Histoire Erotique

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Dentelles et chiffons 6 : L’avocat.

Les neveux de son défunt mari font des difficultés à Katia à propos de son héritage. Elle est obligée de prendre un avocat…elle le gardera. Lire les épisodes précédents.

Proposée le 14/04/2016 par Marc Paul

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Thème: Jeu érotique
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Katia ressortit du tribunal, radieuse, rassurée, enfin détendue après les mois d’angoisse qu’elle venait de vivre.
Quelques mois auparavant, elle avait reçu une assignation en justice de la part des neveux de son défunt mari. Ils contestaient le testament de leur oncle qui cédait la moitié de sa fortune à Katia. Elle prit contact avec un avocat et lui demanda de l’assister. Katia se remémorait sa première rencontre avec Martin. Sa surprise devant le géant à la peau foncée et au crâne rasé qui la faisait entrer dans son bureau. Martin la rassura après avoir consulté les documents que lui avait remis Katia. Rien ne pouvait empêcher Katia de disposer de l’argent que lui avait laissé son mari. Cependant il s’appliqua à étudier consciencieusement le dossier et à peaufiner son argumentaire. Martin mit d’autant plus de cœur à l’ouvrage que cette grande et belle fille blonde lui plaisait vraiment beaucoup.
Katia glissa son bras sous celui de son avocat. Elle lui dit avec un large sourire :
Merci pour tout, cher maitre, je ne sais pas si cela est conforme à la déontologie mais j’ai très envie de vous inviter à diner. Sauf si vous avez d’autres obligations…
Ce soir, je suis disponible. Et rien dans la déontologie ne m’interdit d’accepter. Donc j’accepte. Mais sous la condition que vous arrêtiez de me donner du « Cher maitre », mon prénom est Martin, vous le savez d’ailleurs.
Ils tombèrent d’accord sur un restaurant voisin. Le diner fut gai et Katia débarrassée de ses soucis se laissa aller à parler de sa vie. Martin apprit les détails qu’il ignorait encore. Katia lui parla de son amie Angélique, de leur enfance, de Stéphane, de la boutique de lingerie. Ensuite elle questionna Martin sur lui. Il lui révéla son origine martiniquaise, lui parla de ses études à Paris et un peu du cabinet d’avocats dans lequel il venait de devenir associé. Mais parmi les confidences que lui fit Martin, Katia retint essentiellement le fait qu’il était célibataire. Si elle avait été attirée tout de suite par ce métis qui la dépassait d’une tête, ses soucis avaient pris le dessus et occupés la totalité de son esprit. Maintenant que les soucis étaient derrière elle, elle avait une envie folle de prendre du bon temps avec cet homme charmant, qui était en train de lui faire une cour soutenue.
En sortant du restaurant, ils longèrent la Seine sur les quais, passèrent sous le Pont-Neuf. Martin passa son bras autour des épaules de Katia et celle-ci glissa le sien autour de sa taille. Ils continuèrent avant de se trouver bloqués par une grille verrouillée. Il faisait nuit noire et il n’y avait personne à proximité. Leur discussion s’arrêta net comme bloquée elle aussi par la grille.
Dans un mouvement commun, ils se retrouvèrent face à face. Le bras de Martin tomba des épaules de Katia pour enlacer sa taille. Katia posa ses mains sur les épaules de son avocat. Ils se regardèrent longuement, les yeux dans les yeux. Le regard de braise de Martin cherchant dans le bleu des yeux de Katia l’acceptation de ce qu’il avait une furieuse envie de faire depuis de long mois. Katia soutint son regard, mettait dans le sien toute l’envie qu’elle avait, elle aussi de succomber au charme de son avocat.
Martin se décida enfin à mettre fin à ce moment intense en posant ses lèvres charnues sur la bouche de Katia. Elle lui offrit sa bouche, lui donna sa langue pour qu’il joue avec. Ils s’embrassèrent longuement, encore et encore, après avoir fait de multiples pauses silencieuses pour reprendre leur souffle. Martin avait doucement repoussée Katia vers le mur qui bordait le quai. Elle s’y était adossée. Les mains de l’avocat flattait ses flancs, sa taille, ses hanches. Celles de Katia lui caressaient la nuque, le cou. Elle frôlait son torse musclé, sentant sous sa paume les pectoraux puissant de Martin.
Petit à petit, tout en continuant de l’embrasser, Martin lui avait remonté la jupe du tailleur strict de circonstance. Katia frémissait de sentir sa main sur sa cuisse nue, ses doigts qui jouaient avec ses jarretelles. Pourtant elle se bloqua :
Tu ne crois pas que nous devrions aller ailleurs ?
Pourquoi ? Je trouve cet endroit tout à fait charmant et romantique à souhait. A cette heure-là et ici, il n’y a aucune chance que quelqu’un passe. Regarde ! Il n’y a personne.
Katia jeta un regard circulaire. A sa droite, la grille fermée qui leur avait barré le chemin, à sa gauche le quai désert qui passait sous le Pont-Neuf. Au-dessus, un petit parc qui devait être fermé lui aussi à cette heure tardive. Et en face d’elle, la Seine, large espace uniforme et sombre avec sur l’autre rive quelques péniches. Personne pour les surprendre, personne pour interrompre le moment intense que son corps désirait. Elle retrouva le regard de Martin, pour lui murmurer en souriant :
Tu as raison, c’est désert et très romantique. Mais c’est surtout terriblement excitant.
Ça t’excite toi aussi ?
Oh, oui. Énormément. Baise-moi !
Martin ne se fit pas prier. Katia sourit quand elle sentit ses doigts agripper l’élastique de son boxer. Elle pensa qu’elle aurait mieux fait de suivre les conseils d’Angélique.
En début d’après-midi, alors qu’elle se préparait pour aller au Palais de Justice, elle était dans un tel état de stress qu’elle ne savait pas comment s’habiller. Angélique était venue à son secours et devant son dressing, elle l’avait aidée à choisir sa tenue. Un tailleur gris, strict, qu’Angélique avait qualifié de « tenue de circonstance pour rencontrer un juge ». En regardant son amie s’habiller, elle avait plaisanté pour la détendre un peu :
Tiens ! tu mets une culotte ! Pourtant tu m’as bien dis ton intention de séduire ton bel avocat. Tu as changé d’avis ?
Ben, non. Mais je ne peux quand même pas « rencontrer un juge » comme tu dis, avec la chatte à l’air. Tu ne crois pas ?
Bofff, le juge n’ira pas mettre son nez sous ta jupe. Alors que ton bel avocat…lui… il pourrait avoir envie d’y mettre autre chose que son nez…
Et c’est bien que j’espère. Mais pour cette fois, il devra faire avec ma jolie culotte blanche. Et puis justement, avec une culotte, ça fait plus sage, moins salope.
Ah tiens donc. Si je te comprends bien, ton Martin, ce n’est pas juste un petit coup vite fait. Tu as envie que ça aille au-delà ?
Ouais…enfin si il est libre. Sinon, au mieux ce sera juste une fois…mais bon, on verra bien.
Tu me raconteras ?
Bien sûr. Comme d’hab’
Sa culotte tiré par Martin se retrouva sur ses cuisses. Katia l’aida à l’en débarrasser en levant haut ses jambes pour les libérer. Martin roula sa culotte en boule et la glissa dans la poche de son pantalon.
Katia ouvrit son pantalon et en sortit son chibre déjà gonflé et dur. Il était d’une belle taille, long et droit, rigide et doux. Sa main en faisait à peine le tour.
Martin lui souleva une jambe et elle la passa derrière ses reins. Il la souleva un peu de ses deux mains sous ses fesses pendant qu’elle guidait sa queue vers son con accueillant, inondée d’une mouille abondante. Martin la laissa redescendre doucement, la faisant s’empaler sur son dard. Katia sentit son membre se frayer un chemin dans son ventre. Dilatée par cette bite d’une taille peu courante, elle gémit de plaisir.
Martin la baisait doucement, tendrement. Il alternait des séquences de lents et amples allers et retours avec de brefs instants de petits coups de reins rapides. Excitée de se faire baiser dans un lieu public, Katia était aux anges. Ses gémissements devenaient de plus en plus forts et continus. Pourtant elle ouvrait parfois les yeux et jetait un regard circulaire pour vérifier que le quai restait désert. Elle remarqua un bateau-mouche qui approchait mais la pénombre qui les enveloppait la rassura.
Katia s’abandonna à l’extase, son orgasme devenait de plus en plus impérieux et elle se laissa submerger par les ondes de plaisir quand ils furent pris dans le faisceau de lumière du bateau-mouche. Martin qui avait senti le plaisir de Katia imminent avait entrepris de la défoncer à grands coups de reins.
Des exclamations, des cris d’encouragements, des applaudissements même fusèrent depuis le pont du bateau qui passa à quelques mètres d’eux. Enveloppés de la lumière crue du projecteur, Katia jouit en criant. Il était trop tard pour retenir son plaisir, d’autant plus que Martin la besognait avec ardeur et que les spasmes de son chibre annonçaient son plaisir à lui aussi. Il se vida en grognant dans le con de Katia alors que le faisceau du projecteur continuait sa route et les faisait replonger dans la pénombre.
Quelques jours plus tard, Katia réunit Angélique, leur deux employées et Stéphane. Elle leur annonça avec beaucoup de solennité qu’elle entamait une relation sérieuse avec son ancien avocat et que, parce qu’il n’était pas encore au courant des relations qu’elle entretenait avec eux, elle avait décidé de lui être fidèle. Elle leur avoua qu’elle comptait bien l’en informer mais qu’il lui faudrait un peu de temps et surtout, elle ne pouvait pas prévoir sa réaction à cette révélation de sa vie sexuelle. Donc elle avait décidé de ne plus baiser avec eux pendant quelque temps.
Cette annonce rendit tout le monde un peu triste car Katia était pour eux une partenaire de jeux exquise. Angélique fût la plus touchée de cette annonce car elle avait retrouvé avec Katia, l’amie et l’amante de sa jeunesse. Elle gardait l’amie mais perdait l’amante.
Quelques semaines plus tard, qui parurent longues à tous sans Katia qui désertait souvent son appartement pour vivre au plus près de Martin, Katia invita Angélique et Stéphane chez elle à venir passer une soirée avec Martin. Il y avait un match de foot à la télé et Martin ne voulait pas le manquer. Comme Stéphane était lui aussi un passionné, elle avait convenu avec son amie qu’il serait beaucoup plus agréable pour elle de passer la soirée toutes les deux pendant que leurs hommes trépigneraient devant la télé en buvant des bières. Elles sortirent toutes les deux pour aller au cinéma, laissant Stéphane et Martin devant la télé. Elles rentrèrent au milieu de la deuxième mi-temps. Les deux hommes se chamaillaient gentiment car ils ne supportaient pas la même équipe. Elles allèrent dans une chambre pour papoter tranquillement.
Le match terminé, Martin se dirigea vers les toilettes. Quand il revint, il resta dans l’embrasure de la porte et appela Stéphane à voix basse :
Stéph’. Viens voir. Mais ne fait pas de bruit.
Stéphane le suivit en silence dans le couloir. Martin s’arrêta devant une porte entrebâillée et la poussa doucement pour l’ouvrir un peu plus. Stéphane regarda et vit Angélique et Katia en 69 sur le lit. Martin chuchota :
Joli spectacle. Tu ne trouves pas.
Très joli, en effet. Tu n’as pas l’air surpris. Katia t’a parlé ?
Ouais, elle m’a tout raconté. Elle et Angélique et tout ce qui ce passe à la boutique.
Et alors ?
C’est super. Et j’aimerais bien que vous m’acceptiez dans votre petite « famille ». C’est un peu pour ça que vous êtes ici, ce soir avec Angélique.
En ce qui me concerne, pas de soucis, mon pote. Pour les filles, il faudra voir avec elles. Mais je suis sûr que tu seras le bienvenu.
Ça ne t’ennuie pas ?
Pas du tout. Au contraire, un peu d’aide pour satisfaire ces quatre femelles ne sera pas de trop. Et si tu veux, tu peux même baiser ma femme ce soir, si elle est d’accord évidemment.
Merci, tu es un frère. Et toi, tu peux baiser Catherine, mais tu n’as pas eu besoin de ma permission pour le faire depuis longtemps.
C’est vrai mais depuis que vous êtes ensemble, Katia et toi, elle n’a pas baisé avec aucun d’entre nous.
Je sais tout cela et je la crois. On les dérange maintenant ?
Attends un peu, on va les mater jusqu’à ce qu’elles jouissent. C’est pas désagréable non plus.
Ouais, tu as raison.
Ils ouvrirent un peu plus la porte pour mieux profiter du spectacle que les deux femmes leur offraient.
Ils n’eurent pas longtemps à attendre car Angélique et Katia se firent jouir très vite. Angélique, qui chevauchait son amie releva la tête et aperçu les deux hommes qui se branlaient en les regardant. Sans dire un mot, elle s’allongea à côté de Katia, qui récupérait de son orgasme. Elle l’embrassa et lui murmura à l’oreille. Katia ouvrit les yeux et vit elle aussi son homme et Stéphane, tous les deux la bite sortie, dure et rigide et qui se branlaient en les regardant. Katia leur dit :
Eh bien, les mecs ! On profite du spectacle. Plutôt que de vous branlez comme deux voyeurs, vous pourriez peut-être nous faire honneur. Ange et moi, on a très envie de profiter de vos belles queues.
Les deux garçons ne se firent pas prier de rejoindre leurs compagnes respectives. Martin s’allongea à coté de Katia et Stéphane rejoint Angélique qui protesta :
On ne va tout de même pas baiser en couple côte à côte. Katia, tu me prêtes ton Martin et moi je te passe Stéphane. Tu es d’accord.
Tout à fait, mon Ange. Ça nous rappellera nos dix-huit ans quand on échangeait nos mecs.
Martin et Stéphane protestèrent en plaisantant :
Ben alors, on ne nous demande pas notre avis. Dit Stéphane
Ouais, c’est vrai ça, après tout peut-être que je n’ai pas envie de baiser Angélique, moi. Ajouta Martin.
Ce à quoi Katia répondit sur le même ton :
Ah oui. Ce n’est pas toi, mon chéri qui, depuis quelques jours, me rabâche que tu aimerais tellement sauter ma copine ?
Après un éclat de rire général, Stéphane s’allongea à coté de Katia et Martin à côté d’Angélique. Heureusement le grand lit « King Size » de Katia pouvait accueillir tout le monde. Stéphane et Katia se connaissaient suffisamment pour savoir ce que l’autre appréciait, ils ne perdirent pas de temps en découvertes. Alors qu’Angélique et Martin se découvraient.
La jeune femme était un peu impressionnée par la taille de membre viril de l’avocat. Pourtant, dès le lendemain de l’audience, Katia lui avait raconté leur première rencontre physique au pied du Pont-Neuf, cédant à la curiosité de son amie d’enfance :
Alors Katia, comment c’est passé ta rencontre avec le juge.
Super bien, je suis tranquille maintenant. Il a confirmé la validité du testament de mon mari. Mon avocat a fait un boulot extraordinaire. Si bien, que les neveux de mon mari n’ont pas jugé bon de faire appel. Martin avait si parfaitement préparé l’audition que leur avocat leur a conseillé de laisser tomber l’affaire.
Et ensuite ?
Comment ça ensuite ? L’affaire est réglée, terminée, finie…
L’affaire, oui. Mais ton Martin ?
Eh bien, « mon » Martin, comme tu dis, est un homme charmant, très agréable. Je l’ai invité au restaurant pour célébrer notre victoire et ensuite on a été faire une petite promenade sur les quais.
Et c’est tout…
Ben non, ce n’est pas tout. On a baisé avant d’aller chez lui, puis on a passé le reste de la nuit ensemble.
Vous avez baisé sur les quais ?
Oui, c’était génial, à la fois romantique et excitant. Il m’a prise debout, il est très costaud. Et le plus drôle, c’est qu’au moment où j’ai joui un bateau-mouche est passé et nous a éclairés avec son projecteur. J’ai vraiment joui comme une folle et ensuite, chez lui, ça été encore plus génial. Tu sais, je crois que je suis en train de tomber amoureuse de ce mec.
Hummm, je suis vraiment heureuse que tu te sois trouvé un homme. Et tu lui as parlé de nous, enfin de tout ce que nous faisons ensemble, toi, moi, Stéphane et les deux filles.
Non, pas encore mais je compte le faire. J’espère qu’il sera d’accord pour continuer. A propos, tu sais ce n’est pas une légende…
Quelle légende ??
Ben, le fait que les noirs soient mieux montés que les blancs. Tu as déjà baisé avec un black ?
Heuuu, non, en tout cas, je ne m’en rappelle pas. Et Martin il est comment ?
Je dirais vingt-cinq centimètres et j’arrive à peine à faire le tour avec mes doigts.
A oui, quand même. Bel engin. Tu me donnes envie de le connaitre, « Ton » Martin.
Angélique suça Martin comme elle avait l’habitude de le faire avec Stéphane, comme elle avait sucé Michel, l’ami de Stéphane. Elle tenait son dard majestueux à la verticale du bout de ses doigts et de la pointe de sa langue, elle agaçait toute la longueur de cette longue tige sans jamais la prendre en bouche complètement.
Stéphane regardait sa femme dans sa technique de fellation favorite tout en enfilant Katia en levrette. L’un comme l’autre connaissait cette façon agréable de sucer un homme. Stéphane pour en avoir été maintes fois le sujet et Katia pour l’avoir apprise de son amie et l’avoir mise en œuvre avec Stéphane au d’autres de ses amants. En bonne copine, Katia s’était même abstenue de sucer Martin de cette façon, laissant à son amie le soin de lui faire découvrir.
L’un comme l’autre connaissait également le résultat de cette caresse. Le mâle jouit faiblement, n’est pas assouvi. Au contraire, il devient fou de désir et ayant éjaculé une fois, sa résistance devient plus importante. Stéphane sourit en voyant Martin proche de l’explosion. Et Katia qui excitait son homme de la voix :
Tu vois, mon amour, je t’avais dit qu’Ange faisait des pipes extraordinaires. Elle va te faire jouir comme ça, sans te sucer vraiment, sans te branler et tu ne débanderas presque pas.
Le chibre de Martin harcelé par la langue d’Angélique, se contracta et un jet puissant de semence en jaillit verticalement, suivit d’autres moins puissants, par saccades.
Martin était fou de désir. L’orgasme provoqué par Angélique ne l’avait pas assouvi. Sitôt après avoir fini de se vider, il attira Angélique vers lui la retourna et l’agrippa par les hanches pour la fourrer brutalement en levrette. Angélique adorait rendre un homme fou de désir, elle aimait ces pénétrations brutales, ces simulacres de viol parfaitement consentis et même provoqués. Côte à côte, Angélique et Katia recevait les hommages de l’homme de l’autre. Complices dans le plaisir, elle retrouvait leurs émotions d’adolescentes quand elles se faisaient baiser ensemble par deux hommes. Elles s’embrassèrent avant de sombrer dans l’orgasme.
Stéphane et Martin continuèrent de besogner les deux filles jusqu’à se vider dans leur con.
Tous les quatre prirent un moment de respiration et les deux hommes s’aperçurent que les filles, épuisées de plaisir après avoir jouis ensemble une première fois et s’être données sans retenue s’étaient endormies tendrement enlacées.
Martin et Stéphane quittèrent la chambre sans bruit pour aller dans le salon.
Assis sur le canapé, les deux hommes discutaient, une bière à la main :
Katia avait raison, Angélique fait vraiment des pipes incroyables. Soupira Martin.
C’est vrai mais ce qui me surprend, c’est que Katia ne t’ai jamais sucé comme ça. Pourtant elle sait faire, Angélique lui avait montré. Moi j’adore me faire sucer comme ça.
Moi aussi. C’est génial. Et après les avoir regardées en train de baiser ensemble, me faire sucer comme ça, j’étais excité comme un bouc en rut.
Moi aussi, j’aime bien regarder deux filles ensemble. Et tu sais que certaines filles sont excitées de regarder deux mecs qui baisent ensemble.
Ah ouais ! Tu as déjà baisé avec un mec ?
Non et toi ?
Moi non plus mais j’aimerai bien essayer. Et toi ?
Moi aussi, ça me tente…tu sais que t’es pas mal comme mec !
Devant cette invitation à peine voilée, Martin posa sa bière et saisit le dard de Stéphane à pleine main. Stéphane rigola :
Eh ben, dis donc, tu ne t’embarrasses pas de préliminaires.
Mais loin d’être choqué ou révulsé par une telle entrée en matière, il posa lui aussi sa canette et posa ses lèvres sur celles, charnues, de Martin.
Stéphane avait toujours eu envie d’essayer la baise avec un homme. L’occasion ne s’était jamais vraiment présentée. L’aveu de Martin de son désir similaire lui en donnait l’opportunité et il la saisissait.
Les deux hommes s’embrassèrent en se branlant mutuellement, faisant revenir au galop leurs érections. Martin lâcha la bouche de Stéphane après l’avoir totalement exploré de sa langue, il le poussa pour le faire s’allonger sur le canapé. Sa bouche glissa sur la poitrine de son amant. Il saisit un téton entre ses dents, le mordilla sans arrêter d’astiquer sa queue. Puis il continua sa lente progression, posant des petits baisers sur les abdominaux de Stéphane. Ses lèvres entrèrent en contact avec le gland décalotté et il l’avala.
Stéphane trouvait cette fellation particulièrement excitante. Sa première pipe faite par un mec. Et quel mec ! Si Martin n’avait pas été son ami, le compagnon de Katia lui aurait certainement collé des complexes. Un homme comme ça, cette peau noire qui avait un parfum de musc, ce corps musclé, et surtout cette bite, longue et droite, épaisse. A cet instant, il eut envie de prendre ce dard dans sa bouche, de le pomper comme Martin le pompait.
Martin, attends. Viens ici que je te suce aussi, en même temps.
Martin s’allongea tête-bêche avec Stéphane sur le canapé. Repliant une jambe l’un et l’autre, ils s’offrirent mutuellement un coussin pour soutenir leur tête. Stéphane contempla ce dard puissant, à la peau foncée. Il saisit la hampe, décalotta le gland. Une grosse fraise d’un rouge sombre se présenta à sa bouche. Il la parcourut de sa langue, retrouvant le goût salé de la mouille d’Angélique mêlé la saveur acre de la semence de Martin.
Martin suçait avec application le chibre clair de Stéphane. Il prenait du plaisir à malaxer une bite dans sa bouche. Il avait parfois fantasmé sur des hommes, quelques-uns de ses clients. Bien évidemment, il ne se sentait pas gay, préférant de loin les filles, qu’elles soient jeunes ou plus matures. Alors qu’il ne résistait que rarement au plaisir de draguer une fille, il n’avait jamais tenté de séduire les hommes qui lui plaisaient. Pas même ce jeune mec de vingt ans, qui était venu le consulter parce que ses parents voulait le déshériter au motif qu’il était homosexuel. Martin l’avait aidé. La tâche était facile, trop facile car il n’avait rencontré que deux fois ce jeune homme blond aux cheveux longs, au visage féminin, au corps gracile. Cette rencontre avait été un choc sensuel pour Martin, il avait eu envie de serrer le jeune homme dans ses bras, de caresser ses petites fesses rondes moulées dans son jean slim, de le prendre physiquement, de jouir de sa bouche, de son cul. Le soir même de cette première rencontre, et d’autres jours ensuite, il s’était masturbé avec l’image de ce jeune homme qui imprégnait ses fantasmes.
Stéphane se sentait proche du point de non-retour. Martin le suçait parfaitement faisant monter son plaisir. Il libéra sa bouche pour dire à l’avocat :
Attends un peu, tu vas me faire jouir.
Ce n’est pas un problème, mon pote. Je suis prêt à recevoir ton jus.
Je sais. Mais on serait mieux sur un lit, tu ne crois pas.
C’est vrai que ce serait mieux que ce canapé. Mais on ne peut tout de même pas réveiller les filles.
Non, bien sûr. On va aller chez nous, en face. On y sera bien.
Ok, on y va.
Ils traversèrent le palier, enlacés et nu, leurs dards pointés vers le ciel.
Ils s’embrassèrent debout, collés l’un à l’autre, frottant leurs chibres l’un contre l’autre. Stéphane comme Martin se surprenaient de ces instants de tendresse entre hommes. L’un et l’autre, même si ils ne se l’avouèrent pas, appréciaient cette manifestation d’amitié sensuelle, ce désir qu’ils avaient l’un pour l’autre. Ils s’étaient imaginé que baiser entre hommes serait plus brutal, plus viril, plus sauvage.
Stéphane posa le flacon de gel lubrifiant qui venait de sortir de la commode. Martin sourit à ce geste :
Tu vas m’enculer ?
Ouais, j’en ai envie…mais si tu veux bien, évidemment.
J’en ai envie aussi, mais il faudra être très doux car c’est la première fois. Comme toi d’ailleurs !
Pas vraiment, il arrive qu’Angélique me sodomise avec son gode ceinture. Mais malgré ça, il faudra être très doux toi aussi car tu es monté comme un cheval. Allez, commence, fourre-moi ta grosse queue dans le cul, mon pote.
Stéphane se mis en levrette, appuyé sur son front il écarta ses fesses de ses deux mains. Martin posa une noisette de gel sur sa rosette, l’étala consciencieusement avant d’enfoncer son doigt. Il refit cette préparation plusieurs fois, prenant grand soin de bien lubrifier le cul de son ami avant d’enduire son dard d’une bonne dose de gel.
Stéphane sentit le gland de Martin sur sa rosette. Il retint sa respiration quand la poussée dilata doucement son œillet. Martin était vraiment très doux, attentif au moindre signe de douleur de son ami. Son chibre rentra de quelques centimètres. Stéphane se détendait, la queue de Martin était grosse mais la douceur de la sodomie faisait qu’il n’en retirait que du plaisir :
Vas-y, mon pote, encule-moi à fond. Fait-moi gouter ta bite.
Martin l’attira vers lui en le tenant par les hanches jusqu’à ce que ses fesses viennent buter contre son ventre. Puis il le repoussa tout aussi doucement avant de revenir. Martin avait l’habitude de ces précautions. Peu de filles acceptaient la sodomie avec lui, effrayées par la grosseur de son engin. Alors quand une aventureuse acceptait de lui offrir son fondement, il mettait un point d’honneur à être particulièrement doux et attentif.
Martin défonçait maintenant Stéphane sans retenue. Il avait pris un rythme régulier, la grosse queue coulissait dans le cul dilaté de son ami. Stéphane appréciait vraiment cela. C’était plus agréable qu’un gode froid. Il soufflait, gémissait :
Tu me baises bien. Je sens bien ta grosse queue… c’est bon
Putain, Stéph’, t’es plus serré qu’une pucelle. Ton cul me serre la bite.
Ta bite est grosse, je la sens. Défonce-moi, je crois que je vais jouir du cul…
Moi aussi, je vais jouir avec ma queue dans ton petit trou…
Ouiiiii…défonce moi, salaud, remplit-moi de ton jus.
Stéphane ressentit un plaisir intense quand Martin se vida en lui. Il lui lançait des coups de reins sauvages, comme insensible aux cris de plaisir de Stéphane.
Ils tombèrent l’un sur l’autre. La queue de Martin toujours plantée dans le cul de Stéphane se racornissait lentement. Mais Stéphane bandait toujours. Sa jouissance par le cul ne l’avait pas assouvi. Martin se retira lentement, et se retourna sur le dos pour récupérer. Stéphane l’embrassa encore une fois, jouant du bout des doigts avec son membre ramolli mais toujours imposant :
Ça t’a plu ?
Super, je suis content d’avoir pu assouvir mon fantasme…et surtout avec toi. Et toi ?
Moi aussi, mon pote. Tu m’as donné du plaisir en me fourrant comme tu as fait. C’est ton tour maintenant. Toujours d’accord ?
Evidemment. Baise-moi, mon pote. J’ai envie de ta queue.
Ce faisant, Martin se mit en levrette. Stéphane le lubrifia abondamment. Il sentait son ami un peu tendu. Il s’allongea sur le dos et attira Martin sur lui. Martin le chevaucha. Il avait compris ce que voulait Stéphane avant que celui-ci ne lui explique :
Viens. Je te sens tendu alors c’est toi qui va t’empaler tout seul sur ma queue.
Martin releva son bassin pendant que Stéphane dirigeait son pieu vers sa rosette contractée.
Martin descendit un peu, encouragé par Stéphane :
Descend encore. Tu sens ma bite qui rentre dans ton petit cul serré. Viens, mon pote. Viens te faire enculer.
Martin soufflait un peu, il sentait maintenant le dard de Stéphane enfoncé à moitié dans son fondement. Stéphane l’attrapa par la nuque pour attirer sa bouche vers la sienne. Il l’embrassa profondément en lançant des petits coups de reins qui enfonçaient sa queue à chaque fois plus profondément. Quand leurs bouches se séparèrent, les fesses de Martin reposaient sur les cuisses de son amant. Un large sourire éclaira son visage et il se mit à faire des mouvements de bassin pour faire glisser son petit trou autour du dard qui le perforait.
Martin montait et descendait maintenant régulièrement, les deux mains sur le haut du lit, il se faisait branler par Stéphane. La queue qui glissait dans son cul lui procurait des sensations intenses. Il la sentait palpiter, grossir de façon frénétique par petites secousses. Quand Stéphane profita qu’il était en position haute pour le pilonner frénétiquement de petits coups de reins rapides, il sentit une boule de plaisir partir de son ventre défoncé et exploser quand les longs jets de semence se répandirent en lui.
Les deux hommes s’endormirent presque aussitôt, assouvi, repus de jouissance.
Angélique s’éveilla la première. D’abord un peu perdue dans cette chambre qui n’était pas la sienne. En voyant Katia qui dormait encore, les évènements de la ville lui revinrent. Elle soupira d’aise. Elle allait pouvoir de nouveau baiser avec sa chère Katia et avec Martin qui l’avait fait jouir de façon délicieuse. Katia sortit du sommeil :
Bonjour, mon Ange. Tu as dormi ici ?
Ben oui. Je crois qu’on s’est endormies toutes les deux sans s’en apercevoir. C’est vrai qu’après avoir baisé ensemble et s’être fait sauter par nos hommes, j’étais épuisée.
Moi aussi. On a bien baisé. Mais, au fait, nos hommes, ils sont où ?
Je ne sais pas. Viens on va voir…
Elles se levèrent et firent le tour de l’appartement sans les trouver. Elles se regardèrent, perplexes. Elles devinèrent que leurs chéris avaient traversé le palier pour aller chez Angélique. Elles voulurent en avoir la certitude et traversèrent le palier.
Quand elles découvrirent leurs hommes, couchés dans le même lit, nus, le bras de Martin posé sur le ventre de Stéphane et surtout le flacon de lubrifiant intime ouvert sur la table de nuit, elles n’eurent plus de doute. Katia dit à voix basse :
Ben ça alors. Je n’aurai jamais cru.
Tu crois qu’ils ont baisé ensemble ?
C’est assez évident, tu ne crois pas.
Si, c’est évident. Est-ce que ça te choque ?
Non, pourquoi veux-tu que ça me choque. Nous deux, on baise ensemble alors pourquoi nos hommes n’en feraient pas autant. Et toi ?
Pareil, je suis du même avis. Je trouve ça même assez mignon de les voir tous les deux comme ça. C’est au moins la preuve qu’ils s’entendent bien. Martin t’avait dit qu’il était bi ?
Non, je le découvre. Qu’est-ce qu’on fait ? On les réveille ?
Pas tout de suite. Viens on va préparer le petit dèj’.
Stéphane et Martin furent réveillés par les deux filles et une odeur alléchante de café et de toasts grillés leur sauta aux narines. En dévorant leur petit déjeuner, ils racontèrent leur folle nuit à leurs femmes en riant, et en plaisantant comme des collégiens qui viennent de faire une bonne blague.

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