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Une femme qui fait son chemin 2

Alors que les gens discutaient encore à la sortie de la salle de réunion sur les accords trouvés, j’étais déjà à moins de cinq mètre de là, derrière la porte entrain de faire une pipe à mon patron.

Proposée le 4/11/2016 par Anne57

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


La négociation était rude et mon patron était dans un stress palpable. Les syndicats ne voulaient rien lâcher et notre directeur par fierté et par mépris non plus.

Après près de trois heures de discussion l’assemblée se sépara pour la pause déjeuner et rendez vous fut donné pour 14h.
La secrétaire du DG avait fait venir comme à son habitude lors de ces réunions à rallonge des encas à manger. En sortie de salle de réunion, il libéra sa secrétaire mais me dit de rester afin de préparer la suite de la négociation. Moi j’avais déjà remarqué la barre qui se présentait dans son pantalon.

Je m’absentais pour aller aux toilettes. Là avant de ressortir je pris soin de retirer ma culotte car vu le stress de mon patron j’allais prendre ma dose.
Je pris le temps de me caresser et de me faire mouiller et j’ai bien pris soin de me lubrifier mon petit trou. La secrétaire avait dû remarquer notre manège car régulièrement elle devait faire venir des encas et comme par hasard je devais rester pour finir des dossiers.

L’étage de la direction était vide quand je sortis des toilettes.
Arrivée dans son bureau, je ferme la porte à clé, je fais glisser ma jupe au sol.
Il est déjà derrière moi avec son sexe qui butte contre mes fesses.

C’était un fauve qui doit lâcher toute ça frustration et cette frustration il va me l’à donner à grandes giclées …
Comme à son habitude il me bascule sur le bureau et me pénètre d’un coup. Il me martèle de grands coups de bite en disant comme toujours des obscénités
« Prends ça salope » « hein tu aimes ça » « je vais te défoncer »
Ses coups de buttoirs claques et font presque bouger son bureau en bois massif. Moi j’ai appris à aimer ce semblant de brutalité. Il respire rapidement car même s’il tient une excellente forme physique l’âge est là.

Très rapidement j’ai un intense plaisir et je mouille comme une folle. Même si j’ai des amants qui sont mieux « physiquement » j’éprouve toujours un immense plaisir quand il me prend dans son bureau.

Soudain il sort de mon ventre et place son gland sur mon petit trou. Je sers les dents car je sais qu’il n’a aucune retenu. Je lâche un cri quand il vient en moi jusqu’à la garde.
Il s’agrippe à mes cheveux et c’est reparti. Heureusement j’aime me faire enculer et que mon cul en a l’habitude !

Il respire tellement fort que j’ai l’impression qui agonisse mais vu la vigueur de sa queue ce ne sera pas pour aujourd’hui. Soudain sa queue se gonfle et il jouit en moi en lâchant de petits gémissements qui ne vont pas avec sa carrure de Chef d’entreprise.
Il se retire, se nettoie avec des lingettes, j’en fais de même et se rhabille. Après avoir fait un tour au toilette car son sperme n’arrêtait pas de couler je le retrouve, chemise blanche et cravate assis entrain de manger. C’est comme si rien ne s’était passé sauf qu’il est très détendu, et fin prêt pour la suite de la négoce et là je me dis « il va les bouffer tout cru ». Puis il se lève, me fait un bisou dans la nuque et me murmure à l’oreille « tu es vraiment belle » « tu as aimé ? » « c’étais pas trop fort ? » « je t’ai pas fait mal » moi je lui réponds que j’ai adoré ce qui était aussi vrai. Il était devenu doux presque un agneau jusqu’à la prochaine fois. C’est lui qui m’a mise au poste que j’occupe encore aujourd’hui. Avec une belle rémunération mais il fallait que je sois là qu’en il en avait besoin ou envie.
Mais que du chemin à parcourir pour en arriver là. Bien des années plus tôt c’est mon ami Franck qui m’avait donné les clés. Il me disait qu’un mec dès qu’il a du stress il lui faut du sexe et de préférence du sexe rapide. « Et si tu lui donnes ça, alors il sera à tes pieds »

Même si j’ai dû me faire un certain nombre de mec avant d’arriver là où je suis, j’ai quand même mis des mois avant de me taper mon patron puis de le travailler au corps pour évoluer professionnellement.

Assistante au sein du service administratif, il arrivait que je remplace ma responsable lors de réunion de la direction. Mon rôle consistait à prendre des notes pour établir le rapport de réunion mais au fil du temps on me demanda de plus en plus conseil sur des aspects juridiques. Tout s’accéléra quand ma responsable due s’absenter pour des raisons de santé. J’étais systématiquement dans les réunions qui débordaient souvent dans la soirée. J’avais bien vu que les hommes du comité de direction aimaient bien ma silhouette fine et sexy. Mes tailleurs étaient toujours bien ajustés voir un peu serrés. Des chaussures avec talons mais pas trop haut non plus. Certaines réunions se finissaient au tour d’un verre et j’avais toujours l’honneur d’être entouré par les mecs les moins timides. Au fil du temps, et des verres les discussions dérivaient sur un peu tout et je fus surprise que le patron lâche aussi du leste dans ces moments là. Lors du repas de Noël je fus invité non pas au resto avec mon service mais avec la direction. Restaurant chic mais soirée un peu coincée entre collègue de travail sans les conjoints. En fin de soirée tout le monde se salut et repart de son coté. J’avais du garer ma voiture assez loin et alors que je partais pour rejoindre m’a voiture j’entends mon patron qui venait de saluer les derniers partants m’appeler. « attendez je vais vous accompagner » Il viens à ma hauteur au pas de cours en disant « je ne peux pas vous laissez partir seule s’il vous arrive quelque chose je ne me le pardonnerais pas » En marchant on discute de la soirée et on convient que c’est un peu dommage quelle se finisse si tôt. Là il me dit qu’on pourrait encore boire un verre ailleurs … pourquoi pas lui dis-je. On rebrousse chemin pour prendre sa superbe Mercedes avec sièges chauffants qui me font un effet non négligeable. Il connaît très bien la ville et les bars chic et branchés je suis étonnée. On boit quelques verres, on parle de tout et de rien. Puis il me ramène à ma voiture. En roulant j’avais déjà retiré ma veste car j’avais trop chaud et j’en avais profité pour ouvrir un bouton de mon chemisier. A force de bouger sur mon siège ma jupe s’était bien relevée et il l’avait bien vu. Arrivée à ma voiture, je ne descends pas de sa voiture car on discute encore un peu. Comme il ne bronche pas je lui dit « allez bonne nuit patron » et je me penche vers lui pour lui faire les bises. Là il prend fermement mon bras et m’embrasse à pleine bouche. Je lui rends son baisé et je ne le lâche plus. J’en profite pour mettre ma main sur son sexe et tout en l’embrassent je lui ouvre la braguette. Il n’a pas le temps de dire ouf que je suis déjà entrain de le sucer. J’y mets tout ce que j’ai. Heureusement que le parking était désert mais je m’en foutais. Je sentais ses mains essayer de me prendre les seins, puis mes fesses mais ma position ne s’y prêtait guère. Par contre moi je le tenais fermement. J’ai sucé et j’ai aspiré. Il a joui dans m’a bouche et j’ai tout avalé. Je l’ai encore sucé un moment et je lui ai rendu sa queue propre. Je me suis bien léchée mes lèvres et je lui ai fais une bise sur la joue en disant « Merci Patron » « c’était très bon » et je suis partie à ma voiture.

En rentrant, j’étais tellement excitée que je me suis défoncée la chatte comme une forcenée. Un gode dans le cul et mon vibro dans la chatte j’ai joui comme une folle.

Après les vacance de fin d’année, dès la première fois où je me suis retrouvée seule avec lui, il me mis la main au cul et dos contre sa porte fermée appuya avec force sur mes épaule jusqu’à ce que je sois à la hauteur de son bas ventre. « Tu veux jouer alors jouons » Il sortit sa verge encore molle. Merde on était en pleine journée et l’activité battait son plein dans l’entreprise. Sa queue dans ma bouche gonflait à chaque coup de langue. C’est deux mains sur ma tête rythmaient les va et vient. Il éjacula dans ma gorge alors que je m’étouffais presque. Il remballa son sexe et me demanda de sortir. Je devais être rouge de honte. Je croisais des collègues sur le chemin de mon bureau et j’avais encore du sperme dans ma bouche. J’espérais ne pas en avoir sur mon chemisier.
A partir de là, mon chemin était tracé. J’allais me faire sauter par mon patron et j’allais gravir les échelons.
Mais avant ça j’ai eu pas mal d’autres expériences que je vais vous raconter ... bientôt.

Pour revenir à notre réunion avec les syndicats, mon patron sortit vainqueur de la négociation. Alors que les gens discutaient encore à la sortie de la salle de réunion sur les accords trouvés, j’étais déjà à moins de cinq mètre de là, derrière la porte entrain de lui faire une pipe . Quelle sensation d’avoir une queue en bouche alors qu’à quelques mètres mes collègues discutaient encore. Je crois qu’à ce moment j’aurai aimé me faire prendre par tous les mecs encore présent.
Je conseille cette expérience à toutes les femmes, je vous garantie une excitation sans limite et vos lèvres dans l'entre jambes seront gonflées de désire et dégoulineront sans la moindre caresse........

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

chips493
Bonjour, Je sais que les hommes sont parfois esclaves de leur puissantes hormones, mais je regrette que le droit de cuissage existe encore de nos jours. Attention, je ne te juge pas, d'autant que tu aimes ça. Je dis ça parce que j'aime les femmes et déplore qu'elle ne soit pas à égalité dans nos sociétés.
Posté le 12/03/2017

Charmes57
super récit Anne j ai adoré
Posté le 29/11/2016


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