Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Ma retraite au monastère 5.

Après ma brève escapade au couvent, je vais mettre au courant mon bienfaiteur, mais c'est sans compter sur la surprise qui m'attend. Je vais faire la connaissance d'un personnage qui va bouleverser mes plans.

Proposée le 25/04/2023 par yaèlll

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


De retour dans ma chambre je tourne en rond, fou de joie, même si je n'ai pas
encore retrouvé ma belle, mais je suis dans la place, trop content je fonce chez
les frères pour leur annoncer la nouvelle.
Je frappe, l'abbé me fait entrer, il est en compagnie d'un personnage en soutane
que je ne connaît pas, ils sont en train de boire un coup, je m'excuse de les
déranger mais l'abbé me fait signe de m'asseoir à côté de son convive et me
sert un verre . Devant cet étranger je ne sais plus quoi dire, enfin j'explique
juste que je suis embauché au couvent pour l'emploi de jardinier, l'homme en
soutane se présente comme étant le curé d'une ville voisine et qu'il est en visite.
La soirée se passe ,les deux compères se servent plusieurs fois du vin et je les
accompagne bien volontiers , je détaille mon voisin de table, c'est un homme
assez corpulent la bedaine rebondie, le visage un peu rouge ,il doit aimer la
bonne chair , il a l'air sympathique, d'ailleurs il me jette de temps en temps
un sourire en coin.
Tout à coup, je sens la cuisse de mon voisin toucher la mienne, je n'en fais cas
mais il insiste, je suis confus, il me regarde amusé, en toute discrétion je dirige
mon regard vers son ventre car je vois qu'il s'affaire à cet endroit, et là je le vois
déboutonner la soutane sous sa bedaine . Je suis rouge de confusion, pour qui me
prend-il, je me demande où il veux en venir, ce cochon excite quand même ma
curiosité.
Le souffle court , je ne me démonte pas, au fond de moi je suis quand même
surpris de mon audace mais tant pis je dirige déjà ma main vers son ventre,
doucement pour ne pas éveiller les soupçons.
Il écarte largement les cuisses comme pour me faciliter la tâche, je passe par
l'ouverture de sa soutane il ne porte rien en dessous le pervers, je touche sa queue
et veux m'en saisir, mes doigts ne font pas le tour, qu'elle pine, je suis bouche bée
il est monté comme un âne.
L'abbé ne voit toujours pas ce qui se trame sous la table .
Je commence à lui caresser la bite, je sens sous mes doigts les grosses veines
qui la parcourent, son gland tout décalotté retombe sur ma main ,il ne bande
pas encore et pourtant elle est déjà bien grosse. Je progresse plus bas pour lui
palper les couilles, là aussi on peu dire qu'il en a une bonne paire, je les soupèsent
les palpent un instant, j'aime ce petit jeu.
Au bout d'un moment j'extirpe délicatement non sans difficulté tout le paquet par
la soutane, je reprends sa queue et commence à le branler doucement tout en le
regardant mais le soudard ne bronche pas au contraire il pose sa main sur la
mienne comme pour m'encourager, je suis sidéré . Le fait d'avoir cette grosse bite
en main à la barbe de l'abbé me crée une grande excitation et je sens monter en
moi une chaleur intense.
En le branlant la peau de sa bite forme un bourrelet qui vient buter sur son énorme
gland. Le va vient de ma main sur sa pine ne tarde pas à produire son effet je ne
suis pas peu fier, maintenant elle est pratiquement à la verticale et touche sous la
table, ce qui me fait sourire , je jette un œil discrètement, elle est énorme.
Je ne lâche pas cette bite et je sens battre le sang de ses grosses veines, je me
retient pour ne pas le branler plus vite, je ne sais pas ce qui me prends, ma seule
envie c'est de la mettre dans ma bouche, je m'en mord les lèvres ,j'ai envie de
de dévorer cette queue .
Il bande de plus en plus , j'ai de la peine à le branler d'une main, mais avec
un malin plaisir je continue en tirant fermement et lentement la peau de sa
verge vers le bas pour le décalotter au maximum, je me réjouis de ce petit
supplice , ce qui perturbe notre curé.
L'abbé met un terme à mon petit jeu en se levant d'un coup pour prendre congé
le curé fait promptement tombé sa soutane, je ne sais pas si l'abbé a vu ce qui se
passait, néanmoins il nous salut. J'en déduis qu'il lui laisse la chambre pour la
nuit , car je vois le sac de voyage de notre curé entrouvert sur le lit.
J'emboîte donc à regret le pas de l'abbé mais le gaillard me retient par le bras,
il veux m'offrir un dernier verre , je ne sais pas quoi dire, mais j'accepte.
Nous nous asseyons à table cote à cote . Nous reprenons notre conversation mais
mes yeux sont rivés sur la bosse que fait son engin sous la soutane.
Il a vu mon manège et sort carrément sa queue, là je ne me pose pas de question,
j'empoigne son gros nœud et cette fois je le branle vigoureusement.
Je n'en peux plus j'ai envie de le sucer, je me lève en le tenant par la bite et
l'attire vers le lit en le poussant dessus , je lui déboutonne la soutane pour enfin
libérer l'objet de mon désir.
Je suis scotché par la grosseur et sa longueur, elle est sur sa bedaine et dépasse
largement son nombril, dessous pend une belle paire de couilles fripées et
rondes, mes yeux ne se détache pas de cet engin.

Après m'être mis à poil je me place entre ses cuisses , je saisis sa queue à deux
mains, je fourre mon nez dans sa toison , je hume ses couilles, j'approche mon
visage de son gros gland cramoisi où perle déjà des gouttes que je viens sucer
avec gourmandise. Je peine à le mettre dans ma bouche mais je tete cette grosse
quéquette avec obsession.
Mon compère grogne et trouve ça bon, il me prend la tête et imprime une cadence
à ma succion , je descend vers ses couilles tout en léchant cette queue.
Je passe ma langue sur ses grosses burnes humides de sueur et qui sentent le
musc, je les sucent en les gobant entièrement dans ma bouche.
Mon larron soulève ses cuisses et me présente ses fesses, le salaud ,je vois son
trou tout poilu et brunâtre, je ne fait pas prier, je lui passe ma langue dans tous
les recoins, je lui bouffe le cul tout en le branlant. Ma langue rentre maintenant en
partie dans ce trou plissé, sans plus attendre je lui enfonce deux doigts dans son
gros fion, ce qui fait gémir ce cochon.
Je reprends la queue en bouche, je veux le faire jouir au plus vite comme ça il me
laissera tranquille car pendant un court instant l'idée de me prendre cette grosse
pine dans le cul m'a traversé l'esprit, mais il est trop gros.

Je m'emploie à rentrer sa bite au plus loin dans la bouche, son gland bute dans
ma gorge, je le branle de plus en plus vite en même temps que mes doigts
s'activent dans son cul.
C'est sans compter sur l'endurance de ce gros curé, il souffle de plus en plus
mais malgré toute ma bonne volonté il ne décharge pas.
Je l'astique comme je peux, je n'ai plus de salive ,il se rend compte de mon but
et d'un revers de bras il m'envoie valser au centre du lit. J'essaie de m'en sortir
mais le colosse m'immobilise, mon compte est bon, il me soulève et me ramène
sous sa bedaine et pèse de tout son poids sur moi, je sens son torse poilu et
mouillé de sueur, je ne peux plus bouger.
Il me fait mettre à genoux pour que mes fesses soient bien en évidence, là il me
salive copieusement le trou du cul, il se relève et pointe son gros nœud entre mes
fesses humides le scélérat. Il pousse son gland contre ma rondelle qui ne cède
pas, il me prend par les hanches et donne des coups de reins , je sens en moi son
gland qui progresse peu à peu. Il presse sa queue sur mon orifice qui l'englouti
d'un coup en parti, je lâche un cri, je serre des dents, il se retire un peu et en
maintenant sa queue à deux mains la rentre de nouveau en gagnant quelques
centimètres.

J'ai sa grosse bite dans le cul complètement distendu, et maintenant il bouge
en douceur pour ne pas me blesser, sa queue rentre de plus en plus loin. Je sens
ses gouttes de sueur qui tombent sur mon dos, il me besogne lentement car vu la
longueur et son diamètre il ne peux aller plus vite. Sa grosse bite dilate mon cul
mais son va et vient commence à me faire du bien. Je ne sais pas combien il m'a
rentré de bite mais là le désir est plus fort ,je me surprends à bouger pour essayer
de faire entrer son engin encore plus profond. Je prend son rythme , je n'éprouve
pas de douleur, je ressens du plaisir malgré la grosseur de sa queue qui me
laboure le ventre, je bande comme un salaud, et suis à la limite de décharger.
Au bout d'un bon moment, je n'y crois pas, je sent battre ses couilles chaudes
contre mon cul, j'en déduit qu'il n'est pas loin de l'avoir toute rentrée. La sueur
me perle au front, je commence à crier de plaisir, il me tient solidement par
les hanches et m'encule comme un forcené. Je perd la tête c'est moi maintenant
qui ondule du cul pour faire coulisser ce gros cylindre dans mon ventre, je l'avoue
je trouve ça bon, très bon même.
Finalement je ne veux plus que ça s'arrête, je lance mes fesses contre sa grosse
bite qui me taraude de plaisir, j'étouffe mes cris dans l'édredon, il me pénètre
maintenant jusqu'à la garde et ses coups de reins sont de plus en plus rapides ce
qui me fait crier de nouveau. Il se bloque au fond de mon ventre, il souffle et râle
comme un bœuf et me remplit de son foutre épais, je sens sa chaleur et ses
saccades dans mes entrailles.

Il s'abat sur moi pour vider ses couilles, j'ai le cul en feux,nous restons un
moment soudés par sa grosse queue. Il se retire , j'ai les fesses pleines de son
foutre qui coule le long de mes cuisses ,je me tourne, il est sur le dos et soupir le
visage écarlate.
Sa bite ne débande pas, et je me rend compte de ce j'ai pris, je ne sais pas
comment il a pu me rentrer tout ça.
Il se rapproche de moi, me retourne et plonge sa langue dans mon trou béant
pour sucer le jus qui en sort, puis prend ma queue et il me pompe si fort qu'il me
fait décharger trop vite hélas à mon goût.
Nous restons allongés un moment le temps de récupérer. Je regarde mon
curé, sa bite se dresse encore, un peu ramollie mais j'en ai encore envie , je la
reprend et le suce de nouveau, elle a le goût de mon cul, je voudrais qu'il jouisse
maintenant dans ma bouche, mais ce n'est plus possible avec ce qu'il m'a mis.
Il veux m'interrompre ,je continue quand même, je le branle encore et encore de
mes deux mains tout en suçant son gland épais qui me gonfle les joues, je
m'acharne sur sa bite et enfin je suis récompensé, dans un grognement ,il éjacule
un flot de foutre amer que j'ai peine à contenir dans ma bouche, mais j'avale tout
en lui pressant les couilles comme pour en sortir les dernières gouttes.
Je suis épuisé et mon curé aussi ,il ronfle déjà, je n'ai pas le courage de rentrer
dans ma chambre, je décide de dormir ici.
J'ai fait le bon choix car il m'a repris au moins deux fois dans la nuit.
Au petit matin, je le quitte pour rejoindre ma cellule, prendre quelques affaires
de rechange boire un bon café et regagner le potager.
Je suis au travail depuis une bonne heure et voilà deux sœurs qui me rendent
visite :

-Bonjour Yaèl comment allez vous ce matin ?

-Bonjour sœur Juliette, ça va je vous remercie , et vous ?

-Bien merci, je vous présente sœur Chloé qui voulait connaître notre nouveau

jardinier !

Enfin je peux mettre un prénom sur ce beau visage.

-Je suis enchanté sœur Chloé !

-Moi de même !

Elle fait mine de ne pas me connaître et je vois quelle est rouge de confusion.

-Cher Yaèl nous vous laissons à vos travaux et à plus tard !

-Entendu ma soeur je vous souhaite une bonne journée !

Je les regarde partir, Chloé se retourne et me fait un signe de la main.
Cette visite m'a mis du cœur à l'ouvrage et je bine comme un malade.

Vers midi je rentre au monastère l'esprit léger et heureux d'avoir retrouvé
ma Chloé.

Je dévore mon déjeuner et je fais une sieste car cet après midi c'est repos.

je m'installe confortablement sur mon lit en parcourant une revue puis je

m'assoupis.

Dans mon rêve j'entends un bruit lointain, je me réveille, on frappe.

J'ouvre, bonté divine ! C'est ma Chloé qui arrive avec un petit panier garni

de fraises.

-Chloé je suis ravie de ta visite, pardon je te tutoie !

-Cela ne me gène pas du tout !

Dit elle en riant !

J'aime cette fille !

-Merci pour ces belles fraises !

- Il fallait bien que je trouve une excuse pour te revoir !

Là pour tout vous dire je lui donne un baiser et elle me le rend bien.
Elle enlève son voile et défait ses cheveux, plaqué contre elle je sens ses petits
seins qui pointent déjà sous sa robe, je lui passe ma main sur les fesses, elle me
dévore la bouche. Je soulève sa robe pour atteindre son entre cuisse, je baisse
sa petite culotte , surprise, mes doigts effleurent sa petite chatte qui est toute
rasée.
Voyant mon étonnement elle me dit en riant:
-Je pensais que cela te plairait !

-J'adore ton petit minou !

En vérité sentir sa petite chatte toute épilée m'excite au plus haut point.

Mes doigts sont en action dans sa fente toute trempée, elle pousse de petits

gémissements. Je l'entraîne sur le lit lui retire sa robe et j'enfouis mon visage

entre ses cuisses pour déguster son petit abricot tout mouillée, il est très doux et

son parfum me remplit les narines. Je ne peux m'empêcher de lui titiller son petit

clitoris, je le presse entre mes lèvres le suce ,ça la rend folle et j'adore ça.

Dans un état d'excitation maximum je veux la prendre immédiatement, j'ai trop

attendu ce moment, elle guide ma queue de sa main fébrile et je commence ma

lente progression dans sa petite chatte aux lèvres serrées. Je profite de cet instant ,

je passe mes mains sous ses fesses et l'invite à venir au devant de mes coups

de queue, elle bouge comme une écervelée pour s'empaler à fond .

Elle m'offre ses petits tétons, je les prends dans ma bouche,les sucent avec

délicatesse, ma langue fait le tour de ses petites framboises, mon visage entre ses

seins je continu d'accélérer mon va et vient . Le bruit que fait sa petite chatte

mouillée sur ma queue me rend dingue. Elle crie de plus en plus fort je pense

qu'elle va jouir, moi je ne peux plus me retenir et je décharge au plus profond de

sa minette ,nous restons collés l'un à l'autre, dans un baiser qui n'en finit plus.
 
Après avoir repris nos esprits et s'être rhabillés , ma coquine range sa petite

culotte mouillée dans sa poche :

-Chloé que puis je t'offrir, un café un thé ?

-Un thé s'il te plaît !

Je suis tout émoustillé, j'installe vite fait une nappe sur ma table ronde et nous
dégustons quelques fraises en sirotant notre thé. Tout en bavardant je la dévore
encore des yeux elle est belle, elle porte un parfum délicat qui agit encore sur
moi.
Notre intimité est soudainement interrompue par quelqu'un qui frappe à la porte,
nous nous regardons un peu inquiets.
Je me lève pour ouvrir et je vois le curé avec son bagage à la main.
-Ne vous dérangez pas je passais juste pour vous saluer, je pars ce soir.
-Mon Père vous ne nous dérangez pas, venez vous joindre à nous pour boire
un thé si le cœur vous en dit !
-C'est très aimable à vous, juste cinq minutes !
Je regarde Chloé, elle me fait un signe discret en approuvant.
Je fais asseoir notre curé à côté de ma chère Chloé et je me m'installe face à
mes deux convives.
Je vois que mon curé est un peu désorienté de voir cette none dans ma cellule
j'explique maladroitement que cette jeune personne m'apportait quelques fraises
du potager de la Mère supérieure . Ceci dit nous reprenons notre conversation.
Cela fait pratiquement une heure que nous bavardons et le curé s'incruste,
pour le faire réagir je lui propose une liqueur , le gredin accepte volontiers.
Je suis pris à mon propre jeu, Chloé me fait signe qu'elle en prendrait bien
elle aussi. Je sert tout le monde et nous voilà reparti dans nos discussions.
Je regarde ma Chloé mais elle est accaparée par le curé qui la fait rire en lui
racontant des histoires. Le bougre adore la liqueur il se ressert ainsi que Chloé.
Je ne sais plus comment faire, elle rie à gorge déployée et me jette un regard
coquin. Tout à coup je vois son visage se figer, elle me regarde les yeux
écarquillés, il se passe quelque chose sous cette table, je fais mine de ramasser
quelque chose pour jeter un œil .
Je suis stupéfait par la scène , Chloé tient la grosse bite du curé et le branle,
elle se mord la lèvre en me regardant. Lui prend un air surpris en haussant les
épaules comme pour dire je n'y suis pour rien !
Je vois maintenant sous l'effet de la menotte de Chloé, la queue dressée qui
dépasse presque de la table, je suis fou, elle se penche et englouti le gros gland
dans sa bouche, lui se laisse faire le torse en arrière.
Sa tête monte et descend sur la bite du curé, elle en fait des petits gloussements
qui m'excitent . Elle s'active de plus en plus sur la grosse pine qui rentre d'un tiers
dans sa bouche, j'entends ses bruits de succions tellement elle salive, elle tete le
gros gland comme une friandise, elle à l'air d'aimer ça la petite salope.

Là je vois le curé prendre Chloé dans ses bras, elle bat des jambes, peine perdue,
il la bascule sur le lit , elle me fixe de ses yeux inquiets, elle a bien vue la grosseur
de son engin, je ne bouge pas.
Il trousse ma Chloé qui est déjà sans culotte , elle se débat mais le gros lubrique
a déjà la tête entre ses cuisses pour lui manger sa petite chatte rasée, ce qui excite
le bougre qui lui passe sa grosse langue sur les petites lèvres et lape la mouille qui
en coule. Elle ne bouge plus mais commence à gémir .
Sa grosse queue se dresse en dehors de la soutane, il se déboutonne vite fait et
pointe alors son gland contre la minette luisante, Chloé secoue la tête dans tous
les sens mais trop tard la bite du soudard commence à déformer sa petite moule
et la pénètre sans retenu d'un coup de rein qui la fait crier.

Les plaintes de Chloé n'y font rien, il lui imprime un train de folie, je vois son gros
cul s'agiter et rentre de plus en plus son énorme bite dans ma Chloé, les coups
de boutoirs du curé font grincer le lit c'est insoutenable . La belle les pattes en
l'air subit les assauts du paillard tout en poussant des cris de jouissance.
Je regarde la scène comme un pervers, il la lime tellement fort que sa petite chatte
trempée fait un bruit de mouille impressionnant, je me branle.
Je décide de mettre un terme à cette orgie, je vois ses grosses baloches qui
tapent contre le petit cul de Chloé. Je m'approche du couple, je lui prends les
couilles fermement et lui tirent en arrière ce qui fit d'un coup sortir la bite de
notre curé qui éjacule en saccade sur le ventre de ma belle. Ses jets sont
puissants et Chloé en essuie un sur le menton, le lascar se sent tout penaud et
descend du lit laissant Chloé les yeux livides, la moule dévasté et encore
béante par l'énorme bite.
Je la soutient toute chancelante et la dirige vers la douche salvatrice .

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Bill0377
Une peu long, mais le début est explicite ,une expérience bisexuelle de passif avec un partenaire monté comme un cheval, vous décrivez parfaitement la scène du larron curieux enculé par une bite énorme
Posté le 30/09/2023


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Ma retraite au monastère 1
Ma retraite au monastère 2.
Ma retraite au monastère 3.
Ma retraite au monastère 4
Fantasmes de retraité