Histoire Erotique

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Une formation réussie

Une formation interne à mon travail étant organisée dans l'agence de Montpellier, je suis hébergée par une de mes collègues de cette agence et son mari dans leur villa. Je n'ai pas pu rester tranquille…

Proposée le 9/06/2023 par Hannapurna

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Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


En septembre 2009, comme je fais de plus en plus du conseil pour épauler Sylvain mon directeur, il profite que le siège parisien de notre boite organise une formation sur le sujet pour m’y inscrire. C’est une session décentralisée de trois jours organisée à Montpellier du 14 au 16.

J’ai de bon rapports au téléphone avec mon homologue de l’agence de Montpellier Stéphanie, 25 ans elle et je l’ai rencontrée dans des réunions de travail où nous avons bien sympathisé. Elle me propose de venir chez elle plutôt qu’à l’hôtel. Elle et son mari ont une maison à l’extérieur de la ville et avec une piscine comme chez nous. Comme son mari Christophe est OK, j’accepte volontiers. On décide une arrivée le dimanche soir qui sera plus pratique pour être à l’heure de début du stage.


Dimanche 13 septembre 2009

Alors que je prépare mes bagages, Ber me voit prendre un vibro et mon strapon :
- Je suppose que tu comptes t’amuser un peu ?
- Oui, C’est toujours mieux qu’avec les doigts seulement.
- Et le strapon, c’est pour qui ?
- Ben tu sais, j’ai remarqué qu’elle était habillée assez sexy lors des réunions où on s’est croisées. Au cas ou elle serait vraiment coquine…
- Sois prudente, tu sais pas ce que ça peut donner si ça la branche pas.
- T’inquiète pas, je vais y aller en douceur.

Comme tenue de voyage, j’opte pour une robe simple et assez courte, sexy mais sobre. Dans le doute j’enfile tout de même un string et un soutif sans bonnets, histoire qu’on aperçoive les bretelles et les élastiques en relief sous le tissus. La robe est si fine que Stéphanie s’apercevrait tout de suite que je suis nue dessous. Il me dépose ensuite à Marseille Saint-Charles où j’ai un train vers 15 heures 30 pour une arrivée en vers 17 heures à la gare de Saint-Roch.

Elle vient me chercher en voiture et m’attend sur le quai quand je débarque du train. Elle-même est en short et débardeur sous lequel elle aussi a mis un soutif. J’en profite pour vous la décrire. Elle a 25 ans à ce que je sais et elle est un peu plus grande que moi, dans les 1m70, assez mince mais avec des petites rondeurs là où il faut. Son soutif doit faire du 80C, ce qui est assez mignon. Elle a des cheveux blonds qu’elle attache en queue de cheval.
Le trajet est assez rapide malgré la circulation un peu dense à ce moment de la journée. Et nous arrivons à sa villa. Elle ouvre le portail, rentre la voiture et nous descendons. la maison est un peu à l’écart et c’est tant mieux. la maison comporte un étage et un jardin avec une belle terrasse et la piscine, petite mais suffisante.

En nous entendant arriver, son mari Christophe sort sur la terrasse pour nous accueillir. Je l’avais déjà vu en photos, et c’est un mec de 30 ans, environ 1m75, assez costaud avec un juste peu de bide et les cheveux bruns coupés courts.

Il me propose d’aller vite m’installer pour profiter du soleil de cette fin d’après-midi dans la piscine. Stéphanie me guide dans le couloir de l’étage pour me montrer ma chambre. Elle me signale au passage les toilettes et la salle de bains en me disant :
- Fais exactement comme chez toi , te gêne pas pour nous.

Elle me quitte pour aller se mettre en tenue de bain. Je range rapidement mes affaires dans la penderie puis je décide de la prendre au mot. Je me déshabille totalement, prends une serviette dont je m’en coure tout de même pour débuter soft, puis je sors vers la terrasse. Christophe et Stéphanie sont déjà là assis sur des transats en m’attendant pour rentrer dans l’eau. Je note qu’elle a en bas un string large et en haut des triangles coulissants. Lui porte un boxer plutôt moulant, pas un de ces bermudas de surf. En arrivant à leur hauteur, j’enlève la serviette et me retrouve directement à poil. C’est tout de même une surprise pour eux et ils restent la bouche ouverte devant mon académie ainsi exposée. Je désamorce ingénument :
- Comme tu m’as dit de faire comme chez moi… Mais si ça vous dérange…
- Euh, non, c’est juste qu’on s’y attendait pas. D’ailleurs…
- Oui ?
- Ben, nous aussi on a plutôt l’habitude de nous baigner nus.
- Alors vous gênez pas pour moi. Vous vous doutez bien que ça me choquera pas !

Et sitôt dit, sitôt fait, ils ôtent leurs maillots. Les seins de Stéphanie sont bien les petites pommes bien rondes et fermes qu’ils semblaient être et son pubis est barré par un petit ticket de métro. Quant à son mari, il nous dévoile une bite pas trop volumineuse. Mais comme elle est au repos sur ses couilles bien ramassées, il faudrait pouvoir en juger en plein développement. Le tout est surmonté par une touffe châtain heureusement pas trop fournie car il n’a pas trop de poils sur le corps.

Une fois tous les trois dans l’eau, tout reste sage. Ce n’est qu’au moment où je sors la première de l’eau que je me permets de rester assise au bord de la piscine, offrant une vue imprenable sur ma fente à Christophe. Je note qu’il essaie de ne pas trop montrer que ça l’intéresse. Et je vois aussi que sa queue prend un peu de volume et de rectitude dans l’eau. D’ailleurs, il est le dernier à sortir nous rejoindre sur les transats et elle a un peu plus de volume qu’avant le bain.

Après avoir séché aux derniers rayons de soleil, nous rentrons pour attaquer l’apéro. En sortant des douches, Christophe a enfilé un caleçon et Stéphanie une T-Shirt large sous lequel je vois bien qu’il n’y a rien d’autre. Je vois bien qu’ils hésitent à me demander de les imiter. Mais je reste à poil comme si je ne m’en étais pas aperçue et finalement ils laissent tomber et s’habituent à ma tenue plus que légère.

Du coup, après le diner nous nous installons dans le canapé pour regarder un film. Je me pose au milieu la première et ils sont donc obligés de se mettre de part et d’autre. C’est la première fois où nous sommes si proches, carrément en contact, même si ce contact est protégé par le T-shirt de ma collègue et le caleçon de son mari. Je ne pousse pas trop avant pour ce premier soir. Tout juste si je pose une main sur la cuisse de Stéphanie près de son triangle qui est bien découvert, le T-shirt étant remonté quand elle s’est assise. Je laisse mes doigts lui caresser la cuisse comme si c’était machinalement, sans aller plus loin.

Après le film, je me lève la première pour pouvoir mettre mes fesses pile devant le nez de Christophe en passant devant lui. Puis nous nous dirigeons tous trois vers les chambres et je leur souhaite une bonne nuit avant d’entrer dans la mienne. Évidemment, je m’amuse un peu avec mon vibro en exagérant un peu mes soupirs et gémissements. Je constate rapidement que dans la chambre à côté, ça s’agite aussi. Finalement j’entends ma collègue jouir sans trop de retenue, puis c’est enfin le calme des deux côtés et je m’endors satisfaite de ma prestation.


Lundi 14 septembre 2009

Ce matin en m’éveillant j’entends les bruits discrets de Christophe qui s’en va car il commence plus tôt que nous. Guidée par des bruits d’eau, je trouve Stéphanie à la salle de bains. Elle est en train d’entrer sous la douche et ne proteste pas quand je lui propose de la prendre avec elle pour gagner du temps. Je reste assez sage en la savonnant dans le dos sans trop insister sur ses fesses. Elle me rend la pareille, puis nous nous faisons face.Là je n’hésite pas à lui frotter légèrement les tétons de mes mains mousseuses de savon. Je n’insiste toutefois pas trop car de son côté elle s’abstient de toucher mes seins. Je note toutefois que même après le rinçage et le séchage, elle a toujours les bouts qui pointent.

Chacune rejoint ensuite sa chambre pour procéder à l’habillage. Je décide de faire comme à mon habitude : pas de sous-vêtement en bas et un soutif sans bonnets en haut. Par-dessus ça, juste une jupe assez courte et un chemisier coloré et pas trop transparent. des escarpins bas et ouverts complètent ma tenue.

Je retrouve ma collègue à la cuisine où nous prenons le petit-déjeuner avant d’y aller. Elle a opté pour un ensemble pratiquement identique au mien avec une robe légère et pas trop échancrée.

La journée se passe très bien. Le contenu de la formation est intéressant, bien porté par les intervenants et c’est aussi l’occasion de retrouver des collègues d’un peu toute la France et de faire la connaissance de certains que nous n’avions jamais vus.

En rentrant à la maison, nous n’avons qu’une hâte, c’est de profiter un peu du soleil et de la piscine. Nous nous mettons toutes deux à poil directement sur la terrasse. Stéphanie est surprise en découvrant les particularités cachées de ma tenue :
- Oh, dis donc Anna, t’avais pas mis de culotte ?
- Ben non, j’en mets pratiquement jamais, ou parfois des strings.
- Et ton soutif, il est un peu spécial, non ?
- Ben oui, ça me permet d’être à l’aise tout en faisant croire aux gens autour que j’en porte un grâce aux bretelles et à l’armature qui se devinent à travers le chemisier.

Bon, elle n’insiste pas et nous plongeons et restons un petit moment dans l’eau avant de sortir pour nous sécher et nous offrir aux rayons du soleil. Une fois installées sur le dos et après s’être chacune badigeonnée d’huile solaire, je laisse un temps de calme avant d’attaquer la conversation :
- Dis donc, je vous ai entendus la nuit dernière. Ça a l’air d’aller fort entre vous.
- Ben en fait, pas tant que ça sur ce plan-là.
- Ah bon, pourtant vous aviez l’air de bien vous éclater.
- Oui, mais ça faisait un bon moment qu’il se passait rien. Mais hier soir…
- Oui ?
- Hier soir, on t’a entendue. C’était bien un vibro que tu utilisais ?
- C’est ça, pour pas perdre le rythme quand j’ai pas mon mari sous la main.
- Eh bien ça, plus peut-être le fait de te voir à poil toute la soirée, ça l’a bien excité.
- Tant mieux si ça vous a aidés. Et toi, ça t’a excitée ?
- Euh oui, un peu quand je t’ai entendue te faire plaisir.
- Donc, ça te dérange pas si je recommence ?
- Euh, non, évidemment.

Du coup, je me mets à me caresser doucement la fente sous ses yeux. Elle ne s’attendait certainement pas à ça et met un temps à m’interpeller :
- Euh, mais qu’est-ce que tu fais. Arrête…
- Ben quoi, tu m’as dit que ça te gênerait pas.
- Euh, oui, mais là, maintenant, devant moi ?
- Allez, me dis pas que tu le fais jamais. surtout si Christophe te touche plus.
- Oui, ça m’arrive de le faire.
- Alors, vas-y, on est entre nous. tu vas voir comme c’est bon de le faire ensemble.

Et je continue ma branlette en la regardant. je constate que ses tétons pointent maintenant bien. Finalement son excitation prend le dessus. Elle s’allonge bien à plat et commence à m’imiter. j’exagère un peu mes soupirs et je l’entends rapidement gémir elle aussi. Du coup je ne me prive pas de me faire jouir tout en exclamant mon plaisir. Elle me suit peu après et ne retient pas ses râles.

Je laisse passer un moment mais pas trop pour ne pas faire retomber son excitation, puis je me mets sur le ventre en lui demandant de me passer l’huile dans le dos. Elle sort de sa torpeur et vient se mettre à côté de moi pour me rendre ce service. je sens ses mains onctueuses qui parcourent mon corps des épaules aux reins, puis qui s’occupent un peu des fesses sans s’y attarder avant daller jusqu’à mes chevilles? Malgré mon appel pas si discret que ça en écartant mes jambes, elle ne va pas jusqu’à s’égarer vers ma vallée intime.

Je lui propose de lui rendre la pareille et elle va s’allonger sur son matelas. Contrairement à elle, je m’installe à cheval sur ses jambes. J’attaque sobrement par ses épaules puis je descend en appliquant ma technique bien rodée de progression dans l’intensité du massage. Je vais sans trop insister jusqu’à ses chevilles, puis je remonte le long de ses cuisses en m’infiltrant le plus possible vers son entre-jambes sans le toucher. Enfin je ne me prive pas de m’attarder sur ses fesses que je malaxe plus que de nécessaire tout en lui parlant de ce qu’il vient de se passer :
- Alors, tu vois, t’as bien aimé, non ?
- Oui, je reconnais que c’était bon. Même si c’était la première fois que je le faisais devant quelqu’un.
- Et là, mon massage te plait ?
- Oui, ça fait du bien.
- Alors laisse-moi continuer…

Je m’aventure maintenant entre ses deux globes et atteins sa rondelle avec mes doigts bien lubrifiés. Elle se cabre un peu et proteste :
- Euh, Anna, là tu me touches un peu trop loin…
- Mais non, laisse-toi aller, tu vas apprécier, tu verras !

Elle abdique car je ne sens plus de résistance quand je descends jusqu’à sa fente bien humide où je trouve son clito bien dur. Du coup, plus de retenue, je le lui branle ouvertement d’une main, insérant les doigts de l’autre main dans ses deux orifices. Elle halète fortement, puis se lâche dans un bel orgasme foudroyant. Je la laisse respirer en allant sagement me remettre sur le ventre sur mon matelas à côté. Un silence réparateur s’établit pendant que les rayon du soleil nous lèchent la peau.

C’est dans cette position que Christophe nous trouve en arrivant. Il ne sait pas ce qu’il vient de se passer et s’empresse juste de se mettre nu lui aussi pour piquer une tête dans la piscine. Stéphanie me fait comprendre par le regard de ne pas lancer la conversation sur tout ça. je lui répond de la même manière et ça la rassure.

Plus tard, elle profite que nous sommes à la salle de bains pour revenir sur le sujet :
- Dis Anna, j’aimerais autant que Christophe soit pas au courant.
- Pourquoi, ça l’exciterait pas ?
- Si, justement. Et ça risque de mettre de la gêne.
- T’as pas aimé ?
- Euh, oui, c’était vraiment bon. Et c’était la première fois pour moi.
- Pour moi non, comme tu dois t’en douter !
- Oui, j’imagine.

Sur ce, nous prenons à nouveau notre douche ensemble, mais cette fois je vais plus loin que ce matin et elle s’abandonne à mes caresses. Une fois qu’elle est bien partie sous mes doigts qui branlent son clito, je prends sa main et l’attire entre mes jambes pour me rendre la pareille. Elle hésite un peu, puis emportée par le plaisir que je lui procure, elle finit par s’y mettre elle aussi. Nous restons assez silencieuses, et le bruit de l’eau qui coule est assez fort pour masquer nos ébats.

Je la persuade de rester complètement nue contrairement à la veille et elle me suit. C’est au tour de Christophe de profiter de la place laissée chaude. Stéphanie est assez rassurée de voir qu’il n’a l’air de se douter de rien. Il revient et a décidé finalement, vu notre exemple, de rester lui aussi à poil.

Comme hier, après le dîner nous nous posons dans le canapé pour regarder un film et je me place à nouveau au milieu. Les deux grosses différences, c’est d’abord que nos peaux sont directement en contact. Et ensuite que cette fois je ne reste pas sagement spectatrice. vers la fin du film, je laisse ma main vagabonder un peu sur mes seins avant de descendre caresser mon ventre. Un e fois que je sens que j’ai ferré Christophe, je continue en envoyant tranquillement mes doigts vers ma fente où ils commencent à s’activer paresseusement, comme négligemment.

Je contrôle sur ma gauche l’expansion de la bite de mon voisin qui essaie de masquer ça. Mais ma voisine de droite a aussi remarqué ma manœuvre et met un frein à cette séquence en me disant :
- Euh, Anna, si tu pouvais ne pas faire ça ici devant nous…
- Oh, oui, pardon. C’était machinal, J’ai tellement l’habitude à la maison…
- Euh, peut-être, mais ça gêne peut-être Christophe.
- Je sais pas si ça le gêne, mais visiblement ça l’excite aussi, pas vrai Christophe ?
- Euh oui, excusez-moi, j’ai pas pu retenir une érection.
- C’est pas grave, on en a déjà vues toutes les deux, non ?
- Oui, mais quand même…
- Dans tous les cas, c’est de ma faute. Et c’est naturel, pas besoin de la cacher !

Sur ce, le film se termine dans l’indifférence générale vus que ce qu’il se passe hors écran est beaucoup plus intéressant. Christophe en profite pour dire qu’il va se coucher et se lève en gardant toutefois ses mains en coupe devant son sexe tendu qu’il plaque contre son ventre. Il s’éclipse et Stéphanie m’apostrophe :
- Me dis pas que tu l’as pas fait exprès…
- C’est vrai, j’avoue. Mais au moins, tu vas encore en profiter dans pas longtemps.
- Oui, vu comme ça…
- Et franchement, c’est toujours amusant de voir un mec bander et être gêné pour ça.
- Oui, je dois dire qu’il avait l’air de pas savoir où se mettre.
- Alors, rigole toi aussi, et va vite te servir du résultat de mes actions.

Elle se lève donc et je la suis vers les chambres. Au passage, je lui mets une main sur la fesse et descends mes doigts juste assez pour sentir qu’elle mouille bien :
- Et ne me dis pas que ça t’a pas excitée, tu es trempée.
- OK, j’avoue. Bonne nuit !

J’appelle d’abord Ber pour lui faire part de mes avancées, puis on se fait une petite visio pour une branlette réciproque avant de dormir. A côté, j’entends que ça y va très fort. Je vais pouvoir aller plus loin demain.


Mardi 15 septembre 2009

Ce matin, je fais l’effort de me lever plus tôt pour préparer le petit-déjeuner. Mes hôtes ont donc la surprise de trouver tout prêt et m’en remercient. Ils sont tous deux nus comme moi, et sentent encore le sperme, la cyprine et la sueur, ce qui est bon signe pour la suite. Christophe est le premier à finir et s’éclipse vers la salle de bains pour partir le premier au travail. Quand nous terminons aussi, Stéphanie se propose de faire la vaisselle pour ne pas avoir ça à faire en rentrant ce soir. Du coup, je me dirige vers la salle de bains et comme je n’entends plus couler d’eau mais qu’il ya encore du bruit, je sais qu’il y est. Je pose ma main sur la poignée et attends qu’il ouvre lui-même. Quand je sens qu’il ouvre pour sortir, je fais semblant de perdre l’équilibre et tombe sur Christophe qui est tout surpris et lâche la poignée pour me rattraper. Je fais en sorte que ma main vienne en contact avec sa bite et s’y cramponne comme machinalement. Je m’excuse :
- Oh, pardon ! Comme il y avait plus de bruit, je croyais que tu étais déjà sorti. Ça m’a surprise quand tu as ouvert en même temps que moi et du coup je suis tombée.
- Euh, oui, je comprends. C’est pas de ta faute, on pouvait pas s’y attendre. Mais…
- Quoi ?
- Ben, si tu pouvais me lâcher le… la…
- Oh oui, pardon, c’était machinal, je me suis retenue à ce qu’il y avait.
- Oui, c’était instinctif, j’imagine.

Avant de le lâcher, j’avais un peu serré mes doigts et senti qu’il commençait à avoir une légère érection. En regardant sans gêne dans cette direction après m’être écarté de lui, je peux voir que c’est bien réel car sa bite prend du volume et une courbe ascendante. Pour ne pas être en difficulté devant moi, il n’insiste pas et s’évacue vers sa chambre.

Sur ce, Stéphanie me rejoint alors que je règle la température de la douche. Elle n’est pas au courant de ce qu’il vient de se produire et je me garde bien de le lui dire. Je vais le tourner à ma manière. Elle ne fait pas de chichis quand je commence à la savonner en la touchant partout et même me rend volontiers la pareille. Elle a bien digéré les évènements d’hier et n’a plus de retenue à faire ça avec une femme.

Après que nous ayons joui toutes les deux, il est temps d’aller nous habiller pour ne pas être en retard. Pendant que nous nous séchons, j’aborde le sujet de son mari :
Dis, ce matin en arrivant à la salle de bains, j’ai parlé un peu avec Christophe et il a eu encore une érection, comme hier soir. Il a une belle bite, je dois dire.
- Oh, Anna ! Pour quoi tu parles de ça ?
- Ben parce qu’il me semble que c’est un peu moi qui le fait bander. Vous en avez pas parlé ?
- Oui, on en a parlé. Et c’est vrai, tu l’excite un peu.
- Un peu seulement ? je suis vexée. J’espère que c’est plus que ça.
- Bon, OK, mais je t’en veux pas. C’est un peu pour ça qu’il a repris de l’activité.
- Ça, tu peux pas dire que t’en profites pas, je t’ai encore entendu cette nuit.

Nous nous séparons pour aller nous habiller. Je suggère à ma collègue de ne pas mettre de dessous elle non plus. Elle ne dit pas non car elle m’objecte :
- Euh, mais on va voir que j’ai pas de soutif.
- Tiens, si tu veux, je te prêt un des miens, c’est taille unique pour les bonnets !
- Ah, c’est amusant. Bon, je veux bien essayer.

Du coup, elle se lance dans sa première expérience cul nu en public. Elle est un peu empruntée au début, mais elle se relâche en cours de journée. De toute façon, elle a de nouveau enfilé une robe foncée et pas trop courte ni trop décolletée.


Au retour après la formation, après nous être mises nues rapidement, nous remettons ça avec Stéphanie comme hier. Mais aujourd’hui, même si nous nous passons mutuellement l’huile solaire, nous ne nous cachons pas derrière ce prétexte pour nous faire plaisir. En allant poser mes fringues, j’ai pris mon vibro et je lui fais tester car apparemment elle n’en a jamais utilisé. Je la sens très réceptive et j’en ai la confirmation quand nous nous calmons un peu dans les transats après un bel orgasme chacune :
- Ouah, tu as fait des progrès !
- Je sais pas, mais en tout cas ça m’a tellement excitée d’être à poil sous ma robe toute la journée en public que j’avais besoin de faire redescendre la pression.
- A part ça, tu me permets de pousser un peu plus loin pour mettre Christophe en condition quand il revient tout à l’heure ? Tu sais que c’est tout bénéfice pour toi.
- Je sais pas.
- Allez, me dis pas que ça te gêne vraiment de le voir bander en ma présence.
- Non, c’est pas ça. En fait, c’est tellement pas habituel. Mais tu as raison.
- Alors, feu vert pour que je l’excite ? Tu pourras rire de voir sa gêne.
- Bon, ça marche.

Nous montons un petit scénario et c’est donc à poil dans les transats, face au soleil que nous attendons son retour. Bien évidemment, je vais remettre le vibro dans la chambre pour ne pas en faire trop. Je m’entretien déjà avec un doigt sur le clito et comme l’heure habituelle approche, Stéphanie va se poster dan la cuisine comme si elle était allée nous chercher à boire. Puis j’entends la porte d’entrée et j’accentue un ma manœuvre. Je sais ce que ma collègue est en train de faire de son côté.

Pendant ce temps, elle accueille son mari et le fait déshabiller. Puis elle l’entraîne vers la terrasse avec son plateau de boissons à la main. En débouchant de la baie vitrée, il me découvre enfin, tournée de trois-quarts arrière mais qui ne laisse pas d’équivoque à ce que je suis en train de faire. Evidemment, Christophe stoppe et regarde sa femme tout en ayant un érection en cours de développement. Elle lui dit :
- T’as vu comme elle a pas honte de se faire plaisir ? J’étais avec elle et c’était vraiment excitant de la voir faire. J’avais même commencé à faire pareil mais je suis venue chercher à boire pour me calmer un peu. Mais je crois que ça marche pas, j’ai encore envie. Et je vois que ça te fait de l’effet. N’aie pas honte, pas la peine de me le cacher. Et à elle non plus, je pense. Ça m’étonnerait que ça la choque. Allez, viens nous rejoindre.
- Comme ça ? Mais je bande à fond, comme tu le vois.
- Oui, justement, comme ça. T’es chez toi, et c’est elle qui a commencé, non ?
- En fait, t’as raison, je vais pas me priver !

Et c’est comme ça que je les vois apparaitre dans mon champ de vison, elle avec son plateau qu’elle pose sur la table de jardin et lui avec sa queue à l’équerre. J’arrête un peu ma branlette pour regarder cet engin qui est enfin en plein développement et sans masque contrairement aux deux fois précédentes. Sa queue n’est pas inoubliable, mais correcte, dans la moyenne de longueur et de largeur, avec un gland cette fois décalotté et qui est plutôt conique contrairement à celui de Ber qui ressemble à une grosse prune rebondie. Il commence par s’excuser :
- Euh, Anna, pardon, mais je… Euh…
- Oh, c’est bon, j’en ai vu d’autres, t’inquiète.

Il s’installe donc dans le transat qu’on lui a préparé en face de nous. Stéphanie fait le service puis nous reprenons notre séance de lézardage. Afin de ne pas laisser retomber l’ambiance, je demande sans trop attacher d’importance à la réponse :
- Tu permets que je continue, Steph ? J’avais pas terminé.
- Oui, vas-y. Au point où on en est…

Et me voilà repartie dans ma masturbation. Christophe en face hallucine de voir que sa femme ne dit rien pour m’arrêter. Mieux que ça, elle annonce que finalement elle aussi va se branler. Du coup, il hésite à nous rejoindre, mais je le rassure :
- Allez, fais comme nous, c’est pas bon de garder les tensions de ce genre.

Comme sa femme lui fait signe en hochant la tête qu’elle est d’accord, il empoigne enfin sa tige et commence des aller-retours timides puis de plus en plus amples. Tout s’amplifie et c’est Moi qui viens en premier, ayant de l’avance sur eux et désirant les déclencher. Puis c’est ma collègue, suivie de peu par lui qui éjacule assez haut de grosses giclées de sperme qui s’écrasent sur le carrelage. Un ange passe, chacun d’eux n’osant pas être le premier à prendre la parole. Je me dévoue :
- Alors, ça fait du bien, non, après une journée de travail ?
- Euh oui, mais on n’avait jamais fait ça avec Christophe avant.
- Ah bon, jamais de branlettes sur la terrasse en vous regardant ?
- Non, et encore moins avec quelqu’un d’autre.
- Eh bien voilà, c’est fait !

Suite à ça, il est temps de remplacer les boissons fraîches qui ne le sont plus tellement par un petit apéro avant de passer à table. Tout ça aide à faire diversion pour éviter les moments de gêne silencieuse.

Après le repas, je profite qu’il va faire la vaisselle pour demander à Stéphanie :
- Alors, ça t’a plu tout à l’heure ?
- Oui, c’était marrant, et finalement ça m’a tellement excitée que j’ai joui.
- Et sinon, vous avez déjà eu envie de faire ça à plusieurs ?
- Euh, oui. Enfin, c’est lui qui m’en a parlé plusieurs fois.
- Et toi, ça te tenterait ?
- Avec n’importe qui, je sais pas, mais peut-être qu’avec toi…
- Alors, laisse-moi faire.

Puis il revient et c’est le même rituel que les autres soirs, sauf que j’ai fait en sorte avant qu’il revienne que Stéphanie et moi soyons aux extrémités du canapé. il doit donc s’assoir entre nous deux. Comme nous ne trouvons qui nous fasse envie dans les programmes, Christophe propose de regarder sur les rediffusions, puisqu’ils ont cette option. Aussitôt dit, aussitôt fait. Et quand il fait apparaître l’écran d’accueil, je fais remarquer la rubrique “adultes“ en leur proposant :
- Et si on se faisait un porno ?
- Euh, tu crois ?
- Me dis pas que Steph et toi vous en avez jamais regardé.
- Non, c’est vrai, ça nous est arrivé. Mais pas avec du monde à la maison.
- Oh, tu sais, après ce qu’on a fait tout à l’heure, on va pas se gêner pour ça ! T’es d’accord, Steph ?
- Oui, tiens, ça fait longtemps qu’on en a pas regardé. Et quitte à voir un navet…

Finalement, surtout que Stéphanie a donné son aval, il se décide et en sélectionne un au hasard. Le film commence et dès la première scène d’action, je commence à me caresser la fente. A droite Stéphanie entre peu après dans mon jeu en m’imitant et entre nous deux je vois la colonne de chair de mon voisin se retrouver très vite en pleine expansion, sans qu’il ose pour le moment en faire quoi que ce soit, mais qu’il ne prend plus la précaution de cacher.

Je n’attends pas trop et me tourne vers lui en lui disant de ne pas se priver, mais comme il hésite encore, je lui attrape la bite en demandant à ma collègue :
- Tu permets que j’aide ton mari ?

Elle est déjà bien lancé et n’y voit apparemment aucune objection bien qu’elle ne réponde que par un vague grognement. Aussi je commence mes va-et-vient et il se laisse faire en donnant l’impression de bien apprécier. Je le comprends, ça doit être excitant pour lui de se faire branler impunément sous le nez de sa compagne. Comme sur l’écran la nana attaque une fellation, je me lève de ma place pour me mettre à genoux devant lui et en faire de même sur Christophe.

Ne voulant pas qu’il vienne trop vite, je le laisse seul et me déplace latéralement pour me positionner entre les genoux de Stéphanie. Il a donc la surprise non seulement de me voir la caresser puis plonger ma tête vers sa fourche, mais de constater qu’elle ne s’y oppose pas et même y prend vraiment du plaisir. Il se branle en nous regardant mais le suis obligée de lui jeter un regard et de l’inviter clairement :
- Et si tu venais t’occuper de moi ?
Il envoie un œil interrogatif à sa femme qui confirme son accord :
- Oh oui, vas-y, je veux te voir la baiser là, devant moi.

Fort de ce consentement, il vient se mettre derrière moi et me pénètre directement en levrette tant je suis mouillée et ouverte. Il me donne de grands coups de reins qui me font déraper du clito de ma partenaire. Evidemment, à ce régime il ne tient pas longtemps et annonce sa délivrance. Je lui demande de se retirer et me retourne pour lui gober à nouveau le gland. C’est là qu’il éjacule puissamment et m’arrose le gosier. Sa bite ramollit eu peu et je le recrache après avoir tout avalé.

Je le fais assoir sur le canapé et suggère à ma collègue de le remettre en forme pendant que je vais chercher des accessoire en leur disant :
- On va ajouter un peu de possibilités, vous allez aimer.

Je monte vite et m’équipe de mon strapon, puis je redescends les rejoindre. Dans leur position, Christophe est le seul à me voir arriver et montre sa surprise de me voir transformée en mec. Je lui fais signe de se taire et vais me placer derrière sa fellatrice. Je la tripote un peu avant de pointer mon engin sur l’entrée de son vagin. elle doit penser que c’est le vibro, mais quand je commence à la pilonner avec mes deux mains sur ses hanches, elle se rend compte que c’est différent. Elle n’est pas contre car elle commence à remuer et à venir à la rencontre de mes coups de reins.

Sentant qu’elle va jouir, j’accélère et ça la déclenche. Je la quitte et la soulève pour l’amener sur la queue de son mari qui est revenu en pleine forme. elle se laisse mener docilement et s’empale sur ce pieu qu’elle a fait dresser. Elle se remet en mouvement et le chevauche sans retenue. De mon côté, je prends un peu de la mouille qui lui cule partout entre-jambes pour m’en servir çà lui assouplir l’entrée arrière. Son anus palpite sous mes doigts et j’en introduis un à l’intérieur.

Quand elle est mûre pour la suite, je pose mon gland de silicone contre cet anneau et elle devine due que je vais faire car elle arrête sa chevauchée pour me faciliter la tâche. Je pousse doucement et il franchit la porte étroite sans problème. Je pousse régulièrement et me retrouve au fond de son cul. Arrivée à ce stade, j’entame ma sodomie et elle se laisse porter par mes assauts qui la font reprendre sa cavalcade sur son mari. La frénésie l’emporte et elle ne tarde pas à avoir un nouvel orgasme.

Elle est bien démontée et me suit quand je me est à côté d’elle pour terminer Christophe à deux bouches. Il a encore un peu de stocker nous le cède généreusement après un beau partage entre elle et moi. Ses giclées viennent atterrir sur nos visages et nos seins.

Après ce qu’on avait déjà fait l’après-midi et cette partie intense à trois, ils sont bien vidés et nous décidons qu’il est plus raisonnable d’aller maintenant nous coucher pour être en forme le lendemain. Au passage il arrête la télé où le film était terminer depuis un bon moment dans l’indifférence générale. Nous avions mieux sur place.


Mercredi 16 septembre 2009

Ce matin, je me lève la dernière des trois et Christophe est déjà habillé pour partir. Je demande la permission à ma collègue de lui faire une dernière fellation :
— Toi, tu vas pouvoir en profiter tant que tu veux, alors juste pour la route…

Elle trouve ça équitable et c’est elle qui se met derrière lui pour lui ouvrir la braguette et sortir sa queue qui est déjà presque prête à servir. C’est tellement excitant pour lui, tout habillé, de me voir nue à ses genoux en train de le sucer devant sa femme qu’il ne tient pas longtemps et m’envoie une bonne rasade de sperme, ayant refait ses munitions pendant la nuit. Puis il se rajuste et nous quitte.

Comme nous sommes excitée toutes les deux par cet intermède et que nous avons un peu de temps, nous remontons dans sa chambre et j’en profite pour initier ma collègue au strapon et c’est elle qui termine en me prenant en levrette.

Après une dernière journée, la formation prend fin à 16 heure 30. Nous avons mis mes bagages dans la voiture ce matin en quittant la maison, aussi elle peut me poser directement à Saint-Roch pour ne pas rater le train qui part un peu avant 17 heures et me ramène à Marseille Saint-Charles pour 18 heures 30 où Ber m’attend.

Avant de la quitter, je lui dit qu’il sont les bienvenus quand il le veulent chez nous. Je lui dis que je lui laisse en cadeau le soutif sans bonnet qu’elle porte encore aujourd’hui et le vibro que je lui ai laissé sur la commode de ma chambre en partant. Elle a hâte de connaître Ber, surtout sous un certain point de vue.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Samsord
Très belle plume. Très excitant. Félicitations!
Posté le 8/09/2023

Anonyme
vivement une suite c'est très excitant merci
Posté le 11/06/2023


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