Certains arroseurs sont arrosés...Mais des ententes sont possibles, ce qui permet de continuer les affaires en les envisageant avec une nouvelle partenaire. Le sexe n'est pas absent de cette nouvelle association.
Proposée le 4/08/2025 par jerome james b
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Chantage
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
CADRE SUPERIEUR, VOITURE ET SEXE
PARTIE 3
L'immeuble de brique roses, large et haut avait été en d'autres temps une usine où l'on travaillait les peaux, avant de devenir quand son propriétaire avait pris la décision d'aller s'installer au Maroc une friche. Un magnifique bâtiment qui méritait un autre destin, et qui contrairement à d'autres, avait eu une seconde chance. Une magnifique nouvelle vie. Il avait été en effet racheté par un entrepreneur qui l'avait transformé en une série d'appartements.
L'un de ces appartements était occupé par Gabriel.
Quand l'homme se glissa à l'intérieur, il aperçut ce dernier installé devant un ordinateur. Sans doute occupé à consulter ses messages et à y répondre. Il savait tout de lui et donc qu'il était un gigolo. Gabriel savait tout de lui à l'inverse.
Ils étaient très proches, d'une proximité que lui, personnellement, n'avait jamais connue auparavant. Ce qu'il n'aurait pas imaginé possible au début de leur relation.
Une proximité qui les avait conduits sur ce chemin partagé et ce projet commun, dont ils faisaient en sorte qu'il puisse aboutir.
Gabriel releva la tête et son regard se mit à briller quand il aperçut son amant.
— Tu tombes bien, j'avais envie d'une queue.
L'homme était à quelques centimètres de lui. Il défit son pantalon pour mettre à nu une queue qu'il trouva déjà largement érigée. Entre eux, le désir était intense, fort, et immédiat.
L'homme gémit pendant que son partenaire baladait sa langue sur sa verge, avec habileté, le mettant, déjà dès les premières secondes en transe. Au bout de sa langue et de ses lèvres, la verge grossissait, s'allongeait, s'épaississait, prenant du volume, de la longueur et de l'épaisseur.
Assez ironiquement, Gabriel avait découvert sa bisexualité sur le tard. Un pote dont il était proche, ils étaient vraiment copains, on aurait pu parler de bromance, et puis un jour ça avait basculé. Il aurait pu être surpris, il ne s'était jamais posé la question auparavant d'une éventuelle attirance vers les hommes, il ne l'avait pas été. Ils étaient dans l'appartement du gars, à l'époque Gabriel faisait un BTS commerce avec lui, ils révisaient pour les épreuves. Il faisait chaud, une fin mai, Le gars, Jipé, était en short. Ils se posaient mutuellement des questions sur le programme, quand Gabriel s'était rendu compte que Jipé était en pleine érection, et que la partie supérieure de sa queue dépassait de son short. Il voyait un bout de queue et un gros gland décalotté, fendu en deux par un méat qui suintait.
Gabriel ne s'était même pas posé la question, de savoir si son copain avait envie, si le désir était orienté vers lui, ou plus simplement une simple réaction mécanique, en pensant peut-être à quelqu'un d'autre.
Dans tous les cas, s'il l'avait repoussé ça aurait été un message clair.
Il avait enveloppé ce tiers de queue de sa bouche, et il s'était mis à aller et venir dessus. Jipé avait gémi de plaisir. Il avait joui très vite, sans doute qu'il avait besoin de soulager, pas de sexe depuis longtemps, et Gabriel avait garé sa bouche serrée autour de la verge , savourant le goût de son sperme, qu'il avait laissé couler dans sa gorge.
Jipé lui avait pourtant enjoint:
— Garde-moi dans ta bouche et continue de me sucer. J'ai pas baisé depuis longtemps, j'ai envie de sexe, de sexe qui dure, et de jouir encore.
Et effectivement, bien qu'il ait craché son sperme, la queue dans sa bouche était encore parfaitement dure. C'était comme s'il n'avait pas joui. Sa queue regagnant même de la vigueur.
— On se met tête-bêche...
Ils s'étaient retrouvés à chacun bouffer la queue de l'autre. Un moment unique, un moment de volupté, intense, et Gabriel s'était dit, simplement: Comment j'ai pu passer à côté de ça!' N'allant pas plus loin que cet échange de fellation, avec le plaisir d'avoir une queue dans la bouche, de jouer avec elle de manière infinie, variant les caresses, de se sentir rempli, de donner du plaisir à l'autre, c'était aussi très fort, et de bouffer son sexe. Ils avaient joui plusieurs fois, jusqu'à l'épuisement.
Ca avait été une période particulière où les deux potes, devenus amants, avaient connu des moments hallucinatoires, partagés entre la volonté de réussir leurs examens, qu'ils avaient finalement eus, et l'obsession de prendre du plaisir ensemble. Gabriel se souvenait de tout, il avait une mémoire extrêmement précise de tous les rapports qu'il avait pu avoir avec ses partenaires, et il se rappelait bien de la première fois où son partenaire l'avait sodomisé. Ce plaisir d'une rare intensité, quand sa queue avait glissé en lui...Il avait joui dès les premières secondes, et encore joui à nouveau pendant que la queue glissait en lui. Un plaisir si intense que cette caresse, la plus intime et la plus forte qui soit. Son partenaire l'avait fouillé longtemps, et fait jouir encore, alors même qu'il n'y avait plus aucun sperme à tirer de ses couilles.
Il dégagea la queue de l'homme de sa bouche pour venir frotter le gland de la langue, un gland très dilaté, et qui suintait. Il savait que l'homme allait jouir, et qu'il avait envie de ça, jouir, ils ne s'étaient pas vus depuis quelques jours. Il referma ses lèvres sur le gland et vint appuyer sur le méat, poussant sa langue dedans. Le gars poussa un long gémissement et explosa.
Il n'y avait rien que Gabriel aimait plus que boire le sperme d'un homme, jusqu'à la dernière goutte.
Le plus précieux des nectars.
Ils avaient vraiment envie, l'un comme l'autre. Ils parleraient après.
L'homme se pencha sur lui et mit sa queue à nu. Une queue longue et épaisse, qui occupait bien ses pensées. Il le masturba doucement, heureux de l'avoir en main.
L'homme récupéra ensuite un préservatif dans sa poche, en gaina rapidement la queue de Gabriel. Puis il vint s'empaler sur lui, après avoir baissé son pantalon.
Du plaisir à l'état pur que de sentir cette queue glisser en lui. Un plaisir inépuisable. Qui expliquait peut-être, ou sans doute, leurs choix pour les mois à venir.
Leurs queues, comme c'était souvent le cas, avaient craché, dans un orgasme fort, leur sperme en même temps. Était-ce les jets de semence contre les chairs intimes de l'homme qui avaient provoqué son orgasme, ou avaient-ils joui au même point ? L'homme s'était tordu alors que les jets de semence, aussi copieux que puissants venaient taper contre ses parois internes, ultra-sensibles, sa queue, collée contre son ventre, ultra-dilatée, crachant des jets de semence en tous sens, les éclaboussant.
La queue encore plantée dans la muqueuse de son amant, Gabriel lui avait demandé :
— Alors ?
— Je suis passé la voir hier. Je vais attendre encore un peu. Qu'elle soit mure pour ma demande.
— Encore quelques temps, et on pourra partir s'installer en Thaïlande. Finie la vie de merde qu'on mène tous les deux.
— On a déjà un bon petit pactole. Les gens préfèrent payer plutôt que d'être pris dans les rets de la justice.
Gabriel et le policier s'étaient connus il y avait quelques mois de cela. Et pour une affaire qui n'avait rien à voir avec la prostitution. Il attendait, à son lieu favori, l'abri de bus, une cliente quand l'incident s'était produit. Il avait vu une voiture arriver au bout de l'avenue, après avoir pris un virage sur les chapeaux de roue, véhicule basculé, tenant sur deux roues, avant de finalement rattraper l'asphalte. La voiture s'était engagé plein pot, et Gabriel avait eu l'intuition que le conducteur allait en perdre le contrôle. Sortir de l'abri et se réfugier plus loin et en arrière lui avait sans doute sauvé la vie. En effet, le conducteur avait perdu le contrôle, percutant de plein fouet l'abri et le faisant littéralement exploser, avant de partir à l'opposé et de s'encastrer dans un réverbère. La voiture avait pris feu immédiatement. Gabriel avait eu un réflexe qui avait sans doute sauvé la vie du conducteur, se précipitant pour le sortir du véhicule et l'amener plus loin. Il était évanoui, et sans doute pas en très bon état, avec du sang sur ses vêtements, le visage déchiré, mais il fallait absolument le bouger. Le véhicule avait explosé quelques secondes plus tard, projetant une gerbe de feu dans les airs, et des débris de métal partout. Par chance, Gabriel l'avait tiré derrière un plot.
C'était comme ça qu'il avait fait la connaissance de celui qui devait devenir son amant. Il était en charge de l'affaire. Il l'avait félicité, lui avait dit qu'il avait été héroïque. Et quelque chose était sans doute passé entre eux. On avait pris ses coordonnées, et il avait rappelé Gabriel pour évoquer une éventuelle récompense, une médaille de la ville. Gabriel avait tout refusé en bloc. Il ne voulait pas attirer l'attention sur lui et ses activités de prostitution. Le policier ne lui avait heureusement pas demandé pourquoi il était là.
Il avait par contre accepté l'invitation du flic à boire un verre. Ils avaient passé la nuit ensemble, et s'étaient revus. Leur relation s'était imposée comme une évidence. Une proximité qui avait fait qu'ils s'étaient révélés l'un à l'autre. Gabriel avait dit qu'il vendait ses charmes, le flic sa lassitude d'un métier ultra difficile. Ils avaient conçu de partir ensemble dans un autre pays. Pensé à la Thailande après quelques week-ends passés là-bas.
Il leur fallait de l'argent, s'ils voulaient y passer le reste de leurs jours.
Ca avait été Gabriel qui avait eu l'idée.
Il recueillait des informations sur ses clients, même sans le vouloir. Informations qui pouvaient éventuellement donner lieu à un chantage. Son amant entrait en scène. Rares étaient ceux qui disaient:
— Non, vous pouvez balancer les informations.
Et ça faisait une belle somme à mettre sur leur compte.
— Je vais retourner la voir dans une semaine. Je lui proposerai de me verser une somme en échange de mon silence. Et de l'annulation des amendes.
Et puis tout avait basculé.
Ca avait été le léger vrombissement qui avait fait que Gabriel s'était tourné vers la fenêtre.
Il avait aperçu le drone qui était pile face à la baie, et qui, il le comprit tout de suite, filmait et enregistrait. Et sans doute depuis un bon moment.
Et puis la femme avait fait son apparition, dans l'encadrement de la porte de l'appartement, qui n'était pas fermée.
Sa cliente la plus récente.
Celle qui était victime de leur dernier chantage.
Voyant la vitesse avec laquelle elle avait redémarré, il avait suggéré à son amant de faire une petite enquête.
Les enregistrements de la vidéo-surveillance de la ville avaient été révélateurs.
Elle était magnifique, et Gabriel s'était dit que s'il avait pas été en pleine érection, fiché dans l'anus de son amant, sans doute que la voir l'aurait fait aussi dur, de désir. Une silhouette transcendée par une robe noire courte et moulante et des cuissardes.
— Ce que j'aurai filmé et enregistré suffira je pense pour interrompre ce que vous aviez l'intention de mettre en place, non? Je crois que c'est un beau cas de chantage, et que vous risqueriez très chers l'un comme l'autre si jamais ça se savait, non? J'ai idée que vous passeriez un certain temps en prison.
Les deux hommes ne répondirent rien.
— Mais je pense que vous pouvez quand même avoir un prix de consolation.
Ni l'un ni l'autre ne s'attendaient à ça.
Elle s'approcha et se pencha sur la queue du flic qui avait légèrement débandé pour la caresser de la langue, avant de faire aller et venir sa bouche dessus. L'homme fut surpris, mais il ne la repoussa pas, et sa queue retrouva une belle prestance.
La belle MILF roula sa robe à sa taille. Vu qu'elle était très courte, il n'y eut pas grand chose à faire. Dessous, elle n'avait pas de slip, le ventre offert au-dessus de bas stay-up et un sexe qui disait clairement que la situation l'excitait, ouvert, lèvres gonflées, chairs mouillées. Elle était venue se placer au dessus de la queue du policier, lui présentant son dos, avait attrapé la verge roide, et l'avait guidée vers sa vulve, en se laissant descendre. Les deux hommes étaient bisexuels et ils aimaient autant l'un que l'autre les femmes.
Le gland du flic avait glissé entre ses lèvres. Il n'y avait plus qu'à prolonger, et la femme constamment en manque s'était empalée, se remplissant de la verge jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus rentrer un centimètre.
La queue de Gabriel était toujours dans le fondement du flic, et ils s'étaient mis à bouger en harmonie, le flic allant et venant dans la vulve d'Anne-Sophie, dans un même mouvement Gabriel fouillait son rectum.
Ils étaient tous les trois très excités, et pourtant ils s'efforçaient de tenir au maximum, et de ne pas jouir tout de suite, caressés par la chair de l'autre. Excités parce que les deux hommes avaient envie l'un de l'autre et de sexe, mais aussi parce qu'ils avaient envie de la femme, qui les troublait. Vraiment sensuelle comme seules pouvaient l'être les MILFS qui maîtrisaient leur corps et leur sexualité, mais aussi avec cette atmosphère de menace et de danger. Il y avait dans tout cela quelque chose qui les rapprochait et une étrange complicité.
Il y eut une cassure, ils sortirent totalement du temps, leur plaisir se prolongeant. Quand elle sentit que le flic allait jouir, elle retira sa queue de sa vulve, et elle colla la queue contre son ventre. Les jets de sperme furent si puissants qu'ils lui montèrent jusqu'au visage, et si copieux qu'ils souillérent sa robe, mais elle s'en fichait. Elle avait de quoi se changer dans la voiture, et puis elle pourrait se branler en reniflant le tissu. Gabriel, lui, avait joui dans le fondement de son amant.
Le ventre encore à l'air, Anne-Sophie dit:
— J'ai une proposition à vous faire.
Les deux hommes la fixaient avec intensité. Pensant la même chose. Elle serait la partenaire parfaite, le complément pour leurs jeux homosexuels. Une nouvelle dimension.
— On a chacun une expertise. Les arnaques, vous les montiez à deux. On pourrait les monter à trois. Un gâteau, ça se partage à deux, mais aussi à trois, qu'est-ce que vous en dites?
Les promesses étaient bien trop alléchantes, que ce soit pour le sexe ou les arnaques, pour qu'ils disent non.
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