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Sylvie découvre Sara, dans un feu d'artifice sensoriel. La finisse et la beauté d'une relation saphique!

Proposée le 11/04/2017 par maximilien7

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


La chaleur moite de cette soirée d’été me conforte dans l’idée de me blottir dans le canapé avec un bon film en tenue très légère cela s’entend.

Un bon repas en compagnie de Sara s’est soldé par une séance de taquineries et de franches rigolades comme seules les filles savent le faire. Nous nous connaissons depuis longtemps, Sara et moi. En qualité de meilleure amie de sa mère, je ne refusais aucune demande de garde depuis sa huitième année, et elle n’a aucun secret pour moi.

C’est la première fois, pourtant que je me rends compte de son évolution physique, et j’avoue franchement être troublée par ses formes et cette beauté délicate, quelle porte avec une juvénile insolence. J’en suis presque jalouse, je suis soudain face à une jeune femme qui rayonne d’une magnifique joie de vivre, ce qui la prédispose à un avenir brillant. Des yeux de braise, et un port de reine, de magnifiques boucles blondes qui encadrent son visage, elle a un charme délirant.

Mes yeux s’attardent honteusement, avec insistance sur ces jambes, sur ce buste aux seins soudain présents. Sara inconsciente de mes observations, se prélasse et découvre ce corps qui dans le reflet des dernières lueurs du soir, est d’un érotisme torride. Je tente difficilement de chasser de mon esprit ces pensées embrasées.
Je me jette sur la télécommande pour lancer sans conviction n’importe quel film, tout en me demandant qu’elle mouche m’avait piqué pour me laisser entraîner ainsi dans des fantasmes de gamine.

Choisir de la sorte un film au hasard, est d’une magistrale stupidité, car comme je ne l’attendais pas, celui-ci avait la particularité de comporter des scènes pornographiques très étudiés.

Sara est clairement obnubilée par l’action qui dure une éternité, je suis incapable de réagir, toute initiative me paraît utopique. Sur l’écran ils n’y vont de main morte, je suis échaudé et Sara change sans cesse de position, elle en oublie ma présence. Je la regarde passer d’étonnement en transe, j’espère secrètement, que ce n’est pas la première fois qu’elle vois ça! Entre-nous, soit dit, ça m'étonnerais.

Quelles que soit ma réaction, elle serait extrêmement gênante pour moi, et pour elle aussi. Je décide donc de laisser le film arriver à sa fin en espérant détendre l’atmosphère surchauffée par quelques blagues de potache.

Mais qu’elles sont donc les blagues qui s’adaptent à une telle situation ? Tout ce qu’on peut dire, est ridicule et vous enfonce encore plus !

Parler de sexe avec elle, n’est pas une bonne idée non-plu, toutes initiative dans ce sens, me prendrai en défaut !

Plus aucun mot, aucune parole ne pourrait expliquer la suite des événements. L’impensable s’est produit, je me suis penchée vers cette blouse qui m’invite à la découverte, pour y trouver des seins si bien formés.

La chaleur de cette nuit, et nos corps presque nus, tout me semble hors contrôle.

J’ai sombré dans une sorte de sidération, et presque malgré moi, j’embrasse et frôle de mes lèvres sa poitrine découverte, Sara projette vers moi son buste d’une sensuelle contorsion, je titille les petites pointes dans ma bouche, suce et mordille sans retenue.

Elle s’abandonne, se laisse aller, ses yeux mi-clos dénoncent une excitation sans borne, un chuchotement, une prière, me poussent à l’accompagner au royaume des sens.

Qu’ai-je fait là ?,

Sous mes mains devenus autonomes, je sens sa peau satinée, la rondeur du haut de ses cuisses, puis un peu plus bas, le voluptueux duvet qui conduit à l’endroit le plus secret de ce corps en effervescence.
Elle ne fait rien pour arrêter mes investigations, elle s’ouvre, elle glisse et s’offre. Une aubade me certifie l’offrande de son corps, que puis- je faire maintenant ? Il est trop tard pour reculer, et mes sens viennent de me le refuser.

Mon cœur bat la chamade, je suis en ébullition, je me liquéfie, je mouille, quelques frottements sur mon sexe pour apaiser mes sens, puis je fais glisser la petite culotte de soie sur les cuisses de Sara, et la voilà révélée, nue, admirable, sensuelle.

Le tissus est trempé je hume, je goûte sa cyprine puis je referme ma main sur ce sexe magnifique, les cuisses s’ouvrent comme des ailes, elle gémit pendant que délicatement je pénètre d’un doigt les lèvres rosées pour découvrir le petit bouton nacré.

Le bassin de Sara s’est mis en mouvement, il se soulève et s’abaisse tel une vague qui s’accélère au fur et à mesure des frottements et des pénétrations que je prodigue avec soins au vagin enflammé.
Je conduis, je maîtrise, j’apaise et provoque jusqu’à l’extrême ce corps qui se débat. Au bout de mes doigts profondément engagés, ce sexe m’appartient, je sens arriver l’orgasme, la vague est puissante, je jouis de cette emprise, j’exulte de cette contrainte que j’impose sans indulgence.

Sur mes doigts, coule le sirop, que recueille ma main, chaud et si doux que j’en ai avalée. C’est si beau, de voir la tension monter, de voir ses yeux se fermer quand elle cherche la bouche grande ouverte, à happer un dernier filet d’air.

Elle rassemble ses dernières forces et se met à crier, sous mes mains, son corps n’en finit pas de trembler !

Sara se tord, tente d’extraire cette main qui la fouille, elle se débat tel un animal blessé, puis en agrippant mon bras elle crie encore, ses cris, ses vagissements sont d’un érotisme envoûtant.

Je persiste, j’insiste, je retiens la main qui tente de s’interposée, sa tête rejetée en arrière elle supplie, et finalement se rends vaincue.

Je glisse au sol, frotte mon sexe brûlant et sombre dans un abîme orgasmique démentiel. Je me tords sous ce feu qui me dévore, je suffoque, un jet tiède asperge ma main. Je bascule sur le côté, mes mains entre mes cuisses enserrent mon sexe, et je sombre dans une sorte de torpeur.

C’est fini, nous restons prostrées, nues, la honte et une sourde culpabilité fait immédiatement place aux derniers soubresauts de mon bats ventre.

Sara semble s’être endormie, je contemple le résultat de ce que je viens de provoquer, elle est là, écartelée, les cuisses souillées, trempée de sueur, elle est encore plus belle que d’habitude, je l’embrasse et l’enveloppe de mes bras en sanglotant.

Comment vais-je expliquer cela à mon amie ? Il s’agit là presque d’un inceste, je ne me pardonnerai jamais cet écart de conduite, indigne d’une femme de mon âge.

Sara laisse ses mains parcourir ma peau, mes seins, mon ventre, mon pubis. Je reste sans réactions quand, d’une douce pression elle s’enfonce en moi, englobe mon clitoris et masturbe amoureusement mon intimité. Elle sait faire, elle m’amène au délire en susurrant à mon oreille.

« Laisse-moi faire Sylvie, je t’en prie, je veux t’entendre gémir autant que pour moi tu viens de le faire ! »

Je gémis longuement et pleure, puis resserre mes cuisses dans un bien inutile soubresaut de honte.

Un peu plus tard, remise de toutes ces émotions, j’ai honteusement implorée le pardon de Sara, donnant la faute à une abstinence trop longue.

Elle n’en a jamais parlé à sa mère, nous sommes restés de grandes complices et je n’ai jamais oubliée cette soirée torride soirée d’été.

Merci Sara…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

maximilien7
Votre commentaire acerbe, n'est pas agréable à lire, je ne vais dons pas en tenir compte pour deux raisons: 1- Vous n'expliquez pas pourquoi vos donné si peu de valeur à mon texte! 2- Vous restez anonyme dans vos déclarations, et je pense donc que pour moi,ils ne valent pas un clou non plus! Je me réfère donc aux commentaires de Mario, non pas parce qu’ils me sont favorables, mais parce qu’il me semble plus qualifié à juger mes écrits! Merci quand même cher "anonyme"!
Posté le 26/04/2017

Anonyme
Voilà qui ne vaut pas un clou !
Posté le 19/04/2017

maximilien7
Merci de votre charmant commentaire!!
Posté le 14/04/2017

Mario
Tout en sensualité, j'aime beaucoup, merci pour cette histoire
Posté le 14/04/2017


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