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Cadre supérieur, voiture et sexe partie 2

Anne-Sophie a des soucis...Elle fantasme sur sa secrétaire Julie, dont les charmes la tourneboulent depuis trop longtemps et un policier vient lui faire savoir qu'elle a été repérée violant allégrement les limites de vitesse la nuit.

Proposée le 4/08/2025 par jerome james b

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Thème: Chantage
Personnages: FF
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


PARTIE 2
CADRE SUPERIEUR, VOITURE ET SEXE partie 2

2
— Madame, il y a quelqu'un qui veut vous voir.
Anne-Sophie releva les yeux.
Juste devant elle se trouvait sa petite secrétaire, Julie. 22 ans. Le quotient intellectuel d'une huître, mais un corps à damner un saint, qu'elle dévoilait plus que généreusement. Habillée, elle était plus nue que si elle avait été nue. Elle avait quelques kilos en trop, mais surtout des formes hypertrophiées, qu'elle n'aurait sans doute pas eu sans ces kilos en trop, Des seins, des fesses, des hanches, des cuisses, une grosse chatte...Soulignés par des tenues qui s'accrochaient péniblement à elle, avec un problème de taille...Ne trouvait-elle pas des vêtements à sa taille, ou bien pensait-elle qu'ils lui allaient parfaitement? Il y avait encore une option, c'était qu'elle soit dans une stratégie de séduction...
Si c'était le cas, elle y réussissait parfaitement.
Anne-Sophie avait beau essayer de se maîtriser, quand elle la voyait, c'était toujours la même chose. La même envie et les mêmes symptômes. Il y avait mille choses qu'elle aurait pu faire avec elle...Mais elle ne faisait rien. La ventre en feu, elle sentait son sexe s'ouvrir et couler, et elle trempait généreusement sa culotte ou le fond de son collant. Quand elle se branlait, seule, elle avait souvent ces images qui lui tournaient dans la tête. Les seins de Julie révélés par une veste de tailleur, sous laquelle elle avait un soutien-gorge dont la face couvrait péniblement un tiers de son sein, un pantalon qui collait à sa moule, en dessinant si précisément le dessin qu'on voyait même les lèvres, sorties et étalées. Julie ne mettait quasiment jamais de culotte, sous un collant, ou même sans collant. Elle ne devait jamais acheter d'ensemble, juste un soutien-gorge. Julie assise devant elle, les cuisses ouvertes, avec une micro-jupe qui était remontée quand elle s'était assise, Julie pliée en deux au dessus de la grande table de réunion, examinant un document, une autre micro-jupe remontant et dévoilant les deux tiers de ses fesses et sa moule, nichée entre ses cuisses...Anne-Sophie, la bouche sèche, aurait aimé fouiller son intimité. Elle avait cette croupe bien charnue, mais en même temps, très rebondie, avec ce sillon profond au milieu, et cette moule exacerbée, avec ces lèvres dont on aurait dit qu'elles n'étaient pas capables de rester à l'intérieur, qui ne demandaient, déjà épaisses, qu'à grossir et s'allonger, et puis ce gland clitoridien qui pointait, en haut de ses lèvres, au repos, mais déjà gros, tout à fait obscène...
Comment ne pas avoir envie?
Anne-Sophie avait mille envies, qui se dessinaient en mille fantasmes, mais pour le moment, rien ne s'était encore matérialisé. C'était qu'aujourd'hui, le monde du travail était compliqué. Elle craignait qu'une avance ne déclenche une plainte. Et puis c'était la fille du président du conseil départemental, alors ça n'arrangeait pas les choses.
Pourtant Anne-Sophie était convaincu que Julie avait le feu au cul et qu'elles pourraient avoir, toutes les deux, des rapports dans lesquels l'envie aurait toute sa place, mais pas les tabous. Qu'elle pourrait mettre sa langue, ses doigts et des godes partout, que la jeune femme ne refuserait rien, et qu'elle serait très imaginative.
Deux jours plus tôt, alors que Julie étalait des dossiers sur la table de réunion, elle avait failli se lever et s'approcher d'elle. L'envie et la frustration étaient de plus en plus forts au fil des semaines. Elle redoutait d'atteindre le point de non-retour et de faire un bêtise.Elle imaginait très bien la jeune femme s'enfuir du bureau en hurlant 'Elle m'a agressée !!!!'...
Donc, ce jour-là, Julie étalait sur la table des dossiers pour une réunion à venir, et sa micro-jupe bleue plissée était remontée très haut, dévoilant les 80 pour cent d'un cul, sans culotte, comme d'habitude. Une fois, elle avait même failli lui dire : 'Julie, ça vous emmerderait de mettre un slip'...Vous pertubez tout le staff, moi la première...' mais elle n'avait rien dit, au final, parce qu'elle avait pensé qu'elle mettrait effectivement un slip, et si cela lui supprimait une source de tourment, cela lui enlèverait AUSSI une source de plaisir.
Son cul était tendu vers elle, plus charnu, plus fendu en deux que jamais, avec sa grosse moule entrouverte entre ses cuisses. Deux bons bouts de lèvre en sortaient, tout étirés. Elle avait souvent vu la chatte de la jeune femme. Elle n'avait jamais le même aspect. C'était sans doute vrai pour toutes les chattes...Elles évoluaient selon l'occasion...
Un double d'elle-même s'était levé, avait posé ses mains pile sur la croupe de la jeune femme, les posant en plein, et englobant autant qu'il était possible la chair, sans pour autant vu leur volume, en envelopper la totalité. Elle les aurait caressées longtemps, s'enivrant de la douceur de leur peau. Puis elle aurait appuyé dessus pour les ouvrir, et elle aurait baladé sa langue dans son sillon. Elle savait bien que c'était une zone particulièrement sensible, et sans doute qu'à ce moment-là, Julie se serait mise à gémir.
Elle aurait fait aller et venir sa langue avant de se concentrer sur le point le plus sensible, et le plus susceptible de lui donner du plaisir : sa muqueuse anale, qu'elle travaillerait de la pointe de la langue. Elle était souple, et elle la sentirait s'entrouvrir. Difficile d'aller plus loin pour le moment, mais dans l'intimité, elle aurait aimé la pénétrer avec sa langue, son doigt, et un gode ajusté autour de ses hanches.
Dans ce scénario, ça n'aurait été que partie remise.
Et ensuite, elle descendait sur la vulve de la jeune femme. Toute gonflée, ouverte, laissant couler les liquides intimes de la jeune femme, qui trempaient ses lèvres, au repos quelques minutes plus tôt, à présent toutes dilatées. Se gorger de sang avait allongé et épaissi les muqueuses, le long desquelles ruisselait un jus huileux qui partait ensuite entre ses cuisses et le sol.
Ne se maîtrisant plus, folle de désir, Anne-Sophie laisserait libre cours à ses envies. Commençant par venir se balader sur les surfaces postérieures et antérieures des lèvres, faisant gémir la femme en même temps qu'elle buvait le liquide intime de la jeune femme, savourant le goût de ses sécrétions. Elle aimait le goût amer des sécrétions d'une fille, modulé par ce qu'elle avait pu consommer.
Julie gémissait, offerte et submergée par le plaisir.
Anne-Sophie aventurait sa langue en elle, poussant aussi loin qu'elle le pouvait, frottant la muqueuse interne, et buvant les liquides qui dévalaient dans le couloir de son sexe, entre ces parois qu'elle avait envie de boire jusqu'à la dernière goutte.
Julie avait perdu le contrôle. Sans doute que dans un autre lieu, elle aurait hurlé.
Les images s'effacèrent.
Non, Julie n'était pas encore à elle.
Il faudrait même, sans doute, un miracle pour que quelque chose se passe.
Elle ne sentait pas en elle la moindre envie. Elle cherchait désespérément un indice.
Peut-être aurait-il fallu faire une tentative. Une bonne main aux fesses par exemple. Elle aurait vu sa réaction, et elle aurait su, dans un sens comme dans l'autre.
— Je n'ai pas rendez-vous à ce moment précis. Il faut absolument que je revoie le budget qu'on vient de me transmettre.
— Il m'a dit d'insister.
— Vous pouvez me dire qui c'est?
Un homme est apparu dans l'encadrement de la porte. Très grand, avec une silhouette qui disait qu'il faisait du sport, beaucoup de sport, et une belle gueule. Décidément, elle allait traverser l'après-midi avec la culotte trempée.
— Je suis officier de police, et j'ai besoin de vous parler.
Difficile, à cette étape, de dire non.
Anne-Sophie regarda sa jeune secrétaire s'éloigner, ses hanches et ses fesses dansant sous ses yeux, avec, comme à chaque fois, une immense pointe de regret. Et elle se concentra sur son interlocuteur.
— Vous pouvez rentrer, monsieur.
La venue d'un officier de police, elle en était consciente, n'augurait rien de bon. La dernière fois que ça avait été le cas, cela concernait un employé de la mairie impliqué dans une affaire de vente de drogue.
L'homme s'installa face à elle. Anne-Sophie se rendait bien compte qu'elle n'était vraiment pas insensible à son charme. Le dernier officier de police qu'elle avait eu face à elle était petit, avec un net surpoids. Vraiment rien à voir...Ces derniers temps, elle pensait trop au sexe...Qu'est-ce qui la prenait? Un début de quarantaine qui lui rappelait que jusqu'à présent toutes ses relations avaient été foireuses? Quel que soit le partenaire...Mais ce qui remontait aussi, c'était que la vie passait, et qu'il fallait profiter maintenant, maintenant qu'elle pouvait encore séduire, qu'elle pouvait encore avoir du plaisir, avant qu'il ne soit trop tard. Tout cela sans doute.
— Je souhaitais vous rencontrer...Je sais que vous êtes la directrice des services de cette municipalité, et il y a plusieurs points qui posent problème.
— Vous vous êtes adressé au maire avant? Je ne suis qu'une employée.
— Employée au plus haut niveau, madame.
Ce fut à son ton qu'elle perçut, pour la première fois quelque chose de lourd. Un poids. Qui pesait non pas sur les employés, mais sur elle.
— Je me suis effectivement adressé au maire. Qui m'a donné son aval pour que je vous rencontre.
Je vais essayer de vous expliquer aussi clairement que possible. Cela fait plusieurs semaines qu'un véhicule noir, une Mercedes dont je pourrais vous donner l'immatriculation puisque à partir des caméras de surveillance on a pu isoler celui-ci fait des excès de vitesse dans la périphérie de la ville. Il y a toujours des jeunes qui font du rodéo la nuit, mais là, c'est quelque chose de fréquent...Alors bien sûr, on a identifié le véhicule, c'est un véhicule qui fait partie du parc de la mairie. Je viens de me rendre sur le parking et je l'ai clairement identifié.
— Difficile de savoir qui a pu m'emprunter de nuit. Quelqu'un de la mairie, bien sûr, mais ce peut être n'importe qui.
--Je n'en doute pas. Bien sûr, c'est une Mercedes, donc réservée aux cadres, mais j'imagine très bien qu'elle puisse avoir été empruntée par quelqu'un de plus bas qui avait envie de faire une virée.
Anne-Sophie avait la certitude à présent qu'il savait, et qu'il jouait au chat et à la souris avec elle.
--Les caméras de surveillance ont pu identifier la personne qui conduisait?
— Vous savez les caméras de surveillance ont leurs limites.
Il fit une pause, et elle comprit qu'autre chose arrivait.
— Je me suis dit que cette personne qui aimait conduire vite pouvait AUSSI se manifester en centre ville. Et donc, avec une commission rogatoire, j'ai regardé les enregistrements vidéo de la ville proprement dite. Vous allez me dire ce que vous en pensez.
Il sortit un portable d'une sacoche et fit quelques manœuvres avant de caler l'écran devant elle, sur le bord de la table. Il n'y avait pas tout, juste deux morceaux explicites. Le premier, une Mercedes arrêtée le long d'une avenue, une femme qui faisait une fellation à un homme appuyé contre la portière. Le deuxième, c'était une femme, apparemment la même qui se faisait monter et descendre sur une queue dans une voiture. Sur un parking.
— C'est la même voiture?
— L'immatriculation est parfaitement lisible.
Anne-Sophie était partagée entre deux sentiments. Elle se sentait prise au piège, mais, en même temps, elle se disait qu'elle avait toutes ses chances. Il y avait quelque chose qui pouvait la sauver: Les caméras de surveillance étaient perchées haut, et, même en zoomant, même en nettoyant l'image, l'image restait imprécise. De la sorte, difficile d'assurer avec certitude que c'était elle.
— Vous reconnaissez quelqu'un?
Il savait parfaitement que c'était elle. Mais il jouait au chat et à la souris avec elle. Que voulait-il? Des aveux? Il n'en aurait pas.
— Absolument pas.
— Vous savez, la mairie emploie plus de trois cent personnes, à des postes divers...Difficile à dire. Je peux faire une enquête, si vous le souhaitez.
Il sourit.
--Roulez à une telle vitesse, c'est très dangereux. Il peut y avoir un accident. Un innocent tué.
Il extirpa d'une poche du sac pour ordinateur une liasse de papiers.
--C'est une copie des amendes que la mairie a du recevoir. Elles viennent d'être majorées pour non-paiement.
Là elle fut décontenancée. Ça, elle n'en avait jamais entendu parler. Il fallait dire que la mairie était grande.
— Il faudra que quelqu'un paye. Il y en a pour plus de 6000 euros.
Si elle était formellement identifiée, elle risquait d'avoir des ennuis. Pas seulement devoir payer la somme, mais surtout être virée. Mais elle n'était pas la seule à utiliser le véhicule, et quand elle le prenait il n'y avait plus personne à la mairie. En plus, il n'y avait pas, elle le savait, de caméra de surveillance, sur le parking des véhicules municipaux, ni même alentour.
— Vous êtes venu me voir pour quoi précisément?
— Une mise au point. Certaines choses doivent cesser. Et bien sûr les amendes doivent être payées.
— Est-ce qu'il serait possible que...Qu'on trouve un accord?
Il lui jeta un regard froid.
— Je suis un homme honnête.
— Vous savez l’honnêteté...On peut être honnête tout en acceptant certains arrangements.
— Vous pensez à quoi?
Elle se leva, contourna le bureau et se planta devant lui.
Elle portait une belle robe, un tissu souple avec des motifs floraux. Une robe, qui soulignait nettement son corps. Sans hésiter, elle se pencha et elle en attrapa l'ourlet, qui arrivait à mi-cuisses, et elle commença de remonter le tissu le long de son corps. Se dévoilant en faisant bien durer. Dessous, elle avait le nylon de bas stay-up et rien d'autre. Entièrement nue. Et elle savait que son corps était appétissant.
L'homme ne la lâcha pas une seconde du regard, et elle se dit que ça y était. Décidément, les hommes, on les manipulait facilement.
Le tissu arriva à ses épaules. Elle se retourna pour lui présenter sa partie postérieure. Si avec ça, elle ne le convainquait pas.
Elle se retourna.
Son regard était devenu froid.
— Je ne suis pas intéressé. Je vous recontacterai.
Il replia l'ordinateur, se leva, et disparut.
Totalement perturbée, Anne-Sophie ne pensa même pas à rabaisser sa robe.
Ce fut à ce moment que Julie pénétra dans le bureau.
Assez ironiquement, alors même qu'elle avait conscience qu'elle allait perdre son emploi au vu de ce qui s'était passé, se produisit enfin ce qu'elle n'espérait plus.
Au regard que lui jeta la jeune femme, elle comprit qu'elle avait vraiment eu tort d'hésiter. Fi de la neutralité, il y eut dans les yeux de la secrétaire tout le désir du monde.
Ca se passa très vite. La jeune femme s'avança vers elle, déterminée, et sans la moindre hésitation. A postériori aussi, Anne-Sophie se dit que ça aurait du se passer à l'inverse. Que ça aurait du être à elle d'agir et pas l'inverse, à la fois parce qu'elle était la plus âgée et la plus haute dans la hiérarchie. Mais elle se rendait parfaitement compte à présent qu'il y avait chez Julie la même envie et la même frustration. Deux envies qui avaient suivi, sans le savoir, des chemins parallèles...Jusqu'à l'explosion du désir.
Anne-Sophie ne fit rien lorsque la jeune femme s'approcha d'elle, et vint prendre sa bouche, dans un baiser vorace, glissant sa langue à la rencontre de la sienne, en même temps qu'elle prenait ses fesses à pleines mains.
Anne-Sophie n'avait pas imaginé que ça se passerait comme ça, elle voyait un schéma inverse, Mais c'était ce qui faisait le charme du sexe, et au-delà, des relations, et de la vie tout simplement: rien ne se passait comme on pouvait le prévoir.
C'était elle qui la guiderait.
Julie se détacha des lèvres de la MILF, et, la tenant toujours par les fesses, elle la fit glisser sur la table de travail, heureusement lisse, avec juste un portable dans le coin qui ne gêna en rien. Anne-Sophie ouvrit instinctivement les cuisses, offrant son sexe à Julie. Elle avait tellement rêvé ce moment—et plein d'autres...Que Julie prenne son sexe et lui donne du plaisir, comme elle comptait prendre le sien et lui donner du plaisir aussi. Anne-Sophie dut se retenir pour ne pas crier quand la langue de la jeune femme lui effleura les lèvres pour la première fois. Elle eut l'impression de se prendre une décharge d'électricité à travers le corps. Et ce fut aussi vrai pour les caresses linguales suivantes.
Anne-Sophie sentait qu'elle lâchait des jets de mouille, copieux comme quand elle était très excitée, elle se connaissait bien, qui atterrissaient directement dans la cavité buccale de la jeune femme. Qui la buvait avec plaisir, en même temps qu'elle parcourait toute la surface de son sexe.
Anne-Sophie eut soudain une angoisse qui la détourna du plaisir...Est-ce que...
Mais Julie avait poussé la porte. Et il fallait l'espérer, bloqué la serrure.
Elle se laissa aller à son plaisir.
La bouche pleine de mouille, Julie recula, défit l'accroche de sa jupe. Le tissu tomba sur le sol. Elle se retrouva cul nu. Elle monta sur la table, et se cala de telle manière que les deux femmes puissent se donner mutuellement du plaisir.
Le cul de Julie, elle l'avait enfin à portée. A portée de doigts, de langue...Et c'était le plus beau cadeau qu'elle puisse avoir. Elle était calée au dessus d'elle, s'offrant. Les globes bien charnus de la jeune femme, qu'elle avait rêvé d'envelopper de ses mains, sans bien évidemment en couvrir totalement la surface enfin offerts, à quelques centimètres de ses doigts, de sa langue...Elle n'osait plus espérer!!!Sous les yeux, là, pile sous les yeux, elle avait, ses fesses ouvertes par la position de la jeune femme, les plissements de son anus, imprimés sur sa chair, qui appelaient à la caresse, et plus bas, cette grosse moule dont elle rêvait si souvent de s'emparer, qui s'ouvrait sous ses yeux, révélant un intérieur tout rose, ces lèvres dont le volume au repos la fascinait, et qui devenaient encore plus fascinantes à présent qu'elles gonflaient, quelque chose de magique, tout comme la fascina le premier jet de mouille qui coula d'elle, un ruissellement au bas de son sexe, liquide qui vint se perdre dans son aine. Il fut immédiatement suivi par d'autres coulures, qu'Anne-Sophie entreprit de laper, s'enivrant déjà du goût sucré de la jeune femme. Voir également le gland clitoridien de la jeune femme se dégager ses chairs qui l'enveloppaient, et une fois décalotté se mettre à bander dans des proportions impressionnantes ne la laissa pas indifférente non plus. Elle le gaina de sa bouche, comme elle aurait gainé une queue, pendant que la secrétaire charnue continuait de la fouiller, enfonçant sa langue aussi profondément qu'elle le pouvait en elle et frottant ses parois internes et intimes...Un plaisir irrésistible...Si Julie ruisselait, Anne-Sophie se sentait elle aussi dégouliner comme rarement.
Le gland clitoridien lui remplissait la bouche comme l'aurait fait une queue. Il était vraiment volumineux, et il grossissait encore...Une sensation...Comme elle en avait déjà connu avec des queues d'hommes, jamais avec des gland clitoridiens de fille...
Un moment de plaisir intense, et une partie de ce plaisir venait sans aucun doute du fait de donner du plaisir à l'autre...
Immanquablement, inéluctablement, les deux femmes se mirent à jouir...Le corps secoué d'orgasmes, elles éjaculèrent, arrosant le corps de leur partenaire et les alentours de leurs jus intimes...
Anne-Sophie sentit Julie se soulever. Elle la vit traverser le bureau et passer dans l'antichambre de celui-ci, ses hanches et ses fesses bougeant d'une manière plus qu'agréable. Elle fut de retour quelques secondes plus tard, avec un objet qu'Anne-Sophie connaissait. Elle avait une belle collection de sex toys. Si elle aimait le plaisir avec des hommes et des femmes, elle aimait aussi celui qu'elle pouvait se donner, un compliment parfait dans un éventail de possibilités dont, dans sa soif de plaisir, elle ne négligeait aucune. Elle voulait profiter de tous les plaisirs, sans tabou, tant que son corps le lui permettait.
Et donc, elle avait vu, sur un catalogue virtuel, l'objet que Julie tenait à la main. Un gode nouvelle génération. Il ne devait pas être harnaché, fait dans une matière à la fois souple et dure, un mélange de plastiques, et s'accrochait à un sexe féminin par une boule que l'on enfonçait dans son vagin, et lui permettait de tenir fermement. C'était comme si la fille avait eu une vraie queue, qui lui était poussée. La boule avait sans doute été moulée sur l'intérieur d'un vagin artificiel. L'objet, comme le pensait Anne-Sophie était simple et souple d'utilisation, mais il lui semblait aussi garantir, et elle en eut la preuve quelques secondes plus tard, du plaisir en retour, peut-être plus qu'avec un gode collé contre ses lèvres et qui les frottait.
La voir avec le gode, dont elle rentra la partie basse en elle de manière assurée, la convainquit que oui, si elle avait pu en douter, Julie, comme elle, aimait le sexe, dans toutes ses variantes, et qu'elle avait trop attendu. Mais il n'y avait pas de regret à avoir. Au contraire, peut-être de belles promesses pour les jours à venir.
Bien ajusté, le gode pouvait laisser croire qu'il lui était poussée une belle queue, longue et épaisse, suffisamment en tout cas pour donner du plaisir.
Elle remonta sur le bureau qui avait trouvé une nouvelle destinée, et vint appuya le gros gland de plastique marron contre les lèvres d'Anne-Sophie qui fut traversée par un fort courant électrique. Elle frotta, et Anne-Sophie sentit que, déjà, elle jouissait. Elle retint un cri, l'orgasme la traversa, et elle éjacula, arrosant Julie. Celle-ci, sans attendre, glissa en elle. Anne-Sophie, remplie de bonheur, la sentit pousser en elle jusqu'à ce que la tête du gode vienne frapper son utérus. Elle resta un moment immobile avant d'entamer des mouvements de va-et-vient. Elle faisait ça avec habileté, clairement, ce n'était pas la première fois qu'elle pénétrait une partenaire avec un gode. Elle alternait des mouvements courts ou longs, et des pauses...Ce qui troublait le plus Anne-Sophie, ce n'était pourtant pas le plaisir que lui donnait la jeune femme en la fouillant, plaisir très intense, mais le fait de constater son plaisir à elle, qui s'affirmait avec autant de force que le sien, dans un mouvement de retour. Assez ironiquement, alors qu'elle s'échinait à lui donner du plaisir, ce fut Julie qui jouit la première, torrent de jouissance aussi bien parce qu'elle enchaîna les orgasmes, le corps secoué de spasmes que parce qu'elle éjacula violemment autour du bloc planté en elle. Les liquides, bloqués, ne jaillirent pas de son sexe, mais il y eut un torrent qui coula sur son bas-ventre, et le long de ses jambes, et qui trempa Anne-Sophie. Cette dernière se dit qu'elles seraient bonnes, l'une et l'autre, pour se changer, avant de jouir à son tour, quelque chose de vraiment très fort qui la secoua comme ça n'avait pas été le cas depuis longtemps.
— Je veux l'essayer aussi, supplia Anne-Sophie, quelques secondes plus tard.
— Mais aucun problème, lui répondit Julie en extrayant de sa vulve le bloc dégoulinant.
L'excitation et l'objet l'avaient dilatée, et Anne-Sophie pouvait bien voir son intérieur, une vision qui fit monter d'un cran, si c'était encore possible, son trouble et son excitation.
Elle attrapa l'objet, avec l'idée d'inverser les rôles. Se demanda si la boule de forme inégale allait rentrer en elle, mais elle se trouva tellement dilatée que ce fut tout sauf un problème. Elle se sentit remplie, mais elle ne comprit vraiment l'effet que le jouet pouvait avoir sur elle quand, le regard brillant, Julie attrapa la fausse queue et se mit à la masturber comme elle aurait branlé une queue d'homme.
L'effet était...Dévastateur. Anne-Sophie se mit à jouir sans retenue, se tordant, se retenant de hurler comme elle aurait aimé le faire si elle n'avait pas été dans un lieu public. Elle cria:
— Stop!
Julie s'arrêta même si elle avait envie de continuer à branler la queue artificielle, ça se voyait à son regard, elle avait envie de continuer, une manière de jouer avec elle. Mais elle avait aussi envie d'autre chose. Et cette envie primait sur l'autre. Elle vint se placer au dessus de la queue de plastique, qui se dressait, longue, obscène, et elle se laissa descendre dessus. Il y eut un premier contact, la queue ripa, partit dans son aine, elle la rattrapa et la posa pile au milieu de son sexe. Sentant que ça allait passer, elle se laissa glisser sur la queue de plastique, Elle aurait pu maitriser sa descente, se laisser empaler très lentement, mais elle avait apparemment très envie de se sentir remplie, et très vite. Elle avala la queue de plastique, et se retrouva assise sur le pubis de sa partenaire. Elle ferma les yeux et poussa un soupir de contentement, tandis qu'Anne-Sophie absorbait l'onde que lui avait envoyé le mouvement de sa partenaire. Cette queue de plastique, c'était un instrument diabolique.
Anne-Sophie l'attrapa par les hanches, et se mit à la faire monter et descendre sur elle. Caressée par la queue de plastique, Julie était en plein trip, les yeux clos, gémissant doucement. Le membre artificiel apparaissait et disparaissait, et, arrosé par les liquides intimes de la jeune femme, il avait pris une couleur sombre, glissant le long de la tige et venant tremper la chair d'Anne-Sophie. Cette dernière s'efforçait de maîtriser le plaisir qui revenait en écho, et qui était aussi fort, sinon peut-être plus, que celui qui dominait Julie.
Chaque minute de ce moment était exceptionnel pour Anne-Sophie. Mieux encore qu'elle n'avait pu l'espérer, avec des moments aussi intenses qu'inattendus, un plaisir très fort, et une fin en apothéose, qui réjouit la jeune femme plus encore que ce qui s'était passé avant. Les deux femmes, l’aînée et la plus jeune se mirent à jouir au même moment, se tordirent chacune au bout du gode, en éjaculant, perdant le contrôle, traversées par des orgasmes d'une rare force. Julie s'effondra sur elle, vidée de toute force. Anne-Sophie l'enserra, la tenant d'abord par la taille mais glissant ensuite sur ses fesses, charnues, qui l'obsédaient, ne leur enveloppant que partiellement, mais réalisant son rêve le plus simple et le plus basique : lui mettre la main au cul.
Elle fut surprise d'entendre Julie lui glisser :
— Je crois que j'ai une solution à ton problème.

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