Histoire Erotique

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L'appartement

Il la rencontre dans un bar. Elle est magnifique, et ils ont envie de partager un moment de plaisir. Parce que la vie est faite de multiples chemins, qu'on n'en prend qu'un seul, mais les autres existent aussi virtuellement, il y a quatre suites à ce début, chacun représentant un possible.

Proposée le 19/12/2025 par jerome james b

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


L'APPARTEMENT
On s'est rencontrés dans ce petit bar sympa où j'avais décidé de passer la soirée. Il était à la sortie de la place G..., un endroit convivial, que je connaissais bien, les patrons, le mari et la femme étaient hyper sympathiques, et c'était pour moi un bon moment de détente avant de rentrer. On nouait facilement des contacts avec les gens qui étaient autour.
Chacun venait pour des raisons qui lui étaient propres. Moi pour marquer la fin de la journée, d'autres pour être entre amis, certains parce qu'ils étaient seuls, mais qu'ils avaient envie de rentrer, au moins pour une nuit, à deux.
Je l'ai remarquée dès que je suis arrivé dans le bar, et il aurait été difficile que ce ne soit pas le cas. Tous les hommes qui étaient là, même mariés, même avec une petite amie, avaient le regard qui, à un moment à l'autre, glissait vers elle. Elle était calée près d'une fenêtre, un verre de vin devant elle, et effectivement sa silhouette valait le détour. Mon attention s'est fixée sur elle...Et pas vraiment détachée...Une robe en lainage rouge, très collante, comme le sont toutes les robes en lainage, courte, qui laissait ses jambes à nu jusqu'à en haut de la cuisse. Enfin à nu pas vraiment, parce qu'elles étaient gainées de nylon, et prises à partir du genou par le cuir noir de bottes avec des talons aiguille. Un corps long mais pourvu de rondeurs, d'évidence. Une masse de cheveux épais et longs, qui encadraient un visage allongé aux traits fins, à la bouche pulpeuse marquée de rouge vif, comme le reste de son visage. Et puis il y avait ce regard sombre, qui semblait au-delà de tout, et c'est peut-être lui qui était le plus troublant.
J'ai pris une bière et je me suis installé. Je me calais toujours sur la gauche, on a tous une place favorite, et il se trouvait en plus que ma place favorite me permettait de la garder en ligne de mire. Elle avait du chien comme on dit.
Je n'attendais rien de particulier d'elle. La regardait me suffisait amplement. Pourtant, elle s'est levée, au bout d'un moment, et elle est venue s'asseoir face à moi. Me surprenant, je devais bien l'admettre.
L'occasion de la regarder de plus près. Elle avait énormément de charme, et elle dégageait quelque chose de très fort, sans doute parce que sa beauté était teintée d'ironie et de malice.
— Ca te dirait qu'on passe un moment ensemble ce soir. A mes conditions. Du sexe et juste du sexe. Sans lendemain.
— C'est un deal plus qu'honnête, je lui ai répondu. C'est déjà beaucoup. En plus, on a une chance...Un appart à 200 mètres...
— Alors on y va tout de suite...J'ai vraiment envie de baiser. Je suis en manque.

VERSION 1
Parfois, ça peut se nouer très vite. Je suis parti payer nos consommations. Le patron m'a fait un clin d'oeil. On est sortis du bar. Ses talons claquaient sur le sol en bois du bar comme ils ont claqué sur le macadam. On n'avait pas à aller loin, il fallait descendre la rue sur deux cent mètres et on arrivait à un magnifique hôtel particulier dont la réfection venait d'être achevée, découpé en appartements.
On arrivait juste devant quand elle m'a dit en sa calant sous un lampadaire:
— Regarde la marchandise, comme ça tu verras si tu risques d'être déçue.
Sans réelle surprise, je l'ai découverte nue sous la robe qu'elle a relevé lentement. Des bas stay-up, dont l'attache, large, prenait le milieu de sa cuisse, un ventre nu, une fente qui ouvrait son sexe en deux, dont sortaient deux bouts de lèvre, un triangle de poils qui confirmait qu'elle était une brune, elle n'avait pas non plus de soutien-gorge, mais sa poitrine n'en avait pour l'instant pas besoin, seins lourds mais dressés, avec de larges aréoles roses et des tétons, qui, s'ils n'étaient dressés avant, se sont durcis et allongés dans la fraîcheur de la soirée.
Elle a laissé redescendre la robe, sachant qu'il s'agissait seulement d'une poignée de minutes avant que je ne me glisse dessous ou que je lui enlève.
L’hôtel particulier bénéficiait d'une grande entrée, et d'une autre plus petite. On est passés sur le côté. Une cour, une volée de marches, et on a pénétré à l'intérieur. Cinq appartements refaits. Celui où je l'emmenais était au premier étage. Le lieu avait été totalement refait, trois pièces en plus des dépendances.
C'est en pénétrant sur les lieux qu'elle a remarqué l'étendage. Il était près de la fenêtre, et le linge qui y pendait, trois culottes et deux soutien-gorges ne pouvait pas ne pas être féminin. Elle a tiqué, même si elle n'a rien dit.
— C'est l'appartement d'une copine. Elle est absente en ce moment, et je viens voir si tout va bien. J'ai pensé que c'était mieux de venir ici. J'habite à l'autre bout de la ville.
Mes explications ont semblé la convaincre. Elle est revenue vers moi, s'est plaquée à moi et nos bouches se sont accrochées, nos mains se concentrant sur des actions complémentaires, moi j'ai glissé mes mains sous sa robe, caressant son dos et descendant sur ses fesses, Elle est partie à la recherche de ma queue qu'elle a mis à nu et masturbée doucement.
Elle s'est détachée de moi, et a remonté sa robe, cette fois pour la passer par dessus ses épaules et la balancer sur une table proche. Un corps chaud et frémissant. Comment résister? Ça n'a pas été mon cas. Je me suis penché sur elle, et j'ai pris un de ses tétons dans ma bouche, pour le frotter de la langue. Elle a gémi. Je me suis dit que je ne devais pas être trop mauvais. Je suis passé à l'autre sein avant qu'elle ne me tire sur le canapé. On s'est retrouvés tête-bêche, moi caressant son sexe de la langue et de la bouche pendant qu'elle dévorait ma queue. Le genre de moment qui faisait que, oui, vraiment, on se disait que la vie valait la peine d'être vécue. Et faisait la soirée belle. Sa manière de me caresser, de me lécher la queue, les couilles, de faire aller et venir sa bouche sur moi disait toute son habileté, une habileté due à l'envie de sexe, la pratique, les rencontres. J'espérais lui donner autant de plaisir qu'elle m'en donnait.
Elle avait une pochette avec elle, accrochée à son cou. Elle en a sorti un préservatif dont elle a déchiré l'emballage avant de le faire glisser le long de ma queue. Je me suis calé en m'appuyant contre le dossier du divan. Elle s'est frottée le sexe, en gémissant:
— Oh mon Dieu, j'ai trop envie d'une queue dans le ventre...Une queue qui me fouille et me caresse bien. Ça fait deux semaines que je n'ai pas été pénétrée par un homme. Pour moi, c'est une éternité.
Et elle est venue se poser au-dessus de ma queue dilatée d'excitation. Elle l'a guidée en elle, mais sans doute qu'elle serait rentrée toute seule, tellement elle était ouverte et lubrifiée par les jus qui coulaient d'elle. La magie du sexe, c'est que dès les premières secondes, d ans une pénétration, c'est très fort, au contact de la muqueuse de l'autre. Elle a gémi alors que mon gland était juste dans l'entrée de son vagin. Elle a retenu la pénétration, se faisant glisser lentement jusqu'à être totalement remplie, mon gland butant contre son utérus. Sur son visage radieux se lisait le plaisir d'être pénétrée, et celui d'être caressée par ma queue dans les minutes qui ont suivi, quand elle s'est mise à bouger sur moi. Je la tenais par les fesses, et c'était elle qui faisait tout le boulot.
Et puis Sophie est arrivée.
Il y a eu une clef dans la serrure, clef qui a tourné et elle a fait son apparition avec un sac de voyage. Elle ne m'avait absolument pas prévenu.
Elle s'est figée quelques secondes. Ma partenaire a tourné la tête vers elle.
Sans que cela ne me surprenne vraiment, aucune des deux femmes n'a été perturbée par la présence de l'autre et par ce qui se passait. Je crois en y repensant que, l'une comme l'autre, dès les premières secondes, elles ont identifié l'autre comme 'ma semblable, ma sœur' et ont compris que quelque chose était possible...A trois...
Sophie était physiquement tout le contraire de la jolie brune, même si elles avaient, et cela a été prouvé dans les minutes qui ont suivi, une appétence commune pour le sexe. Blonde, petite, avec des kilos en trop, mais ça lui donnait des formes bien pleines. Sophie savait elle aussi se mettre en valeur, elle adorait les tailleurs, veste et jupe courte et fendue. Ce soir-là, elle avait aussi un tailleur, gris, veste entrouverte sur un soutien-gorge de dentelle, gris aussi, qui enveloppait ses seins volumineux, jupe fendue très haut dévoilant des jambes prises par des cuissardes à talons aiguille. Je savais déjà qu'il y avait de grandes chances que Sophie n'ait pas de slip en dessous. Elle n'en mettait que très rarement.
— Je crois que je vais me joindre à vous, elle a jeté.
Et elle a glissé sur le divan pour rentrer tout de suite dans l'action.
Je n'ai eu qu'une pensée: qu'à trois le plaisir était démultiplié.
Et c'est bien ce qui s'est produit dans les minutes qui ont suivi.
Même si je ne l'avais pas provoquée, j'avais beaucoup de chance.
La belle brune venait de passer à une cadence plus lente, allant et venant lentement sur ma queue, qui apparaissait et disparaissait, et dont j'avais l'impression qu'elle était à chaque fois plus épaisse et plus longue, le latex trempé par ses jus intimes qui coulaient avec une abondance comme j'en avais rarement vu. J'avais aussi l'impression qu'elle devenait plus béante à chaque nouveau mouvement vers l'intérieur.
Elles ne se connaissaient pas, mais elles ont fait amie-amie immédiatement. Sophie a approché son visage d'elle, sortant sa langue, la jolie brune a immédiatement fait de même. Elles ont frotté leurs langues tendues l'une contre l'autre, et ça m'a tellement troublé que j'ai failli jouir. L'orgasme c'était souvent lié à un déclencheur. J'en avais un parfait sous les yeux.
La brune n'est pas restée inactive, tout en frottant la langue de sa nouvelle copine et allant et venant sur ma queue. Elle a fait glisser la veste du tailleur de Sophie, qui s'est laissée faire. Celle-ci mettait souvent ses vestes à même la peau avec un soutien-gorge en dessous. Le résultat était toujours troublant. Le soutien-gorge de dentelle enveloppait une poitrine bien ronde, dont j'ai bien vu qu'elle troublait la brune longiligne. Elle a glissé ses mains dans le dos de Sophie, pour dégrafer le soutien-gorge, mettant à nu une poitrine volumineuse, troublante dans tous ses détails, sa rondeur ferme, le sillon profond qui séparait ses deux seins, des tétons aussi roses que les aréoles qui les entouraient, qui se sont allongés sous nos yeux. Sophie et moi on se connaissait depuis cinq ans, on s'était rencontrés pendant un stage sportif et comme on avait bien accroché, on était restés en contact, dans une relation qui mélangeait amitié et sexe, sans qu'on ait l'un ou l'autre envie d'aller au-delà et de s'installer ensemble. On se voyait régulièrement, et ce pouvait être aussi bien pour boire un verre ensemble, faire une sortie qu'avoir du plaisir ensemble, selon nos envies, et parce que nos envies trouvaient écho et accord chez l'autre. Elle était chaleureuse, très agréable, et puis elle aimait le sexe, et avoir du plaisir. Au final ça faisait de bons moments ensemble.
Même si je n'avais vraiment pas imaginé qu'il puisse se passer quelque chose à trois.
La brunette qui continuait de bouger sur ma queue s'est penchée sur un sein et elle s'est mise à lécher le téton. Sophie a gémi de plaisir. La brune a bien travaillé son sein avant de passer à l'autre, et quand elle a dégagé le deuxième sein, Sophie avait les tétons surdilatés. Elle a rendu la pareille à sa camarade.
Tout ce qui s'est enchaîné entre nous s'est fait naturellement, sans demande, d'une manière fluide, comme si on lisait les envie des deux autres, ou peut-être qu'on les anticipait.
Ça a fait un bruit visqueux quand la jolie brune s'est arrachée de ma queue, posant simplement une main sur la hanche de Sophie pour l'inciter à prendre sa place. Ma verge était énorme, bien plus épaisse et longue que quand elle s'était empalée sur moi. La brune a défait l'agrafe qui maintenait la jupe de Sophie à sa taille. Dessous, elle était effectivement cul nu. Elle a jeté un œil aussi appréciateur que vorace sur la pente de son pubis qui s'ornait d'une toison taillée soigneusement, en un rectangle, et sur le sexe qui en si peu de temps, s'était déjà bien ouvert et bien trempé aussi. Contrariant le plan premier de faire que Sophie s'empale sur ma queue, cédant à une autre envie, née quand elle avait vu la chatte de Sophie, si appétissante, elle a glissé à plat ventre, attirant Sophie à elle en la tenant par le cul pour venir donner quelques coups de langue sur les lèvres déjà gorgées de sang, et j'ai vu des jets, copieux, de mouille, sortir à chaque nouveau coup de langue, remplir la bouche de la brune tout autant que couler sur les chairs de Sophie. Sophie, cambrée en arrière, gémissait de plaisir.
Quand Sophie est venue s'empaler sur moi, la caresse avait rendu son sexe béant d'excitation, dans un état que je connaissais bien, pour l'avoir souvent vu ainsi quand elle était très excitée. Lèvres allongées, mais aussi gonflées, intérieur du vagin bien visible, parois roses et luisantes. Elle s'est posée au dessus de moi.
Qu'il y ait une autre personne donnait un tout autre relief à ce rapprochement. La brune prenait une part active. C'est elle qui a attrapé ma queue, l'a tenue et guidée vers la vulve de Sophie. Elle a frotté le gland contre les lèvres avant de poser la tête dedans. Sophie s'est laissée descendre dessus en gémissant jusqu'à m'avoir totalement avalé.
Sophie était déjà venue s'empaler sur ma queue dans la même position. Mais là, tout était différent à cause de la brune qui est intervenue sur nous. J'ai vraiment du me retenir pour ne pas jouir sur le champ tellement c'était troublant. Elle est descendue sur nos sexes, et elle a tourné dessus de la langue et de la bouche. Venant lécher les lèvres de Sophie qui s'étalaient autour de son sexe et sur ma queue, mais aussi son gland clitoridien, qui prenait des proportions hors normes quand elle était excitée...Comme en ce moment. Long, épais...Impressionnant sans aucun doute, et suffisamment long et épais pour pouvoir être pris dans une bouche, et sucé, ce que la brune a fini par faire, basculant pour sortir ma queue de la vulve de Sophie, aller et venir dessus comme elle allait et venait sur le gland clitoridien.
Je n'oublierai pas les moments qui ont suivi. Sophie s'est dégagée. Les deux filles se sont regardées, et sans dire un mot mais d'un commun accord, elles se sont positionnées, à quatre pattes, l'une sur l'autre, m'offrant de manière totale leur intimité.
Il y a des positions, des postures, qui troublent les hommes. Je le reconnais très volontiers, voir ces deux filles installées l'une sur l'autre, leurs culs pleins entrouverts sur leur muqueuse anale, leurs chattes gorgées de sang, qui se dessinaient différemment, mais qui partageaient d'être bien ouvertes, dégoulinantes, lèvres et gland clitoridien gonflé, m'a fait perdre la tête. Et ce n'est pas leurs visages tourné vers moi, regards plantés dans le mien et qui disaient 'Viens', qui allaient changer grand chose. Au contraire.
Sophie s'était positionnée sur la brune, mais un peu plus tard, elles devaient changer de position. Je suis rentré dans le sexe de Sophie en même temps que j'enfonçais deux doigts réunis dans la vulve de la brune. Elles ont crié toutes les deux, et ce n'était pas de douleur. Je les ai fouillées toutes les deux en même temps, sans doute avec maladresse, et pas forcément dans le même rythme, mais elles ont eu du plaisir, à en juger par leurs frémissements et leurs gémissements. Je suis sorti de Sophie, et je suis venu me planter plus haut, me contorsionnant pour que mes deux doigts reunis descendent plus bas et viennent remplacer ma queue dans la vulve détrempée, tellement chargée de liquide que ça a fait un bruit visqueux quand j'ai glissé dedans.
Je n'en aurai certainement pas pris l'initiative par moi-même, mais la brune m'a dit:
— Encule-nous. C'est bon par le cul.
Et Sophie, même si je ne l'avais jamais encore sodomisée semblait tout à fait partante pour cette option.
J'ai dégagé ma queue. Un instant, en l'appuyant contre la muqueuse anale de la belle brune, je me suis dit que vu ma dilatation ça n'allait jamais rentrer ou que, si ça rentrait, elle allait avoir mal. Mais c'est passé comme une lettre à la poste, ma queue glissant dans le conduit étroit, pour une nouvelle caresse. Le plaisir était au rendez-vous pour elles, la phrase 'c'est bon par le cul' n'était pas un de ces souhaits qu'on regrette ensuite d'avoir réalisé, et ça a été vrai aussi pour Sophie. En tout cas, ce moment de sodomie, peut-être parce qu'elles étaient au bout d'un parcours de plaisir, a été celui où elles se sont mises à jouir, crachant leurs jus intimes, dans des éjaculations qui nous ont bien éclaboussés tous les trois.
Je voulais tenir plus longtemps, mais leur jouissance a amené la mienne, et je n'ai plus rien contrôlé. J'ai juste eu le temps de sortir de l'anus de Sophie, d'arracher le préservatif, et j'ai balancé de copieux jets de semence sur leur intimité.
Cinq minutes plus tard, la belle brune dont je ne savais toujours pas le nom repassait sa robe, le sexe encore ouvert humide.
— C'était bon. Merci pour ce moment. On se reverra forcément si tu reviens au bar, j'y suis souvent.
Les talons de ses bottes ont tapé sur le plancher du couloir, puis celui de l'escalier. J'ai regardé sa silhouette fine et souple disparaître dans la nuit.
J'ai senti une présence près de moi. Sophie me souriait.
— On n'est plus que deux, mais j'ai encore envie de sexe. Toi aussi, non?
Et effectivement, ma queue était toute dure, collée contre mon ventre, bien que j'aie joui quelques minutes plus tôt. Elle s'est pliée en deux, et elle s'est venue me gainer de sa bouche, frottant sa langue contre mon gland. Cette fois, c'est moi qui ait gémi.
On est repartis sur le lit.

VERSION 2
Il y avait deux cent mètres à faire. Pourtant, elle s'est arrêtée à mi-chemin. S'est retournée vers moi.
— Écoute, j'ai quelque chose à te dire.
— Tu veux que je mette une capote? Pas de problème. J'ai toujours respecté mes partenaires.
— Non, c'est pas ça. Disons que je ne suis pas totalement ce que tu pourrais attendre de moi.
— Tu pourrais être plus précise?
En guise, de réponse, elle a soulevé sa robe. Dévoilant deux jambes magnifiques, gainées du nylon de bas stay-up. Mais là où j'avais pensé découvrir le dessin d'une chatte, un peu plus haut, il y avait une queue, une belle queue, en pleine érection, collée contre son ventre.
J'ai été un instant décontenancé, mais pas pour les raisons qu'elle aurait pu imaginer.
J'avais toujours été, et sans honte, un grand consommateur de porno. On peut aimer avoir une relation avec une femme, on peut aussi aimer rêver et jouir devant une femme qu'on aura jamais, mais dont le corps, les formes, vous fascinent...
Si vous allez sur un site porno, vous remarquerez qu'il y a des catégories, et j'en avais exploré plusieurs. Jusqu'au jour où j'étais tombé sur la catégorie trans. J'avais été troublé au possible, un trouble qui ne s'était jamais dissipé, de découvrir ce troisième sexe, ces filles qui avaient tout d'une fille, et malgré tout une grosse quéquette. Avant, pour moi un trans, c'était un mec mal rasé qui passait une robe de fille. Pas quelqu'un dont la féminité était éclatante, et sans trace de masculinité, mais en ayant une verge qui pouvait servir. Car sa queue ne la rapprochait pas de la masculinité. Au contraire, c'était vraiment un autre sexe que les deux qui existaient majoritairement. Après tout la nature était bien multiple...
Et mon plus gros regret, jusqu'à présent, c'était que je n'avais jamais croisé le chemin d'une trans.
Les choses venaient de changer.
A sa grande surprise, je me suis penché en avant et j'ai plongé sur sa queue. Commençant par quelques coups de langue dessus. Elle a gémi, et lorsque j'ai frotté son gland pour la deuxième ou troisième fois, un liquide sucré a coulé d'abondance de son méat. Je l'ai lapé, Elle s'est cambrée. J'ai enveloppé sa queue, et je me suis mis à faire aller et venir ma bouche dessus. C'était vraiment la meilleure preuve pour lui prouver que j'étais attiré par les trans. Elle ruisselait dans ma bouche. Je me suis interrompu autant parce que j'ai senti qu'elle allait jouir, et c'était trop tôt que parce que j'ai senti que j'allais jouir aussi, tellement j'étais excité et troublé.
Je me suis redressé. Elle m'a souri, visiblement rassurée.
On est parti vers l'appartement dont j'avais la clef. Une amie à moi s'était installée dans ce grand hôtel particulier rénové et divisé en appartements, et j'étais censé, ce que je faisais d'ailleurs, passer régulièrement pour vérifier que tout allait bien. J'avais donc la clef, et, en remettant tout en état, je pourrais sans problème profiter du lieu.
Ca a été en bas de l'escalier qui conduisait à l'appartement qu'elle s'est figée pour aller chercher ma queue dans mon pantalon et qu'elle m'a mis à nu.
— Tu as une belle queue, elle a remarqué, en commençant à me masturber.
J'ai replongé sous sa robe pour aller chercher sa verge et la caresser en même temps qu'elle caressait la mienne. En même temps on est venus prendre la bouche de l'autre, et accrocher sa langue. Un moment de plaisir pur. Elle masturbait bien, j'espérais être à la hauteur.
Ça a été encore plus excitant quand elle a repoussé ma main, et attrapant sa queue, elle est venue la frotter contre la mienne...Sa grosse tête dilatée, dégoulinante de liquide est d'abord venue frotter mon gland, nos liquides séminaux se sont mélangés, avant qu'elle ne descende le long de ma tige. J'avais rarement été aussi gros. Sa caresse était délicieuse, et bien sûr, la situation me surexcitait. Elle aussi était énorme. J'avais l'impression qu'elle gonflait à chaque seconde supplémentaire qui passait. Je crois qu'on aurait pu jouir là, mais on s'est retenus, on avait envie de plus, ce plus qui s'est concrétisé quelques secondes plus tard.
Je me suis détachée d'elle. L'emmenant vers l'étage et l'appartement.
La pièce était grande, bien équipée, dans les nuances de rouge. La belle brune à la queue dure m'a entraînée sur le divan. On s'est placés tête-bêche, elle a été chercher ma queue, et j'en ai fait de même. Je lui ai littéralement bouffé la queue, et elle en a fait de même.
— Je crois que...
Je me demandais ce qu'elle allait dire...Elle n'a rien dit, ou alors elle l'a dit autrement, son sperme me remplissant la bouche, jaillissant par saccades, copieux, que j'ai laissé glisser dans ma bouche. Je craignais que sa queue ne se dégonfle, ce qui aurait obéré les moments à venir, mais elle est restée, et cela ne m'a pas surpris, bien rigide.
— J'ai envie que tu me baises, elle a soupiré. J'ai des préservatifs. Tu en as envie?
— A un point que tu n'imagines même pas.
Pendant qu'elle les cherchait dans son sac, je me suis consacré à ses seins. Ils étaient aussi énormes que peu naturels, mais ça ne me gênait pas. L'important, c'était le résultat. Et puis ses tétons eux, étaient naturels, et leur érection était aussi impressionnante que celle de sa queue, à laquelle j'ai contribué en les caressant.
Elle a trouvé une boite de 4 préservatifs, en a tiré un de la boite, déchiré l'emballage, et m'a enveloppé de latex. Deux secondes plus tard, elle venait se caler au-dessus de moi, prête à s'empaler. Je n'oublierai pas ce moment, son corps superbe, son sourire qui disait la joie d'être dans ce plaisir partagé, cette queue énorme, collée contre son ventre, qui disait son excitation, et ces plissements anaux offerts. C'était la première fois que j'avais des rapports sexuels avec un trans, et je me disais que j'avais envie qu'il y ait plein d'autres fois. Avec elle, ce serait bien, sinon avec d'autres trans... Elle est descendue sur moi jusqu'à ce que son anus vienne appuyer contre mon gland. J'ai pensé à toutes les queues qui avaient du glisser en elle, de par le passé, la remplir et lui donner du plaisir. Et puis je n'ai plus pensé à grand chose, parce qu'elle s'est faite descendre sur moi, sa muqueuse anale était souple, et elle a avalé ma queue un long gémissement. Elle m'a totalement pris en elle, venant reposer sur mon ventre. Je l'ai attrapée par les hanches, et je l'ai faite bouger sur moi. Dans son excitation, elle a lâché un jet de sperme, unique, qui a atterri sur ses seins. Sa queue gonflait encore alors que j'avais vu dans certains pornos des trans débander quand elles se faisaient pénétrer, et avoir du mal à retrouver une érection. Chez elle, c'était l'inverse. A chaque moment supplémentaire, on avait l'impression que sa queue gonflait encore plus.
On en était là quand Sophie est arrivée. Sophie, c'était la propriétaire de l'appartement. Une petite brune avec des formes très pleines, et un regard où pouvait se lire pas mal de malice, d'ironie, mais aussi son goût pour le sexe. On avait une relation particulière, elle et moi. On se connaissait depuis six ans, on s'était rencontrés ici dans la ville, à un stage de formation, on s'était revus, on partageait des moments ensemble, restaurants, sorties, mais aussi du sexe quand on en avait envie. On était dans une relation qui nous convenait parfaitement, de l'amitié avec du sexe, On n'avait je crois envie, ni l'un ni l'autre d'aller plus loin et de s'installer ensemble.
Mon regard a glissé sur elle. Elle était toujours aussi attirante, même, et surtout comme ça, vêtue d'un caleçon qui soulignait ses formes, d'un blouson avec un T-shirt tendu par ses seins dessous...
Elle a très vite compris la situation.
— Mmm...J'ai bien envie de participer...
Elle avait à peine terminé sa phrase qu'elle était déjà tout près de nous. Elle s'est penchée sur la queue énorme de la belle brune, et elle s'est mise à la parcourir de la langue, en même temps qu'elle fourrait sa main dans son caleçon pour se masturber. Je connaissais sa chatte par cœur, et je l'imaginais, s'ouvrant et se trempant. D'ailleurs très vite, le tissu du caleçon s'est teinté de sombre au niveau de l'entrejambe.
— Je crois que je peux bien me joindre à vous, elle a soufflé.
Elle s'est redressée, a descendu son blouson, et ôté son caleçon. Dessous, comme très souvent, elle n'avait pas de culotte. Mon regard a accroché sa chatte, une belle chatte, bien proéminente, nichée sous une toison brune soigneusement entretenue, que l'excitation avait métamorphosée, la dilatant et le faisant ruisselante. Quand elle était dans un tel état, ses lèvres sortaient d'elle, s'étalaient, chair épaisse, et son gland clitoridien prenait lui aussi du volume, mini-bite, plus grosse qu'un micro-pénis, que j'aimais sucer comme j'aurais sucé une queue.
— On va voir si on arrive à faire quelque chose ensemble.
Je n'imaginais pas qu'on puisse se caler comme on s'est calés. Je n'avais jamais été...Je ne dirai pas aussi loin, mais dans ce sens-là.
La queue de la belle brune était énorme, et j'ai bien compris qu'elle avait l'intention de s'empaler dessus. J'aurais imaginé d'autres schémas, par exemple que les deux filles se succèdent sur ma queue, ou que la brune me pénètre et la pénètre aussi après...
J'avais trop de crainte...Ça c'est vraiment bien passé. Sophie a commencé par récupérer un préservatif dans la boite et elle l'a déroulé le long de la queue de la fille. Elle était tellement grosse, et le préservatif standard qu'elle n'est pas arrivée en bas. Mais elle enveloppait quand même les trois-quarts de sa queue et elle retiendrait son sperme...Quoi que...J'imaginais des jaillissements ultra-copieux susceptibles de dégouliner, voire de déchirer le latex...
Une fois le préservatif installé, Sophie est venue se caler sur la brune à la verge gonflée. Elle a guidé la verge vers son sexe ouvert d'excitation, en se laissant descendre sur elle, pour se retrouver posée sur ses genoux. Elle a attrapé sa queue, l'a amenée en arrière, et elle l'a faite rentrer en elle. On a regardé tous les trois, fascinés, comme tout être humain l'est par les choses du sexe, la verge énorme rentrer entre les parois de la vulve de Sophie. Un vagin, c'est élastique, et elle a tout avalé. La queue, énorme, en elle. Elle a poussé un long gémissement quand elle a été totalement remplie.
On a été un attelage inégalement calibré, agissant dans quelque chose de vraiment pas harmonieux...Mais on a eu du plaisir. Je bougeais dans l'anus de la belle brune, qui elle bougeait dans la vulve de Sophie, parfois dans un mouvement unique et harmonieux, parfois pour quelque chose de disharmonieux, mais on ne faisait pas un concours, l'essentiel était ailleurs. Je voyais la queue de la brune rentrer et sortir, se dilatant encore, mais c'était vrai aussi pour la mienne. La verge de la brune est sortie deux ou trois fois, laissant voir à quel point Sophie était dilatée d'être envahie ainsi par cette queue, mais aussi d'excitation, on voyait bien en elle, aussi bien en largeur qu'en profondeur.
On est restés un moment comme ça avant d'évoluer vers autre chose. Sophie s'est redressée, dégagée, la brune a suivi le mouvement...Sophie s'est empalée sur moi après que j'aie enlevé le préservatif, souillé, et que je l'aie remplacé par un autre. Elle a bougé sur moi, comme elle avait bougé sur la brune, et c'était vraiment très bon, que cette caresse, la plus intime qui soit, et la plus puissante aussi. La brune avait dégagé le latex qui l'emprisonnait, et présentait sa verge à Sophie, qui la caressait de la langue et de la bouche, avec cette habileté dont elle était coutumière, issue à la fois de l'habitude et de son goût pour le sexe.
On a franchi un point de non-retour. On n'en pouvait plus. Un premier jet de sperme, copieux, est sorti de la queue dilatée, il est parti sur sa joue. Sophie a ouvert la bouche, dirigeant la verge vers cette cavité offerte. Le sperme a saturé son palais, qu'elle a fini par avaler, juste avant que je n'explose en elle, ma semence venant cogner contre les parois internes de son vagin, la faisant se tordre et jouir elle aussi. Elle a éjaculé elle aussi, autour de ma queue, expulsant des jets aussi blancs que du sperme, différents des coulures liquides et translucides qui étaient sorties d'elle avant.
On avait encore envie, et on s'est calés dans une autre position. Sophie a glissé à quatre pattes. Son envie de sexe, je le savais, je la connaissais bien, était inépuisable. J'étais en dessous, j'ai pénétré cette vulve que je connaissais déjà, tandis que la brune la sodomisait. J'avais souvent, et j'imaginais d'autres partenaires aussi, pris Sophie par le cul, elle adorait ça. Elle s'est retrouvée avec deux verges dans le ventre, et son visage exprimait une félicité sans bornes. Le Destin pouvait être positif, et elle n'avait certainement pas imaginé que ça puisse se passer ainsi en rentrant de stage. Mais je n'avais pas imaginé non plus que je passerais une soirée avec une fille, ni que celle-ci aurait une queue qui dépasserait largement, en érection, les vingt centimètres.

Version 3
On est sortis du bar. Il y avait deux cent mètres à faire pour arriver jusqu'à l'hôtel particulier reconverti en appartements.
A travers la ville, un peu partout, il y avait des bancs, installés par la mairie ou par des collectifs divers, soit même de simples particuliers.
Elle m'a attiré vers le banc, qui apparemment la séduisait. Il était pile devant l'hôtel particulier, mais sur sa droite sur une avancée goudronnée. Je me suis laissé faire. Je me suis posé sur le banc, elle à côté de moi. Elle est venue se pencher sur mon pantalon, et elle m'a défait en deux secondes, mettant à nu une queue qui était déjà très longue et très dure.
— Hé ben dis donc tu as une belle queue...Tu as envie de moi, ou tu es en manque?
Elle n'a pas attendu la réponse, et elle s'est mise à balader sa langue sur mon gland, s'enfonçant dans mon méat, avant de descendre le long de ma tige, jusqu'à mes couilles, puis remonter. C'était vraiment très bon. Il y avait un tel plaisir sur son visage que ça contribuait à mon plaisir à moi. Je n'avais pas répondu à sa question, mais c'était évident que les deux facteurs étaient imbriqués. L'envie d'elle, elle était plus qu'attirante, et la frustration.
— Moi aussi je suis frustrée...J'ai pas fait l'amour depuis quinze jours, elle a dit après avoir bien frotté mon gland avec sa langue et lapé mes liquides pré-sécrétifs. J'ai trop besoin de ça...Vivre sans plaisir, ça m'est impossible.
Ce qui était drôle, surprenant aussi sans doute, c'était que nous étions dans une zone d'ombre, et que des gens passaient, montant ou descendant, prenant le pont juste sur notre gauche, sans avoir conscience de notre présence, sans même nous jeter un regard. Ca tenait à l'obscurité, bien sûr, mais sans doute aussi au fait que les gens vivaient sans regarder autour d'eux.
— J'ai envie que tu me remplisses, là, maintenant. On continuera ailleurs.
Je n'ai rien opposé. Moi aussi, j'avais très envie. Rien ne se passe jamais comme on l'a prévu. Est-ce qu'on atteindrait l'appartement ? Ca je ne le savais pas encore...Pour le moment on était sur le banc, et on allait y rester encore plus, Elle a tiré une boite de préservatifs de son petit réticule, en a pris un avec lequel elle m'a gainé, et deux secondes plus tard, elle se calait au dessus de moi. Il y a eu ce moment où on se demande si les choses vont se faire, quand elle est descendue sur moi. Mais elle a fourré sans problème ma queue dans sa vulve, prenant totalement ma queue en elle, l'avalant jusqu'à ce que ses lèvres touchent mon pubis. Elle s'est mise à aller et venir sur moi, et sur son visage, c'est ce qui me troublait et m'a troublé le plus, même si le frottement de son sexe contre ma queue me mettait dans tous mes états, j'ai lu ce plaisir si fort, si absolu. Il n'y avait aucune comédie de sa part. Du plaisir et encore du plaisir.
Elle a bougé sur moi. Longtemps. Donnant l'impulsion, ou que je reprenne la main, l'attrapant par les hanches ou les fesses et la faisant bouger sur moi. On n'a pas pour autant joui. Elle a fini par pousser un long soupir.
— J'avais trop besoin de ça. Vivre sans sexe, c'est impossible.Viens, on va aller à l'intérieur si tu veux.
Ça a fait un bruit visqueux hyper excitant quand elle s'est arrachée à moi. Ma queue avait pris une importance qu'elle n'avait pas quelques minutes plus tôt, quand elle avait pénétré dans ses chairs les plus intimes...
On était dans l'escalier, pas encore rendus, je me suis demandé si on allait y arriver, quand elle m'a dit :
— Viens, là, j'ai envie comme ça.
Et sur le palier entre les deux volées de marches, elle s'est appuyée contre le mur, pliée en deux, et a relevé sa robe, tendant sa croupe vers moi et s'offrant autant qu'on peut s'offrir. Il y a des visions, des positions, auxquelles aucun homme ne résiste, et ça elle le savait bien. Sa croupe rebondie, et que sa position faisait encore plus rebondie, qui lui entrouvrait le sillon et laissait voir son anus, et cette moule qui s'était aussi dilatée que ma queue, nichée entre ses cuisses, dont pendaient des filaments de mouille, lèvres sorties, bien allongées et gonflées, muqueuse intérieure toute rose largement visible. La capote couvrait encore ma queue, et je me suis glissé en elle. Une autre position, un autre angle, d'autres sensations...On a encore eu du plaisir, mais un plaisir différent. J'ai bougé en elle, et elle a arrosé ma queue de ses jus de plus en plus abondants. J'ai cru qu'elle allait jouir mais on a pris un autre chemin. Elle avait sans doute conscience que ma queue était trempée, et que cela faciliterait la pénétration. Un autre type de pénétration, en tout cas. Celle qu'elle m'a proposé ou demandé, quand elle m'a dit:
— J'ai envie que tu me sodomises. J'adore ça. Tu te sens de le faire?
Je n'ai pas été tant surpris que ça de sa demande. Je la voyais bien sur cette tendance. Mais je n'étais pas réticent. Moi aussi, j'aimais prendre les filles par le cul. C'était un plaisir différent, mais très fort.
On était surexcités l'un comme l'autre. Remplis par l'envie et le plaisir. J'ai ramené mon gland contre sa muqueuse, et j'ai appuyé. C'était étroit, mais, sans surprise, je l'ai pénétrée avec facilité. Elle a gémi alors que je m'enfonçais dans le conduit étroit, avant de jouir, immédiatement, une première fois, lâchant un hurlement en même temps qu'un jet copieux de liquides vaginaux qui nous ont éclaboussés.
Elle est devenue une machine à orgasmes, chaque mouvement de ma queue en elle, ou presque, la faisant jouir, et éjaculer. Elle m'a finalement dit:
— J'en peux plus!
Je me suis dégagé d'elle, plus gros que jamais, mais sans avoir encore joui.
—Viens, on va continuer dans l'appart.
C'était une sorte de chemin de croix. Une étape, un moment de sexe. Mais en même temps, ça n'avait vraiment rien d'un chemin de croix. Du plaisir, et le bonheur d'avoir de plaisir.
La soirée s'annonçait belle.


Version 4
Dans la vie, rien ne se passe comme on l'a envisagé.
Et c'est sans doute tant mieux.
On était dans l'appartement, et très vite, sans surprise, le sexe avait pris le dessus. Elle était tombée à genoux devant moi et elle avait caressé longuement ma queue, de sa langue et de sa bouche, avant de basculer sur le divan et d'ouvrir les cuisses autant qu'elle le pouvait, en me disant:
— Je t'ai sucé la queue, à toi de me lécher la chatte.
J'ai plongé à ses pieds. Contrairement à d'autres, j'aimais les sexes de femme, les regarder, les admirer, les fouiller de la langue et des doigts, et j'aurais pu le faire pendant des heures. J'aimais tous les détails de ce sexe, comme ceux d'un autre sexe. Chaque chatte est unique, c'est ce qui fait leur charme, et qui donne envie à bien des hommes, dont je fais partie, d'en découvrir un maximum avant de mourir.
Bon, apparemment, je n'étais pas trop mauvais pour faire un cunni à une fille, parce qu'elle a totalement perdu les pédales, gémissant, visiblement et vraiment ailleurs.
— Monte sur le divan, j'ai envie que ta queue rentre en moi.
Ça avait été simple et classique. Je m'étais calé sur le divan et elle était venu s'empaler sur ma queue.
C'était à ce moment que Simon avait fait irruption.
Simon, je le connaissais bien.
Ma copine Sophie était partie en voyage. Elle était absente depuis trois semaines, de retour bientôt, et elle m'avait confié la clef de son appart, pour que je m'assure que tout allait bien.
L'appartement qu'elle venait de louer était situé dans un ancien hôtel particulier à la configuration spéciale. Il était situé dans un ancien et magnifique hôtel particulier qui avait appartenu à une famille riche. Celle-ci avait été au bout de sa richesse et de sa puissance. Il n'y avait plus d'héritier, en tout cas, on n'en avait pas retrouvé. En conséquence, il avait été racheté par un entrepreneur qui reprenait souvent, pour une bouchée de pain, des immeubles d'époque, les restaurait en respectant leur ADN, mais les subdivisait en appartements modernes, qu'il louait ensuite, les fonds récupérés lui permettaient de récupérer son investissement original, mais aussi de rebondir vers les suivants.
Deux appartements étaient déjà finis, les autres en voie d'achèvement.
Simon était électricien, et il venait souvent travailler hors heures régulières, pour avancer et finir. Il n'était même pas payé en heures sup, mais comme il le disait, 'j'aime le boulot bien fait et surtout fini.' Il changerait sans doute d'avis en avançant en âge...
On s'était en tout cas croisés, et on avait discuté et sympathisé.
Je m'étais cru seul sur les lieux avec la belle brune.
J'aurais pu me sentir gêné.
Au lieu de cela, une idée trouble m'a traversé.
— Dis-moi, j'ai dit à la belle, qu'est-ce que tu dirais si on faisait quelque chose avec une autre personne ?
Tout en continuant à aller et venir sur ma queue, elle m'a répondu:
— Ça m'est déjà arrivé plusieurs fois.
— Alors...
Dix secondes plus tard, Simon lui présentait une verge énorme, que la surprise, mais aussi la situation avaient durci vitesse grand V. J'avais laissé, il était vrai, la porte de l'appartement entrouverte, il était sans aucun doute passé, avait glissé un œil...Et, au lieu de s'éclipser, il s'était glissé dans l'appartement... Avec l'envie de voir mieux? De participer? Difficile de savoir. Il était en tout cas là, et la brune s'était mise à caresser sa queue de la langue sans hésitation, et avec un plaisir évident. Il s'est mis à ruisseler, ses liquides coulant de son méat, et sa queue s'est encore dilatée. Difficile de ne pas s'en rendre compte, elle était à trois centimètres de mes yeux.
On est restés sur ce schéma un moment, avant de basculer sur ce que j'avais vu, qui m'avait fait fantasmer, dans les pornos dont je me délectais depuis longtemps, mais que je n'avais jamais envisagé de vivre, ni même réellement souhaité vivre. Je ne sais d'ailleurs pas si on en serait arrivés là naturellement, mais c'est elle qui l'a suggéré:
— Je veux que vous me preniez tous les deux ensemble.
On s'est calés dans une première position, ça s'est fait tout naturellement, elle nous a guidés. Elle a attiré Simon sur le divan, l'a fait s'allonger. Sa verge était énorme. Elle l'a gainé rapidement d'un préservatif. Tout était déjà écrit. Elle s'est positionnée au-dessus du membre et elle s'est lentement empalée sur lui en gémissant. Si longue soit-elle, elle a avalé totalement sa queue.
Je suis venu me caler derrière elle. Dans cette position, ses fesses étaient encore plus charnues et rebondies. Surtout, elles étaient suffisamment ouvertes pour que je puisse rentrer en elle. Troublé et surexcité, j'ai appuyé mon gland contre sa muqueuse anale, et j'ai poussé. Je n'ai pas vraiment été surpris de rentrer aussi facilement.
Ce n'était pas la première fois que je sodomisais une fille, mais sans doute la première que je sodomisais une fille qui avait déjà une queue plantée en elle.
J'ai été très vite autant décontenancé qu'excité. Dès que j'ai été en elle quasi totalement, j'ai senti la verge de Simon. Et compris qu'il n'y avait qu'une fine peau entre anus et vagin, et que nos queues, en même temps qu'elle caresseraient la muqueuse qui l'enveloppait, frotteraient aussi la queue de l'autre, mais seraient également caressées par la queue de l'autre.
L'ensemble des facteurs rendaient la situation unique, hyper troublante, et le problème n'a pas été de monter vers la jouissance, mais plutôt de la retenir aussi longtemps que possible.
La délicatesse de la muqueuse, sa caresse délicate, la queue de l'autre qui bougeait, caressait la muqueuse mais aussi l'autre queue...Je ne sais pas comment on a fait pour tenir aussi longtemps qu'on a tenu. Et la belle brune était en plein trip...Elle se souviendrait de ce moment, sans aucun doute.
C'est lui, parce qu'il ne parvenait plus à tenir, qui a déclenché notre jouissance, à la brune et à moi. On a senti son sperme sortir, sa queue agitée par des spasmes, et la fille a crié, se tordant, éjaculant, comme moi quelques instants plus tard contre les parois de son vagin.
Il y a eu une parenthèse, on est sortis d'elle. Elle nous a dégagés de nos préservatifs. Nos queues n'avaient quasiment pas débandé. Elle nous a pris dans ses mains, nous a masturbés, nous faisant retrouver un peu plus de fermeté ainsi que deux ou trois centimètres, avant de nous rencapoter.
— Et si vous intervertissiez vos rôles?
On n'allait pas dire non. Tant que nos queues tiendraient.
Une soirée qu'on n'oublierait pas.

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