Nue, yeux bandés, j'attends mon Maître, Monsieur R, en nadu. Entre laisse, martinet et sexe brut, je suis sa chienne offerte, soumise à son plaisir et uniquement au sien
Proposée le 15/10/2025 par SoumiseA
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Je suis nue et seule. Comme demandé, je t’attends dans la pièce en position nadu. Mes cuisses tremblent déjà d’impatience et mes mains reposent bien à plat, offertes, comme tu l’exiges toujours. J’ai faim de toi Monsieur, une faim qui me dévore et me brûle de l’intérieur. Je me suis préparée comme tu l’aimes : le corps lavé, la peau douce, parfum discret qui ne masque pas mon odeur mais la sublime. Rien d’autre n’existe que ton regard sur moi, même quand tu n’es pas encore là. Je suis docile, offerte à toi et ta présence est ma délivrance.
Je pense à ce que tu me feras en entrant dans la pièce, à la façon dont tu me regarderas, dont tu me jaugeras comme ta possession. Les yeux bandés, je ne vois rien, mais mon imagination tourne à plein régime. Tu m’as dit que tu reviendrais, que tu ne voulais pas être dans la chambre mais dans le salon, alors je t’attends devant le canapé, comme si j’étais déjà à tes pieds, ton meuble vivant, ton jouet silencieux. J’ai noté ton heure d’arrivée, tu m’as prévenue à l’avance, et chaque seconde de ce compte à rebours a été une torture délicieuse. Je suis humide à chaque bruit de pas que j’entends dans l’immeuble, chaque craquement, chaque souffle du vent derrière la fenêtre.
Toi seul peut décider ce que je mérite. C’est ton regard et ta main qui me façonnent. Je suis ta possession, ta propriété, ton objet de chair. Tu peux faire de moi ce que tu veux, et moi, je ne veux rien d’autre que ça.
Je t’entends enfin arriver. La clé tourne, le battement sourd de la porte me fait sursauter, mon ventre se serre. Tu te mets devant moi, imposant, tu tiens ma laisse entre tes mains. J’entends le cliquetis du métal, puis le cuir qui glisse contre mes joues. Tu t’assois sur le canapé et tu me tournes vers toi sans un mot, ton silence plus fort que n’importe quel ordre. Je sais que tu n’attends qu’une chose : que je te suce, que je t’offre ma bouche sans limite. Je me penche, avide, comme si ma vie dépendait de ta jouissance.
Après quelques minutes, tu me retires brutalement, tu m’ordonnes de rester là, immobile, et tu quittes la pièce. Chaque pas que tu fais dans le couloir résonne dans ma poitrine. J’entends les bruits de la chambre, puis tu reviens. Tu as quelque chose dans les mains. Quand tu le passes sur mon corps, ma peau reconnaît aussitôt le cuir : un martinet. Le contact est froid, presque doux au début, mais je sais qu’il ne le restera pas. Tu t’assois de nouveau, me reprends par la nuque, et m’imposes de continuer à te sucer avec plus d’avidité encore. Ma gorge se tend, mes lèvres brûlent, et je deviens cette petite chienne en manque, ta salope personnelle, prête à tout.
Tu te redresses d’un geste ferme, attrapes ma laisse et m’emmènes dans ta chambre. Toujours les yeux bandés, je trébuche presque tant tu tires fort, mais je reste soumise. Tu me traites de sale chienne, ta voix résonne comme une claque. Tu me dis de monter sur le lit, à quatre pattes, mais interdiction de me coucher. L’attente me déchire. J’entends alors le bruit d’un préservatif qu’on déchire, sec et sans appel. Puis le claquement du martinet qui s’abat sur mon cul, le feu qui monte dans mes reins. Tu me baises fort, tu frappes le fond à chaque coup.
Et puis ta voix claque encore : « Je vais te prendre le cul comme la bonne petite chienne que tu es ». Tu m’encules sans répit, avec brutalité, avec cette force qui me fait perdre toute notion de temps. Tu ne me laisses aucun espace pour respirer, aucun répit, juste la douleur et le plaisir qui se mélangent jusqu’à brouiller mes pensées. Je retiens mes orgasmes comme tu l’as exigé, je suis suspendue à ta décision, à ta voix. Je suis à deux doigts d’exploser, mais j’attends, j’attends encore, les larmes aux yeux.
Quand enfin tu décides, ton ordre tombe comme une délivrance. Et je jouis violemment, comme si tout mon corps se brisait en milliers de fragments de plaisir.
Tu peux jouir, ou me laisser mariner encore, prolonger ma frustration. Tu sais que quoiqu’il arrive, je resterai à ma place, à tes pieds. Car je suis prête, Monsieur, entièrement prête. Tu peux faire de moi tout ce que tu veux.
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