La relation entre Candice, la chère lectrice rousse aux petits seins, et Benoit n'en finit plus de s'inscrire dans le temps et de se consolider. Leur amour est beau. Ils sont toujours autant sur la même longueur d'onde. Candice apprend une nouvelle qui marque un tournant dans leur relation...
Proposée le 11/08/2025 par Mysteriotic2
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Nos lèvres se séparent. Nous reprenons notre souffle. Nous nous remettons de nos émotions. En ce qui me concerne, je ne peux pas être plus heureux. Je me balade en ville avec la femme que j'aime. Nous sommes assis sur ce banc, au jardin municipal. Nous sommes amoureux. Nous partageons un moment agréable. Nous nous mangeons des yeux. Je marque un nouvel arrêt sur image et j'observe attentivement ma chère lectrice rousse aux petits seins.
Je me brûle de porter de nouveau ma bouche sur la sienne pour l'embrasser, Candice. Je ne sais pas ce qui me retient, ce qui m'en empêche. Oh et puis zut, quoi! Pourquoi réprimer ses envies? C'est inutile. Je ne me censurerai pas. Ça, c'est clair, net et précis. Je ne perds pas une seconde. J'embrasse ce fruit mûr que sont les lèvres fermes de la femme que j'aime. Ce moment que nous vivons ensemble ne peut pas être plus beau.
Je sens le souffle tiède de Candice lorsque je me retire de sa bouche afin de la laisser reprendre sa respiration. La respiration de Candice me berce et m'apaise. C'est quelque chose que j'aime écouter. Quand Candice dort, je suis tout ouïe. Et... Je suis attendri par le spectacle de ma chère lectrice rousse aux petits seins qui dort paisiblement. Tout ça combiné, ça fait que je suis fou d'elle. Bon d'accord. On n'aime pas une personne que pour ses qualités. Je le sais bien, ça. Toute personne a ses défauts. Personne n'est parfait. Ça se saurait si nous étions parfaits. Et comme toute personne, Candice ne l'est pas, parfaite. Soit. Mais je je l'aime aussi bien pour ses défauts que pour ses qualités. Et c'est avec elle que je veux vivre chaque jour jusqu'à ce que je rende l'âme. C'est évident que ce qui me plaît d'abord et avant tout chez Candice, c'est sa bonne humeur au quotidien. Elle a toujours cet état d'esprit qui fait que ce n'est pas possible de rester de marbre. Je mets du sel et du poivre, du sucre et du chocolat dans la vie de Candice. J'en suis fier.
- Un baiser, jolie rousse.
Candice lève les yeux au ciel. L'instant d'après, elle hausse les épaules. Bon d'accord... Je fais des miennes. C'est que j'ai envie d'un baiser, moi! Il faut me comprendre. La femme que j'aime vient d'apprendre qu'elle est enceinte. Elle est sur un petit nuage depuis que nous sommes sortis de la clinique où sa gynécologue exerce. Ni une, ni deux, elle a ressenti l'envie d'aller au jardin municipal. Pour quelle raison ? Bonne question. Ce que je sais ? Candice voulait reprendre ses esprits après l'annonce de sa grossesse. Je veux partager son bonheur. C'est aussi simple que ça. Mais là, c'est moi qui ai envie de quelque chose. Oui. J'ai envie d'un baiser. Je veux partager un moment unique, incomparable, hors du temps avec Candice.
- Benoit... Je suis enceinte. Tu me rends tellement heureuse. Tellement... Aaah...
J'ai les yeux rivés sur cette jolie rousse qui m'aime et que j'aime. Ils sont si forts, ces mots qu'elle vient de prononcer. Moi aussi, je suis tellement heureux. Tellement... C'est elle qui me rend heureux. Elle me fait fondre. C'est elle, ma princesse. Elle est ma seule et unique lectrice rousse aux petits seins.
- Je... crois savoir ce que tu veux, ce que tu t'apprêtes à me demander, Benoit. J'ai raison, n'est-ce pas ?
Je me contente d'acquiescer et de sourire à Candice. J'imagine à quel point mes yeux brillent, à quel point j'ai le sourire aux lèvres. Oui, je sais ce que je veux. Et quand Candice le devine sans même que je ne lui dise quoique ce soit, ça me... touche.
- Je te vois, Benoit. Tu as envie de m'embrasser, n'est-ce pas ? Me... mens pas !
Je ne dis rien. Je me contente de sourire à Candice. Je l'ai déjà entendu, le "Me... mens pas !"
C'est impossible que ça ne me dise rien. Et pour cause... Ça a été un soir, à Boulogne sur Mer, mon ancien chez-moi. Candice venait de faire la rencontre de Léonie, la jolie serveuse aux longs cheveux blonds. Elles ont fait connaissance, les deux nanas. De fil en aiguille, en faisant plus ample connaissance, elles se sont plu. De fil en aiguille, elles ont... coquiné. De ce que je sais, ça a marqué Candice à tout jamais, cette première fois entre filles. Et de fil en aiguille, je réalise à quel point Candice n'est plus la même.
Je ne réponds pas. Ou plutôt si, d'une certaine manière en fait. Je penche le visage et je l'oriente vers le joli minois de ma chère lectrice rousse aux petits seins. J'ai envie d'embrasser Candice. Rien ni personne ne m'empêchera. Je doute également que mon initiative déplaise à Candice. Elle me connaît à force, ma jolie rousse. J'ai beau ne pas remuer les lèvres... En réalité, ça ne veut rien dire quant à mes véritables intentions. Candice est la mieux placée pour le savoir, ça. Et là, ça ne fait pas exception à la règle. Je vais embrasser Candice. Je le veux. Ma chère lectrice rousse aux petits seins est heureuse. Elle a appris qu'elle est enceinte. Elle est radieuse. Elle a le sourire jusqu'aux dents. Elle ne le sait que trop bien... Je ne lui résiste pas. Alors, je ne perds pas plus de temps. J'embrasse Candice. Je ferme les yeux. Je me concerne sur ce baiser que je lui donne. Je me focalise sur ce que j'aime chez ma chère lectrice rousse aux petits seins, sur tous les moments que je passe avec elle. Il n'y a rien de tel que de penser à tout ça, quand on est avec la personne qu'on aime, pour être on-ne-peut-mieux.
Je ne contrôle pas mes pulsions. Je laisse mes désirs s'exprimer comme bon leur semble. Je me laisse guider par la passion. Après tout, c'est Candice qui me les inspire, ces effusions de torpeur. Je fais comprendre à Candice à quel point je l'aime. À quel point... elle me plaît.
Les papillons dans le ventre, je les ressens particulièrement. Il n'y a que Candice pour me procurer ces affolements du cœur. Je veux sentir encore un peu plus ses lèvres sur les miennes. Nous sommes deux. Nous ne faisons qu'un. J'aime tous ces moments que je vis avec ma chère lectrice rousse aux petits seins. Elle est ce que j'ai de plus beau. Elle est inestimable. Elle est la femme de ma vie. Elle porte désormais un enfant, fruit de nos amours. Ce sont les premières véritables secondes de sa grossesse. Ce sont des instants mémorables, des émotions incomparables. Je les partage avec Candice. Nous ne sommes pas dans notre chambre. Soit. Ce n'est que partie remise. Quand nous rentrerons à la maison, il y a de fortes chances pour que nous faisions l'amour. Je connais Candice. Quand elle est dans un jour optimal, il faut s'attendre à tout avec elle. Je suis bien placé pour le savoir, ça. Mais pour le moment, je vis pleinement l'instant.
Ce baiser que je donne à Candice me plaît. J'y exprime l'amour que je ressens pour ma chère lectrice rousse aux petits seins. En parlant d'elle... Je fais pause. Je veux la regarder les yeux dans les yeux. Je veux voir dans ses yeux comment elle se sent. Je sais qu'ils me diront ce que je veux savoir. Au jour d'aujourd'hui, quand j'y pense, je n'ai pas le souvenir d'avoir vu une seule fois le visage de Candice fermé, triste, inquiet ou encore en colère.
- Tu me mets dans tous mes états, Benoit. Je sais pas à quel saint me vouer. Et quand tu me prends dans tes bras, comme ça, je ne réponds plus de rien. Continue de me rendre heureuse, chéri. Reprends ton récit. S'il te plaît.
Je vais reprendre le fil de mon histoire. À l'instant-t, je sais qu'elle fait vibrer Candice, l'histoire.
Ce récit me fait vibrer, à moi aussi. Je me replonge dans le souvenir de ce matin-là. Je ferme les yeux. Je me concentre. Je tente de me réimprégner des sensations que j'ai pu ressentir.
Ça y est. Ça me revient comme si c'était hier. Ma chère lectrice rousse aux petits seins était particulièrement sexy. Ça, ça a été quelque chose qui m'a on-ne-peut-plus marqué. Elle avait le sourire aux lèvres. Elle portait une nuisette vaporeuse. Elle était radieuse. Et ce matin-là, elle ne m'a pas vendu du rêve. Quand elle m'a rejoint dans notre lit, mon cœur a eu des ratés. Comprenez-moi ! La plus belle femme du monde, à mes yeux, c'est Candice et ce matin-là, son sex-appeal était à tomber par terre. Elle m'aurait demandé n'importe quoi, je l'aurais fait. Quand on y pense, ça a été ce qu'il s'est passé.
La manger des yeux, me délecter de sa lingerie...
Être à son écoute, lui donner du plaisir...
Je suis fier d'être son compagnon.
C'est moi, l'homme qu'elle aime. L'homme de sa vie.
Car oui. Au jour d'aujourd'hui, il ne s'agit plus seulement de nous deux. Candice attend un enfant.
Tout est clair comme de l'eau. Je vais reprendre mon récit...
- Mon amour... C'est toi, la plus belle. Et ce matin-là, j'ai eu envie de toi. Ça a été aussi simple que ça.
- Continue, Benoit. T'arrêtes pas.
- Tu es sexy de nature, Candice. C'est quelque chose qui est inné, chez toi.
- C'est pour te donner envie de moi, Benoit.
Pour t'inspirer. Pour que tu me dises des choses qui... m'excitent...
Qui me fassent... mouiller.
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