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Le réveil d'un autiste- 12. Violette

Violette, confrontée au sabre d'abordage de son cousin, lui prodigue sa première "gorge profonde". Elle est stupéfaite des capacités éjaculatoire de Narcisse, mais encore plus qu'il rebande à la demande.

Proposée le 17/04/2023 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Comment résister à un tel braquemard.

Le réveil d'un autiste- 12. Violette Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.


Violette.
Au point où j’en suis… Rose me pousse, se saisit de ma main, me forçant à saisir son engin et commence des mouvements de poignet. Narcisse ronronne de satisfaction en voyant sa dernière « sœur » passer du mauvais côté de la force.
-Allez vas-y franchement Violette ! n'aie pas peur, il n’est pas en sucre et adore ça ! M’encourage Margo.

La suite :
Je me laisse déborder par de bas instincts et le branle plus. Ça me sidère de le voir aussi à l'aise dans cette situation et ça n'a pas l'air de déranger plus que ça Rose et Margo que je masturbe Narcisse sous leurs yeux, à poil devant moi.
Je suis excitée à mort, je suis en train de vivre un moment en dehors du temps. Cette situation est complètement surréaliste quand elles viennent se mêler à la danse et qu’on est là toutes les trois à branler comme des folles cette excroissance phallique pas piquée des hannetons. Un vrai truc de malade qu’on ne voit que dans les films pornos, que dans mes pires fantasmes, je n’aurais jamais cru vivre.
Rose me pique mon téléphone, nous dit de mettre comme elle une main sur son manche qui en supporte trois sans problème, (une de plus qu’avec Corentin) et prend un selfie où apparaissent nos visages puis nous la montre.
-Pas mal hein ? Attend, je l’envoie…

Je n’ai pas le temps de réagir que cette petite salope a cliqué.
-Ça va pas, non ! Mais à qui tu l’a envoyée ?
-A Corentin pardi ! Il faut qu’il sache que tu ne le regrettes pas et que tu as trouvé « Un vrai étalon ».
-Mais de quoi te mêles-tu ?
-De ton bien, petite sœur, de ton bien, sens la douceur de cette queue toujours aussi dure sous tes caresses. Suce-la, goûte-la, comme tu as déjà dû le faire avec Corentin.

Je lui obéis comme une automate, m’agenouille et ouvre très grand ma bouche pour essayer d'avaler le bout de son sexe et en prends une petite partie. J’arrête pour lui lécher la queue de haut en bas en stoppant un peu en dessous de son gland que je titille avec mon pouce.
Je suis subjuguée par ce jonc vigoureux de chair ferme, par ses grosses boules qui pendent à peine entre ses jambes musclées. Son sexe et ses burnes totalement imberbes augmentant encore l’impression de grosseur et de vigueur de cette pine tordue. Ma langue glisse le long de sa grosse veine, remonte sur son gland, redescend sur ses boules que je gobe. Puis je remonte lentement en léchant chaque millimètre de cette formidable trique pour arriver à son gland.
Rose n’y tient plus et s’emporte :
-Ouvre grand ta bouche et enfile son gland entre tes lèvres, bordel ! Ne fais-pas la vierge effarouchée.
Vexée, j’ouvre ma bouche au maximum et introduit le gland entre mes mâchoires distendues. Elle ne sait pas de quoi je suis capable.
-Titille-le avec ta langue, enroule la bien et pompe à fond, suce-le mais fais gaffe à ne pas le mordre, détends-toi.

Je n’ai pas besoin de ses conseils, j’aspire sa bite, la dévore de plus en plus loin. Avec Corentin, j’adorais lui faire des gorges profondes, mais là ça va être coton. Je m’y reprends à plusieurs fois allant toujours de plus en plus loin dans un silence d’église sous les regards épatés de mes sœurs. J’ai des hauts le cœur quand le gland passe ma glotte et pénètre dans ma trachée, comme si j’étais entubée sur une table d’opération. Si elles n’étaient pas là, j’aurais stoppé mais je veux leur prouver que je suis loin d’être une oie blanche.
Je travaille Narcisse de longues minutes sans arriver à le faire cracher quand Margo lance.
-Narcisse, envoie la purée !

Elle déraille ma sœur ! Elle ne croit quand-même pas qu’il est à ses ordres et jouit à la demande. Je me méfie quand même et recrache le morceau, ne gardant que le gland entre mes lèvres, mes deux mains enserrant la hampe où je sens pulser les grosses veines. Je n’en reviens pas mais des râles annonciateurs de sa jouissance me préviennent de l’imminence de l’orgasme. Quelques gouttes suintent aussitôt suivies de longs et puissants jets de semence. Ma bouche est noyée d’un foutre épais et très abondant comparé à ce qu’arrivait à faire Corentin. La dose que je reçois au fond de ma gorge me met à la limite de l’asphyxie, je le repousse et recrache son sperme en toussant comme une poitrinaire. Je n’ai jamais connu ça, un cas mon cousin !
-Pas mal le « frangin », hein Violette ! Mais tu n’as pas encore tout vu. Tu crois que c’est fini en voyant sa bite qui baisse la tête, mais il suffit de demander. Et se tournant vers lui :
-Narcisse, je veux que tu rebandes !

Il ne peut pas, pas aussi vite ? Il a mis les mains sur ses hanches, son regard plonge dans le mien, mais moi, je baisse les yeux en voyant sa verge se gorger à nouveau de sang et redevenir ce sabre qui regarde le plafond.
-Pas mal, hein ! S’exclame Rose. Narcisse, je veux que tu ne débandes plus mais il faut que tu rendes la pareille à Violette, déshabille-là et montre-lui qu’il n’y a pas que ton chibre qui peut faire hurler une fille.

Narcisse m'embrasse et me caresse et sans perdre de temps il me retire mon haut et joue avec mes seins. Il veut profiter de mon corps et me faire sentir combien il me désire. Il guide sa main sous ma jupe pour jouer avec ma chatte. Je ne veux pas être de reste et caresse son sexe dur. Il découvre ma petite culotte complètement trempée et me la retire, l’envoyant valser dans les airs. Je mouille comme pas possible. Il m'allonge sur le lit pour profiter de mon corps, hume mon odeur et couvre ma fente de baisers. Il pose ses mains sur ma poitrine et me pince les tétons.
Ce qui se passe ensuite est toujours aussi surréaliste. Rose vient aider notre cousin en me prodiguant d'autres caresses pendant que Margo continue de le branler pour le garder bien dur mais on dirait qu'il n'a pas vraiment besoin d'aide pour ça. Le spectacle que je lui offre a l'air de lui faire un effet fou à lui tout seul. Il me force à me mettre à quatre pattes, approche son visage de mon entrejambe. Je suis atrocement gênée par cette situation, dans l'expectative de ce qui va suivre. Il écarte légèrement mes cuisses, caresse celles-ci tendrement avant de se mettre au travail. Narcisse me goûte pour la toute première fois, découvrant comme je suis trempée mais ça n'a pas l'air de le déranger plus que ça, aspirant pour prendre dans sa bouche mon jus d’amour. Il me broute comme mes sœurs ont dû lui apprendre. Je soupire d’aise quand il me titille mon clito dardé. Je pose une main sur sa tête craignant qu'il ne cesse sous le regard complice de mes deux sœurs étonnamment silencieuses, échangeant des regards complices. Je sens mon plaisir grimper, il doit le ressentir lui aussi et prend l'initiative de m'enfoncer deux doigts dans la chatte me faisant frémir de surprise et de bonheur. Il lime mon vagin de ses doigts.
-Alors il se débrouille bien le « frangin » ? Me demande Rose en me caressant maternellement ma poitrine.
-Oui, je lui réponds, je ne vais pas tarder à mouiller mais je vous préviens, je suis une vraie fontaine.

Narcisse continue et je suis beaucoup plus décontractée qu'au début prenant même confiance en moi. Il m'amène au plus proche de l'orgasme, cela devient de plus en plus difficile de me retenir, surtout que je voie toujours cette trique d'acier attendre patiemment son tour.
-Ils ne sont pas mignon tous les deux ? Ricane Margo. J’en pisse aussi de jalousie.
-Oh c’est bon…ah ah ah…continue, ah ah ah…je jouie…

Je suis à l'agonie, je ne peux plus me retenir, je me crispe et un flot de cyprine remplit la bouche de Narcisse étonné par la dose. Mais mes sœurs ont dû bien le dresser car il boit à la source jusqu'à ce que je sois tarie.

Malgré sa précédente jouissance il ne débande pas. Arrive le moment que je redoute car je suis assez étroite, il va me prendre… Je suis sur le dos et il se couche sur moi, écarte mes jambes et vient poser l’extrémité de sa bite juste à l'entrée de ma grotte. Il commence à entrer le bout de son gland, il me fait un peu mal et je le lui dis. Narcisse sait maintenant que son sabre dépasse largement les normes habituelles, il fait bien six à sept centimètres de plus que celui de Corentin, mais c’est surtout son diamètre qui me fait le plus peur.
Mais il tient absolument à baiser la dernière « sœur » qui manque à sa collection. Heureusement que je suis toujours très excitée quand il force un peu plus. Ma chatte est toujours aussi trempée et ça l'aide beaucoup quand il s’enfonce un peu plus loin et je sens son gland mafflu passer entièrement mes petites lèvres. Je serre les dents sur ma lèvre inférieure mais il stoppe sa progression et se retire lentement. Je grogne de frustration et me cambre pour rechercher le contact.

A suivre… Violette.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
une bonne grosse sucette
Posté le 18/04/2023

Cando31
Un beau sabre pour d'innombrables fourreaux.
Posté le 18/04/2023


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