Céline, jus d'orange... et gros seins (1ère partie)

Céline et Mickaël sont en couple. Ils forment un joli couple à la ville... que dans l'intimité de leur chambre. Un après midi, le couple vaque à ses occupations. Céline prépare du jus d'orange. Mickaël regarde la télévision. Céline sait que ses gros seins plaisent beaucoup à Mickaël...

Proposée le 19/12/2025 par Mysteriotic2

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Elle est à croquer, Céline. MA Céline. Je ressens toujours le même plaisir lorsque je fais l'amour avec elle. Lorsque je LUI fais l'amour. Elle a le don d'être audacieuse... et ce n'est pas pour me déplaire. Elle sait me surprendre quand je ne m'y attends pas du tout... et ça me plaît. Là, sur le canapé du salon de notre appartement, c'est l'exemple parfait. J'étais assis et je regardais tranquillement la télévision. Elle, elle était dans la cuisine et elle pressait des oranges pour en faire du jus. Hormis la télé, hormis le bruit que Céline faisait, pas un mot n'était prononcé dans l'appartement.

Il ne se passait pas grand chose. Céline et moi, on faisait ce que l'on faisait. Chacun vaquait à ses occupations. Soudain, j'ai entendu des pas. Ça se rapprochait de moi. J'ai relevé la tête et ça a été là que j'ai vu Céline. Elle s'est placée idéalement, devant la télévision, m'empêchant de continuer de la regarder. C'était judicieux car dès ce moment-là, désormais, ça allait être sur elle, Céline, que mon attention se porterait. Ça a été ce qu'elle a espéré. Et ça s'est révélé déterminant.

Elle se tenait droite. Elle avait ses longs cheveux bruns qui étaient lâchés. Elle avait un beau sourire aux lèvres. Elle portait une robe aux couleurs plutôt chaudes, plus précisément rouge avec des petits points oranges. Cette robe lui allait à merveille car elle mettait en valeur les courbes de son corps.  Impossible pour moi de regarder ailleurs, dès lors. J'avais les yeux rivés sur elle. Ce que je voyais me plaisait.

Céline, sur ses lèvres, avait son sourire d'un jour optimal. C'est comme ça que j'aime et que je veux la voir. Quand on aime quelqu'un, c'est normal de vouloir voir cette personne sourire. On a tous nos contrariétés, nos peines, nos moments où l'on va moins bien. Et bien évidemment, par conséquent, ça arrive à Céline. Mais là, elle sourirait et elle respirait la joie de vivre. Si elle se tenait comme ça, face à moi, ce devait être parce qu'elle avait une idée derrière la tête. Avec Céline, je peux... et je dois m'attendre à tout. Ça, c'est quelque chose que j'ai appris avec le temps, depuis que j'ai fait sa rencontre.





Ça a été précisément ce qu'il s'est passé, là. Céline était plantée là, face à moi, et elle tournait le dos à la télé. Ça ne l'intéressait pas, ce que je regardais.  Ce qui l'interessait... Celui qui l'interessait, c'était MOI.

Elle m'a demandé si j'avais besoin de quelque chose. Si j'avais soif, par exemple... Comment a t-elle fait pour le savoir ? A t-elle lu dans mes pensées ? Céline a saisi la balle au bond et elle a rétorqué que ça tombait bien. Elle venait de presser des oranges et elle avait préparé du jus.  Il était frais et il n'attendait qu'à être dégusté, elle a ajouté.

Céline ne pouvait pas être plus émoustillante. Ses longs cheveux bruns étaient lâchés. Elle portait cette robe rouge aux petits points oranges qui étaient discrets. Ça moulait ses rondeurs. Céline a des seins qui sont gros, juste ce qu'il faut. 85E. Et ce vêtement-là les lui moulait à merveille, ses seins. Bon d'accord... Madame la juge... Je plaide coupable. Je ne voyais plus qu'eux. Mais il faut me comprendre, quoi ! L'invitation de Céline était on-ne-peut-plus... tentante...

Céline me regardait dans le blanc des yeux. Les yeux dans les yeux, je voyais qu'elle savait ce qu'elle faisait, qu'elle savait ce qu'elle voulait. Et le temps d'un moment, elle m'a pris au dépourvu. Elle s'est rendue dans notre cuisine.

Puis, elle est revenue. Elle est revenue, un verre à la main. Elle avait le sourire aux lèvres. Rhoo... ! Qu'est-ce qu'elle était... Je n'ai pas de qualificatif pour décrire comme Céline était à ce moment-là. Ce dont je me souviens, c'est du regard de Céline. Ça, ça ne peut pas être plus simple que ça. Elle m'a dit qu'elle a préparé du jus d'orange. Elle m'a tendu le verre rempli de jus qu'elle avait à la main.





Céline a gardé les yeux sur moi. Je me suis senti observé. J'ai porté le verre à mes lèvres et j'ai bu une gorgée de la boisson. Ça a été un dé-li-ce. C'était frais. C'était sucré, juste ce qu'il fallait. Alors que je regardais la télévision, force était de reconnaître que c'était ce dont j'avais besoin. Céline avait-elle lu dans mes pensées ? Quoiqu'il en soit, c'était délicieux. Et venant de ma petite amie, c'était une attention qui me touchait.

J'ai alors porté plus d'attention à Céline, à son attitude, à ce qu'elle portait, à comment elle était. Ses longs cheveux étaient lâchés et ils lui arrivaient au niveau des épaules. 

Elle était sobrement maquillée, comme à son habitude.

Elle portait cette robe rouge qui lui allait à merveille. Ça se voyait que nous sommes en été. Ce sont des beaux jours qu'on vit actuellement. Et ces derniers jours, j'ai remarqué que ma chérie était souvent en robe d'été, légère, comme celle qu'elle porte aujourd'hui. Force était de reconnaître, là encore, que je matais Céline. J'avais de quoi, en même temps, vu ce que je voyais. Ces tenues légères mettent en valeur le corps de Céline. Là, c'était impossible de regarder ailleurs. Bien évidemment, je n'étais pas le moins du monde discret et je ne me gênais pas pour mater ma petite amie. Elle, elle ne pouvait que le voir, que je la matais. Ça n'avait pas l'air de la déranger. On aurait même dit qu'elle se réjouissait que j'aie mes yeux sur elle, comme ça.

Et si elle l'avait fait exprès, de porter cette robe, pour que je la mange des yeux ?

Je n'allais pas tarder à le savoir...





Céline s'est approchée de moi. Elle avait toujours le sourire aux lèvres.

Elle s'est assise à califourchon sur moi.

Elle m'a pris le verre des mains et elle l'a posé sur la table basse de notre salon.  L'instant d'après, elle s'est emparée de la télécommande de la télé qui se trouvait à côté de moi, sur le dossier du canapé, et elle a éteint la télé. 

Elle a posé la télécommande sur la table basse, à côté de mon verre de jus d'orange.

Puis, elle s'est réassise sur moi. Céline a passé ses bras autour de mon cou. L'instant d'après, elle a rapproché sa tête de la mienne. Nos visages étaient tout proches. Céline m'a embrassé. Son haleine était sucrée, acidulée. Fraîche. Céline était fougueuse. Ça me plaisait bien. J'aimais passer ce moment-là avec cette fille que j'aime et qui m'aime. C'est simple: j'ai des frissons qui me prennent au corps dès que nous partageons un moment, même court, en amoureux. Ça a été le cas tout à l'heure, quand on s'est embrassés.

Et... Je l'avoue. Qu'est-ce que j'aime quand Céline prend place sur moi, comme ça, à califourchon. Je ne suis pas dupe. Elle sait que j'aime lorsque sa poitrine se trouve pile dans mon champ de vision. Dès lors, j'ai une vue privilégiée sur les formes de ma petite amie. S'il y a bien une partie du corps de Céline qui me fascine et qui m'excite, il s'agit de ses gros seins. Et là, la robe légère rouge qu'elle portait la mettait en valeur, sa poitrine lourde et ferme. Du fait qu'elle était à califourchon sur moi, Céline, j'avais pile son 85E en face de mes yeux. Inutile de préciser que je ne me suis pas privé de me rincer l'œil. Inutile également de préciser que Céline a lu en moi comme dans un livre ouvert. 

La belle a souri. C'était un sourire malicieux qu'elle avait, alors, aux lèvres. Qu'est-ce qu'elle était en train de mijoter ? Avait-elle une idée derrière la tête ? Je n'ai pas eu à attendre longtemps pour obtenir des réponses à mes questions. En fait, Céline avait remarqué mes coups d'œil à sa poitrine qui n'avaient pas du tout été discrets même si je pensais qu'ils l'avaient été.





Céline était là, et elle était assise à califourchon sur moi.

Elle m'embrassait comme si sa vie en dépendait. En tout cas, moi, ça a été comme ça que j'ai ressenti ses baisers, à travers la pression des lèvres de Céline sur les miennes, à travers la façon dont elle respirait, à travers la manière dont elle se blottissait contre moi.

Ça n'allait pas être moi qui briderais Céline. Oh... non. Parce que vu comment elle se comportait... Vu comment elle m'embrassait... Quelque chose me disait qu'elle avait envie de partager un moment intime avec moi. Peut-être même qu'elle avait envie de moi, tout court...

La suite me l'a confirmé...

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