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En retard ! en retard ! je suis toujours en retard

Amandine est une nouvelle fois en retard à son travail.Son patron est excédé et veut la licencier.Sauvera t-elle son emploi ?

Proposée le 26/06/2017 par GRONEMOU

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Thème: Chantage
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


11H00 !! Le patron va me tuer pensais-je en essayant d’accélérer le pas sur le chemin du bureau ; pas facile avec mes talons hauts et ma jupe presque trop courte pour ce genre d’exercice. Ce matin j’étais en retard, une fois de plus.
Je ne sais pas me coucher tôt, pas avant 2H ou 3h du matin, mon copain travaille de nuit, souvent il a envie de faire un câlin lorsqu’il rentre à 5H00 alors il me réveille doucement, il sait que je ne dis jamais non. Il est très endurant et moi très coquine alors cela dure longtemps. Du coup le matin lorsque mon réveil sonne à 8H30, je ne l’entends pas…C’était le cas ce matin sauf que c’était aussi la 3° fois de la semaine et nous n’étions que jeudi..
Il était là debout dans mon bureau, avec la tête des mauvais jours, j’essayais de me trouver une excuse, mais difficile d’invoquer les transports, les embouteillages ou les difficultés à se garer puisque je viens à pieds et puis en trouver une suffisamment plausible après les deux premières : pas facile !
Je fis mon plus beau sourire et lui dit bonjour naturellement comme si de rien était, m’installais sur mon fauteuil devant le clavier et allumais mon PC...
« Auriez-vous oublié la réunion de ce matin en plus de votre nouveau retard Mlle Amandine ? »
Oh zut ! Pensais je, la réunion mensuelle avec tous les photographes de l’agence, celle ou ma présence est absolument nécessaire puisque c’est moi qui organise leur planning et rendez-vous...
« C’était ce matin ? Fis-je le plus étonnée possible, pas la semaine prochaine, puisque vous deviez être à l’étranger ? »
Même moi je n’arrivais pas à croire à mon histoire, alors mon boss !!!
« D’après vous, pourquoi ai-je annulé ce rendez-vous avec l’agence de Madrid ? »
En effet, c’était moi qui lui avais fait remarquer que les dates se chevauchaient et il l’avait annulé !
La chaleur montait à mes joues, non pas qu’il soit méchant et moi intimidé mais j’ai horreur d’être prise en faute. Lui, conscient de son avantage continuait de plus belle et me rappelait mes nombreux retards depuis mes débuts à l’agence (4 ans déjà !) , si bien que nous avions convenu que je commence à 9H30 et non 8H30 comme prévu dans mon contrat et que je finisse plus tard , mais rien n’y faisait (et encore il ne les connaissait pas tous, grâce à ses nombreuses absences à l’étranger !!)
« Je n’ai rien à reprocher à votre travail, mais vos retards vont laisser croire aux autres employés que je suis laxiste et ils en profiteront ce qui fait que malgré le travail fourni, j’envisage de vous licencier pour faute grave !!! »
Le mot était lâché : licenciement !! Moi qui avais mis 3 ans à passer d’iconographe de base à secrétaire du patron et RRH de la boite, sans coucher en plus, j’allais me faire virer de ce poste tant convoité et si agréable grâce aux nombreux déplacements à l’étranger, à cause de mes retards à répétition…quelle conne je suis !
J’étais sonnée, il senti son avantage et continua sur un ton ferme mélangé parfois d’un coté paternaliste me disant qu’il serait navré mais que j’avais abusé de sa gentillesse, que mon poste était une chance et mon salaire au-dessus de la moyenne (c’est vrai je gagne bien ma vie !) que mes compétences allaient avec mais qu’il fallait parfois couper un membre avant qu’il ne gangrène le corps en entier. Ma tête était ailleurs, je ne vis pas le piège !
Il s’était approché de moi, m’avais prise par les épaules, me les massant tout en continuant ses reproches envers moi, sa voix était monotone mais moins ferme, moi je voyais mes projets d’avenir s’effondrer et pointer à Pole Emploi tout cela par ma faute…son massage était doux et je me surpris à apprécier et me détendre malgré la tension palpable. Si bien que je ne sentie pas ses mains descendre sur ma poitrine et palper mes seins à travers le fin tissus de mon chemisier sous lequel je ne portais rien (tiens je n’ai pas eu le temps de mettre un soutif ? trop pressée sans doute)
La caresse me faisait du bien, j’avais la tête vide, pourtant mes tétons durcissaient entre ses doigts, s’enhardissant davantage il défie les boutons et me palpa à pleine main...Je tournais la tête et me retrouvais les lèvres face à son sexe dressé, surprise j’ouvris la bouche, d’un coup de rein il plongea dedans et commença de longs va et viens, je ne résistais pas et engloutissais ce sexe à pleine bouche en entier trop abasourdie par les évènements…
Jamais je n’aurais imaginé me retrouver à sucer le sexe de mon patron et pourtant à cet instant c’est ce que je faisais, sans trop d’enthousiasme mais avec application...
« Inversons les places » me dit-il
Logique ! Pensais-je, le fameux fantasme de la secrétaire sous le bureau. Il baissa complètement son pantalon, s’asseya et je m’exécutais, à genoux, la tête penchée entre ses cuisses, bouche en avant, avalant son sexe. Si je le suce bien peut-être me gardera-t-il ? Me dis-je innocemment. L’idée était plaisante et je redoublais ma succion.
J’entendais ses râles (ses grognements devrais-je dire !) son sexe était tendu, planté dans ma bouche, je le suçais avidement tout en le branlant de ma main, l’autre sous ses boules que je malaxais doucement. Lui avait posé sa main sur ma tête et guidait celle-ci me forçant parfois à l’engloutir complètement. Je gobais son gland, le roulait sur la pointe de mes dents, léchait le méat avec la pointe de ma langue, dégoutée voir écœurée mais mon avenir n’était-il pas en jeu, alors si une pipe pouvait changer l’ordre des choses, pourquoi pas ! Je passais ma langue des boules jusqu’à la hampe et inversement, prenais ses testicules une par une dans ma bouche puis replongeais lèvres grandes ouvertes autour de sa queue, le pompant comme une catin ! Il suffoquait…
Il me souleva, me retourna sur le bureau, fit glisser ma jupe et ma culotte jusqu’à mes chevilles, me pencha en avant et mis sa tête entre mes jambes. Je sentais sa langue avide et gluante sur mon sexe, forçant mes grandes lèvres à s’ouvrir, sa main droite posée sur mes fesses.
« Écartes les cuisses » me dit-il ; ce que je fis. Sa langue était douce, mais dans ma tête s’imprégnait l’image de mon patron, la cinquantaine bedonnante et pas vraiment un Apollon. Il était doux et appliqué, apparemment il y prenait plaisir (tu m’étonnes depuis le temps qu’il voulait me mettre dans son lit et que je résistais farouchement !) mais pas moi.
Il me prit en levrette sur le bureau, ayant pris soin de mettre une capote quand même (d’où la sortait-il ? tout ceci était-il prémédité ??) je me laissais faire résignée, ce n’étais pas un viol puisque j’étais consentante mais de là à y prendre plaisir il y avait une marge !! Non pas qu’il ne fut pas doué, mais absence totale de libido de ma part. Il m’assenait de coups de boutoir, plongeant et replongeant son sexe en moi, le bureau grinçait sous ses assauts, les collègues devaient entendre. Il me retourna le dos à plat contre le bureau, les jambes en l’air sur ses épaules, les chevilles autour de sa tête. Malmenant mes seins avec ses mains tout en me culbutant comme une prostituée. Son sexe fiché en moi devenait plus dur, plus gros, de petits chatouillements se firent dans mon ventre. Je n’allais pas lui donner le plaisir de jouir en plus, je mordis mes lèvres presque jusqu’au sang. Il allait et venait de plus en plus fort me pilonnant, le visage écarlate et dégoulinant de sueur, pas si mal pour son âge !
Soudain il se retira, ôta son préservatif et éjacula longuement par saccades chaudes et épaisses sur mon ventre en grognant…puis il me fit descendre du bureau à genoux devant lui :
Me glissant son sexe encore raide dans la bouche : « tiens prends ! La dernière goutte est pour toi » je la pris, la fit rouler sur le bout de la langue tout en le regardant droit dans les yeux et l’avalait d’un coup sec ! Je sentais la chaleur de son sperme sur le ventre couler sur mon sexe et entre mes cuisses !
« Vous êtes quand même virée » me dit-il en riant aux éclats, « il fallait bien que j’en profite »
Le choc fut brutal, quel salaud ! Il riait et riait de plus en plus fort, tout en se rhabillant son rire devenait cristallin, plus sourd presque mélodieux se transformant en un prélude de Bach et lui s’effaçait doucement derrière le piano. Le piano ? Quel piano ? Un piano dans mon bureau ??
Je me réveillais d’un coup, assise en sueur dans mon lit, mon copain me tenant doucement par les épaules. Mon portable sonnant et sonnant pour la énième fois au moins sa petite mélodie douce du prélude de Bach !…Amandine ! Amandine réveilles toi ! Tu fais un mauvais cauchemar mon amour ! Tu as crié fort tu sais ! Ça va mieux mon cœur ?
Je tournais ma tête vers le réveil : 9H30 !!!!
Merde !!! Criais je, je suis en retard !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Dommage que cette histoire soit classée dans les histoires vraies vu qu'il s'agit d'un rêve
Posté le 8/08/2021

Thegoodvibes
Je me suis ... ???? j'adore
Posté le 19/07/2018

Verseau87
Bien, est-ce un r?ve ou la réalité !! Réponse à la fin .....
Posté le 11/08/2017

Gronemou
Je suis assez étonnée par la différence entre le nombre de lecteurs et celui des notes et commentaires laissés par ceux-ci...7 votes et zéro commentaire pour 5600 lectures....?????? le pourcentage est très faible, ou alors ils n'ont pas compris que voter était important pour l'auteur !!!
Posté le 10/07/2017

Alexandre le slameur noir
bon texte?
Posté le 27/06/2017


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