Histoire Erotique

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Dentelles et chiffons 5 : Vacances au Cap-Ferret

Angélique et Stéphane prennent une semaine de vacances. Ils rendent visite à Monique l’ancienne propriétaire de la boutique et à Michel, son mari, qui avait été un collègue et ami de Stéphane. Lire les épisodes précédents.

Proposée le 14/04/2016 par Marc Paul

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Roman


Depuis que Michel et Monique avaient eu connaissance de la relation qui s’était noué entre l’ancien collègue et ami de l’un et celle qui avait acheté la boutique de l’autre, ils n’avaient eu de cesse de les inviter à venir passer quelques jours chez eux au Cap-Ferret.
La dernière visite de leurs amis à Paris et leur insistance avaient fait céder Angélique et Stéphane. La décision était maintenant plus facile à prendre car Angélique pouvaient plus facilement laisser la boutique aux soins de Katia. Ils tombèrent d’accord pour passer une semaine sur la presqu’ile, fin juillet, dès les soldes terminées.
La maison de Monique et Michel se trouvait dans un village au début de la presqu’ile. Une jolie maison de style Landais qui avait un accès direct à une petite plage de sable fin sur le bassin d’Arcachon.
Les deux premières matinées, Michel emmena Stéphane en bateau pour une partie de pêche sur le bassin d’Arcachon. Si le premier jour, ils revinrent bredouilles, le deuxième fut le jour de belles prises, une demi-douzaine de bars qu’ils firent griller sur le barbecue pour le diner. Les après-midi se passèrent en visite de la région et en baignades à la plage sur l’océan.
Le troisième jour, Michel emmena tout le monde pour une balade en bateau autour du bassin. Ils furent de retour pour déjeuner. Monique et Michel annoncèrent à leurs invités qu’ils devaient aller faire quelques courses à Bordeaux l’après-midi et ils leur proposèrent d’utiliser leurs vélos pour aller faire une promenade. Angélique et Stéphane décidèrent d’aller à la plage sur l’océan, distante de quelques kilomètres. Ils partirent par les pistes cyclables aménagées à travers la forêt.
Au retour, ils pédalaient côte à côte sur l’étroit chemin goudronné en discutant quand Angélique dit à son compagnon :
Steph’, il faudrait que je m’arrête un moment.
Ah, tu es fatiguée ?
Non, mais j’ai une grosse envie de faire pipi.
Ok, on va essayer de trouver un endroit.
Ils ne furent pas longs à trouver le lieu propice. Ils mirent pied à terre, poussèrent leurs vélos sur une vingtaine de mètres pour s’éloigner de la piste et les appuyèrent sur le tronc d’un pin derrière un buisson d’ajoncs. Angélique ôta le paréo qu’elle avait noué autour de sa taille et quitta complètement son maillot de bain une-pièce qu’elle tendit à Stéphane. Uniquement vêtue de ses espadrilles, elle s’éloigna de quelques pas, s’accroupit et vida sa vessie. Elle revint vers son compagnon, soulagée :
Ahh, ça fait du bien. Tu me donnes mon maillot, chéri.
Non.
Comment ça ?
J’ai envie de te baiser.
Ici ?
Ben oui, pourquoi pas, c’est tranquille, il n’y a personne.
Tu es un gros cochon de profiter ainsi d’une faible femme. Conclut Angélique d’un air faussement fâché.
Elle s’accroupit devant Stéphane tira son bermuda de bains sur ses chevilles et commença à sucer sa queue glacée, toute recroquevillé d’avoir séjournée dans son bermuda mouillé. Dans sa bouche, elle réchauffa le chibre de son compagnon. Il ne tarda pas à augmenter de volume pour atteindre sa taille normale. Angélique le prit alors dans sa main, caressa la hampe qui durcissait et se tendait, le branla en serrant doucement son poing et décalotta le gland violacé. Elle fit courir la pointe de sa langue sur le gros fruit appétissant, titillant la pointe, glissant sur la collerette. Elle alternait ses caresses légères avec des prises en bouche plus sauvages pendant lesquelles elle pressait la tige de chair entre sa langue et son palais et s’enfonçait dessus jusqu’à avaler complètement le long cylindre dans sa bouche. Angélique suça comme cela son compagnon le dos appuyé contre le tronc rugueux d’un pin. Elle aimait faire monter le désir de son homme de cette façon, s’appliquant à ne pas le faire partir non pas parce qu’elle n’aimait pas recevoir de belles giclées de sperme dans sa bouche mais parce que, à cet instant, elle voulait autre chose. Le « J’ai envie de te baiser » que lui avait dit Stéphane avait, comme à chaque fois, mit le feu à ses sens. Il suffisait que son compagnon lui dise une phrase de ce genre pour qu’elle ait envie. Et ce coquin de Stéphane le savait et en abusait parfois, ce qui les conduisait à baiser dans des endroits parfois insolites.
Ce dont, Angélique avait envie depuis cette petite phrase, s’était de se faire défoncer la chatte, de sentir Stéphane la perforer de son dard conquérant, qu’il remplisse de son pieu, son petit con inondé de mouille, qu’il la lime avec ardeur et qu’il se vide au plus profond de son fourreau palpitant.
Angélique n’eut pas à attendre trop longtemps car elle mit tellement d’habileté dans sa fellation que Stéphane la repoussa doucement et la releva.
Le front appuyé sur son bras replié sur le tronc de l’arbre, penchée en avant, le dos cambré, les jambes écartées, son petit cul rond pointé vers son amant, Angélique s’apprêtait à recevoir l’hommage de son homme.
Stéphane passa un doigt dans sa fente, comme si il avait besoin de vérifier si elle mouillait puis il guida sa queue vers la chatte d’Angélique et la pénétra d’un lent mouvement du bassin. Il la défonça doucement par d’amples allers et retours. Ses mains couraient sur le corps de sa compagne, pétrissant un sein au téton durci par le plaisir, flattant une hanche ronde et ferme. Lui aussi connaissait bien sa compagne, il savait qu’elle ne tarderait pas à se caresser elle-même quand le plaisir deviendrait trop intense, qu’elle se soulagerait en se branlant dès qu’elle aurait envie de jouir. Aussi, il prenait soin à prendre son temps, à la laisser décider elle-même de l’instant où elle voudrait libérer son orgasme. Il n’aurait pas longtemps à attendre car de petits gémissements s’échappaient de la bouche entrouverte d’Angélique. Elle accompagnait les coups de reins de son homme de ses propres mouvements de bassin. Des vagues de chaleurs montaient de son ventre, irradiaient sa poitrine et brulaient ses joues. Son souffle se fit plus fort, plus haletant et sa main libre partit malgré elle vers son bouton de plaisir. Angélique se branla furieusement pendant quelques secondes avant de crier de plaisir, un hoquet rauque, bref, suivi d’un long râle grave. Son corps trembla si fort qu’elle aurait pu tomber si Stéphane ne l’avait pas tenue fermement par les hanches pour lui défoncer violemment la chatte. Lui aussi atteignait son point de non-retour. Ses coups de reins brutaux, qui lui faisaient enfoncer totalement sa queue dans le con frémissant d’Angélique, avaient eu pour but premier de renforcer la jouissance de sa compagne tandis que maintenant ils œuvraient pour son propre plaisir. Stéphane sentait sa queue se gonfler, palpiter et il se lâcha, ouvrit les vannes de son orgasme, libéra le flot de sperme qui lui brulait le ventre. Des jets puissants de semence inondèrent le con d’Angélique, ajoutant le plaisir de son homme à son propre plaisir.
Le lendemain, la température augmenta brutalement. Avec près de 40° en début d’après-midi, impossible de sortir sous peine de cuire sur place, les deux couples décidèrent de faire une petite sieste. Avant de suivre son épouse dans leur chambre au rez-de-chaussée, Michel lui envoya une petite claque sur les fesses en faisant un clin d’œil appuyé à Stéphane qui montait l’escalier. Dans la demi-heure qui suivit, Angélique et Stéphane qui lisait sagement nus sur leur lit, entendirent distinctement des bruits non équivoques sur ce qui se passait dans la chambre du bas. Les vocalises étouffées de Monique leur signifiaient que leurs amis faisaient une sieste « crapuleuse ». Ils se regardèrent en souriant mais la chaleur écrasante les dissuada de les imiter.
La température ne baissa pas le jour suivant et l’après-midi fut un peu morne. Les deux couples sortirent un peu en soirée. Ils firent un tour dans le village du Cap-Ferret, tout à fait à la pointe de la presqu’ile, et dégustèrent une glace après avoir fait le tour des boutiques encore ouvertes malgré l’heure tardive. Ils rentrèrent vers vingt-trois heures et allèrent se coucher. La chaleur dans la chambre de Stéphane et Angélique était vraiment suffocante. Angélique en se couchant avait d’ailleurs prévenu son compagnon :
Steph’, désolée mais il faut tellement chaud que je n’ai vraiment pas envie de baiser.
Rassure-toi, Ange’, pareil pour moi. Je ne sais même pas si je vais pouvoir dormir.
Moi, je suis crevée. Cette chaleur me tue. Bonne nuit, chéri.
Bonne nuit.
Angélique se retourna sur le côté et s’endormit presque aussitôt. Deux heures passèrent pendant lesquelles, Stéphane, en sueur, tenta de trouver le sommeil. En vain.
Il décida de descendre faire un tour dehors, espérant trouver un peu de fraicheur. Il enfila un boxer et un bermuda, sortit de la chambre et descendit l’escalier. Tout cela en essayant de faire le moins de bruit possible. Il sortit dans le jardin, une bouffée d’air un peu plus frais lui sauta au visage. La lune éclairait le jardin d’une pâle lueur. Stéphane se dirigea vers les lits bains-de-soleil avec l’intention de s’y installer et si le sommeil venait, d’y dormir jusqu’à ce que l’aube le réveille.
En approchant, il vit que l’un des lits était occupé et en approchant encore, il constata que l’occupant était Monique. Il s’allongea sur le lit libre.
Tiens, Stéphane, tu viens prendre la fraicheur toi aussi.
Oui, je n’arrive pas à dormir.
Moi non plus. Avec cette petite brise on est mieux ici qu’à l’intérieur.
Ils parlèrent quelques minutes à voix basse. La relative douceur du jardin n’était pas suffisante pour qu’ils se rafraichissent vraiment. Monique lui proposa d’aller marcher sur la plage au bord de l’eau dans l’espoir de trouver une véritable fraicheur. Ils franchirent le petit portillon et se retrouvèrent sur le sable. Ils marchèrent un peu en parlant peu, de l’eau aux chevilles. Alors qu’ils revenaient vers la maison, Monique soupira :
Il fait vraiment une chaleur infernale.
C’est vrai. Dès que l’on quitte le bord de l’eau, on a chaud de nouveau.
Et si on allait se baigner ?
Ce serait une bonne idée mais je n’ai pas mon maillot de bain.
Moi non plus. Répliqua Monique et sans laisser le temps à Stéphane pour réagir elle fit passer sa robe par-dessus sa tête et marcha en direction de l’eau.
Stéphane la regarda s’éloigner d’un pas décidé. Malgré ses soixante printemps, Monique était tout à fait désirable. Sa taille n’était pas empâtée, ses hanches larges ondulaient dans la pâle lueur lunaire, ses jambes n’avaient pas un gramme de cellulite, ses fesses blanches étaient rondes et semblaient fermes. Baisable est le terme exact auquel Stéphane pensa.
Quand il avait fait la connaissance de Monique, une dizaine d’année auparavant, Stéphane l’avait trouvé très à son gout. Mais à l’époque, Michel était déjà son chef et une telle relation aurait probablement donné lieu à des cancans dans leur société avec les conséquences désastreuses pour sa carrière que l’on imagine.
Ensuite il s’était lié d’amitié avec Michel et s’était interdit toute tentative de séduire Monique pour ne pas trahir son ami. Mais il avait continué de marivauder avec Monique sur le ton de la plaisanterie et sous le regard amusé et bienveillant de Michel.
D’ailleurs, quand Michel avait insisté auprès du patron pour que Stéphane lui succède, des mauvaises langues avaient fait courir le bruit que Stéphane avait obtenu cette promotion parce qu’il couchait avec la femme du chef et que c’est celle-ci qui avait orienté le choix de son mari.
Le temps que Stéphane revienne de sa surprise, décide de rejoindre Monique et quitte le peu de vêtements qu’il portait, Monique avait déjà de l’eau aux hanches. Elle plongea et se mit à nager en direction d’un chaland dont les ostréiculteurs se servent pour ramener les huitres depuis les parcs.
Stéphane entra dans l’eau et rejoint Monique qui s’était assise sur le chaland, les jambes pendantes et les mains agrippés sur le bord de chaque côté de ses genoux. Stéphane se hissa et s’assit de la même façon, tout cela en tentant de ne pas trop exposer son sexe à la vue de Monique.
Un long moment de silence s’installa. Stéphane fixait la petite plage qu’il venait de quitter, la maison dans laquelle Angélique et Michel devaient dormir sans rien savoir de la torture qu’il endurait. Car Stéphane était torturé par son désir pour Monique. Monique qui était assise juste à côté de lui, nue, ses seins blancs qui se dressaient fièrement, leurs pointes durcies par la fraicheur de l’eau. Il tentait de maintenir sa bite entre ses cuisses serrées car il sentait bien qu’un début d’érection durcissait son chibre. Et s’il lui laissait la liberté de s’épanouir, sa queue se dresserait fièrement à la vue de Monique, témoin de son désir pour elle.
Stéphane frémit, Monique venait de poser sa main sur sa nuque. Elle rompit le silence d’une voix douce :
Eh, bien, Steph’, tu es bien silencieux.
La queue de Stéphane gonfla un peu plus, douloureusement. Il tourna la tête vers Monique, la regarda d’un air malheureux. Monique approcha son visage du sien, elle avait toujours la main sur sa nuque et l’empêchait de s’éloigner. Elle posa ses lèvres sur les siennes, sa langue força les lèvres de Stéphane, chercha le contact avec sa langue à lui pour un long baiser salé. Stéphane écarta ses cuisses, libéra sa queue douloureuse qui se détendit comme un ressort. Monique se saisit de ce dard qui se dressait pour elle et le serra fortement. Stéphane l’a fit basculer en arrière. Ils roulèrent ensemble sur le pont en aluminium, sans cesser de s’embrasser. Ils se retrouvèrent au milieu du pont, Stéphane entre les cuisses ouvertes de Monique, la queue profondément enfoncée dans son con inondé. Sans s’en être rendu compte, il avait pénétré Monique au cours de leur tendre pugilat. Monique noua ses jambes autour des reins de Stéphane et l’éperonna de ses talons en murmurant :
Baise-moi, baise-moi fort, j’en ai tellement envie.
Stéphane entreprit des mouvements amples, faisant coulisser son pieu dans le fourreau chaud et mouillé de Monique. Elle glissa sa main entre leurs ventres collés et se masturba pendant que Stéphane la besognait. Le désir de Monique était intense, il trouvait ici son aboutissement après de longues années d’attente. Car Monique, depuis qu’elle avait fait la connaissance de Stéphane, avait toujours eu envie de lui et souvent quand elle se caressait, c’était lui l’objet de ses fantasmes les plus torrides. Le désir de Monique était si intense que son plaisir atteint son paroxysme sans que Stéphane ait eu besoin de faire plus de cinq allers et retours. Elle haleta en enfonçant ses ongles dans les flancs de son amant :
Oh, putain… oh putain, c’est bon…c’est trop bon… tu me fais jouir…. tu me fais jouir…. Je jouis, je jouiiiiiis.
Ces paroles allèrent crescendo et le dernier mot se termina dans un cri aigu. Son orgasme provoqua celui de Stéphane. Ses coups de reins augmentèrent de violence, de puissance, il défonçait Monique en soufflant comme un phoque et celle-ci accueillait sa verge ardente au fond de son con en gémissant. La lave brulante monta le long de la tige de Stéphane et jaillit en longs jet dans le ventre de Monique. Les spasmes de l’orgasme se dissipèrent et Stéphane se libéra du ventre de Monique pour s’allonger à côté d’elle.
Monique rompit le silence qui s’était installé :
Je crois qu’on a fait une connerie. Qu’en penses-tu ?
C’est aussi mon avis. Quand je pense que je viens de faire cocu mon meilleur ami. Tu ne peux pas savoir comme je m’en veux de ne pas t’avoir repoussée.
Oh, tu sais pour Michel ce n’est pas un problème. Moi, je pense plutôt à ta femme.
Comment ça, ce n’est pas un problème. Michel est un ami et c’est important…
Monique lui expliqua alors que son mari et elle avaient toujours été très libres l’un envers l’autre et qu’ils ne se privaient pas d’aventures extra-conjugales. En toute transparence. Elle ajouta, qu’elle avait mis son mari au courant de son attirance pour Stéphane dès le début. Mais qu’ils avaient convenus, Michel et elle, que comme Stéphane était le collègue et le collaborateur de Michel, qu’il ne valait mieux pas tenter de séduire le jeune homme d’alors. Elle termina son explication en ajoutant :
Voilà pourquoi, le problème n’est pas Michel, il sera même ravi que d’apprendre nous avons pris du plaisir ensemble. Mais moi, je pense à Angélique. Si jamais, elle découvrait ce qui vient de se passer, j’ai peur que cela crée des difficultés dans votre gentil petit couple.
Stéphane éclata de rire. Et sous le regard étonné de Monique, il lui dévoila que le couple qu’ils formaient avec Angélique fonctionnait sur le même mode de liberté que le sien. Il ajouta que sa compagne était également au courant de l’attirance qu’il avait pour elle. Monique roula sur lui, frotta ses seins ronds sur sa poitrine et colla son ventre contre le sien, elle lui chuchota d’une voix enjouée :
Alors tout va bien, nous allons pouvoir baiser comme des bêtes tous les deux et surtout sans scrupule. Même si j’ai bien aimé tout à l’heure, j’ai trouvé ça un peu rapide. Pas toi ?
Si moi, aussi.
Et j’y pense, Est-ce que tu sais si Angélique aimerait coucher avec Michel ? Tu sais que ta femme lui plait beaucoup.
Je ne sais pas. Nous n’en avons jamais parlé. Je lui demanderai.
Tu vas lui dire, pour nous deux ?
Bien sûr. Comme tu vas en parler à Michel, je suppose.
Absolument. Mais bon, si on passait maintenant aux choses…pas sérieuses.
Monique se releva sur les genoux et branla un peu Stéphane. Elle avait manifestement envie de faire reprendre de la vigueur à son membre viril. À ce moment-là, un éclair déchira le ciel et juste après le tonnerre fit trembler le chaland. Une grosse goutte s’écrasa sur le pont. Prudent, les deux amants décidèrent de rentrer, ils nagèrent rapidement jusqu’à la plage, récupérèrent leurs vêtements et coururent se mettre à l’abri. Ils entrèrent dans la maison juste avant que le déluge de pluie ne se déchaine.
Bon, je crois qu’il nous faut remettre à plus tard notre partie de jambes en l’air. Dit Monique.
Tu as raison. A demain, dors bien. Approuva Stéphane.
Ils s’embrassèrent tendrement et chacun regagna sa chambre. En entrant dans la chambre, Stéphane trouva Angélique assise sur le lit, sa lampe de chevet allumée :
Ah, c’est toi. L’orage m’a réveillée. Tu étais où ?
Dehors, je prenais le frais. Avec cette chaleur, je ne pouvais pas dormir.
Tu as vu quelqu’un ? je t’ai entendu parler.
Oui, Monique, qui ne dormait pas non plus. Nous nous sommes baignés pour nous rafraichir et puis nous avons baisé sur une barque d’ostréiculteur.
Tu as baisé Monique ! Tu m’avais pourtant dit que tu ne voulais pas parce qu’elle était la femme de ton ami !
Angélique n’était pas fâchée seulement surprise. Stéphane lui raconta tout et Angélique était ravie que son compagnon ait maintenant l’occasion d’assouvir ce qui au fil des ans était devenu un fantasme pour lui. Quand Stéphane lui demanda, comment elle trouvait son ami, elle répondit en souriant :
Hummm, pourquoi pas. Malgré son âge, Michel reste très séduisant. Mais nous verrons cela demain, comment les choses tournent. J’ai sommeil.
Ils s’endormirent pendant que l’orage s’éloignait, laissant une atmosphère rafraichie.
Le lendemain, la température était revenue à un niveau agréable. Les deux couples firent une petite grasse matinée et c’est en milieu de matinée qu’ils se retrouvèrent tous sur la terrasse pour le petit déjeuner. Michel prit Stéphane à part pour lui dire que Monique lui avait raconté les évènements de la nuit. En tapant sur l’épaule de son ami, il lui dit en souriant :
C’est vraiment super, tout ça. Je suis content pour vous deux. Tu crois qu’Angélique et moi, ce serait possible ?
Pourquoi pas, mon vieux ! C’est à elle de décider mais je suis sûr que tu as tes chances.
Ils passèrent la matinée au marché d’une petite ville voisine. Stéphane remarqua que Michel se montrait très charmeur avec Angélique. Et celle-ci répondait à ses avances, ses plaisanteries par des petits rires de gorge qui ne trompait personne. Il eut l’occasion de parler de cela avec Monique qui, amusée, regardait son mari dérouler son entreprise de charme en direction de la jeune femme. Ils convinrent tous les deux qu’entre Michel et Angélique l’affaire semblait bien engagée.
Après le déjeuner, Michel prétexta la mauvaise nuit qu’il avait passée pour s’octroyer une petite sieste et il alla dans sa chambre. Monique, Angélique et Stéphane terminèrent de ranger la vaisselle et, sitôt fait, Angélique les abandonna, sans un mot, pour se rendre dans la chambre où Michel venait d’entrer quelques minutes plus tôt.
Elle referma la porte derrière elle, doucement. Michel lisait un magazine sur le lit. Son grand corps sec était totalement nu. Angélique remarqua qu’il était déjà en proie à une belle érection, sa queue se dressait sur son ventre, atteignant presque son nombril. Elle sourit en pensant que Michel devait être sûr de lui, sûr qu’elle viendrait le rejoindre, même si il ne lui avait pas demandé directement. Elle se rappela qu’elle avait répondu sans équivoque à son entreprise de charme du matin, qu’elle ne s’était pas dérobée quand il lui avait caressé les fesses devant l’étal du poissonnier. Quand il avait révélé à la cantonade son besoin de dormir, c’est elle qu’il avait regardé fixement de ses yeux bleus.
Michel baissa son magazine et la regarda par-dessus ses lunettes de lecture. Sans un mot, il ferma le journal, le posa sur la table de nuit et plaça ses lunettes par-dessus.
Angélique remarqua aussi que son sexe était totalement rasé. Rare qu’un homme se rase le pubis ! Ce sexe nu, ces bourses imberbes l’excitèrent. Elle fit glisser le zip de sa jupe longue qui tomba sur ses chevilles. Elle s’en débarrassa d’un petit mouvement du pied puis elle fit glisser ses mains sous son tee-shirt en le remontant. Elle dévoila ses seins nus en les pétrissant des deux mains, se pinçant les tétons, les faisant rouler entre ses doigts. Elle fit glisser son haut par-dessus sa tête et continua de se caresser la poitrine. L’érection de Michel augmentait à vue d’œil.
Monique et Stéphane avaient regardé, d’un air amusé, Angélique se diriger vers la chambre où était Michel. Ils attendirent quelques minutes puis Stéphane enlaça Monique en lui disant « Viens ! ». Et il l’entraina vers l’escalier qui montait à l’étage. Il ouvrit la porte et poussa Monique dans la pièce avant de refermer la porte derrière elle.
Stéphane enlaça, par derrière, la taille de Monique et déposa dans son cou une rafale de petits baisers. Tout en dénouant le nœud qu’elle avait fait avec les deux pans de son chemisier, il lui mordilla le lobe de l’oreille. Une fois le chemisier ouvert largement, il lui quitta et fit glisser les bretelles de son soutien-gorge sur les bras. Il tira ensuite sur les deux bonnets pour extraire les deux melons de chair blanche. Il les pétrit de ses deux mains, lentement, doucement, puis il alterna avec des douces caresses, des effleurements sur la peau douce et fine des globes, et sur les tétons érigés, durs et fermes. Monique avait dégrafé son soutien-gorge et l’avait laissé tomber par terre.
Stéphane s’attaqua ensuite au jean en déboutonnant la ceinture et en ouvrant la braguette. Monique portait un jean « slim » qui refusait de descendre facilement. Stéphane fit basculer Monique sur le lit et lui arracha jean et petite culotte dans le même mouvement.
Angélique se caressait la poitrine, elle adorait se caresser devant un homme. Beaucoup d’hommes aiment regarder une femme qui se donne du plaisir, Stéphane en particulier appréciait ce spectacle et Michel ne semblait pas déroger à cette règle. Angélique était toujours très excitée de constater l’effet qu’elle produisait sur un homme et avec Michel, elle était vraiment très excitée car maintenant le chibre de Michel semblait avoir atteint sa taille maximum. Elle fixait avec gourmandise, cette belle queue, longue, épaisse, légèrement arquée dont le gland violacé contrastait avec la blancheur de la peau de la hampe. Cette queue qui oscillait au gré des contractions et qui tenait seule inclinée, sans appui sur le ventre, par sa simple rigidité, lui faisait envie.
Angélique laissa une main descendre sur son ventre, suivre la fine dentelle de son shorty avant de glisser jusqu’à son entrejambe. Sa culotte était trempée. Elle fit des petits mouvements circulaires en appuyant du bout de ses doigts sur son mont-de-vénus. Des ondes de chaleur montaient de son ventre. Elle se caressa un peu comme cela, puis elle glissa sa main à l’intérieur de sa culotte. Angélique sentait monter son plaisir au gré des caresses qu’elle s’appliquait. Son majeur glissait entre ses petites lèvres gonflées de sève, s’attardait sur son petit bouton dardé, s’égarait dans son con d’où suintait sa lubrification chaude et gluante.
Michel, toujours impassible sur son lit, regardait cette belle femelle en chaleur se donner du plaisir. Il avait toujours trouvé Angélique à son gout. Il avait espéré la baiser dès qu’il avait fait sa connaissance mais l’occasion ne s’était pas présentée. Et il y avait renoncé quand il avait appris qu’elle était en couple avec son ami. Il avait fallu les évènements de la nuit précédente, que Stéphane et Monique baisent ensemble et la cascade d’explications et de clarification que cela avait engendrée pour qu’il reprenne espoir d’assouvir son désir pour cette fille superbe. Il sourit en évoquant tout cela. Il était content que son ami et sa femme ait enfin eut l’occasion de prendre du plaisir ensemble. Il était satisfait de penser qu’en ce moment, pendant qu’il regardait Angélique se branler devant lui, son ami et sa femme devaient déjà être ensemble quelque part dans la maison.
Michel voyait juste car Monique était justement de sucer la queue de Stéphane. Elle s’était assise sur le lit et baissé le bermuda et le boxer de Stéphane. Elle avait pris sa queue dans sa bouche immédiatement. Les deux mains cramponnées à ses fesses, Monique faisait coulisser sa bouche sur son chibre. Stéphane la laissa faire quelques instants avant de la repousser et de la faire basculer à nouveau sur le lit. Il s’empara de ses chevilles et en se baissant posa les jambes de Monique sur ses épaules. Il put alors sucer à son aise son minou tout lisse. De sa langue, il écarta la douce dentelle des petites lèvres, fit glisser celle-ci au fond de la vallée ouverte de sa fente, l’enfonçant le plus profondément possible dans son con ouvert et en remontant excitait son clitoris. Monique laissait son bassin onduler sous la caresse qui la faisait gémir. Elle avait pris ses jambes et les remontait le plus possible en les écartant, offrant sa chatte à son jeune amant. Son fourreau palpitait de plaisir, ses abdominaux et son périnée se contractait, son dos se cambrait. Elle savait que sa jouissance était imminente. Elle n’y résista pas, s’abandonna au plaisir dans un long gémissement.
Stéphane se redressa et enfila Monique d’un seul coup de reins brutal. Monique gémit encore de se sentir remplie, de percevoir le chibre de Stéphane au fond de son con. Elle noua ses jambes derrière les reins du jeune homme et l’attira encore plus profondément en elle. Stéphane baisa Monique. Il suçait ses petits seins aux tétons dressés. Il l’embrassait à pleine bouche en la besognant avec des « han » de bucheron. Monique eut un nouvel orgasme. Stéphane continua de la défoncer jusqu’à ce que des jets de sperme jaillissent de sa queue.
Angélique se fit jouir. Un orgasme rapide qui lui tira juste un petit cri, pendant que ses doigts s’agitaient sous la dentelle de sa culotte. Michel restait toujours aussi impassible, en apparence. Seuls les mouvements de balancier de sa queue dressée témoignaient de l’excitation que lui procurait le spectacle que lui offrait Angélique.
Angélique était un peu vexée de n’avoir pas pu provoquer une réaction plus évidente chez Michel. Elle espérait, en se branlant devant lui, qu’il lui saute dessus, qu’il la couche en travers du lit et lui fasse subir un viol parfaitement consenti. Au moins, il aurait pu se branler en même temps qu’elle. Elle fixa Michel et leurs regards se croisèrent. Une lueur de défi passa dans leurs yeux. Angélique répondit au sourire de Michel par un sourire carnassier.
Tu veux voir de quoi je suis capable, hein ? Eh bien, je vais te sortir le grand jeu ! Se dit-elle comme un défi.
Elle s’allongea à plat ventre entre les longues jambes maigres de Michel. Et s’appuyant sur les coudes, elle releva sa queue du bout des doigts de ses deux mains, sans enserrer la hampe rigide. Elle commença ensuite à faire glisser la pointe de sa langue sur le gland violacé. Sans jamais prendre le membre dans sa bouche, sans jamais serrer son chibre dans son poing, elle agaça consciencieusement sa grosse fraise de sa langue et du bout de ses lèvres. Cela dura longtemps mais elle sentait que les petits coups de reins que Michel donnait pour tenter de lui faire avaler sa bite devenaient plus fréquents, plus insistant. Elle s’échappait à chaque fois, refusant de le prendre en bouche. Même quand il lui posa la main sur le crâne, elle se déroba et repris son manège. Sa langue glissait sous la collerette du gland, titillait la pointe par petites touches. Michel n’en pouvait plus. Jamais on ne lui avait fait une pipe de cette façon. Cette fille le suçait de manière divine. Il sentait ses couilles contractées, dures comme deux cailloux. Il avait l’impression d’avoir une quantité énorme de sperme brulant et sous pression à la base de sa queue.
Le grand corps de Michel se contracta brutalement pendant qu’un premier jet de semence jaillit de sa queue qu’Angélique maintenait verticalement. Il monta haut et retomba sur le ventre de Michel suivit d’un deuxième qu’un râle sourd accompagna. Les suivants s’écoulèrent le long de sa tige comme la cire s’écoule d’une bougie. Angélique récupéra de la pointe de sa langue ces gouttes de crème grasse à la saveur salée et acre. Elle enfourna enfin la queue encore palpitante dans sa bouche pour bien finir de le pomper. Puis quand la source se tarit, elle lécha le ventre de son amant pour en faire disparaître toutes les traces de son plaisir.
Dans la chambre à l’étage, Monique et Stéphane avaient récupéré, allongés côte à côte. Ils n’étaient pas encore repus, et Monique se retourna vers Stéphane pour lui poser de petits baisers rapides sur ses lèvres. Elle faisait courir ses doigts sur la poitrine du jeune homme et laissa sa main descendre sur le ventre plat à la recherche de sa queue. Elle joua un peu avec le cylindre gonflé mais encore flasque qui reprit rapidement de la rigidité. Quand elle jugea l’érection de Stéphane suffisante, elle s’allongea sur lui et en gigotant un peu, en faisant bouger son bassin, elle réussit à faire pénétrer sa queue redevenue rigide dans son con. Elle replia alors ses jambes et en se redressant, elle s’appliqua à faire coulisser son fourreau gluant sur la queue de Stéphane. Monique se caressait les seins et la chatte en même temps qu’elle faisait des mouvements de piston. Stéphane accompagnait ses mouvements en la tenant par la taille et en se soulevant sur ses talons pour bien enfoncer son chibre dans le con accueillant de Monique. Le plaisir de Monique revenait au galop, ses mouvements se faisait plus rapide, les caresses sur sa chatte plus précises, ses gémissements plus forts. Les spasmes de l’orgasme la saisirent, elle trembla de tout son corps et cria pendant que Stéphane lui pilonnait le con frénétiquement. Elle tomba en avant en criant. Stéphane laissa passer l’orage de ses sens et repoussa doucement Monique à plat ventre. Il passa ensuite derrière elle et la prenant pas les hanches il la fit se relever. Il enfonça sa queue dans son abricot encore palpitant de plaisir, il la ressortit gluante de mouille et de sperme et dirigea son gland vers la rosette de Monique. Il appuya la pointe son dard sur sa rondelle et attira le cul de Monique vers lui. Elle gémit de se faire pénétrer par la petite porte. Elle sentait ce chibre qui bousculait ses chairs, dilatait son cul et s’enfonçait en elle inexorablement. Il repoussa ce joli cul de ses deux mains pour mieux l’attirer, plus fort, plus vite encore que la première fois. Monique exprimait son plaisir par des cris rauques à chaque fois que Stéphane l’embrochait profondément sur son dard. Stéphane, dans ses fantasmes, avait toujours rêvé d’enculer Monique. La réalisation de ce désir le rendait fou de plaisir. Même si il s’était vidé quelques minutes avant, il sentait sa queue palpiter dans le petit cul serré de Monique. Il accéléra les mouvements qu’il imposait à Monique, provoquant son plaisir. Monique cria de plaisir et les contractions de son cul firent un massage sur la queue de Stéphane qui le firent exploser. Les cris rauques de Monique montèrent dans les aigus quand les jets de semence envahirent son ventre et que Stéphane lui laboura vigoureusement les reins.
La fellation qu’Angélique avait faite à Michel ne l’avait pas calmé. Bien au contraire, après avoir joui, il n’avait pratiquement pas débandé. Et il avait faim de cette belle garce qui l’avait sucé aussi divinement. Il attira Angélique vers lui, lui posa sa culotte sans ménagement, se coucha entre ses cuisses ouvertes et l’enfila brutalement. Angélique reçu son dard au fond de son con avec un gémissement de plaisir et de victoire. Enfin, se dit-elle, tu te décides à me baiser. J’ai réussi à faire de toi un bouc en rut. Elle était bousculée par les coups de reins violents de Michel qui la défonçait comme un sauvage. Angélique glissa sa main entre leurs ventres et se masturba un peu. Mais, dans l’état d’excitation qui était le sien, elle n’en aurait pas eu besoin car les violents mouvements de piston dans son con provoquèrent rapidement un bel orgasme qui la fit crier de jouissance. Michel continua à la besogner sans ralentir la cadence. Angélique avait la chatte en feu et elle jouit de nouveau au bout de quelques instants en criant de nouveau et en plantant ses ongles dans le dos de son amant. Michel se comporta réellement comme un bouc en rut. Sans attendre qu’Angélique ne revienne de ses deux orgasmes successifs, il se retira, la retourna sur le ventre, attira son joli cul vers son dard qu’il enfonça entre ses fesses. Angélique adorait se faire enculer, la brutalité de cette sodomie, ce viol sauvage qu’elle avait voulu et provoqué, ce manche qui s’enfonçait dans son petit trou la firent crier de nouveau. Michel l’encula longuement, comme fou de désir, il malaxait les seins ballotant d’Angélique, lui envoyait de petites claques sur les fesses qui faisaient se resserrer son cul sur son dard. Angélique avait atteint un état d’orgasme permanent, c’est à peine si les caresses que Michel infligeait à son clitoris hyper-sensible lui arrachaient des cris de plaisir. Elle sentit à peine, les longs jets de sperme se répandre dans son ventre, elle jouissait, n’était qu’une boule de plaisir, qu’un cul défoncé. Ils s’écroulèrent l’un sur l’autre, rassasiés de sexe, repus de jouissance.
Monique et Stéphane terminèrent de prendre leur douche, prétexte à quelques petites câlineries furtives, presque amicales. Ils avaient entendu l’un et l’autre les vocalises d’Angélique et depuis quelques minutes le silence était revenu.
Michel se releva, son sexe qui s’était recroquevillé dans le cul d’Angélique s’en échappa. Il caressa le dos d’Angélique du bout de ses doigts :
Excuse-moi d’avoir été aussi brutal. La pipe que tu m’as faite m’a rendu fou.
Ne t’inquiète pas. J’ai vachement apprécié de me faire baiser comme une chienne. Ça t’a plu ?
Ouais, beaucoup. Il faudra que tu en parles à Monique.
Michel et Angélique s’embrassèrent longuement. Un long baiser tendre qui contrastait avec le moment de folie qu’ils venaient de vivre. Ils allèrent prendre une douche et rejoindre Monique et Stéphane qui les attendait dans le salon.
Durant la soirée, ils parlèrent un peu de ce qui se passait à la boutique. Angélique parla de Katia, raconta l’histoire de son amie d’enfance, de leur retrouvailles et des moments de plaisirs qu’ils prenaient ensemble. Elle leur dévoila aussi que Dolores avait beaucoup changée, qu’elle était devenue très féminine et n’hésitait pas à participer à leurs jeux érotiques. Cela laissa Monique et Michel sans voix, incrédules. Angélique, pour les convaincre, leur montra quelques photos de Dolores qu’elle avait faites avec son téléphone. Parmi ces photos, on la voyait baiser avec Clémence. Michel sembla porter un intérêt particulier à la jeune vendeuse. Monique se moqua gentiment de son mari en précisant qu’il était très attiré par les jeunettes.
Le lendemain était le jour du retour à Paris pour Angélique et Stéphane. Les deux garçons embrassèrent les deux filles. Stéphane et Michel se serrèrent la main. Monique chuchota à l’oreille d’Angélique en lui faisant la bise :
Il parait que tu fais des pipes extraordinaires. Il faudra que tu m’apprennes, ma chérie. Et puis, nous deux, ça pourrait être sympa.
Monique et Michel promirent de venir bientôt les voir.

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