Amélie aime plaire à son homme. Elle est une jolie jeune femme brune au beau sourire et aux beaux petits seins. Ce matin, elle a décidé de revêtir une tenue de princesse de conte de fée. Son homme est aux premières loges...
Proposée le 18/11/2025 par Mysteriotic2
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Je ne peux pas me retenir plus longtemps. Il faut que je rejoigne Amélie. Quand elle est comme ça, c'est comme ça que j'aime la voir, que je veux la voir. C'est ELLE, la femme dont je suis amoureux, la femme qui m'excite.
J'ai le cul entre deux chaises. Une part de moi aime ce qu'elle voit. Qui n'apprécierait pas un spectacle tel que celui que cette femme est en train de produire ? Je souris. Je dois avoir l'air con. Je n'en ai rien à faire. Ça ne regarde que moi. J'ignore le temps qu'Amélie a passé pour se grimer ainsi en princesse de conte de fée. Et j'ignore quelle mouche l'a piquée. Ce que je sais, c'est qu'en ce moment même, coiffée de sa tiare, vêtue de sa robe, haute avec ses talons, Amélie est MA princesse.
Plus je mate Amélie, plus je sens mon sang descendre dans mon corps... et, limite, ne plus remonter. Amélie, elle, tournoie, pirouette, se dandine. C'est comme si elle faisait un défilé. Je connais par cœur les formes et les courbes de ma compagne. Je m'imagine sa poitrine, son ventre, son cul. Je bande de plus belle...
Je trouve un compromis. Je me laisse encore quelques instants, le temps de profiter du spectacle qu'Amélie m'offre. Je ne bouge pas. Je ne fais pas de bruit. Je ne voudrais pas rompre la magie du moment et gâcher le plaisir qu'Amélie prend alors qu'elle est dans la peau de la princesse.
La tenue est impeccable et elle va comme un gant à Amélie. Amélie est ma-gni-fi-que. Ça lui va bien. J'avoue que ça me fait quand même drôle de voir la femme que j'aime vêtue différemment de d'habitude. Ce n'est pas pour me déplaire, ceci dit. Je me tiens contre un mur. J'ai les bras croisés. J'ai le sourire aux lèvres. Je me régale. Je vois Amélie comme ça et je ne me fais pas prier pour continuer de la mater.
Si Amélie savait que je la dévore du regard en ce moment même... Elle pense qu'elle est seule. Du coup, elle fait ce qu'elle veut et comme elle l'entend. Elle pense que je ne suis pas à la maison. Elle pense que je suis sorti pour faire quelque chose, quelque part. Moi, pourtant, je m'apprête à la rejoindre. C'est une question de temps. C'est à pas de loup que je me dirige vers Amélie. J'essaie de faire le moins de bruit possible. Ce serait dommage de tout gâcher juste parce que j'aurais fait trop de bruit ou que j'aurais été trop pressé de la retrouver, ma compagne.
Je descends les escaliers qui relient la mezzanine de l'étage de la maison au rez-de-chaussée. J'ai momentanément fait de la mezzanine un poste d'observation idéal d'où je pouvais mater Amélie à ma guise.
Toujours à pas de loup, j'avance. Petit à petit, je me rapproche d'Amélie. Plus je me rapproche de ma compagne, plus je distingue des détails sur sa tenue. Amélie, elle, ne se lasse pas de son défilé. Elle captive son public. Son public, c'est moi.
Plus je me rapproche d'Amélie, plus j'ai le cœur qui bat à toute berzingue. Je brûle de poser mes mains sur ma compagne. Je m'imagine la sensation du tissu de sa robe au contact de mes doigts, lorsque je vais la touche. Dans quelques secondes, ce ne sera ni une envie, ni mon imagination. Je le ferai pour de vrai. Ce sera pour de vrai.
Seules quelques marches me séparent de la femme que j'aime, princesse d'un jour. Dans quelques secondes, je serai avec elle.
Je continue de me déplacer à pas de loup. Je reste muet comme une carpe. Je prends mon mal en patience. Force est d'admettre, par contre, que je ne peux pas empêcher mon cœur de battre comme un fou.
Là. Je viens d'atteindre le dernière marche des escaliers. Je fais pause une seconde. Je jette un regard sur ma princesse d'un jour. Je ne suis plus qu'à quelques pas d'elle. Comment se fait-il qu'elle n'ait rien remarqué depuis tout ce temps ? Remarquez... Ça m'arrange que rien n'ait attiré son attention. Ça me permet de la retrouver... et de lui faire la surprise. Car oui, elle ne sait pas que je suis là. La surprise sera totale, je pense, lorsqu'elle verra en fait que je suis près d'elle depuis tout ce temps. Je ne peux plus retenir mon impatience. Il faut que je touche Amélie, que je la sente toute contre moi. J'en ai... très envie. Bon d'accord... La dernière fois que mes mains étaient sur sa peau, la dernière fois que j'ai embrassé ses lèvres, ce n'était pas plus tard que... tout à l'heure, quand je l'ai prévenue que j'avais une course à faire mais que je n'en avais pas pour très longtemps.
Je ferme les yeux. Je savoure l'instant. Je vis le moment. C'est un nouveau moment que je m'apprête à passer avec Amélie. Je tends les bras et je les pose tout doucement sur la chute des reins de ma concubine.
J'entends Amélie qui émet un bruit, comme si elle sursautait. Je la sens se tendre alors que mes mains sont posées sur elle. Pourtant... J'ai voulu tout faire pour ne pas la brusquer. Bon d'accord... Je reconnais, avec le recul, que ça a de quoi faire sursauter, effectivement.
Le doute est de courte durée. Et tant mieux ! Une fois l'effet de surprise passé, Amélie modifie la posture de sa tête. Elle l'oriente vers l'arrière, un peu de côté, dans la direction de la mienne. C'est on-ne-peut-plus clair, pourquoi elle fait ça. Là. Son regard se plante dans le mien. Ses yeux sont braqués dans les miens. Je les vois, ses yeux. Sa tête se rapproche de la mienne. Sa bouche se rapproche de la mienne. Amélie a envie d'un baiser...
Ce sont les plus beaux moments d'un couple. En ce qui me concerne, je ne peux pas être plus heureux qu'en ce moment même. Amélie est là, dans mes bras. Nos lèvres sont unies par un baiser qui dure... et qui dure.
Les lèvres d'Amélie sont toutes douces. Ça me fait un je-ne-sais-quoi d'embrasser la femme qui me plaît plus que tout et que j'aime. Cette femme, c'est ELLE. Donner un baiser, recevoir un baiser... Ça procure beaucoup de plaisir. Et ne serait-ce juste qu'embrasser Amélie... J'en prends, du plaisir.
Amélie n'est pas la dernière non plus quand il s'agit d'embrasser l'homme qui lui plaît plus que tout et qu'elle aime. Cet homme, c'est MOI. Elle se donne à moi à travers ce baiser autant que je me donne à elle. Quand nous ne nous embrassons pas, l'envie me prend alors de plonger mon regard dans celui d'Amélie. Hormis son corps lui-même, ce qui a attiré mon attention chez elle, quand nous nous sommes rencontrés, ça a été ses yeux. Ma chérie a un regard, un minois... Oui. C'est simple: vous lui loueriez le bon dieu sans confession...
Je ne suis plus moi-même. J'aime ça, être aux côtés d'Amélie. La prendre dans mes bras... L'embrasser... Lui dire que c'est ELLE, la plus belle... Lui dire que je l'aime. Elle ne cesse de me plaire. Et je dois dire qu'elle ne cesse de me surprendre. Je suis sous son charme comme au premier jour. Là. Je ressens le besoin de l'avoir toute contre moi, de la serrer dans mes bras. Je l'aime si fort.
Les baisers s'enchaînent. Nous ne les comptons pas. Nous n'en avons pas besoin. Ce qui nous importe, c'est le plaisir qu'ils nous procurent, l'ardeur que l'on y met. Et j'en profite pas moins pour peloter Amélie.
Ce n'est pas pour déplaire à ma princesse... qui se laisse faire.
De fil en aiguille, mes mains se font plus baladeuses, plus aventureuses, plus... gourmandes. Je l'aime, la tenue de princesse que porte Amélie. Je me familiarise avec le tissu. Je me focalise sur ce que je ressens lorsque je touche cette matière. Au bout d'un moment, j'estime que c'est bien beau qu'Amélie porte cette robe blanche de princesse... Ça fait un moment que je la regarde, que je l'observe, que je la mate. Déjà que d'ordinaire, en toute circonstance, Amélie me donne facilement envie d'elle. Ce moment ne fait pas exception à la règle. De plus, je dois avouer que... ma compagne m'excite alors qu'elle porte cette robe. Je ne me lasse pas des lèvres d'Amélie. Dieu sait que j'aime l'embrasser. Dieu sait que j'aime Amélie.
Amélie et moi, nous continuons de nous embrasser. Nous n'avons pas l'intention de mettre un terme à nos baisers. Nous nous embrassons comme des fous, comme si nous revenions en adolescence, comme si nos vies en dépendaient. Moi ? Je pelote encore et toujours Amélie. Au contact de mes doigts, il y a le papier-cadeau de tissu qui couvre son corps et qui m'en prive de la vue. Une question me taraude, cependant. Amélie porte t-elle des sous-vêtements ? Est-elle nue sous sa robe ? Il n'y a qu'un moyen pour moi de le savoir...
Tout en restant doux, tout en faisant en sorte que mes gestes ne soient pas tout d'un coup brusques, je manipule mes doigts sur le bas de la robe de ma princesse de compagne. Toujours aussi délicatement, je fais un ourlet et je remonte le vêtement vers le haut.
Et là, surprise ! Lorsque je pose le bout de mes doigts sur le bas-ventre d'Amélie, je sens... de la peau. Des... poils. Ainsi donc... Ma chérie n'a ni daigné ni pris la peine de porter une culotte ou un quelconque sous-vêtement du genre ? Hmm... Intéressant. C'est tout sauf pour me déplaire. Ça me va très bien, même. Du coup, pas question pour moi de me priver du plaisir d'être plus... intime avec Amélie. Elle, ce n'est pas pour lui déplaire non plus. C'est sexy, comment nous sommes. Amélie est là et elle porte sa belle robe blanche de princesse. Moi, je me tiens derrière Amélie et, du bout des doigts, je touche sa peau dénudée. L'effet de surprise passé, je saisis la perche qu'Amélie me tend. Je dois dire que j'aime ce que je touche avec mes doigts. De la peau nue, des poils pubiens. Amélie l'aime, sa petite chatte velue. Elle veut la garder comme telle. Ça tombe bien car moi aussi, j'ai envie que son sexe reste au naturel. Et là, la sensation de mes doigts sur les poils est exquise. Ça m'excite...
Du bout des doigts, je caresse Amélie. Ce sont des petits cercles que je dessine sur sa peau. Ça lui fait de l'effet. Je l'entends...
Amélie ne sait déjà plus à quel saint se vouer. Les petits cercles que je réalise sur son minou lui font de l'effet. Elle est loin d'y être indifférente. Elle qui est coquine dans l'intimité et qui aime le plaisir... Elle est servie...
Amélie gémit. Quand elle fait l'amour, elle exprime le plaisir qu'elle a comme bon lui semble. Dès le début de notre relation, ça a été quelque chose que j'ai remarqué. Et depuis, à chaque fois que nous faisons l'amour, ça m'excite.
Ça a le don de décupler mes ardeurs. Amélie le sait parfaitement. Du coup... Ce n'est pas étonnant qu'elle soit comme elle est, quand j'y pense. Je m'explique. Son faible pour les tenues déguisées qu'elle choisit... Les poils de son pubis qu'elle refuse de raser... Les yeux coquins qu'elle a lorsqu'on est ensemble...
J'ai craqué pour Amélie dès que je l'ai rencontrée. Et voici où nous en sommes aujourd'hui. Elle porte une robe blanche de princesse et je la masturbe. Mais ce n'est pas assez pour moi, désormais. J'en veux plus. Et j'ai envie d'Amélie, tout entière. Je fais un mouvement de côté. J'abaisse l'une des bretelles de la robe pour dénuder l'un des seins d'Amélie. Ni une ni deux, j'en prends le téton dans ma bouche...
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