de toutes sortes pour diversifier ses plaisirs. Ils pouvaient la faire jouir en les laissant vibrer sur ses seins, dans son vagin ou en l’utilisant pour de profondes sodomies.
Chaque soir pouvait être une scénette érotique différente qui l’envoyait au ciel surtout si elle trouvait un porno qui lui plaisait. Un porno qui montrait des femmes qui, comme elle, aimait les plaisirs solitaires. Son addiction n’avait rien de particulier sinon la pauvreté croissante de ses relations sociales.
Toute sa vie tournait autour du prochain plaisir, au nouveau sex-toy, à la prochaine audace. Elle restait insatiable. Sa libido dévoyée la maintenait dans un vertige d’excitation quasi permanent et elle avait parfois du mal à s’interdire de partir se cacher pour une masturbation solitaire durant son travail.
Elle rêvait d’abandonner sa chatte à des inconnus qui l’obligeraient à sucer leurs bites ou d'avoir des relations sexuelles dans des lieux publics. L’idée de se faire baiser par plusieurs mecs lui importait moins que celle de savoir qu’elle avait un public. Ce fantasme alimenté par un manque de partenaires lui brulait le ventre. Elle se sentait putain sans trop savoir ce que recouvrait ce fantasme insensé.
La vie de Niki était pleine de vide et son ventre jamais rassasié de plaisirs. Elle n’était plus vierge, pourtant elle n’avait jamais fait l’amour avec un homme. Elle était vierge de partout mais pas un trou n’avait à un moment ou à un autre été profané par un godemichet plus ou moins long et massif. Elle savait faire durer le plaisir, capable de rester quasiment une heure et plus à suspendre le moment où elle se laisserait aller, se relâcherait se vautrant dans l’humidité de ses humeurs.
Dans son addiction elle ne cessait de visiter les dessous érotiques de l’internet. C’est ainsi qu’elle tomba un soir sur un site très particulier. Des femmes se livraient aux mêmes plaisirs qu’elle mais en s’exhibant librement sur la toile. Le choc !
Au moindre moment de liberté Niki s’enfuyait sur ces réseaux d’exhibition et chaque fois elle était trempe d’excitation alors qu’elle s’achevait fébrilement dans un spasme indescriptible. Elle retrouvait là, la quintessence de ses fantasmes : être femelle, désirée, enviée au point de faire payer des inconnus pour la regarder se donner du plaisir.
Il lui fallut de nombreux mois avant de la voir enfin se décider. La prise de contact ne fut pas simple mais elle y réussit après avoir recueilli les recommandations d’une des femmes de la plate-forme. Curieusement, cette femme devint en quelque sorte le mentor de Niki. C’est elle qui insista pour que la jeune femme se crée un personnage, un habit qui dégageait son ventre, un maquillage qui empêcherait qu’on le reconnaisse en ville puis, et pas forcément le plus simple, devenir un personnage capable de personnifier, d’incarner une actrice porno proche des fantasmes de ses visiteurs.
Dans un premier temps, Niki vint en ligne outrageusement fardée et maquillée. Elle se fit reprocher de passer plus pour une pute que pour une actrice des plaisirs. Niki, totalement ahurie, découvrait qu’il existait des règles même ici. Elle ne fut pas longue pour intégrer et s’intégrer dans les exhibitionnistes les plus talentueuses.
Son visage soigneusement maquillé pour préserver son anonymat, elle laissait son corps en pâture aux voyeurs qui ne furent pas longs à repérer son audace et ses profondes explosions de plaisirs lors de ses séances. La vision de ses intromissions voluptueuses de sex-toys dans son ventre souvent associée à un godemichet impressionnant attirait l’attention. Mais surtout c’était pour « ses clients » la manifestation, la vision, du plaisir qu’elle se donnait qui les retenaient. Ils sentaient qu’elle ne faisait pas semblant !
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Je me caresse les fesses, les ouvre le plus possible. J’aime cette sensation permettant de voir mon anus qui se dilate ou se contracte sous la pression de mes doigts. Ma chatte et mon joli tabernacle rasé de près sont très attirants et ne demandent qu'à être maltraités. Je compte prendre mon temps. Sans hésiter, j'insère mon sex-toy préféré dans mes lèvres bavantes d’excitation des misères que j’envisage.
Mais cela ne me suffit pas, bien sûr. Mon ordinateur me dit que j’ai des voyeurs en ligne. J'éprouve une sensation incroyable en songeant à leur regard lorsque j’enfonce tout doux mon godemichet canin. J’ai découvert que les mecs (et quelques nanas) fantasmaient de voir mon rectum complètement dilaté par cette étreinte bestiale. C'est une expérience de plaisir et de sensations torrides que je suis seule à vivre.
Face à moi, un miroir. Il m’aide à améliorer mes postures. Grace au miroir, je suis chaque mouvement de ma main qui tente de rejoindre mon ventre. Je le sens ouvert. Je me sens ouverte. L’idée de l’érotisme de mes postures passent en second plan. Maintenant j’ai de nouveau envie de jouir. Cela fait la troisième fois de la soirée.
Je sens mon orgasme qui vient, qui vient et j’explose. Je n’ai pas besoin de faire semblant. Je suis habile à torturer mon corps que je guide vers mon plaisir à coup sûr. Je me tord en faisant aller et venir mon sex-toy canin dans mon anus. Pendant quelques minutes je vais me sodomiser sans douceur pour atteindre l’orgasme ultime de la soirée, sans pouvoir m’empêcher de gémir. Je sens ce pénis bouger au gré des contractions de mon petit trou du cul. Il faut que je me calme. C'est tout simplement merveilleux ! Ensuite ce sera démaquillage et dodo. Je suis vidée.
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J’avais tout bien organisé. Les premières fois, je ne voulais pas regarder du côté de la webcam. Je me souviens m’être déshabillée et me suis installée en tournant le dos à la caméra. Je me suis agenouillée sur le lit et j'ai placé mon oreiller entre mes jambes. Je l'ai pris entre mes cuisses et j'ai commencé à caresser lentement ma chatte. Je n’ai pas mis longtemps et j'ai senti venir cette vague sensuelle et perverse qui faisait bruler mon corps. Je me suis doigtée lentement jusqu'à l'orgasme sans oser regarder vers l’écran.
J'ai repris mon souffle en me préparant à voir si ma première prestation en réel avait eu quelque succès… Bingo. J’avais déjà deux clients qui en réclamait plus. L’un voulait que je me lâche sur les doigts pour une douche spéciale. Le second se contentait de mettre des jetons sans se manifester.
Alors, oubliant mes craintes, j'ai sorti mon vibromasseur. Allongée sur mon lit, les jambes écartées, ma chatte déjà bien ouverte, j'ai commencé à exciter mes tétons pour ensuite le faire descendre lentement vers mon bas ventre en m’attardant sur le bord des lèvres puis mon clitoris avant de l’engloutir aussi profond que possible.
Là je me suis tournée à nouveau, montrant mes fesses, ma porte de service, laissant le suspens, faisant mine de m’enculer sans le faire vraiment, car intuitivement je venais de prendre une initiative que je devais renouveler fréquemment… faire réagir mes voyeurs pour qu’ils investissent sur moi avec leurs jetons.
Très vite je me suis habituée à rendre mes exhibitions d’autant plus osées et torrides que mes « clients » mettaient au pot avec leurs jetons. Certains étaient devenus vraiment accros … et moi aussi. Moi le vierge folle, je foutais le feu à leur pantalon tout en me faisant plaisir. Parfois c’est fabuleux.
Je me cabre en laissant échapper un gémissement de satisfaction en même temps que j’entends la jouissance bruyante d’un admirateur silencieux jusqu’à lors. Je ne le voyais pas. J’étais l’objet de son désir. Pour une raison que je ne connaitrais jamais il venait me voir au moins une fois par mois. Jusqu’au jour où j’ai réalisé qu’il s’agissait d’un couple de femmes.
Je ne la voyais pas mais je comprenais qu’elle se masturbait en compagnie d’une autre femme qui, à en juger par le son, se masturbait aussi sauvagement qu’elle. Je les entendais gémir de plus en plus fort en se laissant entrainer par la progression du plaisir que je me donnais. Dans ces cas-là je réalisais mon pouvoir sur des individus – y compris des femmes - qui pouvaient parfois dépenser des fortunes afin de profiter de mes jeux de masturbation solitaire.
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Un soir, sur internet, j’ai retrouvé une publication qui présentait de façon détaillée une mode des pays du Nord, à savoir des « Doll » ou poupées de femmes et d’hommes qui servaient d’exécutoires pour ceux et celles qui, comme moi, n’avait ni envie, ni désir de faire l’amour avec un vrai mec. Ça m'excitait énormément d’imaginer une poupée grandeur nature avec qui je pourrais baiser sans devoir lui faire la bouffe ensuite ! Au début, j'ai écarté l'idée, mais elle revenait sans cesse. Je me suis dit : Et pourquoi pas ?
Une fois repérée, la Toile fourmillait d’offres plus ou moins aguichantes. Certaines poupées étaient de vraies œuvres d’art. Elles étaient magnifiques … mais très chères ! Parfois je me disais que les garçons avaient de la chance, les nanas étaient plus vraies que natures. Puis j’ai compris que le choix offerts couvraient toutes les bourses mais… À conditions d’accepter une Doll « réduite de moitié ! » Ainsi finalement ma poupée qui m’a été livré n’avait ni jambes ni torse (ou si peu !).
J'ai sorti la poupée de la boîte, je l'ai posée sur le lit. Mon nouveau jouet avait l'air … Comment dire ?? … Amputé mais par contre il avait une p… de belle paire de valseuses, un petite cul bien rond et ferme et quelque autres attributs au cas où j’aurais été homo. Un beau gland finalement que j’ai embouché pour le goûter : froid et sans goût. Ses boules étaient plus importantes que celles que je voyais régulièrement sur internet. Cela ne me dérangeait pas. Ce qui me motivait c’était la taille de mon « homme ».
J'ai attrapé cette bite avec l’idée de lui faire une fellation. Pour la première fois de ma vie – a trente-trois ans - j’étais en train d’enfoncer un sexe plus vrai que nature au fond de ma gorge. Presque une vraie bite, que je savourais les yeux fermés. J'avais vraiment l'impression de faire une pipe à un mec et cette pensée a durci mes tétons et fait mouiller ma chatte.
Pressée de mieux en connaitre les sensations j’ai décidé de prendre ce sexe dans ma chatte. Je mouillais déjà tellement que j’ai avalé le monstre sans aucune difficulté. Je chevauchais cette bite regrettant déjà de ne pas avoir choisi de prendre le modèle proposé de taille supérieure.
En plein délire érotique, j’ai attrapé mon sex-toy anal pour le faire participer à la fête. Un peu de gel et me voilà occupée dans mes deux trous. J’ai alors réduit le rythme de ma chevauché afin de bien profiter de ses sensations nouvelles. Le frottement de la bite de mon « amant » sur mon clitoris me provoquait des frissons de plaisir. Je retenais mon orgasme. J'adorais ça et j’attendais le moment délicieux ou je déclencherai l’éjaculation de ma « Doll » masculine. Car j’avais demandé une poupée capable de jouir avec moi.
Dans ma tête fiévreuse lorsque l'orgasme m'a frappé, j’ai commandé l’éjaculation qui a coulé dans mon ventre, sur mes cuisses, moi allongée là, tétanisée et tremblante. Quel libération fantastique ! Je suis restée inerte pour souffler en réalisant que je pouvais selon mon caprice recommencer ma baise avec ma Doll autant de fois que désiré. Il était toujours disponible, toujours vaillant la bite à l’air. Pas étonnant s’il est devenu mon complice dans mes séances d’exhibitions.
Mon nouveau compagnon avait un succès fou. Petit à petit j’ai appris à mieux utiliser mon trognon d’amant par exemple en prenant la précaution de chauffer son sexe avec une serviette chaude et de l’huiler publiquement - les mecs en devenait fous – avant de m’amuser. Je ne manquais pas d’imagination mais l’idée que me souffla un de mes clients fut vite adoptée : prendre une ceinture équipée d’un gode pour enfiler mon amant. Devant mes spectateurs je le sodomisais tout en le branlant… Mes clients en devenaient hystériques, comme si c’étaient eux qui prenait mon sexe artificiel dans leur fondement.
Pas étonnant donc si au fil des mois j’ai totalement changé, finie l’oie blanche complexée à mort sur elle-même. J’avais compris mon pouvoir sur les hommes et ils ne faisaient plus peur. C’est sans doute la raison pour laquelle je me suis mise à sortir ; expositions, galas, théâtres, cinémas, comme si je voulais rattraper le temps perdu. Le soir, la nuit, je devenais une putain magnifique, dans la journée et selon mon humeur et ma fatigue, je « draguais ».
Mon premier vrai amant n’a rien su de l’honneur que je lui faisais en abandonnant mon corps à sa libido. Pas un foudre de guerre mais quel symbole ! Mais c’est une autre histoire !
Bonne lecture
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