Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Ma retraite au monastère 2.

Voici la suite de mon séjour chez les moines, les présentations sont donc faites, je découvre de jour en jour de nouvelles choses, je vais de surprises en surprises , ce qui fait le charme de mon aventure.

Proposée le 6/03/2023 par Yaèll

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


A la fin de cette orgie,on me détache, on me traîne dans ma cellule, on me jette sur la paillasse,j'ai le cul en feux, je ne pense qu'à une chose dormir. Le lendemain matin je me demande si je n'ai pas rêvé, moi l'hétéro qui ai baisé la moitié des filles de mon village et parfois leurs mères, ai-je viré ma cutie, je ne veux pas me l'avouer, mais j'ai pris un réel plaisir,je ne me connaissais pas tous ces vices.

On m'apporte mon petit déjeuner, cette fois on me laisse tranquille.Après ma toilette, je décide
de me rendre chez le moine abbé qui dirige le monastère ,non pas pour me plaindre (j'ai bien été un peu consentant)Je veux simplement connaître l'emploi du temps pour les jours à venir.Je frappe à la porte de sa cellule, on vient m'ouvrir, et là , je vois deux hommes qui se ressemblent étrangement, je comprends que celui qui m'a « accueilli » hier a un frère plus jeune . Le moine me donne le document que je lui avais demandé, je les salues et je pars pour la visite du monastère.
En rentrant dans ma cellule le soir, je consulte l'emploi du temps et je m'aperçois que le supérieur a griffoné dans le bas de la page, c'est une invitation à dîner pour ce soir, je me dis que cette attention est plutôt sympa,je pense que l'on va dîner avec tous les moines.

Me revoilà devant la cellule de l'abbé, je frappe, il me fait entrer, je m'aperçois que le couvert est mis je suis surpris ,je pensais dîner au réfectoire, je me suis trompé sur le but de son invitation, après tout je ne crains plus grand chose. Il me propose en guise d'apéritif une liqueur à base de plantes,corsée mais agréable en goût, c'est sûrement de leur production .Je ne suis pas assis que la porte s'ouvre de nouveau, c'est le frère, il me salue, nous nous installons sur le bord d'un large lit qui sert aussi de canapé, eh oui les cellules sont sparciates .Je ne sais quoi penser, je ressent un sentiment très étrange de partager ce dîner avec les deux frères.
Ils me servent un autre verre, je sens monter en moi une bonne chaleur et je me décontracte, le plus jeune me fait comprendre qu'il a chaud et retire carrément sa robe de bure, là je vois un homme musclé et membré comme son frère,le rouge me monte aux joues,mon sang ne fait qu'un tour, je suis encadré par ces deux hommes sur le bord d'un lit, à cause de cette situation faut être honnête je bande depuis un bon moment, je ne me reconnaît pas, je me dis que le repas va être court. Je feins de me lever pour partir , mais c'est sans compter sur le programme que les deux frères ont prévus .Ils m'attrapent tous les deux et me poussent sur le grand lit, ils font voler ma bure et me revoilà à poil. Je suis coincé entre les deux larrons, je ne résiste pas, l'abbé me penche la tête sur sa queue ,il bande déjà , je saisis son engin à la base , mes doigts ne font même pas le tour, je décalotte son gland et je me met à le sucer cette fois ci sans contrainte tel un dépravé. Le plus jeune en veux à mon cul, je lui tend, sans lâcher cette queue qui me remplit la bouche, je me met à genoux pour qu'il prenne possession de mes fesses. Quand il commence à m'enculer,le plus vieux me prend la tête pour rythmer mon va et vient sur sa queue, il m'envoie sa semence au plus profond de ma gorge, je fait un geste de retrait mais le lubrique me force à tout avaler.
C'est là que les choses se complique,on frappe à la porte, tout en suffoquant je retire sa queue de ma bouche, les deux larrons se regarde surpris.Je pense qu'ils ont invité une tierce personne,mais à leurs regards je comprend que non. Le supérieur remis vite fait sa robe de bure et nous faisons de même, j'essuie ma bouche d'un revers de manche où perlait encore du foutre.
L'abbé ouvre, dans l'encadrement de la porte, apparaît une religieuse, jeune, la trentaine, elle à un physique plutôt agréable, elle porte une robe bleue de bonne sœur, sa taille est fine ,et ses hanches sont comme je les aime bien amples.Elle tend un document au moine, je lui demande ce quelle veux, elle explique que la mère supérieure l'envoie pour régler un problème de mur mitoyen, du monastère au couvent .Je ne savais pas qu'il y avait un couvent si près ,dommage. La jeune femme veux partir, les deux frangins ne lui proposent même pas un rafraîchissement, je la retient par politesse, les deux lascars sont médusés par mon initiative.
Je lui dit que nous étions sur le point de dîner et que si elle voulait elle pouvait se joindre à nous. Elle décline notre invitation, je suis dépité, mais qu'elle prendrait bien un verre, Dieu soit loué.
Pendant que le plus vieux sert la liqueur, je la détaille discrètement, elle est assise près de moi , elle est encore plus belle, avec des yeux vert et on devine sous son voile des cheveux longs bruns, tout ce que j'aime, là je me reconnaît , je suis bien l'homme qui aime les femmes, alors trinquons !
Nous discutons tous les deux , je la dévore des yeux, elle s'en rend compte et me sourit. Les deux frères nous donnent des choses à grignoter, nous servent un autre verre.Je ne connaît pas la composition de cette liqueur, mais je sens en moi monter un désir très soudain, je bande, je regarde les deux frères, ils me sourient. Si cette liqueur agit sur moi je suis bien conscient que la jeune nonne ressente aussi quelque chose.Elle a les joues rouges,elle se relève pour prendre congé, et là , je ne sais pas si c'est à cause du breuvage de nos acolytes , je perd mon sang froid , tant pis, je la culbute sur le lit elle se retrouve à genoux le cul en l'air.Je me précipite sur elle, les frangins viennent me donner de l'aide et pour ce faire lui maintienne solidement les poignets.Elle se débat sans conviction ,elle émet des petits cris plaintifs c'est tout, je soulève sa robe et là devant moi, j'avais encore raison, elle nous montre un cul, que je qualifierai de magistrale.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Bill0377
Une scène de bisexualité à 4 avec une soupçon de soumission à deux hommes au départ
Posté le 30/09/2023


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Ma retraite au monastère 1
Ma retraite au monastère 3.
Ma retraite au monastère 4
Ma retraite au monastère 5.
Fantasmes de retraité