Chère lectrice rousse aux petits seins : Candice enceinte (1ère partie )

La relation entre Candice, la chère lectrice rousse aux petits seins, et Benoit n'en finit plus de s'inscrire dans le temps et de se consolider. Leur amour est beau. Ils sont toujours autant sur la même longueur d'onde. Candice apprend une nouvelle qui marque un tournant dans leur relation...

Proposée le 11/08/2025 par Mysteriotic2

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

C'est comme si le temps venait de s'arrêter. Je serre la main de Candice. Je l'observe avec attention, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Je crois bien que c'est la première fois que je distingue cette émotion particulière dans son regard. Je presse encore un peu plus sa main. Je lui souris de plus belle, à Candice.

Candice est allongée. La gynécologue en a fini, de son examen. Elle annonce à ma jolie rousse qu'elle peut se rhabiller. Candice est inhabituellement silencieuse. Ça m'étonne, ça. Il faut que je sache. 

Quand elle apprend une bonne nouvelle, Candice, elle a le sourire aux lèvres et ça, ça me fait craquer. Elle a aussi tendance, Candice, à adopter un grain de voix particulièrement enjoué lorsqu'elle remue les lèvres.

Oui. Ce n'est pas normal, ce qu'il se passe. Il faut que je sache. Et pour ça, je sais comment faire. Je suis prêt à sortir un cinquième as de ma poche.



Je plonge mes yeux de plus belle dans ceux de Candice. Je renforce l'étreinte de ma main sur celle de ma chère lectrice rousse aux petits seins. Elle ne dit rien, Candice. Son regard, lui, en dit long sur ce qu'elle pense, en réalité.





C'est donc... vrai. Depuis quelques temps déjà, un petit être vit dans le ventre de Candice. C'est un rêve qui devient réalité à compter d'aujourd'hui, pour ma chère lectrice rousse aux petits seins. Ma jolie rousse se relève. Elle se rhabille, toujours en silence. Le temps d'un instant, Candice me regarde. Je ne sais pas comment définir le regard qu'elle m'adresse. Ce que je sais par contre, c'est ce que je vais faire. Ni une, ni deux, un sourire se dessine sur mes lèvres. J'adresse un clin d'oeil à Candice.





- Toi. Moi. Il ou Elle. Nous. À compter d'aujourd'hui, princesse.



Le silence de Candice disparaît, comme par magie. Mon sourire, mon clin d'oeil, les paroles que je viens de prononcer, je pense que ça vaut tout l'or du monde, aux yeux de Candice. Tout l'or du monde, à mes yeux, c'est Candice.



Quand on aime quelqu'un, ces moments-là, ça n'a pas de prix. C'est exactement ce que je ressens, à l'instant-t. Quand Candice me sourit, la journée ne peut être que belle. Ce sont de belles choses et pourtant, elles sont simples. Je les savoure à fond, ces belles choses simples.

Candice finit de se rhabiller. Elle continue de me regarder. Elle ne prononce toujours pas un mot, en revanche. À vrai dire... Elle ne se presse pas. Le temps s'écoule. Pour moi, ça n'a pas d'importance. Candice et moi, nous passons du temps ensemble. Je croque la vie à pleines dents, aux côtés de ma chère lectrice rousse aux petits seins.

Candice et moi, nous prenons congé de la gynécologue. Je tends la main à Candice. Ma chère lectrice rousse aux petits seins ne se fait pas prier pour s'en saisir. C'est ainsi que nous sortons de la salle d'examen où Candice vient de passer une échographie.

Nous nous rendons au secrétariat du service de gynécologie. Candice prend rendez-vous auprès de la secrétaire de la maternité.

Là.

Le rendez-vous est pris.



Nous sortons de la clinique.



- Mon amour...



C'est le moment que Candice choisit pour remuer les lèvres. Je suis tout ouïe. Car si ma chère lectrice rousse aux petits seins se décide de parler. Ce n'est pas pour ne rien dire. Je pense bien la connaître. Elle a quelque chose d'important à me dire. Ça me rappelle la deuxième fois où nous nous sommes vus. Comment oublier ces fameuses retrouvailles ? Ce n'est juste pas... possible, ça. Elle m'avait avoué qu'elle était tombée amoureuse de moi. C'était après que l'on ait fait l'amour. Oui. Comment l'oublier, ce moment ? Même pas en rêve.

Je plante mes yeux dans ceux de Candice. Je ne détourne pas le regard. Je suis prêt à entendre ce que ma jolie rousse a à me dire. 



- Tu fais de moi la femme la plus heureuse au monde, mystérieux. Et tu sais quoi?



Je la regarde, ma Candice. Je ne dis rien. Je reste tout ouïe.



- C'est un rêve qui devient réalité pour moi, grâce à toi, Benoit.



Sur ces paroles, Candice dépose délicatement ses lèvres sur les miennes.

Là.

Elle m'embrasse.



Ah... Les baisers de Candice sont des gourmandises, décidément. Je ne m'en lasse pas. J'y mets du mien, dans ce baiser.

Bien sûr, comme dans toute vie de couple, il y a des hauts et des bas. Le ciel n'est pas toujours bleu. La vie n'est pas toujours rose. Et la perfection n'existe pas. Ça se saurait. En ce qui me concerne, je suis heureux aux côtés de Candice. Ma chère lectrice rousse aux petits seins est tout ce dont j'ai besoin. Ça, c'est une certitude. C'est beaucoup pour moi.

Nous sortons de la clinique, main dans la main.

Nous nous regardons.

Nous nous sourions.

C'est de l'amour qu'il y a dans l'air, et non plus de l'électricité.

Je sais. J'ai l'habitude de dire à Candice que je ne suis plus le même homme depuis le jour où elle m'a écrit sur le site.

Sans l'accès d'audace de Candice, ma vie aurait suivi son cours tranquille.

Sans l'accès d'audace de Candice, jamais ça n'aurait donné lieu à notre rencontre.

Sans l'accès d'audace de Candice, je ne vivrais pas tout ce que je vis avec elle.

C'est aussi simple que ça.



Sans Candice, ma vie serait bien évidemment différente. J'ignore quelle saveur elle aurait, ma vie, si je n'avais pas répondu à celle qui est et qui reste, au jour d'aujourd'hui, ma chère lectrice rousse aux petits seins.

Oui. Je l'aime, Candice.





Je ne réalise pas. L'écran de contrôle, à la maternité, a révélé l'existence d'un petit être qui vit dans le ventre de Candice. La réalité me rattrape. C'est alors que je me prends une gifle. 

Candice attend un enfant.

NOTRE enfant.

Je vais devenir père.

Je passe par tous les états.





Plus l'information se répète dans mon cerveau, plus je ressens des frissons qui me prennent au corps et qui se diffusent dans mes entrailles. J'ai déjà ressenti cette sensation particulière. C'est étrange. Et pourtant, de mon point de vue, c'est tellement agréable. Quand je ressens ces frissons, je sais ce que ça signifie. Je suis bien. C'est aussi simple que ça. Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai ressenti ces frissons depuis que je connais Candice. Avant de faire sa rencontre, ça m'est arrivé de les ressentir, ces frissons. Néanmoins, d'aussi loin que je me souvienne, je ne crois pas les avoir ressentis à ce point. Au contact de Candice, ils sont particulièrement agréables, ces frissons.

Nous marchons dans la rue. Du fait qu'il fait froid, la tenue que Candice porte est ample. Ça la change. Elle qui aime les tenues légères parce qu'elle se sent libre dedans, j'avoue que ça me change, moi aussi. Elle n'en est pas moins belle. Oh... non. Je suis aussi amoureux de Candice qu'au premier jour. Il me tarde de voir son corps se métamorphoser. La maternité rendra Candice plus belle encore.



J'ai déjà eu l'occasion de voir Candice porter des vêtements amples, et pas qu'une fois. Ma chère lectrice rousse aux petits seins n'en est pas moins belle pour autant. Oh... que non. De toute façon, depuis que je l'ai rencontrée, Candice, je n'ai d'yeux que pour elle.



Je ne suis pas le moins du monde objectif quand il est question de Candice. C'est la première fois que j'ai une femme comme ça, dans la peau. Et à présent, elle fait de moi un tout autre homme. Dans quelques mois, nous deviendrons parents. De l'eau a coulé, depuis la première fois où nous nous sommes parlés. C'est une belle chose, l'amour, quand on y pense. Quand on est amoureux, l'être aimé est le centre de notre univers. C'est comme ça que je la vois, ma jolie rousse.

Il me tarde de rentrer à la maison. Dieu seul sait ce que nous ferons, Candice et moi, quand on franchira la porte d'entrée de notre nid d'amour. Connaissant ma chère lectrice rousse aux petits seins, je dois m'attendre à tout. Et surtout... à n'importe quoi. Déjà que je suis fou d'elle en temps ordinaire... C'est d'instinct : il ne me suffit d'un rien pour que Candice se matérialise dans mon esprit. Ça me fait... bander.

Imaginer Candice avec des formes plus... maternelles m'excite. Quand le ventre de ma chère lectrice rousse aux petits seins s'arrondira, je ne pourrai plus jamais détacher mon regard d'elle.



Même coiffée d'un bonnet, même vêtue d'un manteau ample, même les deux mains au chaud dans des gants, Candice est belle. Peu importe la météo, Candice reste... Candice. Je suis l'homme le plus heureux au monde. Vous savez pourquoi ? Parce que c'est moi, l'homme qui se promène main dans la main, dans la rue, avec Candice. Il fait froid ? Le ciel est gris ? Ce n'est pas ça qui va, comme ça, d'un claquement de doigts, gâcher notre journée. Lentement mais sûrement, nous nous remettons de nos émotions. Et pour ça, rien de mieux, pour deux personnes qui s'aiment, que de balader main dans la main.

En ce qui me concerne, je n'ai pas le souvenir d'avoir été aussi heureux aux côtés d'une femme. Candice a ce don bien à elle de rendre la vie plus savoureuse encore. Quand je la prends entre quatre yeux, j'aime me prendre dans la contemplation de son regard. Candice sait toujours ce qu'elle veut. Même si ça peut lui arriver d'appréhender quelque chose, elle finit toujours par se sentir comme un poisson, d'une manière ou d'une autre. Elle est comme ça, Candice.

Nous nous tenons la main. Nous ne nous soucions ni de la direction que nous prenons à travers la ville, ni de la destination de notre promenade. Le plus important, c'est nous, les moments qu'on passe ensemble. C'est une belle journée. C'est une journée à marquer d'une pierre blanche. Une journée dont on se souviendra jusqu'à ce que la mort nous sépare. Oui. Candice attend un enfant. NOTRE enfant. Je vais être père. Ni une, ni deux, sans même réfléchir, j'effectue une pression sur la main de ma jolie rousse. Du tac au tac, nos deux mains se serrent de plus belle. Malgré le froid, elles sont chaudes, nos deux mains.

Nous ne faisons qu'un. C'est décidément beau, l'amour. En ce qui me concerne, oui, c'est une belle journée. Il n'y a rien qui puisse la gâcher. Je savoure chaque instant que je passe avec Candice.



Peu importe notre sens de l'orientation à travers la ville, nous prenons du plaisir à nous promener, main dans la main. Ce sont des moments uniques. Qui plus est, il fait beau, et ce, en dépit du froid qui règne dehors. Nous sommes bien. Rentrer à la maison, ce n'est pas d'actualité. Rien ne peut gâcher notre bonheur. Moi, je suis là, main dans la main avec la femme que j'aime.

Candice me tient la main. Elle me sourit. C'est clair, net, précis, ça : le sourire lui va bien, à ma chère lectrice rousse aux petits seins. Quand elle me sourit, c'est tout aussi simple : je veux répondre à son sourire.

C'est ça. 

J'effectue une nouvelle pression sur la main de ma jolie rousse. Je lui adresse un sourire. À mes yeux, ça ne peut pas en dire plus long sur le bonheur que je ressens en ce moment même. Car non, ça ne peut pas être meilleur, ce que je suis en train de partager avec Candice. Ce sont tous les moments que nous vivons ensemble qui font que je suis l'homme que je suis, aujourd'hui. Répondre à Candice sur le site, c'est la meilleure décision que j'ai jamais prise. Candice fait de moi un homme heureux.



- Mon mystérieux... J'ai envie d'aller au jardin public. J'ai envie de trouver un banc et de m'y asseoir avec toi.





C'est tout Candice, typiquement Candice, ça, me prendre au dépourvu. Elle s'y prend si bien.

Nouvelle pression légère sur la main de Candice. Nouveau sourire. Si c'est ce dont ma chère lectrice rousse aux petits seins a envie, son vœu sera exaucé. Quelque chose me dit que... Candice me réserve une surprise. Quelque chose me dit aussi que... ce n'est pas pour me déplaire. 

Ni une, ni deux, nous prenons la direction du jardin secret. J'ai les paroles que ma jolie rousse vient de prononcer, dans un coin de ma tête. Ce genre de chose, chez moi, ça rentre par une oreille. Oui. Mais pas question, en revanche, que ça ressorte par l'autre.

Il ne nous faut pas beaucoup de temps pour arriver à destination. Étant donné qu'il fait un froid non négligeable dehors, c'est logique que les gens ont négligé le jardin public. J'ai envie de dire... Tant mieux pour nous, alors !

Nous trouvons rapidement un banc.

Nous y prenons place.





- Mon amour... Maintenant que nous sommes assis, maintenant que nous sommes... on-ne-peut-mieux, j'aimerais... que tu me racontes la fois où nous avons fait l'amour...



Candice s'interrompt. 

Elle n'a pas besoin d'en dire plus.

Je vois bien où elle veut en venir...

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